29/03/2016
Paris : une musulmane brûle une Bible au bord de la Seine…
On n’ose imaginer ce qui se serait passé si une chrétienne pakistanaise avait eu l’idée saugrenue de brûler un coran à Karachi sur les bords du Malir ou du Lyari…
Mercredi, à 17 h 30, des policiers sont intervenus sur une scène, qui interpelle. Quai de la Râpée (XIIe), face à la péniche La Barge, ils ont découvert une femme, de dos, face à la Seine, toute vêtue de noir, entièrement voilée, en train de brûler un livre. Les policiers se rapprochent « discrètement ». « Vu le contexte actuel de menaces terroristes », ils décident de « maîtriser » et « menotter » la femme. Après une palpation de sécurité pour vérifier si elle n’était pas armée — vérification qui s’est avérée négative — les policiers retirent la burka afin de pouvoir établir son identité. La femme, âgée de 34 ans, domiciliée à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) est porteuse d’une photocopie de son passeport français. Les policiers éteignent le feu qui se consume le livre et découvert qu’il s’agit d’une Bible. Interrogée sur son geste, la femme répond qu’elle se sent « persécutée ». « On s’est demandé si c’était une personne dérangée », relativise une source policière. Ramenée au commissariat, le parquet ordonne de conduire la femme à l’hôpital de Hôtel-Dieu afin de la soumettre à un examen de comportement. Un internement à l’IPPP (infirmerie de la préfecture de police) étant un moment envisagé. Au final, la femme est jugée saine d’esprit. Elle est verbalisée pour port du voile mais le parquet n’a pas retenu d’infraction pour l’incendie et la dégradation.
Source : Le Parisien,
08:53 Publié dans Contestation | Lien permanent | Commentaires (0)
25/03/2016
Cette fois, ils ont même tenté de racketter les handicapés :
Eh bien, c’est du propre ! Alors que le montant de l’aide médicale d’État – pour les clandestins – atteindra 2,1 milliard d’euros en 2017, à l’heure où la gauche aux manettes se montre moins désireuse que jamais d’endiguer – ne parlons même pas de stopper – le tsunami migratoire, ils n’ont rien de trouvé de mieux, ces socialistes, qu’à grappiller lamentablement sur le dos des personnes handicapées !
Rendez-vous compte, elles sont trop riches, elles ont la vie trop belle, ces personnes-là, auxquelles la vie ou la nature a joué un mauvais tour, et que leur handicap empêche de subvenir à leurs besoins. Travailler, s’insérer dans une vie professionnelle, percevoir le fruit de leur labeur, jouir d’un statut social, mais toutes ne demanderaient que ça, si leur corps ou leur tête n’avaient été fracassés sur le mur de la fatalité.
Pensez donc, c’est qu’ils peuvent en faire, des folies, les handicapés moteurs et les handicapés psychiques, en percevant 807,65 euros par mois ! Même que, des fois – un comble pour nos chers socialistes -, ils arrivent à mettre un petit peu de côté. Même que leur famille, à l’occasion et en prévision du jour où elle ne sera plus là pour s’occuper d’eux, leur met un peu de beurre dans les épinards. Un scandale, pour nos gouvernants, qui prévoient donc de minorer cette allocation par trop dispendieuse en l’amputant des revenus que la personne toucherait de son compte épargne !
Le but des socialistes ? Aligner l’AAH sur les autres minima sociaux, RSA et minimum vieillesse… La pauvreté pour tous, en somme. Une recette fiscale « illusoire, vexatoire, blessante » (Olivier Faure, PS), « une grave erreur, car c’est une allocation pour compenser le handicap » (Barbara Pompili, EELV), « un racket » (Philippe Vigier, UDI), « un véritable coup de massue antisocial » (Florian Phillipot, FN), c’est dire si l’idée injuste et saugrenue d’imposer des personnes fragilisées a uni toute la classe politique.
