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26/10/2024

Charité bien ordonnée devrait commencer par la France:

 

 

 

 

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Malgré la perte de ma foi, je ne crois pas qu’il me faille oublier les bonnes leçons que son enseignement m’a données. Je subodore que je ne dois pas être le seul à faire cette confession.

 


Bien que je me situe loin des choses de l’Église, je garde l’idée que la civilisation française est le produit de deux mille ans d’une histoire établie sur les valeurs dont la chrétienté l’a dotée.

 

Sans doute ne suis-je pas, non plus, solitaire dans cette proclamation.

 

 

Cela est aussi évident que chacun de nos villages est construit autour d’une église. Cette conviction conceptuelle me laisse croire que « charité bien ordonnée commence par soi-même ».

 

Cela est une idée chère aux chrétiens qui devrait l’être à tous.

 

Elle ne signifie pas que, si une douceur devait subsister, celle-ci devrait être accordée, par priorité, à la faveur de mon palais, mais, simple et pragmatique, que pour bien aimer (bien aider) les autres, il faut commencer par s’aimer soi-même. Il me paraît que cette vérité est, lentement, remplacée par l’amour de l’autre au détriment de soi. Il n’est que de considérer les excès qui touchent à l’accueil des immigrants et les conséquences néfastes de cet afflux massif.

 

 

Ce déterminisme souligne l’action irréfléchie des « politiques » répondant à l’inspiration confuse de certains, à moins qu’il ne s’agisse, plus pernicieusement, du contraire.

 

Cette méprise est à droite : Alain Juppé assure que l’immigration serait une chance pour notre pays (marquant un changement avec les idées qui furent les siennes). Elle est à gauche : François Hollande veut attribuer le droit de vote aux étrangers.

 

 

Chacun sait bien que « quand il y en a pour 2, il ne peut y en avoir pour 10 », donc, « quand il n’y en a pas assez pour 60 millions, il ne saurait y en avoir suffisamment pour 200.000 de plus chaque année ». Cela paraît juste évident, faut-il encore le dire et en tenir compte.

 

Il est insoutenable de s’obliger à des artifices grossiers pour faciliter ce changement. L’appel répété à la laïcité n’a pour but que de mettre sur un plan d’égalité les pratiques ici millénaires et celles d’une croyance venue d’ailleurs où la réciprocité est bannie. Notre comportement accort reçoit-il l’effet d’une reconnaissance ? La conduite des minorités visibles exogènes répond sans ambiguïté : Non.

 

La posture suicidaire de nos compatriotes, au regard de ce problème, provient d’une volonté de repentance, elle-même d’un sentiment de culpabilité, injuste. Que se reproche-t-on qui nous oblige à tant d’abnégation et d’oubli de soi ?

 

Il y a la colonisation, dont nulle démonstration n’a apporté la preuve de l’unicité supposée du préjudice comparé aux multiples apports.

 

Il y a la pratique esclavagiste qui n’est ni notre invention, ni notre apanage, tellement partagée.

 

Il y a l’Holocauste, le crime nazi dont il serait inique d’étendre l’opprobre sur tous.

 

Ainsi, devons-nous baisser la tête et renier ce que nous sommes ? Ce fatalisme prétendrait nous priver de notre identité et fouler nos valeurs ?

 

22/10/2024

L’orthodoxie luthérienne (1548-1598):

 

 

 

 

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À la fin du XVIe siècle, une  orthodoxie luthérienne est mise en place sous l'impulsion de Jean Marbach qui succède à Bucer ; elle est exprimée dans la Formule de Concorde de 1577.

 

SOMMAIRE:

 

·         Le second souffle

·         La Paix d’Augsbourg (1555)

·         De 1559 à 1598

 

Le second souffle

 

À partir du milieu du siècle, les changements ont lieu à deux niveaux :

 

·         dans le domaine politique : les nouveaux dirigeants sont plus souvent issus de l’aristocratie, davantage portée vers le luthéranisme,

·         dans le monde religieux : les prédicateurs cherchent avant tout à unifier l’Église et à en consolider la doctrine.

