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26/04/2024

Le singe n’est pas le père de l’humanité, Dieu merci, par L. Glauzy

 

 

 

 

Les évolutionnistes jouent sur les pourcentages pour faire croire que le singe est proche de l’homme. Qu’en est-il exactement ?

 

 

Les évolutionnistes utilisent à vau-l’eau les ressemblances génétiques. Ils en déduisent des liens de parenté, une descendance. Pourtant, de récentes découvertes démentent que l’homme et le singe partagent 99 % de leur code ou patrimoine génétique. Un article de Science Magazine du 29 juin 2007 intitulé « Relative Differences : The Myth of 1 % » (Des différences relatives : le mythe du 1 %) mentionne que cette différence est plus prononcée. Elle ne serait pas de 1 %, mais de 6,4 %. En Suède, le Dr Swante Pääbo surnommé « le pape de l’archéo-génétique » en référence à une étude menée sur l’ADN d’un prince égyptien momifié, dit qu’il n’existe pas aujourd’hui de moyens suffisamment précis pour se prononcer de manière péremptoire sur cette différence.

 

 

 Dans la parution bibliste Creation update, les défenseurs du créationnisme avancent que cette ressemblance s’explique parce que nous vivons sur la même planète et que nous avons le même Créateur. Ils soulignent avec perspicacité que les évolutionnistes occultent une information majeure : l’ADN de l’homme est à 66 % identique à celui des choux !

 

 De plus, l’homme compte vingt-trois paires de chromosomes. Ils sont constitués d’ADN. L’ADN total du génome humain comporte près de trois milliards de bases. Les bases sont désignées par les lettres A, T, G, C. Les combinaisons des bases correspondent à des instructions formant un être vivant. Cela signifie par exemple qu’un écart de 2 % correspond à soixante millions de bases contenant des informations différentes.

 

 

 L’homme n’a donc rien a voir avec le singe comme le démontre l’absence totale de chaînons manquants. Il est à répéter que la science a maintes fois monté des faux comme l’homme de Nebraska, l’homme de Piltdown, l’homme de Java et Lucy, mélangeant des os d’homme et de singe.

 

 

 « La science moderne est la science du démon » (Padre Pio, dont le corps est intact)

 

23/04/2024

On aurait exhumé la ville de Sodome:

 

 

 

 

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Et ce n’est probablement pas un hasard si cela advient à une époque où les mœurs infâmes de cette ville détruite se répandent aujourd’hui largement dans le monde…

 

 

 

 

En effet, Sodome, la ville incarnant dans la Bible la dépravation la plus extrême (et ayant donné son nom à un vice en particulier), pourrait bien avoir été localisée par une équipe d’archéologues dans l’actuelle Jordanie.

 

 

« Le professeur d’études bibliques et apologétiques de l’Université de Trinity Southwest, Steven Collins est formel :  « le gigantesque site de Tall El Hamman » dans le sud de la vallée du Jourdain, à quelques kilomètres au nord de la mer Morte, réunit « tous les critères » de la ville de Sodome telle qu’elle est décrite dans la Bible, rapporte la revue scientifique

 

 


Sodome apparaît avec sa voisine Gomorrhe, dans le livre de la Genèse ainsi que dans le Livre de la Sagesse parmi trois autres cités formant « les villes de la plaine » située dans la vallée du Jourdain au sud du pays de Canaan.

 

 

 

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Dieu, en réaction à la perversion qui régnait à Sodome, envoya deux anges pour « vérifier » si le péché était bien avéré. « La clameur qui s’élève de Sodome et Gomorrhe est immense et leurs péchés sont énormes… », témoignèrent-ils.

 

 


« Alors l’Éternel fit tomber sur Sodome et sur Gomorrhe une pluie de souffre et de feu ; ce fut l’Éternel lui-même qui envoya du ciel ce fléau. Il détruisit ces villes et toute la plaine, et tous les habitants de ces villes. La femme de Lot regarda en arrière, et elle se transforma en statue de sel. Abraham se leva de bon matin et se rendit à l’endroit où il s’était tenu en présence de l’Éternel. De là, il tourna ses regards du côté de Sodome et de Gomorrhe et vers toute l’étendue de la plaine; et il vit monter de la terre une fumée, semblable à la fumée d’une fournaise. » peut-on lire dans l’Ancien Testament (Genèse, XVIII).