L’AAH coûte cher ? Que dire de l’AME, alors – accordée à des étrangers parfaitement valides entrés illégalement sur le sol français -, créée en 2000 par Bernard Kouchner et Martine Aubry sous le gouvernement Jospin. Passée de 75 millions par an l’année de son instauration à 530 millions en 2009, à 588 en 2011, à 800 millions en 2013, à 1 milliard en 2014 – normal, disait Marisol Touraine, le nombre de bénéficiaires augmentant chaque année -, l’État préfère sacrifier ses handicapés plutôt que s’attaquer à cette formidable pompe aspirante. Pas joli-joli…
Cependant, face à leur colère, à celle de leurs familles et de leurs représentants, le ministère s’est défendu d’avoir pour objectif « de pénaliser une personne qui aurait quelques centaines d’euros sur son livret A ». Mais à partir de combien d’euros par mois l’État considère-t-il qu’un handicapé est riche ? Enfin, la secrétaire d’État en charge du dossier, Ségolène Neuville, « a décidé de ne pas appliquer la mesure en l’état ».
Le gouvernement a reculé ? Il faut dire qu’à la veille des élections régionales, se mettre un million d’allocataires à dos, c’est fâcheux.
09:04 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)
22/03/2016
Oui, le peuple français est historiquement de race blanche et de religion chrétienne:
Les réactions aux récents propos tenus par Nadine Morano sur un plateau de télévision révèlent, une fois encore, l’acharnement de l’oligarchie politico-médiatique à nier l’identité de la nation française, sans pour autant opposer d’arguments sérieux aux mots du général de Gaulle, repris à son compte par l’intéressée : « Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne. »
La question de l’identité nationale conduit à réfléchir à la notion de peuple. Dans La République, Cicéron affirme : « Par peuple, il faut entendre, non tout un assemblage d’hommes groupés en un troupeau d’une manière quelconque, mais un groupe nombreux d’hommes associés les uns aux autres par leur adhésion à une même loi et par une certaine communauté d’intérêt. »
Pour compléter cette approche, je rappellerai la formule de Charles Maurras : « La France n’est pas une réunion d’individus qui votent, mais un corps de familles qui vivent. »Un peuple, malgré ses querelles intestines, est en effet constitué par l’ensemble de ces cellules de base de la société qui assurent la pérennité de la nation par le renouvellement des générations, qui partagent la même langue, la même culture, les mêmes valeurs morales, la même religion et qui acceptent souverainement l’autorité d’un pouvoir jugé légitime capable de les défendre à l’intérieur de frontières protectrices.
Si la France a reçu quelques apports, au demeurant très marginaux et d’origine européenne, de populations immigrées à compter du milieu du XIXe siècle et jusqu’aux années 1970, il reste que depuis les premiers siècles de son existence, elle a connu une stabilité raciale, ethnique et culturelle remarquable reconnue par tous les historiens honnêtes.
Chrétienne et même catholique par la grâce du baptême de Clovis, converti « au Dieu de Clotilde » après la bataille de Tolbiac en l’an 496, la France a construit une civilisation singulière, expression du génie propre de son peuple.
Alors qu’est refusée aux Français, comme à l’ensemble des Européens, toute velléité de revendication de leur identité particulière, la plupart des autres peuples peuvent, sans encourir la condamnation des grandes consciences onusiennes, réclamer le droit à perdurer dans leur être en refusant l’immigration de populations exogènes.
Ainsi, à l’intérieur même de l’Afrique, bien des États cherchent à préserver leur intégrité en refusant l’arrivée d’étrangers issus de tribus différentes, venus pourtant de contrées limitrophes. Soucieux de l’intérêt de son peuple, un dirigeant de Côte d’Ivoire revendiqua naguère le droit de protéger « l’ivoirité » de son pays. Quant au poète et homme politique antillais Aimé Césaire, n’a-t-il pas évoqué le « génocide par substitution »de la population de la Martinique ?
Enfin, le destin du peuple juif apparaît emblématique à cet égard : pour ne pas disparaître en tant que communauté spécifique, il veille à assurer sa descendance en appelant ses enfants à convoler exclusivement entre coreligionnaires.
