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31/01/2020

La ville de Luther:

 

 

 

 

 

 

 

Wittemberg
Lutherstadt Wittenberg

 

 

Héraldique

 

 Administration 

 

 

 

 

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Géolocalisation sur la carte : Allemagne

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Wittemberg, en allemand Lutherstadt Wittenberg, est une ville de Saxe-Anhalt en Allemagne, située au bord de l'Elbe. Elle a une population d'environ 50 000 habitants, et a été le siège de l'électorat de Saxe tenu par les ducs de Saxe-Wittenberg (liste des souverains de Saxe).

 

 

Wittemberg est aussi célèbre pour ses liens étroits avec Martin Luther et les origines de la Réforme protestante : plusieurs de ses bâtiments sont associés aux événements de ce temps. Une partie du cloîtreaugustin (maison de Luther) dans laquelle Luther a demeuré, d'abord en tant que moine puis comme propriétaire avec son épouse Katharina von Bora et ses six enfants, est préservée, et a été transformée en musée de Luther. Il contient de nombreuses reliques de Luther, ainsi que des portraits et d'autres peintures par Lucas Cranach l'Ancien et Lucas Cranach le Jeune (père et fils). L'Augusteum, construit entre 1564 et 1583 en raison de la présence du monastère, est maintenant un séminaire théologique.

 

 

 

Histoire

 

 

Fondée au XIIe siècle (citée pour la première fois en 1180), cette ville saxonne connaît à l'aube du XVIe siècle un important rayonnement économique, technique, artistique et surtout intellectuel grâce à son université de WittembergMartin Luther y enseigne la théologie dès 1508, puis y affiche ses 95 thèses contre le commerce des indulgences en 1517 sur les portes de l'église de la Toussaint de Wittemberg (dédiées au papeLéon X). Wittenberg devient alors le principal lieu de formation de la Réforme protestante

 

 

 

 ¶ Place du marché, mairie et église Sainte-Marie   

 

¶ Église de la Toussaint de Wittemberg

 

¶ Maison de Luther (XVIe siècle )

 
¶ Maison de Philippe Mélanchthon

 

 

28/01/2020

Les revendications LGBT font voler en éclat la communauté méthodiste:

 

 

 

 

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Tous ceux qui veulent la dénaturation du mariage connaissent de graves difficultés…

 

 

La question des droits LGBTQ a fait voler en éclats l’unité de l’une des principales communautés protestantes des Etats-Unis

 

 

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Des drapeaux arc-en-ciel ont fleuri ces derniers jours sur les parvis et les frontons de certaines églises américaines. « Tout le monde est bienvenu », proclament les bannières. Les libéraux de l’Eglise méthodiste unie (United Methodist Church – UMC) s’opposent à la branche conservatrice. Mettant en avant des raisons théologiques, ces derniers s’opposent farouchement à l’union des personnes de même sexe, tout autant qu’à l’ordination de pasteur(e)s revendiquant une orientation LGBTQ. Pour l’heure, les règles de l’UMC interdisent ces pratiques, même si localement des pasteurs ont procédé à des unions entre personnes du même sexe.

 

 

Les deux parties ont donc annoncé le 3 janvier leur divorce. Il devrait être entériné lors de la convention de l’Eglise en mai.

 

 

Les débats se sont envenimés, lorsque, poussées par les responsables religieux d’Afrique et d’Asie – où la communauté compte un tiers de ses 12 millions de membres –, les instances de l’UMC ont renforcé les règles rappelant que « la pratique de l’homosexualité est incompatible avec l’enseignement chrétien ».