 

 

 

Plus la moindre présence humaine durant 700 ans

 

 

 

Selon les textes, Sodome était décrite comme  la plus grande cité du Kikkar (la plaine fertile mentionnée dans la Bible) à l’est du Jourdain. « J’en ai immédiatement conclu qu’il convenait de chercher quel site abritait les plus grandes ruines d’une cité de l’âge du Bronze » explique le docteur Collins. Ainsi, pendant plus de dix années de fouilles, les archéologues ont sorti de terre des objets ainsi que les ruines d’une immense cité appartenant à l’ère du Bronze (3500 – 2350 av. J.c.), en particulier un mur d’enceinte de plus de dix mètres ainsi que des tourelles défensives. « Une réalisation remarquable qui a demandé des millions de briques et, évidemment, un grand nombre d’ouvriers » souligne le docteur Collins. En comparant ces découvertes avec celles des villes avoisinantes, il apparaît que celle-ci était 5 à 10 fois plus grande que les autres.

 

 


Plus étonnant encore, sur ce site, tout semble indiquer que l’activité humaine s’est éteinte pendant 700 ans… »

 

 

 

 

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19/04/2024

Article dans « Le Luthérien » Janvier Février 1992 :

 

 

 

 

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   CENTRE D'ETUDES THEOLOGIQUES

              Châtenay-Malabry

 

 

 

 

Ceux qui connaissent l'histoire de notre Eglise savent que les premières générations de ses pasteurs ont été formées à l'étranger. Plus précisément, dans les séminaires du Synode du Missouri aux Etats-Unis. C'était le cas de mon père et de mon beau-père. Mais certains de ces étudiants, partis aux Etats-Unis pour y étudier la théologie, sont restés là-bas pour diverses raisons qui s'expliquent. Pour remédier à cela, mais aussi pour instruire, des hommes qui n'étaient pas en mesure de s'expatrier pendant de longues années, notre Eglise s'est vue encouragée à former elle-même les pasteurs dont elle avait besoin.

 

 

 

Grâce à un don généreux de notre Eglise sœur , le Synode du Missouri, le Centre d'Etudes Théologiques fut construit à Châtenay-Malabry (Hauts-de-Seine) et inauguré en 1955. J'ai eu le privilège d'être parmi les tout premiers étudiants à bénéficier des cours du Professeur Guillaume Wolff. Et cela, dès 1953, des années avant de passer mon baccalauréat. C'étaient des cours du soir donnés à Paris, à intervalles réguliers. Notre professeur, qui exerçait encore un ministère pastoral en Alsace, venait à intervalles réguliers pour des périodes de trois semaines.

 

 

 

J'avais pour compagnons d'études des hommes issus du clergé de l'Eglise Catholique, qui voulaient devenir pasteurs chez nous et suivaient pour cela un recyclage. D'autres étudiants se joignirent au petit groupe ; certains finirent par suivre une orientation différente.

 

 

 

Une fois passé le bac (en option A, après 6 années de latin et 4 de grec), je me rendis régulièrement à Châtenay-Malabry, dans les locaux flambant neufs du C.E.T. On nous encourageait fortement à nous inscrire parallèlement en faculté des lettres ou à l'Ecole Pratique des Hautes Etudes des Sciences Religieuses. Cela garantissait une couverture sociale et permettait de solliciter une bourse et de décrocher un diplôme universitaire.

 

 

 

D'autres étudiants prirent le relais. En nombre restreint, il est vrai, mais assez nombreux pour remplacer l'ancienne génération de pasteurs et même fonder des postes missionnaires dans la région parisienne et ailleurs. A l'heure actuelle, tous les pasteurs en exercice de notre Eglise ont suivi leur formation, totale ou partielle, à Châtenay-Malabry, et tous gardent un souvenir ému et reconnaissant de cet homme humble, discret, mais cultivé et profondément enraciné dans la Bible que fut le fondateur du C.E.T.

 

 

Il partit en retraite et fut remplacé par le soussigné en 1974. Il est fort possible que les études aient changé de style, mais leur contenu est resté fondamentalement le même. Le souci de notre Eglise en effet a été de dispenser un enseignement marqué par la soumission inconditionnelle à l'Ecriture Sainte et la fidélité aux Confessions adoptées par l'Eglise luthérienne au lendemain de la Réforme.