Si elle renonce à préserver son identité raciale, ethnique, culturelle et religieuse en abandonnant tout projet de « remigration » des populations inassimilables présentes sur son sol, alors, ajouterait le Général, « la France ne sera plus la France ! »
09:03 Publié dans Histoire | Lien permanent | Commentaires (0)
18/03/2016
L’effet du darwinisme sur la moralité et le christianisme:
Certains scientifiques sont plus ouverts et plus tranchants. Ils concluent qu’il y a « quelque chose d’égoïste et de malhonnête » à clamer que « la science et la religion sont deux champs distincts« 4. La plupart des évolutionnistes comprennent entièrement l’enjeu de la controverse création-évolution. Futuyma5 admet que quiconque « croit que la Genèse est une description littérale de l’histoire » a une « vision du monde qui est entièrement incompatible avec l’idée évolutionniste… ». Il affirme ensuite que les darwinistes insistent sur « les causes matérielles et mécaniques » de la vie mais que « celui qui croit à la Genèse » se tourne vers Dieu pour expliquer la vie.
Les historiens ont constaté, d’après des recherches méticuleuses, que le darwinisme a eu un effet dévastateur non seulement sur le christianisme mais aussi sur le théisme. Plusieurs scientifiques ont également admis que l’acceptation du darwinisme a convaincu un grand nombre de gens que la création telle que nous la présente la Genèse est erronée, ce qui a provoqué la chute de tout le réseau théiste : »Si la Bible était remise en question dès le premier chapitre de la Genèse, alors la véracité de toute l’entreprise serait remise en question. L’évolution n’était pas seulement une idée scientifique, elle frappait comme la foudre… acclamée par les athées, crainte par les théistes. » 6.
L’acceptation répandue du darwinisme a occasionné l’effritement de la base morale chrétienne de la société. D’ailleurs, Darwin lui-même était « bien conscient des implications politiques, sociales et religieuses de sa nouvelle idée… La religion, en particulier, semblait avoir beaucoup à perdre…« 6.
De nombreux scientifiques ont constaté que l’acceptation générale du darwinisme sous-entendait aussi l’acceptation d’une croyance où les humains « sont une partie accidentelle, contingente et éphémère de la création, plutôt que des seigneurs sur celle-ci » et que les êtres humains ne sont pas « la raison d’être de l’univers » comme l’enseignent les religions théistes6.
La croyance darwiniste que les humains (et tous les êtres vivants) ne sont rien de plus qu’un accident de l’histoire, « des tas de poussière d’étoiles entraînées sans direction dans un univers infini et sans but« , est une croyance qui est à présent « largement acceptée au sein de la communauté scientifique« 6. Le darwinisme est l’un des principaux facteurs ayant poussé bon nombre d’hommes de science éminents à conclure, comme le lauréat du prix Nobel Steven Weinberg, que « plus l’univers semble compréhensible, plus il nous semble inutile et sans but« 7. Le darwinisme enseigne « que nos vies sont brèves et absurdes dans l’ordre cosmique des choses« 6, et que la vie n’a aucun but ultime puisqu’il n’y a point de ciel, point d’enfer ni de vie après la mort et que « rien de ce que nous connaissons de la vie ne nécessite l’existence d’une force vitale non corporelle ou d’esprits immatériels ou encore d’une création spéciale d’espèces« 6. Le même auteur, Raymo, conclut à ce sujet : « Tout ce que nous avons appris par la science depuis le temps de Galilée suggère que [l’univers est]… ignorant de nos destins [et] que la tombe est notre destinée« 6. L’un des plus éminents évolutionnistes, le paléontologue George Gaylord Simpson de l’université de Harvard, a enseigné que « l’homme est le résultat d’un processus naturel et sans dessein préétabli »8.
Raymo avance que la théorie de Darwin « n’est pas ce que nous désirons entendre » parce qu’il est difficile pour les humains qui ont longtemps cru qu’ils étaient « le sommet central et immortel de la création – la prunelle de l’œil de Dieu – d’accepter que » nous sommes « non exceptionnels, contingents et éphémères dans l’ordre cosmique des choses« 6.
Raymo ajoute que depuis que le darwinisme a démoli la croyance selon laquelle l’univers et les êtres humains ont un but ultime d’existence, notre système d’éducation a inculqué aux jeunes gens « des vérités froides et effrayantes comme celle d’une lignée reptilienne ou d’ancêtres amibiens« . Le même auteur ajoute que, malgré qu’il serait « réconfortant de croire, comme l’ont fait nos ancêtres que nous vivons dans un univers nourricier centré sur nous-mêmes, »… la vérité est que … « l’évolution n’est nullement chaude et duveteuse. Elle peut même être capricieuse et parfois cruelle « 6.
