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27/11/2015

Les plus grands destructeurs d’antiquités sont les darwinistes, avec l’Etat islamique:

 

 

Par Laurent Glauzy

 

    

Et quand un franc-maçon autorise destruction d’une Cathédrale pour laisser la place à un supermarché, la presse aux ordres ne dit rien.

EXCLUSIVITE LLP

 

 

Le monde s’indigne parce que l’organisation de l’État islamique détruit des antiquités à Mossoul. Alors pour répondre à la « journaillerie » inculte et hypocrite occidentale, je vais à l’aide de quelques exemples illustrer les agissements de nos États et des darwinistes quand une découverte contredit les mensonges évolutionnistes. Il y a des dizaines de cas exposés dans mon livre Les Géants et l’Atlantide, révélations de l’archéologie interdite. Ensuite, je révèlerai pourquoi l’occident antichrétien s’intéresse tant aux sculptures de Mossoul.

 

 

 En 1935, a Paluxy River, près de Glen Rose (Texas), le Dr C. L. Burdick découvrit des empreintes de pieds de géants a côté de celles de pattes de dinosaures, sur les mêmes couches calcaires du « Crétacé ancien ». Un archéologue sorti de son université essaya de détruire ces vestiges, car ils battaient en brèches les longues périodicités, à savoir un âge de la Terre de 4,5 milliards, qui est un mensonge darwiniste. Jusqu’à la révolution française, tous les scientifiques savaient que la Terre avaient 6.000 ans, comme le prétend la Bible.

 

 

 

L’Abbé Glory est le premier à étudier la grotte de Lascaux. Les dessins d’art pariétal dérangent les darwinistes car ils sont extrêmement complexes et montrent que leurs auteurs sont des hommes certainement pas préhistoriques (autre mensonge darwiniste). Le P. Glory expose que même les archéologues ne prennent pas la peine de sortir pour uriner. Dans les années 1960, le P. Glory aura un accident de voiture. Il en réchappe et meurt dans un second accident de même nature. Juste après sa mort, sa maison est cambriolée et seuls ses recherches et  croquis sont emportés.

 

 

Le père missionnaire Crespi, en Équateur, découvre grâce aux Indiens des souterrains incas de la Cueva de los Tayos d’où il sort des plaques en or. Le père Crespi n’est pas n’importe qui car il a fait l’objet d’un procès en béatification. Ces plaques en or montre des Incas scrutant des étoiles et effectuant des opérations du cerveau. Ces dizaines de plaques sont entreposées dans son Église. Un incendie détruira la presque totalité de la collection. Dans les années 1970, les armées américaine et équatorienne entreprendront dans ces souterrains une mission secrète. Ce sera la plus longue et la plus coûteuse mission spéléologique.

 

 

À l’extrémité Sud de l’île d’Yonaguni, dans l’archipel de Ryukyu, entre le Japon et Taïwan, à vingt-cinq mètres de profondeur, a été découverte en 1985 une structure mégalithique dont la forme pyramidale se rapproche du site amérindien de Sacsayhuaman ou des ziggourats babyloniennes d’Our. En 1996, le Pr Masaaki Kimura, géologue japonais, qui a créé l’UAET (équipe d’exploration d’archéologie sous-marine), se lance dans un projet de recherche de huit ans. En septembre 1999, il affirme que ce sont des constructions faites de main d’homme. Mais ces vestiges contredisent les théories évolutionnistes, car elles révèlent l’existence d’une civilisation évoluée comme celle de l’Atlantide. Cette théorie est également appuyée par le prix Nobel de Chimie Frederick Soddy. L’ingénieur en génie civil Pierre Dequenes parle même de structures pyramidales au fond des océans ressemblant aux pyramides incas. Mais ses observations confirment encore la théorie de l’Atlantide et d’une civilisation plus évoluée que la nôtre. Par conséquent, rien ne doit ressortir des fonds océaniques.

 

 

 

Les plus grands destructeurs des vestiges de l’humanité sont les darwinistes financés par les loges maçonniques et Rockefeller.

 

 

 

Un des arguments-clés de l’exégèse « critique » concerne le récit mosaïque du Déluge. Il leur faut prouver qu’il ne s’agit pas d’un événement historique mais d’un conte oriental. Comme les Hébreux furent déportés à Babylone, la thèse couramment admise consiste à dire que l’auteur tardif de ce passage de la Bible s’est inspiré d’un récit babylonien figurant dans les tablettes de l’Épopée de Gilgamesh, datée au plus de 1800 av. J.-Ch. Or, un assyriologue allemand attaché à l’Université de Pennsylvanie, Herman Hilprecht, découvrit sur le site de Nippur une tablette dont le déchiffrement fut achevé en 1909. Cette tablette est beaucoup plus ancienne que la plus ancienne date possible pour l’Épopée de Gilgamesh. Son récit est rigoureusement conforme à celui de la Bible. Il en résulte que la Bible n’a pas copié le « mythe » babylonien ; ce serait plutôt l’inverse, ce qui explique les déformations et les invraisemblances de l’Épopée. Ne pouvant réfuter Hilprecht, ses confrères organisèrent une cabale contre lui, l’incitèrent à quitter Philadelphie et, depuis 1912, cette tablette dérangeante dort dans les collections de l’Université.

 

 

Et, nous pourrons parler aussi des expéditions sur le mont Ararat passées sous silence pour que le monde ne sache rien de l’arche de Noé.

 

Voilà comment agissent les évolutionnistes. Ils détruisent des pans entiers de l’histoire de l’humanité pour que les mensonges darwinistes ne volent pas en éclat.

 

Cependant, il faut expliquer que Mossoul, l’Irak mais aussi l’Égypte intéressent la pseudo-élite corrompue occidentale. Car, les Francs-maçons de haut degré pensent que le fils maudit de Noé, Cham, a transmis à ces civilisations antiques ses connaissances de la magie antédiluvienne. Voilà pourquoi les satanistes et autres Francs-maçons vibrent de toute leur âme vouée à l’enfer pour ces vestiges, bien plus que pour une cathédrale comme à Abbeville qui a été détruite pour que la place soit laissée à un supermarché.

 

 

 

Mais les images des antiquités de Mossoul montrent aussi la culpabilité du monde musulman, nous sommes donc les seul à avoir le courage de s’opposer à la mise en place du Nouvel ordre mondial.

 

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