 

 

 

Le soussigné est le seul professeur employé à plein-temps, mais, dans la mesure du possible, secondé par des membres du corps pastoral. C'est dire que la formation dispensée au Centre d'Etudes Théologiques se concentre sur l'essentiel : l'étude des langues anciennes (grec, hébreu, latin), la théologie systématique, l'herméneutique (science et techniques d'interprétation), l'exégèse (commentaire des textes bibliques), l'art de la prédication, la théologie pastorale, la symbolique (étude des Confessions Luthériennes et étude comparée de l'enseignement des Eglises) et, dans la mesure du possible, histoire de l'Eglise, histoire des dogmes et histoire des religions.

 

 

Tous les étudiants sont encouragés à compléter leur formation en faculté, en suivant des cours d'histoire de l'Eglise, de sociologie, de psychologie, de science des communications, etc. Certains d'entre eux ont eu le privilège de faire une ou deux années de théologie, ou un stage, à l'étranger, aux Etats-Unis, en Allemagne ou en Angleterre, une expérience qui leur a permis d'élargir leur horizon et qu'ils ont certainement vécue comme enrichissante.

 

 

 

Le C.E.T. a eu également la possibilité de former au ministère des hommes qui travaillent pour le Seigneur sur d'autres continents. L'un d'eux exerce son ministère en Afrique du Sud, dans deux paroisses d'expression allemande. Deux pasteurs zaïrois mettent au service de l'Eglise Luthérienne au Zaïre l'enseignement reçu à Châtenay-Malabry pendant quatre ans et l'expérience acquise au cours d'un vicariat dans nos paroisses. D'autres travaillent ou ont travaillé aux USA, au Canada ou en Allemagne.

 

 

 

A côté de l'enseignement proprement dit, le Centre d'Etudes Théologiques s'efforce modestement de pallier une grave carence dans la littérature théologique luthérienne en français, en publiant soit des «Cahiers du Centre d'Etudes», soit des cours ou plans de cours. L'informatique a passé par le C.E.T. et apporte des solutions à des problèmes techniques qui étaient jadis quasiment insurmontables.

 

 

Il est à peu près certain que le C.E.T. devra à l'avenir diversifier son enseignement et former des hommes à différents types de ministères dans l'Eglise. Cet enseignement devra être décentralisé et dispensé avec assez de souplesse pour pouvoir être suivi par des gens exerçant une activité professionnelle ou suivant une formation en faculté. L'Eglise a besoin d'ouvriers aux talents divers, dont la formation ne sera pas nécessairement la même parce que leurs responsabilités ne seront pas identiques.

 

 

 

Vaste programme dont nous devons nous efforcer de clarifier au maximum les éléments. Mais c'est certainement à ces prix-là qu'elle pourra continuer d'accomplir la mission qui est la sienne avec les moyens en hommes et en argent dont elle dispose. Le travail qui se fera à l'avenir au Centre d'Etudes ne sera sans doute pas tout à fait identique à ce qu'il a été dans le passé. Mais ce travail est là. La moisson est grande, et il faut des ouvriers. Aussi nous souhaitons longue vie au C.E.T. 

 

  

 

Professeur Wilbert Kreiss

 

 

PS : Je tiens à la disposition de ceux qui le souhaite l’article en PDF.

 

 

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09:35 Publié dans Biographie | Lien permanent | Commentaires (0)

16/04/2024

AVORTEMENT:

 

 

 

 

 

 

 

 

 

UN BLASPHÈME D’AUJOURD’HUI : PROPOSER D’ACCOUCHER DE SON ENFANT !

 

 

 

 

 

 

 
 

 

 

 

 

 

L’amour relié au foyer naturel, primitif, celui constitué d’un homme et d’une femme, est aujourd’hui devenu tabou et évoquer la possibilité de ne pas avorter devient un blasphème.