           

La Paix d’Augsbourg (1555) et les évolutions liées à l’Interim

 

La paix d’Augsbourg, en 1555, consacre la division entre protestants et catholiques du saint-Empire (1555) selon la formule : cujus regio, ejus religio

 

Cujus regio, ejus religio

 

Après 6 mois de négociations, la paix fut définitivement signée le 25 septembre 1555 et le texte en 22 articles organisait la coexistence du catholicisme et de la confession d’Augsbourg, à l’exclusion de toute autre confession. (…)

 

Les sujets des États de l’empire, c'est-à-dire les particuliers, mais aussi les seigneurs qui ne sont pas des vassaux directs et par conséquent ne jouissent pas de l’immédiateté d’empire doivent se soumettre à la décision de leur prince. C’est le sens de la mystérieuse formule cujus regio, ejus religio, qui ne se trouve pas dans le texte de la paix d’Augsbourg, mais fut inventée en 1599 par un juriste luthérien. Toute fois si, en conscience, les sujets n’acceptent pas ce choix, l’article 11 prévoit que le prince ne doit pas utiliser la violence pour les convertir, mais doit les laisser émigrer dans un territoire où on pratique leur religion : il est possible d’emporter leurs biens. C’est ce que les juristes appelleront plus tard le beneficium emigrationis.

 

À chacun la religion de son gouvernement

 

Afin d’apporter la paix dans le Saint Empire de la nation germanique entre Sa majesté impériale et les Electeurs, Princes et états, que ni sa Majesté ni les Electeurs, Princes, etc. ne fassent de violence ou de mal à aucun des sujets de l’empire à cause de la Confession d’Augsbourg, mais qu’on les laisse jouir en paix de leurs croyances religieuses, liturgies et cérémonies aussi bien que de leurs propriétés et autres droits et privilèges. Ainsi une complète paix religieuse pourra être obtenue par le seul moyen qui soit chrétien : l’amitié, ou bien sous la menace de la punition du ban impérial.

 

De la même manière, les Etats qui adoptent la confession d’Augsbourg permettront à tous les Etats qui restent attachés à l’ancienne religion de vivre dans une paix complète en jouissant de leurs propriétés, droits et privilèges. (…)

 

Au cas où nos sujets, qu’ils appartiennent soit à l’ancienne religion, soit à la Confession d’Augsbourg, voudraient quitter leur foyer, avec leurs femmes et leurs enfants, pour s’installer dans un autre lieu, ils ne seront pas empêchés de vendre leurs propriétés pourvu qu’ils aient effectué le juste paiement des taxes locales.

 

L’expansion du protestantisme elle-même a été être freinée pour plusieurs raisons :

 

·         Les progrès de la Réforme catholique,

·         L’expansion du calvinisme,

·         L’affaiblissement du luthéranisme après la mort de Luther en 1546.

 

Dans ce contexte, l’effort des prédicateurs strasbourgeois va surtout porter sur la réalisation d’une discipline ecclésiastique efficace et cela, tout en maintenant les spécificités du luthérianisme strasbourgeois.

 

Et de fait, face à l’opposition tant des prédicateurs que d’une majorité de la population, le culte catholique cesse en 1559 (trop de tumulte pendant les messes), ce qui met fin à l’Interim. En 1561 la cathédrale est rendue au culte protestant, tout comme d’autres lieux de culte dans les années qui suivent.

 

Les livres aussi alimentent le combat, tel le traité de Marbach de 1571 Des miracles et des signes miraculeux , ou l’ouvrage de Jean Fischart, der Nachtrab.

 

De 1559 à 1598

 

La période qui va de la fin de l’Interim à celle de l’Ordonnance ecclésiastique est caractérisée par :

·         L’encadrement des fidèles par un corps pastoral uni sous l’autorité de Marbach, avec des inspections de paroisses, des réunions régulières du convent des pasteurs,

·         L’encadrement aussi des étudiants qui se préparent au pastorat,

·         L’unification des cérémonies liturgiques,

·         La discipline.