Que l’évolution soit cruelle ou non, cet auteur constate que le darwinisme « est un fait en accord avec chaque critère de la science » et que nos « écoliers n’ont pas besoin de couverture de sécurité intellectuelle« . Les implications du darwinisme, qui est « peut-être l’idée la plus révolutionnaire dans l’histoire de la réflexion humaine » sont claires :
» Nous sommes d’infimes et contingentes particules de quelque chose qui existait bien avant que nous n’arrivions sur la scène… Nous sommes aussi fortuits au cosmos que sont éphémères les Éphémères sur la planète terre. Au premier coup d’œil, cela constituait une nouvelle fracassante. En fait, la grande majorité d’entre nous n’a pas encore compris toute l’implication de cette nouvelle… Notre vie est brève, notre destin est l’oubli. « 6
Richard Dawkins, zoologiste de l’Université d’Oxford, a beaucoup écrit au sujet des implications du darwinisme. Dans un discours intitulé « A Scientist’s Case Against God« , Dawkins a argumenté que le darwinisme « a démontré que la raison d’être est une illusion » et que l’univers est constitué de « gènes égoïstes« . Par conséquent, « certaines personnes seront blessées, d’autres seront chanceuses, et vous ne trouverez jamais de raison pour cela« 9.
Dawkins pense que les gens qui croient en une vie créée pour un but donné sont non seulement dans l’erreur, mais qu’ils sont ignorants! Seuls les illettrés scientifiques croient que nous existons pour une raison importante. Les lettrés scientifiques savent qu’il n’y a pas de « pourquoi » à notre existence, nous « existons, c’est tout« , nous sommes un accident de l’histoire. Dawkins enseigne aussi qu’il n’existe aucune évidence qui appuierait le théisme et que « de nos jours, ceux qui sont bien éduqués l’admettent« 9.
Le message central des écrits volumineux de Richard Dawkins est que l’univers a les propriétés précises auxquelles nous devrions nous attendre d’un univers qui « n’est basé sur aucun plan, qui n’a aucun but, qui ne comporte ni bien, ni mal, rien sauf une indifférence sans but« . Il a même admis que son best-seller, The Selfish Gene, était une tentative de se débarrasser de ce qu’il considérait comme « une idée entièrement erronée » qui avait réussi à agripper la science populaire, notamment, la supposition erronée que « les individus agissent pour le bien des espèces« . Pour démontrer la fausseté de cette idée, il a tenté d’expliquer l’évolution à partir du point de vue du gène8. Dawkins a ajouté que si The Selfish Gene est devenu un best-seller, c’est peut-être parce qu’il enseigne la « vérité » concernant l’existence des humains, notamment que les êtres humains « sont là pour rien« . Vous êtes là pour propager vos gènes égoïstes. Il n’y a aucun but important à la vie. Un homme a déclaré qu’il n’avait pas dormi pendant trois nuits après avoir lu The Selfish Gene. Il sentait que sa vie entière était devenue vide et que l’univers n’avait plus de but10.
Dawkins est évidemment fier de l’effet déprimant que ses écrits ont sur les gens. Raymo déclare que la vision dominante parmi les darwinistes modernes est que nos esprits sont « simplement un ordinateur de chair » et que » presque tous les scientifiques » croient que la conception de l’âme humaine est une « notion dépassée« . En conséquence, la conclusion que nos esprits sont « simplement un ordinateur de chair » est considérée par les darwinistes « presque comme une vérité absolue« 6.
D’après Futuyma, « si le monde et ses êtres se sont purement développés par des forces matérielles et physiques, ils n’ont pas pu être planifiés, et ainsi, ils n’ont aucun but ni aucune raison d’être ». Un peu plus loin, il note que le créationniste « au contraire, croit que tout ce que l’on retrouve dans le monde, toutes les espèces… a été conçu par un artiste intelligent qui avait un but, et que le monde a été fait pour une raison déterminée… Le message de l’évolution est que l’espèce humaine n’a pas été créée, qu’elle n’a aucun but et qu’elle est le produit d’un mécanisme purement matériel « 5.