 

 

 

 

 

 

 

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Professeur certifié de Lettres Classiques
 
 

 

 

 

 

 

 

 

« Blasphémer » vient du verbe grec « blaptein », qui signifie « léser, nuire », et du substantif « phèmè » : « présage », « rumeur », « réputation » : il indique donc, à l’origine, « un présage de mauvais augure » et, très rapidement, « des paroles impies ». Le blasphème ne doit pas être confondu avec le tabou, sujet délicat qu’un groupe social n’aborde pas ou n’aborde qu’avec une extrême prudence car gênant et relevant d’une approche intime, personnelle, individuelle. Les révolutionnaires de 1789 se sont révoltés contre une Église qu’ils accusaient de rigidité et d’obscurantisme, bref, d’abus de blasphèmes et de tabous : il était donc convenu que le temps de la liberté de parole et de pensée était enfin arrivé…

 

 

 

 

 

 

Mais aujourd’hui, quel héritage nous a légué cette idéologie révolutionnaire qui visait à prendre le contre-pied de l’Église ou, au mieux, à l’adapter à une sorte de dogme simplement citoyen ? Nous avons, en fait, hérité d’un féminisme à outrance, avec son écriture inclusive chaotique, et d’une censure exercée jusque dans les événements les plus naturels de la vie : la conception d’un enfant.

 

 

 

 

 

 

Ainsi, l’amour relié au foyer naturel, primitif, celui constitué d’un homme et d’une femme, est aujourd’hui devenu tabou et évoquer la possibilité de ne pas avorter devient un blasphème. L’habit revêtu est celui de la loi (relève-t-il, pour autant, de la justice ?), mais il s’agit bien de blasphème : les associations, chrétiennes notamment, subissent une pression inacceptable et des agressions de plus en plus fortes car elles osent rappeler, voire révéler dans certains cas, ce qui jusqu’ici passait pour une évidence : l’avortement n’est pas obligatoire, voire peut être bouleversant pour la mère et le père, dont (avec le premier concerné : l’enfant) on ne parle presque jamais.

 

 

 

 

Cécile Edel, président de l’association Choisir la vie et vice-président de l’association La Marche pour la vie, en fait elle-même le constat. Dans un entretien donné au site Le Rouge & le Noir, publié le 13 janvier 2018, à la question « L’adoption, l’année dernière, de la loi sur le délit d’entrave à l’avortement a-t-elle eu des conséquences pour les associations pro-vie ? », voici ce qu’elle répond :

 

 

 

 

 

 

 

« Depuis le vote de cette loi, sur les réseaux sociaux ou dès qu’il y a débat sur l’avortement, nous assistons de la part de ceux qui sont pour l’IVG à une agressivité de plus en plus significative. Un climat malsain de délation et de dénonciation s’est instauré avec souvent des menaces de poursuites judiciaires juste parce que nous avons osé écrire ou dire que nous étions contre l’avortement ou même, tout simplement, qu’un embryon n’était pas qu’un amas de cellules ! C’est très grave ! Nombreux sont ceux qui utilisent aujourd’hui cette loi (alors qu’ils n’ont même pas lu les termes de celle-ci) pour faire taire ceux qui défendent la vie et entraver leur liberté d’expression. »

 

 

 

 

 

 

 

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Ainsi, proposer de garder un enfant devient une abominable entrave à la laïcité répressive du XXIe siècle qui cherche à promouvoir l’avortement : on se demande, alors, quel est l’intérêt de forcer l’intégration de centaines de milliers de « migrants », dont les familles sont souvent plus nombreuses que celles des populations autochtones des pays de cette Union européenne qui oblige à les accueillir de manière laxiste… Et si « l’accueil inconditionnel », ce n’était pas que pour les migrants, mais aussi pour ces petits ?

 

 

 
 
 
 
 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

09:22 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

12/04/2024

CREATIONNISME :

 

 

 

 

 

 

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Pourquoi la Terre a 6 000 ans, comme l’atteste la Bible, par Laurent Glauzy

 

 

 

 

En 1993, à Hell Creek (Montana), le Dr Mary Schweitzer, paléontologue américaine, avait constaté la présence de tissus non décomposés sur le squelette d’un Tyrannosaurus Rex. Ce cas, parmi tant d’autres, démontre que les dinosaures n’ont pas disparu il y a 60-70 millions d’années. Cela est impossible, car la Terre n’a que quelque 6 000 ans.