 

L’Ordonnance ecclésiastique de 1598

 

La formule de Concorde



Pour Marbach, qui dirige l’Église de Strasbourg à la suite de Bucer et jusqu’en 1581, il est essentiel d’organiser une discipline ecclésiastique.

 

Il reprend les visites pastorales des campagnes qui existaient à partir de 1534 et propose aussi une inspection des paroisses urbaines. Le but est de vérifier l’uniformité de la doctrine, des institutions, de la discipline ecclésiastique, malgré les réticences de certains.

 

Parallèlement, le Magistrat confirme s’en tenir à la Confession d’Augsbourg et à la Concorde de Wittenberg (1563).

 

En 1577 se pose alors la question d’une formule de Concorde qui unifierait le camp luthérien. Le Magistrat est divisé sur la question et le Convent, quant à lui, décide alors de condamner les réformés (ou calvinistes), ce qui représente une réelle rupture avec un certain passé de Strasbourg et qui est à l’origine de conflits

 

 

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18/10/2024

La révocation de l'édit de Nantes et la liberté d'expression:

 

 

 

 

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J'ai vu à la télévision une émission où un groupe de jeunes reprenait les chemins conduisant les Huguenots vers leur exil, par refus de renier leur foi. Le Pasteur qui les accompagnait n'a pu s'empêcher de faire le parallèle avec la situation des sans papiers.

 

 

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La chose m'est parue piquante, quand on connaît l'attitude des instances du protestantisme vis à vis de tout ce qui est fondamentaliste, et aussi en ce qui concerne toute conviction de droite nationale. Il n'y a pas de mots anathématisants assez forts, qui ont pour effet de rejeter, marginaliser, bannir les mal pensant. En caricaturant, il vaut mieux être musulman sans papier, que Français membre du Front National. Doit-on gommer chez Luther ces sermons sur l'usure et la finance apatride, doit-on nier son islamophobie radicale. Nous pouvons affirmer que l'honneur du Pasteur Boegner fut d'avoir tout fait pour sauver des enfants juifs, sans pour autant parler de sa tache indélébile, de n'avoir en tant que Président de la Fédération Protestante protesté sur les assassinats du Pasteur Vesper et de son épouse, enlevés de leur presbytère, amenés dans la garrigue pour être tués d'une balle dans le dos, sans aucune forme de procès, leur seul crime étant d'être Maréchalistes. Oecolampade avait dit à Calvin qu'en brûlant Servet, on n’éradiquait pas une idée mais on assassinait un homme, comme l'a dit Jean Ferrat, faut-il pleurer faut-il en rire je n'ai pas le cœur à le dire.

 

 


  
                                  Pasteur Blanchard

 

 

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15/10/2024

Formation Théologique par correspondance en Anglais :

 

 

 

 

 

 

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Are you interested in taking an Immanuel Lutheran College class online?

 

1 Corinthians, Religion 101-102, Religion 305-306, and Religion 407-408 are currently available.

 

           You can see and hear an example of how each would function. Go to: classes.ilc.edu. Do not login. Scroll down  and select “Religion 101 /102 - A Sample - Pentateuch - OT Survey” orRel 407 / 408 - Christian Teachings - A Sample.”  Read the main column and follow the instructions.

 

The following table is for the school year 2015-16.

 

Semester Class

Description

Credit

Audit

Group Use

Religion 101

Old Testament

$650

$195

NA

Religion 102

Old Testament

$650

$195

NA

Religion 305

Symbolics

$650

$195

$195

Religion 306

Symbolics

$650

$195

$195

Religion 407

Dogmatics

NA

$195

$195

Religion 408

Dogmatics

NA

$195

$195

Religion 12 (HS)

1 Corinthians

NA

$56

$56

Note:  All costs are for 2015-16; NA – Not Available

 

More information at classes.ilc.edu and ilc.edu

 

           Here is some information you may wish to consider if you are interested in registering for the class and also directions on how to register for the class if desired.