Cette vision pessimiste, anti-théiste et nihiliste de l’être humain s’est-elle répandue massivement ? Un chercheur a déclaré que 99 % des scientifiques qu’il a rencontrés dans sa carrière appuyaient la vision de Dawkins, celle qui soutient que tous ceux qui nient l’évolution sont soit ignorants, soit stupides, soit déments ou méchants11. Cette déclaration, hélas trop fréquente, est totalement fausse : 10 000 scientifiques américains et environ 100 000 scientifiques créationnistes dans le monde rejettent le darwinisme et ont une vision créationniste du monde12. Une question que tous les parents et grands-parents inquiets devraient se poser est : « Voulons-nous que nos enfants apprennent que la vie n’a aucun but ultime, et que nos esprits ne sont simplement qu’un ordinateur de chair ? » . Derrière le darwinisme se cache une philosophie selon laquelle la vie n’a aucun « but » dans le sens traditionnel et religieux du mot, et que la vie n’est que le résultat du hasard. Cette philosophie fait du darwinisme une théorie unique parmi les théories scientifiques, car elle tente d’expliquer les origines de l’homme13.
Pourquoi tant de gens se rangent-ils à la vision pessimiste, nihiliste et déprimante du darwinisme ? L’une des raisons est qu’ils sont convaincus que la science a prouvé que le darwinisme est vrai. Il est triste de constater que de nombreux scientifiques ne sont pas au courant du grand nombre de découvertes qui appuient le créationnisme. Par contre, de nombreux scientifiques sont conscients que l’élite scientifique a adopté une vision non scientifique. Shallis déclare : « Il n’est pas plus hérétique de dire que l’univers étale une raison d’être, comme Hoyle l’a fait, que de dire qu’il n’a pas de but, comme Steven Weinberg l’a soutenu. Ces deux constats sont métaphysiques et hors de la science… Cela suggère, selon moi, que science, en permettant la circulation de cette notion métaphysique, se reconnaît en tant que religion et qu’elle est une religion athée« 14.
Les darwinistes ont endoctriné notre société pendant plus de 100 ans avec une vision tragiquement destructrice du monde. Ils l’ont souvent fait par des fourberies qui ont débuté bien avant le canular de Piltdown et ils continuent aujourd’hui à répandre leurs croyances dans de nombreux manuels de biologie15.
« Vital Articles on Science/ Creation » Juin 2001 © copyright 2001, Tous droits réservés. Traduction par Ketsia Lessard.
Références
1. Miller, Kenneth R.; 1999.- Finding Darwin’s God: A scientist’s Search for Common Ground Between God and Evolution. Cliff Street Books, NY.
2. Gould, Stephen Jay; 1999.- Rocks of Ages: Science and Religion in the fullness of Life. Ballantine, NY.
3. Johnson, Phillip; 1991.- Darwin on trial. Regenery Gateway, Washington, DC.
4. Dawkins, Richard; 1999.- You can’t have it both ways : Irreconcilable differences ? Skeptical Inquirer, Juillet/Août, pp. 62-63.
5. Futuyma, Douglas; 1983.- Science on Trial. Pantheon Books, NY.
6. Raymo, Chet; 1998.- Skeptics and True Believers. Walker, NY.
7. Weinberg, Steven; 1977.- The First Three Minutes. Basic Books, NY.
8. Simpson, George Gaylor; 1970.- The Meaning of Evolution. Yale University Press. New Haven, CT.
9. Easterbrook, Gregg; 1997.- Of genes and Meaninglessness. Science, 277 : 892, 15 août.
10. Bass, Thomas; 1990.- Entrevue. Omni, 12 (4) : 58-59.
11. Rörsh, A.; 1999.- Mutation Research Frontiers : Challenges to Evolution Theory. Mutation Research, 423 : F3 – F19.
12. Bergman, Jerry; 1999.- The attitude of Various Populations. Toward Teaching Creation and Evolution in Public Schools. CEN Tech. J., 13 (2) :118-123.