 

 

L’Eglise méthodiste unie constitue la deuxième plus importante dénomination protestante américaine, derrière la Convention baptiste du Sud, conservatrice. Aux Etats-Unis, elle accueille des personnalités aux convictions aussi variées que la démocrate Hillary Clinton, la candidate de gauche à l’élection présidentielle Elizabeth Warren, l’ancien président républicain « born again » George W. Bush ou l’ex-ministre de la justice de Donald Trump, Jeff Sessions, connu pour son opposition sans concession à l’avortement et au mariage entre personnes du même sexe. Difficiles à cataloguer, un peu plus de la moitié des fidèles se revendiquent républicains, tandis que 35 % se disent démocrates.

 

 

Le schisme devrait permettre aux traditionalistes de créer leur propre courant ; un chèque de 25 millions de dollars leur sera versé sur les quatre prochaines années.

 

 

 

 

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24/01/2020

CEP - Centre d'Etudes et de Prospective sur la Science JOURNÉE du CEP en ÎLE-de-France:

 

 

 

 

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 Samedi 21 mars 2020 Collège & Lycée polyvalent La Salle Saint-Nicolas, Entrée de l’auditorium : 6 Rue Vaudétard, 92 132 Issy-les-Moulineaux.

 

 

 

 

 

1 Crise économique ou crise d’humanité ? « Tes marchands étaient les grands de la terre ; toutes les nations ont été égarées par tes enchantements. » (Ap 18, 23)

 

 

 

 Programme prévisionnel 9h 00 Ouverture.

 

 

 

 Accueil des participants. 9h 30 La tradition perdue de l’annulation des dettes.

 

 

 

 Claude Eon 11h 00 Les conditions du retour politique et géopolitique de la France. Valérie Bugault

 

 

 

 

12h 30 Repas 14h 00 L’inéluctable effondrement commercial et économique. Georges Darcq

 

 

 

 

15 h 15 Pause : dédicace de leurs ouvrages par les conférenciers 15h 45 L’informatique au service de la doctrine sociale de l’Église. Ian Wilders

 

 

 

 

17h 00 Clôture.

 

 

 

 

 Pour assister à cette journée de conférences, prière de remplir et renvoyer la fiche d’inscription correspondante, accompagnée de votre chèque de règlement, à l’adresse suivante :

 

 

 CEP, 40, rue Fessart, 92100 Boulogne-Billancourt N.B : Pour tout renseignement complémentaire, contactez la secrétaire, Christine Van Rie : soit par courriel :cep.colloques@gmail.com, soit par téléphone au 06 73 96 33 87 (possibilité de laisser un message sur répondeur)

 

 

 

 

1 On peut utilement se reporter au plan d’accès consultable en ligne sur https://www.st-nicolas.org/renseignements/acces - Transports publics : accès facile par le métro (ligne 12, station « Corentin Celton »)

 

 

 

 

 Voiture : le samedi, il est facile de trouver des places pour se garer dans les environs immédiats des bâtiments.

 

 

 

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21/01/2020

Attention, fragile !

 

 

 

 

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On connaît cette réplique souveraine d’Arletty, dans Les Enfants du Paradis, se frottant les poignets, une fois ses menottes enlevées, et jetant à la ronde son regard lumineux et moqueur. L’adjectif, dans sa bouche, a une telle ironie que Madame Schiappa aurait accusé Garance de féminicide mental. À présent, le mot « fragilités » désigne d’étranges défaites.

 

 

Dans l’Éducation nationale, le mot est un cache-misère pour deux réalités différentes. Démuni face aux carences de ses élèves dans les matières fondamentales, le professeur ne trouve que le mot « fragilité » au moment de rédiger le bulletin trimestriel : « De la bonne volonté. Ensemble fragile. » Et ainsi de suite au fil des années. Pourtant, il aurait suffi, parfois, de si peu pour guérir certaines fragilités ! Par exemple, au lieu d’une indulgence coupable, un apprentissage rigoureux de la langue et de l’écriture. Du par cœur. Le rapport PISA confirme ces fragilités : seul Benjamin Griveaux affiche un optimisme solide. Au rebours, l’administration accusera de « fragilité » le professeur qui craque face à une classe violente. Alors qu’une discipline au long cours éviterait en partie une capitulation.