 

 

Jusqu’à la révolution « française », préparée par les criminels maçons, les scientifiques défendaient une Terre de 6 000 ans. Cette périodicité a peu à peu augmenté en centaines de milliers d’années, puis en millions d’années pour atteindre l’évaluation fantasmagorique actuelle de 4,5 milliards d’années. La raison en est simple : le darwinisme implanté en Chine depuis les années 1890 pour préparer les esprits au communisme, a besoin de longues périodicités invérifiables pour dissimuler ses mensonges. Il est à rappeler que ce dogme débile a été exposé par Karl Marx dans une lettre du 18 décembre 1860 adressée à Friedrich Engels. Ce mensonge visant a faire croire que l’homme est le fruit du hasard, contraire aux plans divins, sera bien entendu financé par Rockefeller. Aujourd’hui le Dr Kent Hovind, qui a ridiculisé le chantre du darwinisme Dawkins, a été condamné à sept ans de prison, jusqu’en 2015, pour avoir défendu les théories du créationnisme. Officiellement, il a été accusé de blanchiment d’argent, alors qu’il n’avait que de minces revenus.

 

 

 Pour ma part, mes travaux sur le créationnisme ont été traduit en plusieurs langues, dont en roumain, en 2004, par le Dr Dan Ghita, sous le titre Geocentrism şi creationism : un altfel de révizionism ?

 

 

 Le Dr Harold S. Slusher, géophysicien, établit le calcul suivant : sachant que 14,3 milliards de tonnes de poussières interplanétaire se déposent chaque année sur la Lune, pour 4,5 milliards d’années, nous obtiendrions alors une épaisseur de trois cents à trois cent trente mètres. Or, l’épaisseur de la poussière sur l’astre est de trois à sept centimètres : la Lune aurait donc dix mille ans. Cette évaluation est d’autant plus pertinente que les scientifiques créationnistes et les évolutionnistes pensent de manière unanime que la Lune et la Terre présentent le même âge.

 

 Selon ce scientifique, l’observation du Soleil est également très révélatrice. Son diamètre diminue de 1,5 mètre par heure. À cette vitesse, il y a vingt millions d’années, sa surface aurait heurté celle de la Terre.

 

 

 Le Dr Melvin A. Cook, physicien-chimiste américain déjà nominé pour le prix Nobel, affirme grâce à l’étude du taux d’hélium contenu dans l’atmosphère, si la Terre avait 4,5 milliards d’années, son atmosphère serait saturée en hélium.

 

 

 Les anneaux de Neptune ont des régions épaisses et des régions minces. Cette inégalité signifie qu’ils ne peuvent pas avoir des milliards d’années, puisque les collisions des objets des anneaux finissent par rendre les anneaux très uniformes.

 

 

 Le méthane qui est sur Titan, plus grande lune de Saturne, devrait avoir entièrement disparu en seulement 10 000 ans à cause de la dégradation en éthane induite par les ultraviolets. Et, il n’y a pas non plus de quantités d’éthane.

 

 

 Les lunes de Jupiter « volcaniquement actives », comme Io, sont compatibles avec un âge jeune : la mission Galileo a enregistré quatre-vingts volcans actifs. Si Io avait été en éruption plus de 4,5 milliards d’années à même 10 % de son rythme actuel, ses éruptions auraient dépassé 40 fois sa masse totale.

 

 

 Le Dr Russel Humphreys, physicien, observe que la désintégration des comètes est trop rapide, l’eau et les sols marins manquent de vase et de sel, l’inclinaison des couches géologiques est trop forte pour que la Terre et l’univers aient plusieurs milliards d’années. Dans l’article Mercury’s magnetic field is young (Le champ magnétique de Mercure est jeune) de la parution Journal of Creation, il affirme que la présence d’un champ magnétique important autour de Mercure n’est pas compatible avec son âge jeune supposé de milliards d’années. Il ajoute qu’une planète si petite doit s’être suffisamment refroidie pour qu’un noyau liquide soit solidifié, empêchant le mécanisme de dynamo des évolutionnistes. Le Dr Russel Humphreys atteste au sujet de la décroissance du champ magnétique terrestre, que sa décroissance exponentielle est évidente à partir des mesures et est en accord avec la théorie de la décroissance libre depuis la Création. Ce phénomène suggère pour la Terre un âge bien inférieur à 20 000 ans.

 

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