13. Leith, Brian; 1982.- The Descent of Darwinism. Collins, London.
14. Shallis, M.; 1984.- In the Eye of a Storm. New Scientist, January, 19 : 42-43.
15. Wells, Jonathan; 2000.- Icons of Evolution: Science or Myth. Regenery Gateway. Washington, D.C.
Jerry Bergman a 7 diplômes dont un en Biologie, un en Psychologie et un en Recherche et Évaluation de plusieurs universités (Université d’État de Wayne (Détroit),Université d’État de Bowling Green (Ohio) et autres collèges). Professeur de science au Collège Northwest d’Archbold (Ohio), M. Bergman prépare actuellement une troisième thèse de doctorat en Biologie moléculaire.
08:51 Publié dans Ethique | Lien permanent | Commentaires (0)
15/03/2016
Islam de France : vous y comprenez quelque-chose ? Moi non plus:
Il n’aura pas échappé à monsieur Cazeneuve que, si problème d’« évangélisation » il y a dans nos prisons, et que si « prôner le djihad n’est pas un crime », cette étrange religion monothéiste semble multiplier les « musulmans n’ayant rien à voir avec l’islam », comme d’autres religions les pains. On les reconnaît au trouble obsessionnel compulsif qu’ils manifestent à l’égard d’une fameuse arme de guerre russe, et au sang gisant dans leur sillage un peu partout dans le monde : voir la rubrique des « chiens d’infidèles écrasés ».
Les sorties de route spirituelles se suivent et se ressemblent, et la France n’est pas en reste, où se dresse contre « l’amalgame » un rempart d’imbéciles au cuir autrement épais et imbuvable. Ainsi aura-t-il fallu 130 morts et 300 blessés dans une salle de concert parisienne, transformée pour l’occasion en abattoir, pour qu’un Manuel Valls faussement ballot s’exclame au milieu des habitants d’Évry : « vous vous rendez compte, à Brest ?!! » (Figaro, 28 novembre) Dans les pas de la fachosphère islamophobe, il se référait bien sûr à l’imam de Brest Rachid Abou Houdeyfa, contant à de petits Français la sagesse des préceptes islamiques concernant la musique, et la transformation en singe ou en porc guettant le contrevenant. « Il faut le mettre dans un asile psychiatrique ! » éructe Tarek Oubru, recteur de la mosquée de Bordeaux sur les ondes de France-Inter. « Propos inadmissibles ! », tance le Conseil français du culte musulman au cours d’une réunion à Brest, à laquelle assiste… un Rachid Abou Houdeyfa taquin et en pleine takiya, « regrettant amèrement » certains de ses propos : « tout le monde fait des erreurs dans la vie ». Sacré farceur ! Il vient d’inventer « l’auto-stage de dé-radicalisation instantanée » sous nos yeux ébahis, après avoir raconté les mêmes bobards aux adultes pendant des années : tout est sur YouTube !
Ces temps-ci j’ai l’humeur flâneuse et glaneuse, surfeuse même, et par exemple, je tombe sur ce site : islamweb.net. « Islamweb », dit-il, « est caractérisé par la grande diversité, la modération et la fiabilité des informations qu’il véhicule, ce qui fait de lui un point culminant et un pont incontournable dans le monde du web ». Soit. Comme je suis curieux, j’effectue une petite recherche concernant la musique et tombe là dessus. Question : « Comment expliquer à un non musulman que la musique est illicite ? » Réponse (extrait) : « Ceci dit nous ajouterons qu’il semblerait que la sagesse derrière l’interdiction de la musique soit le fait que cette dernière ait une grande influence sur la corruption du coeur et le détourne de ce qui est bon pour lui comme l’évocation d’Allah (…) Les maux causés par la musique sont tels que cela suffit pour l’interdire totalement« . En mettant dans la balance ces propos, ceux du CFCM et de Tarek Oubru, tout citoyen à peu près censé conclura que l’islam ressemble singulièrement à un vaste bazar. À défaut de pouvoir vraiment cerner les contours de cet « islam de France », le citoyen sensé l’appellera donc « le bazar de France ». Bazar sur lequel nos pauvres politiques semblent avoir parié notre avenir : impair passe et manque, et qui vivra verra. Ah mince, encore perdu ! Zut, encore une « commémo » aux Invalides.
09:36 Publié dans Choc de civilisations | Lien permanent | Commentaires (0)