 

 

Dans la vie politique, on a le souci incessant des plus fragiles (à qui un peu plus d’argent suffirait pour que leur état se consolide). Dans l’Église, « les plus fragiles » ont remplacé les pauvres de Vincent de Paul, et le mot « fragilité », le mot « péché ». Pour éviter de nous « culpabiliser », on parle de notre fragilité. Alors qu’un péché vu en face, avec une roue des péchés, est roboratif – à tout péché miséricorde -, que faire face à une fragilité

 

 

congénitale sinon attendre que tout s’écroule ? Plus question d’être premier de cordée ! On est condamné à une médiocrité spirituelle. Les saints seraient des hommes comme tout le monde. Notre charité exceptionnelle s’exprimerait dans un sourire au prochain. Dans les cours de justice internationale, une casuistique compassionnelle, d’origine anglo-saxonne, a remplacé une législation jugée trop difficile. Dans la vie intellectuelle, morale, spirituelle, l’effort n’est pas valorisé. Or, l’âme, également, est gymnaste. Quant à l’héroïsme, il ne ferait plus partie de l’être humain ? Une vie donnée pour la patrie serait une vie « perdue » ? « La vie est une chose grave : il faut gravir. » On prête cette phrase au poète Reverdy.

 

 

Enfant, j’aimais que tout fût solide autour de moi : la maison, le lycée, l’enseignement. J’aimais les ponts et les murs ourlés de mousse. Les repas à heure fixe et l’interdit. J’aimais les cours structurés dont les débats étaient exclus. Et j’avais appris, dans une parabole, que Dieu, loin de se complaire dans nos fragilités, aimait les maison bâties sur du roc qui ne s’effondrent pas au moindre glissement de terrain.

 

 

« Attention, fragile ! » Les femmes ni la porcelaine ne sont plus fragiles, c’est connu : le monde a tellement changé ! Fragiles, seuls certains colis le sont encore. La nature humaine, elle, est plutôt coriace. On dira que je suis essentialiste. Que « la nature humaine » n’existe pas. Après la mobilité, est-on condamné à une fragilité à vie ? À des « fragilités… à consolider », comme le disait un bulletin écolier ?

 

 

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17/01/2020

Faits appuyant l’hypothèse d’une terre jeune:

 

 

 

 

 

par D. Russell Humphreys, Ph.D.

 

 

Voici une liste de phénomènes naturels contredisant la théorie évolutionniste selon laquelle la terre et l’univers ont quelques milliards d’années. Chacun d’eux implique un nombre maximum d’années qui est bien moindre que le temps d’évolution requis. S’ils veulent être pris au sérieux, les scénarios évolutionnistes devront expliquer ces grandes incohérences.

 

 

Bien qu’il existe un bien plus grand nombre d’évidences, j’ai choisi quelques faits brefs et simples à expliquer. Certains d’entre eux ne pourraient concorder avec l’idée d’un vieil univers qu’en proposant une série de suppositions improbables et non prouvées; d’autres ne peuvent s’insérer que dans la perspective d’un univers jeune.

 

 

Je référerai a des résultats s’exprimant en millions d’années, c’est-à-dire que je considérerai alors l’âge maximal possible et non l’âge actuel. Donc, ces  » limites élevées  » a) nient les milliards d’années d’évolution requises, et b) sont parfaitement cohérentes avec l’âge biblique de la Terre, c’est-à-dire entre 6 000 et 10 000 ans.

 

 

1. Les galaxies tournent trop rapidement sur elles-mêmes

 

 

Les étoiles de notre galaxie, la Voie Lactée, tournent autour du centre galactique à différentes vitesses, les plus centrales tournent plus rapidement que les plus périphériques. Les vitesses de rotation observées sont si grandes que si la galaxie était plus vieille que quelque cent millions d’années, elle aurait l’apparence d’un nuage d’étoiles informe plutôt que la forme de spirale qu’on lui connaît1.