 

  1. 1 Corinthians is a high school study at the 12th grade level. First Corinthians leads us to see Christ and Him crucified as the center of all faith and life and as the wisdom needed to face practical, relevant problems, and thus grow in faith, love and holiness by the power of the Spirit. This class is offered online only for auditing. If users wish to take the quizzes, they will have to do that in the same time frame as when the class meets in the fall semester. The class presentations will be open other times. (44 lessons, 45 minutes each) 
  2.  
  3. Religion 101 / 102: Old Testament Survey is a detailed study of the major events and individuals of the books of Genesis to Malachi and also God's dealings with Israel, directing all things unto Christ. (Rel 101 - 46 lessons, 45 minutes each) (Rel 102 - 49 lessons, 45 minutes each)
  4.  
  5. Religion 305 / 306: Symbolics is a study of the history, development, and contents of the three universal creeds and of the Lutheran Confessions from 1517-1580. The objectives are to compare these Confessions with Scripture, to grow in faith by the power of the Spirit, to increase our commitment to the Lutheran confessions because they are in agreement with Holy Scripture and to improve our ability to discern error and witness the truth. Subject matter studied in 305  first semester includes the three universal creeds, Luther's Catechisms, the Augsburg Confession and the Apology. (1517-1530) (43 lessons, 45 minutes each)  Subject matter studied in 306 second semester includes Completing the Augsburg Confession, the Smalcald Articles, and  the Formula of Concord. (1530-1580) (46 lessons, 45 minutes each)
  6.  
  7. Religion 407 / 408: Dogmatics is a systematic  study of Christian teachings (doctrines), showing their Biblical foundation and their application to the Christian life. Subject matter studied in 407  first semester includes Scripture, God, man, Christ, conversion, and justification (42 lessons, 45 minutes each). Subject matter studied in 408 second semester includes sanctification, the means of grace, Law and Gospel, the sacraments, the church, election, and eschatology (45 lessons, 45 minutes each).
  8.  
  9. Purpose - All the online courses are intended to be a detailed study of God’s Word according to the content descriptions given in the previous paragraphs. These courses are not intended to be “unique” revelations. That, of course, belongs to God alone and has been recorded for us in His Word. They are intended to be a study of His Word parallel to what your pastor is sharing in Bible Class so that we may grow in faith and love for Him who died for us. Because the courses have assigned homework (optional for those auditing) and meet three times a week, the courses may, perhaps, be more intensive or comprehensive than a congregational Bible Class. You may wish to take a course to supplement your Bible studies at home and church. You may wish to take those which apply for college credit, perhaps in the interest of pursuing CLC teacher certification, or as a needed step in gaining future entry to Immanuel Lutheran Seminary. Each course meets three times a week.
  10.  
  11. Time Frame - Each class may be taken as an audit at any time. They may be taken for credit only in connection with the semester in which they are taught on-site. Your time frame for participation is not limited by the semester. With each class your participation can extend before or after the class semester. But you need to register for one semester. The videos and quizzes for the classes will be available at the time of your choosing. There is one exception to auditors following their own time frame. In the semester the course is taught at ILC in an on-site class you cannot be ahead of the on-site class and if you wish to do the quizzes you must be either  two weeks behind the on-site class or must follow the time limits set for those taking the on-site class. For example: Religion 101 - fall semester of odd years (e.g. Aug.-Dec. of 2015).Religion 102 - spring semester of even years (e.g. Jan.-May of 2016). Religion 305 - fall semester of odd years (e.g. Aug.-Dec. of 2015).Religion 306 - spring semester of even years (e.g. Jan.-May of 2016). Religion 407 - fall semester of even years (e.g. Aug.-Dec. of 2016 etc.) Religion 408 - spring semester of odd years (e.g. Jan. - May of 2017 etc)  
  12.  
  13.  
  14.  
  15. Auditing - Auditing students do not receive any college credit, nor can they expect teacher evaluations.
  16.  
  17. For credit - The online course grade is based on the online quizzes and the student’s written or video presentations. There may be a preview quiz and / or a review quiz with each lesson.
  18.  
