30/04/2021
Expériences de stratification:
10:20 Publié dans Science | Lien permanent | Commentaires (0)
27/04/2021
Portes Ouvertes : la première source de la persécution des chrétiens, c’est l’extrémisme musulman:
Pour Michel Varton, directeur de l’ONG protestante Portes Ouvertes, la source première de la persécution des chrétiens dans le monde, c’est l’extrémisme musulman. C’est ce qu’il pointe dans un entretien accordé à 20 Minutes. En voici des extraits…
Depuis sept semaines […], nous avons noté douze agressions d’extrémistes islamiques contre des coptes en Égypte. Mais la violence islamique a deux faces. L’une est visible, ce sont les meurtres notamment, les agressions, nous l’appelons le marteau. L’autre est invisible, c’est l’étau, c’est-à-dire une pression quotidienne, très présente, qui pèse sur la population. Les chrétiens sont victimes de nombreuses discriminations. Un travail peut leur être refusé du fait qu’ils ne sont pas musulmans, comme en Égypte. Il leur est plus difficile de trouver un appartement, d’obtenir une promotion, les prix sont plus chers pour eux… Et les musulmans qui souhaitent se convertir sont vus comme des traîtres et risquent la mort […] [Au Nigéria] Il y a une forme de persécution qui régresse un petit peu, celle de Boko Haram. Le gouvernement réagit plus efficacement, le groupe est repoussé vers le nord. Mais le plus grand problème actuellement ce sont les nomades musulmans de l’ethnie peule, qui visent spécifiquement les chrétiens pour leur voler leurs terres et leur bétail. Ce groupe est encore plus radical et dangereux pour les chrétiens que Boko Haram […] Les chrétiens sont visés car ils sont chrétiens, donc mécréants pour Daesh. Avant tous ces groupes extrémistes, les chrétiens étaient tolérés, ils avaient le droit de cohabiter, même s’ils étaient des citoyens de seconde zone. Depuis quelques années, en Afrique et au Moyen-Orient, l’objectif est de les chasser de leurs terres, de les expulser, pour instaurer un califat 100 % musulman.
Source : 20 Minutes,
10:12 Publié dans Choc de civilisations | Lien permanent | Commentaires (0)
23/04/2021
Pasteur Noël VESPER (1882-1944) témoin et martyr:
10:12 Publié dans Eglise | Lien permanent | Commentaires (0)
20/04/2021
Le féminisme:
Une idéologie dépassée !
A l’occasion de la journée de la femme, le collectif des Antigones (mouvement qui "propose un regard féminin pour sortir de l’impasse et considère que la féminité est une arme") publie une tribune dans ’Valeurs actuelles", dans laquelle il met en garde contre la « société kleenex ».
Les combats des femmes d’aujourd’hui ne peuvent être ceux des féministes d’hier : les Antigones entendent sortir de l’impasse idéologique du féminisme conventionnel, système mensonger qui détourne les femmes des enjeux réels de notre société. Notre féminité retrouvée et assumée sera notre arme pour construire le monde de demain !
Sortir de l’impasse féministe est une nécessité et une urgence. Le féminisme conventionnel, dont les mots d’ordre n’ont pas changé depuis les années 1950, est une idéologie dépassée incapable de faire face aux enjeux réels de notre temps. Le féminisme d’autrefois était une force de révolte et de contestation contre des normes aberrantes : nous saluons celles qui ont lutté pour rendre leur dignité sociale aux femmes, en les sortant de l’impasse du XIXe siècle bourgeois. Mais les institutions féministes étant devenues des tentacules étatiques prônant la liberté du producteur-consommateur, il est temps de les dépasser. Pour commencer, abandonnons les combats illusoires.
Refuser les combats illusoires
Les féministes conventionnelles combattent encore et toujours un patriarcat imaginaire, orientant la société vers des débats contre-productifs, sinon dangereux.
Le débat est-il vraiment celui de la parité dans les conseils d’administration ? Ne serait-ce pas plutôt celui d’une redéfinition de notre système économique basé sur l’exploitation illimitée de nos ressources naturelles et humaines ?
Le débat est-il vraiment celui de la taxe tampon ? Ne serait-ce pas plutôt le moment de nous affranchir de la culture du jetable ? Les tampons sont toxiques et à usage unique, une coupe menstruelle se garde dix ans. Quant à la pilule, le débat est-il vraiment celui de la libre disposition de son corps ? Ne s’agirait-il pas plutôt de se reconnecter à son corps, d’apprendre à maîtriser soi-même sa fécondité pour se libérer de cette castration chimique ?
Le débat est-il vraiment celui du partage du temps dans le congé parental ? Ne serait-ce pas plutôt celui de la redéfinition de la place de la famille dans la société ?
Le combat est-il vraiment celui du Madame ou du Mademoiselle quand des femmes sont agressées dans les rues de Cologne ? Le combat est-il vraiment celui de l’ « égalité réelle » quand 80% des travailleurs du dimanche dans les zones touristiques sont des femmes à temps partiel ?
Nous pourrions écrire un livre sur ces faux sujets sur lesquels s’escriment les féministes actuelles ! Ce féminisme déconnecté du réel n’a aucune réponse à apporter aux Françaises. [.....]
10:21 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)
16/04/2021
Il y a 500 ans, Worms :
" stehe ich, ich kann nicht anders"
Au Pape, à l'empereur, à Satan qui l'obsède
Il dit, montrant du doigt la Bible, son trésor
"Je ne puis autrement, que Dieu me soit en aide !"
"Je ne puis autrement", glorieuse impuissance !
Chercher un compromis, revenir sur ses pas
Quitter le chemin droit de l'humble obéissance
Se mentir à lui-même : il ne le pouvait pas
Il pouvait d'un géant fournir l'immense tâche
Braver la calomnie, affronter les combats
Donner jusqu'à son sang... Mais fléchir comme un lâche
Mais renier son Maître, il ne le pouvait pas
Hélas ! Nous pouvons bien, nous pouvons trop, nous autres !
Nous savons à chacun parler selon son goût
Aux tendances du jour accommoder les nôtres
Tourner au vent la voile et nous plier à tout
Nous savons reculer de faiblesse en faiblesse
Et la Bible à la main trahir la vérité
Du monde et de la chair on se fait le complice
On vend contre un or vil la perle de grand prix
L'on échappe à la croix mais l'on a pour supplice
Le stigmate brûlant de son propre mépris
Qui donc prendra pitié de l'état où nous sommes ?
D'où viendra le remède et le relèvement ?
Ô Luther, que ton Dieu nous suscite des hommes
Prêts à dire avec toi : "Je ne puis autrement !"
Théodore Monod
Commentaire :
Pasteur Philippe Volff :
Sur la page de Paul T. Mc Cain il y a eu un échange amusant à propos du "Here I stand" de Luther et, coïncidence heureuse, un vieil ami, un frère aîné dans la foi, vient de m'envoyer un poème de Théodore Monod sur cette confession. Il s'agit sans doute plutôt du compositeur de cantiques de la fin du XIXème siècle que de l'explorateur du XXème (anecdotiquement, parrain par procuration de mon parrain, Jean Volff, à Dakar).
Ce poème réjouira les militants dont l'épopée réformatrice gonfle le coeur.
Une ode à la vertu ne peut faire que du bien à tous.
09:48 Publié dans Apolégétique | Lien permanent | Commentaires (0)