 

 

Pourtant, notre galaxie est supposée être âgée d’au moins 10 milliards d’années. Les évolutionnistes appellent cette contradiction  » le dilemme de la rotation  » et essaient de la résoudre à l’aide d’une théorie complexe, celle des  » ondes de densité « 1. Cette théorie comporte des problèmes conceptuels et n’a pas été confirmée par l’observation. Ce dilemme ne se poserait pas si on acceptait que les galaxies ont été créées récemment.

 

 

2. Les comètes se désintègrent trop rapidement

 

 

Selon la théorie de l’évolution, les comètes sont supposées être aussi vieilles que le système solaire, c’est-à-dire environ 5 milliards d’années. Soulignons que chaque fois qu’une comète s’approche du soleil, elle perd une si grande quantité de sa matière qu’elle disparaîtrait au bout d’environ 100 000 ans. Beaucoup de comètes ont l’âge typique de 10 000 ans3. Les évolutionnistes expliquent cette incohérence en supposant que:

 

Les comètes proviennent d’un  » nuage d’Oort  » jamais observé, loin derrière l’orbite de Pluton, à l’abri de la destruction solaire.
Des interactions gravitationnelles improbables avec le passage irrégulier d’étoiles entraînent souvent les comètes de ce  » nuage  » dans le système solaire.
D’autres interactions improbables avec les planètes ralentissent l’arrivée des comètes.
Considérant ces faits, le système solaire devrait remplacer par de nouvelles comètes toutes celles qui se désintègrent. Tout ceci doit se produire assez souvent pour rendre compte des centaines de comètes observées4.

Jusqu’à maintenant, aucune de ces suppositions n’a été démontrée ni par observation, ni par des calculs réalistes.

 

3. Les continents terrestres s’érodent trop rapidement

 

 

Chaque année l’eau et le vent provoquent l’érosion d’environ 25 milliards de tonnes de poussière et de roche des continents et les déposent au fond de l’océan5. À ce rythme, il suffirait de 15 millions d’années pour éroder toute la terre située au-dessus du niveau de la mer. Ainsi la plupart de la surface terrestre aurait été ensevelie sous les mers depuis quelque 100 millions d’années. Les théories concernant l’élévation des continents à mesure qu’ils deviennent plus légers (puisque érodés) sont inadéquates pour expliquer toutes ces divergences.

 

 

4. Trop peu de sédiments dans le lit marin

 

 

Les plus récentes théories géologiques (celles des plaques tectoniques) soutiennent que le sol océanique est âgé de 200 millions d’années. Au rythme actuel de sédimentation des continents, le lit marin devrait être recouvert de plusieurs kilomètres de sédiments. Présentement, ce sol présente en moyenne environ 250 mètres (800 pieds) de sédiments6.

 

Ceci implique que le sol marin n’existe que depuis 15 millions d’années tout au plus. Certains évolutionnistes argumenteraient que les théories de subduction (de larges régions du sol océanique se seraient ensevelies dans la terre) pourraient résoudre ce problème. Cependant, en considérant les 200 millions d’années mentionnées plus haut, on obtient un rythme de subduction si lent qu’il n’aurait pu disposer de plus de 10% des sédiments nouvellement formés, ceci est beaucoup trop peu pour compenser ces différences. De plus, il existe de grandes surfaces de sol marin (p. ex. la mer Tasman, près de l’Australie) qui ne peuvent faire partie de ces  » zones de subduction « . Pour ces raisons, I’argumentation selon laquelle le lit marin serait jeune semble valable.

 

 

5. L’océan accumule le sodium trop rapidement

 

 

Tous les ans, les rivières7 et les autres cours d’eau8 jettent plus de 450 millions de tonnes de sodium dans l’océan. Seulement 27% de cette quantité de sodium peut ressortir de la mer chaque année8,9 À ce qu’on sache, le reste s’accumule simplement dans l’océan.