  19. How will it work, if you are taking the class the same time  it is taught at ILC in an on-site class? Prof. John Ude  will be teaching the on-site class at ILC, say for example, on a Tuesday. Students enrolled  will be asked to read the assignment beforehand (those auditing can participate as much as they want). The class will be taught with the assumption that students have read the material. A preview quiz will open 3-7 days before the lesson for which it is due, but it has a time deadline of the beginning of that lesson’s class period. So for the Tuesday class, a preview quiz would have opened on the previous Friday and be due by class time on that Tuesday. The quizzes are online and correct themselves, showing the correct answers and some explanation. After the instructor  teaches the class, the video is uploaded to the internet host. It should be available for any registered user  via their computer within a couple hours after the class. If there is a review quiz on that class, it will be due 3-9 days after the class presentation. And so on with each class of a given course.
  20.  
  21. How will it work, if you are taking the class at a different time than  it is taught at ILC in an on-site class? You may proceed at your own pace with no time limits.
  22.  
  23. Registration - Since these are ILC college courses, you must register with Immanuel Lutheran College to take the class. A login and password will be assigned  for those who are  registered in order for them to access the whole course at classes.ilc.edu. There is a registration fee of $25.00 for those who have not been enrolled at ILC in recent history. The course may be taken for credit or audit. There's a limit of 10 online students for credit (no limit for audit). The tuition costs for each class are listed in the graph at the top of this document. A three credit course costs 25% of the current semester tuition at ILC. The audit price is 30% of the credit price. The audit price for 1 Corinthians is different because it is  a high school course and as an inexpensive introduction.  These fees are set  by the ILC Board of Regents. All payments are made to ILC through the ILC Business Office and do not go to the professor teaching the course. 
  24.  
  25. A couple or a household can take the class together with one registration and one login. In such a joint venture only one person can take the course for credit. Clearly we welcome both or all to register.
  26.  
  27. Distribution - Since this is a registered ILC college class and some videos contain copyrighted material, online users  may not copy and share or distribute the video recordings with others.
  28.  
  29. A CLC congregation or study group may use most of the online courses for joint Bible study, with the requirement of one registration (one login) and one payment. The pastor or some other representative of the congregation should register with ILC. Religion 101 /102 is not available for group use due to copyright restrictions.
  30.  
  • The class videos may not be copied and shared or distributed to anyone else.
  •  
  • The class videos may not be edited. A fair segment may be shown.
  •  
  • Only one login is provided for such an arrangement.
  •  
  • The permission to show the class videos, or a portion thereof, extends from the start of the course term until the start of the same term two years later (currently August 2015 to August 2017). With 1 Corinthians it is one year later.  
  •  
  • The question has been asked how these might work as a congregational Bible Class.  Making them available for this usage has been the recommendation of the Board of Regents. I don’t know how useful they will be for a normal Bible Class. The classes are not taught in the manner in which I would teach a congregational Bible Class. The classes expect that everyone listening has read the material ahead of time. They are mainly lecture with minimal class involvement. There are some samples available as indicated at the beginning of this document. Suggested uses:
  •  
    • 1. Show one to your Bible Class as a demonstration of what is available for individuals to pursue in their own individual study.
    • 2. Use them occasionally to fill in a Bible Class session when the Pastor is absent.
    •  
    • 3. Go over some of the material in Bible class and then use a segment of the video to highlight the topic and spur discussion.
    • 4. Use them for a small group interested in further religious studies. Perhaps they commit to reading the material in advance, gather to watch the video together and then discuss it.
    •  
  1. To register, completethe registration form for online college courses.  Those registering for any online course do not need to send a pastoral recommendation or a transcript. It should be sent, e-mailed, or faxed to the ILC office:

Immanuel Lutheran College, 501 Grover Road, Eau Claire, WI 54701.