 

 

S’il n’y avait aucune trace de sodium au départ, il aurait suffi de moins de 42 millions d’années pour accumuler la quantité actuelle de sodium, aux taux actuels d’absorption et d’émission8C’est beaucoup moins que l’âge de l’océan avancé par la théorie évolutionniste (soit 3 milliards d’années).

 

 

La réplique habituelle est que par le passé les quantités de sodium introduites dans l’océan étaient moindres qu’à l’heure actuelle et que les quantités évacuées etaient plus importantes. Toutefois, les calculs les plus généreux permettent aux scénarios évolutionnistes d’atteindre, tout au plus, un âge maximal de 62 millions d’années9. Des calculs10 concernant plusieurs autres éléments chimiques présents dans l’eau de mer donnent aux océans un âge beaucoup moins avancé.

 

 

6. Le champ magnétique terrestre décroît trop rapidement.

 

 

L’énergie emmagasinée dans le champ magnétique terrestre a diminué constamment d’un facteur de 2,7 depuis plus de 1000 ans11. Les théories évolutionnistes expliquant cette diminution rapide, ainsi que la façon dont la Terre aurait maintenu son champ magnétique pendant des milliards d’années », sont très complexes et inadéquates.

 

 

Une bien meilleure théorie créationniste existe. Elle est simple, basée sur la physique du son et elle explique plusieurs caractéristiques du champ : sa création, un renversement rapide durant le déluge de la Genèse, des fluctuations d’intensité jusqu’au temps de la venue de Christ et un rythme de décroissance constant depuis ce temps jusqu’a maintenant.

 

 

Cette théorie s’accorde avec les données paléomagnétiques historiques et actuelles13. Le résultat principal est que l’énergie du champ (et non l’intensité locale) a toujours diminué au moins aussi rapidement que maintenant. À ce rythme le champ ne peut être âgé de plus de 10 000 ans14.

 

 

7. Sur plusieurs couches, les fossiles s’étalent sur trop de strates

 

 

Les fossiles  » poly strates « , qui pénètrent plusieurs strates géologiques, sont décrits dans la documentation géologique approuvée. Par exemple, aux Joggins en Nouvelle-Écosse, plusieurs fossiles d’arbres encore debout sont éparpillés dans 760 mètres (2500 pieds) d’horizons géologiques15. Ces arbres ont été enfouis sous terre avant même de pourrir. Ceci implique qu’ils ont été engloutis tout entiers en quelques années, tout au plus16. Mais voilà que la théorie évolutionniste soutient que les strates superficielles se sont déposées sur les strates internes après des millions d’années.

 

 

8. Trop d’hélium dans les roches chaudes

 

 

Une étude publiée dans Geophysical Research Letters démontre que l’hélium produit par la désintégration radioactive dans les roches chaudes et profondes n’a pas eu le temps de s’échapper. Bien que ces roches soient supposées être âgées de milliards d’années, l’hélium qu’elles contiennent suggère un âge inférieur à des millions d’années24.

 

 

9. L’agriculture est trop récente

 

 

Le portrait évolutionniste habituel présente l’homme comme ayant chassé et cueilli sa subsistance pendant 100 000 ans durant l’âge de pierre avant de découvrir l’agriculture, il y a moins de 10 000 ans25. Les preuves archéologiques démontrent que l’homme de pierre etait aussi intelligent que nous. II semblerait que l’homme vécut sans agriculture pendant moins de quelques centaines d’années, et il est même raisonnable de croire que l’homme ait depuis toujours connu l’agriculture26.

 

 

Bibliographie

 

 

1. Scheffer, H. and H. Elsasser, Physics of the Galaxy and an Iterstellar Matter, Springer-Verlag, Berlin, 1987, pp. 352,353, 401-413.

2. Slusher, H.S., The Age of the Cosmos, Technical Monograph No. 9, Institute for Creation Research, El Cajon, CA. 1980, pp. 15,16.

3. Steidl, P.F.,  » Planets, comets, and asteroids « , in Design and Origins in Astronomy, G. Mulfinger, ed., Creation Research Society Books, Norcross, GA, 1983, pp. 73-106.

4. Whipple, F.L.,  » Background of modern comet theory « , Nature, Vol. 263, Sept. 2,1976, p. 15.

5. Gordeyev, V.V. et al.,  » The average chemical composition of suspensions in the world’s rivers and the supply of sediments to the ocean by streams « , Dockl. Akad. Nauk. SSSR, Vol. 238, 1980, p. 150

6. Austin, S.A., priv. communication, Institute for Creation Research, El Cajon, CA, July 7, 1988.

7. Maybeck, M.,  » Concentrations des eaux fluviales en éléments majeurs et apports en solution aux océans « , Rev. de Geol. Dyn. Geogr. Phys., Vol. 21, 1979, p. 215.

8. Austin, S.A. and D. R. Humphreys,  » The sea’s missing salt: a dilemma for evolutionists « , Proceedings of the Second Intemational Conference on Creationism, Vol. 2, Creation Science Fellowship, Pittsburg, PA, 1991, in press.

9. Sayles, F.L. and P.C. Mangelsdorf,  » Cation-exchange characteristics of Amazon River suspended sediment and its reaction in seawater « , Geochimica et Cosmochimica Acta. Vol. 41., 1979, p. 767.

10. Austin, S.A.,  » Evolution : the oceans say no! « , ICR Impact, No. 8, Institute for Creation Research, El Cajon, CA, October 1973.

11. Merill, R.T. and M.W. McElhinney, The Earth’s Magnetic Field, Academic Press, London, 1983, pp. 101-106.

12. Humphreys. D.R.,  » Reversals of the earth’s magnetic field during the Genesis flood « , Proceedings of the First International Conference on Creationism, Vol. 2, Creation Science Fellowship, Pittsburg, PA, 1987, pp. 113-126.

13. Coe, R.S. and M . Prévot,  » Evidence suggesting extremely rapid field variation during a geomagnetic reversal, Earth and Planetary Science Letters, Vol 92, April 1989, pp. 292-298.

14. Humphreys, D.R.,  » Physical mechanisms for reversals of the earth’s magnetic field during the flood « , Proceedings of the Second Intemational Conference on Creationism, Vol. 2, Creation Science Fellowship, Pittsburg, PA, 1991.

15. Dunbar, C.O., Historical Geology, 2nd ed., Wiley, New York, 1960, p. 227.

16. Rupke, N .A.,  » Prolegomena to a study of cataclysmal sedimentation », in Why not Creation?, W.E. Lammers, ed., Creation Research Society, Norcross, GA, 1970. pp. 152-158.

20. Gentry, R.V. et al  » Radiohalos in coalified wood : new evidence relating to time of uranium introduction and coalification « , Science, Vol. 194, October 15, 1976, pp. 315-318.

21. Gentry, R.V.,  » Radiohalos in a radiochronological and cosmological perspective « , ScienceVol. 184, April 5, 1974, pp. 62-66.

22. Gentry, R.V., Creation’s Tiny Mystery, Earth Science Associates, Knoxville, TN, 1986, pp. 23-37, 51-59, 61,62.

24. Gentry, R.V et al,  » Differential helium retention in zircons : implications for nuclear waste management « , Geophys. Res. Lett., Vol. 9, October 1982, pp. 1129-1130.

25. Deevey, E.S.,  » The human population « , Scientific American, Vol. 203, September1960, pp. 194-204.

26. Dritt, J.O.,  » Man’s earliest beginnings : discrepancies in the evolutionary timetable « , Proceeding’s of the Second International Conference on Creationism, Vol. 1, Creation Science Fellowship, Pittsburgh, PA, 1991, pp. 73-78.

 

 

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