 

Email: clcbookhouse@ilc.edu

 

Fax: 715-836-6634

 

Contact - Please feel free to contact the Academic Dean (715-836-6631 or john.ude@ilc.edu) with any further questions.

 

 

 

 

 

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11/10/2024

La Confession dans L'Église luthérienne:

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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"L'absolution privée doit être conservée dans les églises, bien que dans la confession une énumération de tous les péchés ne soit pas nécessaire." Confession d'Augsbourg , article 11
 

Dans l'Église luthérienne , la confession (aussi appelée l'absolution sainte ) est la méthode donnée par le Christ à l'Église par laquelle les hommes et les femmes peuvent recevoir le pardon des péchés; selon le Grand Catéchisme , le «troisième sacrement» de l'Absolution Sacrée est correctement considéré comme une extension du Saint Baptême . [1]

 

Croyances :

 

L'Église luthérienne pratique la «Confession et l'Absolution» (appelée le Bureau des Clés) en mettant l'accent sur l'absolution, qui est la parole de pardon de Dieu. En effet, les luthériens considèrent hautement la Sainte-Absolution. Comme les catholiques romains, ils voient Jacques 5:16 et Jean 20: 22-23 comme des preuves bibliques de la confession. [2] La confession et l'absolution sont faites en privé au pasteur, appelé le " confesseur " avec la personne confessant connue sous le nom de "pénitent". Dans la confession, le pénitent fait un acte de contrition , comme le pasteur, agissant in persona Christi , annonce la formule de l'absolution. Avant la confession, le pénitent doit réviser les Dix Commandements pour examiner sa conscience . [3] Dans l'Église luthérienne, comme l'Église catholique romaine, le pasteur est lié par le sceau du confessionnal . Petit Catéchisme de Luther dit "le pasteur est promis de ne pas dire à quelqu'un d'autre des péchés à lui dans la confession privée, pour ces péchés ont été enlevés." Si le sceau est brisé, il en résultera une excommunication . [2] Aux XIXe et XXe siècles, la confession privée est tombée en désuétude; [la citation nécessaire ] à l'heure actuelle, il est, par exemple, attendu avant de prendre l' Eucharistie pour la première fois. [4] source non-primaire nécessaire ] Il est également recommandé de le faire fréquemment dans une année [5]source non-primaire nécessaire ] (spécifiquement avant Pâques). Dans de nombreuses églises, citation nécessaire ] les temps sont fixés pour que le pasteur puisse entendre les confessions.[6]

 

 

Conformément à la déclaration initiale de Luther dans son Grand Catéchisme , certains luthériens ne parlent que de deux sacrements, le Baptême et l'Eucharistie, bien que plus tard dans le même ouvrage il appelle Confession et Absolution [8] "le troisième sacrement". [9] La définition du sacrement dans l' Apologie de la Confession d'Augsbourg énumère l'Absolution comme l'un d'entre eux. [10] Luther est allé à la confession toute sa vie. [11] Bien que les luthériens ne considèrent pas les quatre autres rites comme des sacrements, ils sont toujours conservés et utilisés dans l'église luthérienne. Philipp Melanchthon parlant de la Confession dans l'Église luthérienne, affirme que «nous ne voulons pas sanctionner la torture [la tyrannie des consciences] des Résistants, ce qui aurait été moins intolérable s'ils avaient ajouté un mot concernant la foi, qui réconforte En ce qui concerne cette foi, qui obtient la rémission des péchés, il n'y a pas une syllabe dans une si grande masse de règlements, de gloses, de résumés, de livres de confession: le Christ n'y est nulle part lu ». [12]

 

 

Martin Luther sur la confession :

 

 

Dans ses catéchismes de 1529, Martin Luther a fait l'éloge de la confession (devant un pasteur ou un chrétien) "pour l' absolution ", le pardon des péchés octroyé d'une manière audible et concrète. [13] Les réformateurs luthériens ont soutenu qu'une énumération complète des péchés est impossible [14] et que la confiance du pardon ne doit pas être basée sur la sincérité de la contrition ni sur les travaux de satisfaction imposés par le confesseur ( pénitence ). [15] L'église catholique a tenu la confession pour être composée de trois parties: contritio cordis ("contrition du coeur"), confessio oris ("confession de la bouche"), et satisfactio operis ("satisfaction des actes"). [16] Les réformateurs luthériens ont aboli la «satisfaction des actes», soutenant que la confession et l'absolution se composent de seulement deux parties: la confession du pénitent et l'absolution parlée par le confesseur.[17] La foi ou la confiance en la complète satisfaction active et passive de Jésus est ce qui reçoit le pardon et le salut gagnés par lui et transmis au pénitent par la parole d'absolution.

 

 

Forme de confession :

 

 

 

La confession luthérienne (de la même manière que la confession dans l' église catholique ) peut être faite dans le choeur de l'église avec le pénitent agenouillé à l' autel et le pasteur assis devant eux, dans l'intimité du bureau du pasteur, ou parfois dans un confessionnel . Les mots ci-dessous, tirés du livre du service luthérien et utilisés dans la plupart des confessions, disent:

 

Le pénitent commence en disant:

 

S'il vous plaît, écoutez ma confession et prononcez le pardon afin de réaliser la volonté de Dieu. Moi, pauvre pécheur, plaide coupable devant Dieu de tous les péchés. J'ai vécu comme si Dieu n'avait pas d'importance et comme si j'avais le plus d'importance. Le nom de mon Seigneur que je n'ai pas honoré comme je devrais; mon culte et mes prières ont échoué. Je n'ai pas laissé son amour se frayer un chemin avec moi, et ainsi mon amour pour les autres a échoué. Il y a ceux que j'ai blessés et ceux que je n'ai pas aidés. Mes pensées et mes désirs ont été gâtés par le péché. Ce qui me dérange particulièrement, c'est que ...

 

Ici, le pénitent doit confesser tout ce qu'il a fait contre les commandements de Dieu, selon sa propre place dans la vie. Le pénitent continue.

 

Je suis désolé pour tout cela et demande la grâce. Je veux faire mieux.

Le pasteur continue:

 

Dieu soit miséricordieux envers toi et fortifie ta foi. Croyez-vous que mon pardon est le pardon de Dieu?

 

Le pénitent dira:

 

Oui.

 

Le pasteur place sa main sur la tête du pénitent et dit ce qui suit:

 

À la place et par l'ordre de mon Seigneur Jésus-Christ, je vous pardonne tous vos péchés au nom du Père et du Fils + et du Saint-Esprit. Amen.

 

Le pasteur rejette le pénitent.

 

Vas en paix.

 

Le pénitent répond:

 

Amen.

 

Une autre forme suggérée pour la confession a été esquissée par Luther lui-même dans le Petit Catéchisme de 1529 (Partie V. COMMENT LE NON-DÉCLARÉ DEVRAIT ÊTRE ENSEIGNÉ POUR CONFESSER):

 

Vous parlez au confesseur ainsi:

 

Révérend et cher monsieur, je vous prie d'écouter ma confession et de me pardonner pour l'amour de Dieu

 

Procéder!

 

Moi, pauvre pécheur, je me confesse devant Dieu coupable de tous les péchés; surtout je confesse devant vous que je suis serviteur, servante, etc. Mais, hélas, je sers infidèlement mon maître; car en ceci et en cela je n'ai pas fait ce qu'ils m'ont commandé; Je les ai provoqués, je les ai fait maudire, j'ai fait preuve de négligence [dans beaucoup de choses] et j'ai permis de faire du mal; J'ai aussi été impudique dans les paroles et les actes, je me suis disputé avec mes égaux, j'ai grondé et juré à ma maîtresse, etc. Pour tout cela, je suis désolé, et je prie pour la grâce; Je veux faire mieux.

 

Un maître ou une maîtresse peut dire ainsi:

 

En particulier, je confesse devant vous que je n'ai pas fidèlement formé mes enfants, mes domestiques et ma femme à la gloire de Dieu. J'ai maudit, donné le mauvais exemple par des paroles et des actes grossiers, j'ai fait du mal à mon prochain et j'ai parlé de mal de lui, je l'ai surfait et je lui ai donné de fausses informations et de courtes mesures.

 

Et si quelqu'un d'autre ne se trouve pas accablé de tels péchés ou de plus grands péchés, il ne devrait pas s'inquiéter ni rechercher ou inventer d'autres péchés, et ainsi faire de la confession une torture, mais mentionne un ou deux qu'il connaît. Ainsi:

 

En particulier j'avoue que j'ai une fois maudit; encore une fois, j'ai déjà utilisé des mots impropres, j'ai déjà négligé ceci ou cela, etc.

 

Laissez cela suffire. Mais si vous n'en connaissez pas du tout (ce qui n'est pourtant guère possible), alors n'en parlez pas en particulier, mais recevez le pardon de la confession générale que vous faites devant Dieu au confesseur.

 

Alors le confesseur dira:

 

Dieu soit miséricordieux envers toi et fortifie ta foi! Amen.

En outre:

 

Crois-tu que mon pardon est le pardon de Dieu?

Répondre:

 

Oui, cher monsieur.

Alors laissez-le dire:

 

 

Comme tu crois, ainsi soit-il fait pour toi. Et par l'ordre de notre Seigneur Jésus-Christ, je te pardonne tes péchés, au nom du Père et du Fils + et du Saint-Esprit. Amen. Partir en paix.

 

 

Mais ceux qui ont de grands fardeaux dans leur conscience, ou qui sont affligés et tentés, le confesseur sauront consoler et encourager à la foi avec plus de passages de l'Écriture. Ce doit être simplement une forme générale de confession pour les illettrés. [18]

 

 

Références :

 

 

  1. Jump up^ http://bookofconcord.org/lc-6-baptism.php#para74
  2. Jump up to:un b Une explication du petit catéchisme archivé 2009-10-07 à la machine de Wayback .
  3. Jump up^ "Copie archivée" (PDF) . . Récupéré le 2010-02-02 . Récupéré le 2010-02-02.
  4. Jump up^ Excuses de la confession d'Augsbourg , article 24, paragraphe 1. Récupéré 2010-02-02.
  5. Jump up^ La défense de la confession d'Augsbourg; Article XI: De la confession . Récupéré le 2010-02-02.
  6. Jump up^ Un exemple d'une église qui a un temps fixé pour les confessions lien mort permanent ] .Récupéré le 2010-02-02.
  7. Le grand catéchisme de Luther IV, 1: «Nous avons maintenant terminé les trois parties principales de la doctrine chrétienne commune: nous devons encore parler de nos deux sacrements institués par le Christ, dont chaque chrétien devrait avoir au moins un Bref enseignement, parce que sans eux il ne peut y avoir de chrétien, bien que, hélas, aucune instruction à leur sujet n'ait été donnée jusqu'ici »(emphase ajoutée, voir Théodore G. Tappert, trans et éd., Le Livre de Concord: Les Confessions de l'Église évangélique luthérienne , (Philadelphia: Fortress Press, 1959), 733).
  8. Jump up^ John 20:23 , et Engelder, TEW Popular Symbolics . St. Louis: Concordia Publishing House, 1934. pp. 112-3, partie XXVI "Le ministère", paragraphe 156Le grand catéchisme de Luther IV, 74-75: «Et vous voyez ici que le baptême, aussi bien dans sa puissance que dans sa signification, comprend aussi le troisième sacrement, qui a été appelé repentance , car il n'est vraiment rien d'autre que le baptême». Voir Théodore G. Tappert, traduit et éd., The Book of Concord.

 

 

 

 

 

 

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