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30/05/2023

Saint-Empire romain de la nation germanique:

 

 

 

 

 

 

 

 

Saint-Empire romain de la nation germanique
Sacrum Romanum Imperium (la)

Heiliges Römisches Reich (de)
Sacro Romano Impero (it)
Svatá říše Římská (cs)

 

 

 

962 – 1806


Bannière du Saint-Empire.

Armorial du Saint-Empire.

Territoire du Saint-Empire de 962 à 1806

 

Informations générales
Statut Monarchie élective théocratique
Capitale Aucune officiellement
RatisbonneDiète perpétuelle d'Empire
VienneConseil aulique
WetzlarChambre impériale de justice
Langue latin (langues romanes), allemand (langues germaniques occidentales), langues slaves
Religion Église catholique romaine,
luthéranisme (Paix d'Augsbourg1555),
calvinisme (Traités de Westphalie1648)
Monnaie Diverses, notamment Gros de Prague
Fuseau horaire UTC+0 et UTC+1
Démographie
Population 962 ~ 4 700 000 hab.
Densité 962 ~ 10 hab./km²
Superficie
Superficie 962 ~ 470 000 km²
1034 ~ 950 000 km²
1648 ~ 570 000 km²
1806 ~ 540 000 km²
Histoire et événements
2 février 962 Couronnement impérial d'Otton Ier
22 septembre 1499 Traité de Bâle
25 septembre 1555 Traité de Paix d'Augsbourg
24 octobre 1648 Traités de Westphalie
25 février 1803 Recès d'Empire
12 juillet 1806 Création de la Confédération du Rhin
6 août 1806 Abdication de François II
Empereur des Romains
(1er962-973 Otton Ier
(34e1792-1806 François II
 

 

 

 

 

Entités précédentes :

Le Saint-Empire romain germanique[1] ou Saint-Empire romain de la nation germanique (en allemand : Heiliges römisches Reich deutscher Nation, en latin : Sacrum romanum Imperium Nationis germanicæ) ; également appelé parfois Premier Reich ou Vieil Empire, pour le différencier de l’Empire allemand ; est un regroupement politique des terres d’Europe occidentale et centrale au Moyen Âge dirigé par l'Empereur romain germanique mais aujourd'hui disparu. Il se voulait, au Xe siècle, l'héritier de l’Empire d’Occident des Carolingiens, mais également de l’Empire romain. L’adjectif Saint n’apparaît que sous le règne de Frédéric Barberousse (attesté en 1157) pour légitimer le pouvoir de manière divine.

 

 

 

C'est sous la dynastie des Ottoniens, au Xe siècle, que l'Empire se forme à partir de l'ancienne Francie orientale carolingienne. La désignation Sacrum Imperium est attestée pour la première fois en 1157[2] et le titre Sacrum Romanum Imperium apparaît vers 1184[2] pour être utilisé de manière définitive à partir de 1254. Le complément Deutscher Nation (en latin Nationis Germanicæ) a été ajouté au XVe siècle. L'étendue et les frontières du Saint-Empire ont été considérablement modifiées au cours des siècles. Au temps de sa plus grande extension, l'Empire comprend presque tout le territoire de l'actuelle Europe centrale ainsi que des parties de l'Europe du Sud.

 

 

 

 

L'époque moderne marque pour l'Empire l'impossibilité structurelle de mener des guerres offensives, d'étendre son pouvoir et son territoire. Dès lors, ses principales missions sont la défense du droit et la conservation de la paix. L'Empire doit assurer la stabilité politique et la résolution pacifique des conflits en endiguant la dynamique du pouvoir : il offre une protection, aux sujets contre l'arbitraire des seigneurs, et aux ordres moins importants contre toute infraction au droit commis par les ordres plus importants et par l'Empire même. À partir de 1648, des États voisins sont constitutionnellement intégrés comme États impériaux ; l'Empire remplit alors également cette fonction de paix dans la constellation des puissances européennes.

 

 

 

À partir du milieu du XVIIIe siècle, l’Empire ne peut plus protéger ses membres de la politique d’expansion des puissances intérieures et extérieures. C’est une des causes de son effondrement. Les conquêtes napoléoniennes et la création de la Confédération du Rhin démontrent la faiblesse du Saint-Empire, devenu un ensemble figé et creux. Le Saint-Empire romain germanique disparaît le 6 août 1806 lorsque l’empereur François II dépose sa couronne pour n'être plus qu'empereur d'Autriche.

 

 

 
 

 

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26/05/2023

Il y a plus de 500 ans, Worms :

 

 

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                         " stehe ich, ich kann nicht anders"

 

                   Au Pape, à l'empereur, à Satan qui l'obsède
                  Il dit, montrant du doigt la Bible, son trésor
                "Je ne puis autrement, que Dieu me soit en aide !"



                "Je ne puis autrement", glorieuse impuissance !
                Chercher un compromis, revenir sur ses pas
               Quitter le chemin droit de l'humble obéissance
               Se mentir à lui-même : il ne le pouvait pas



              Il pouvait d'un géant fournir l'immense tâche
              Braver la calomnie, affronter les combats
             Donner jusqu'à son sang... Mais fléchir comme un lâche
            Mais renier son Maître, il ne le pouvait pas



          Hélas ! Nous pouvons bien, nous pouvons trop, nous autres !
          Nous savons à chacun parler selon son goût
          Aux tendances du jour accommoder les nôtres
         Tourner au vent la voile et nous plier à tout



        Nous savons reculer de faiblesse en faiblesse
        Et la Bible à la main trahir la vérité



       Du monde et de la chair on se fait le complice
      On vend contre un or vil la perle de grand prix
      L'on échappe à la croix mais l'on a pour supplice
     Le stigmate brûlant de son propre mépris



     Qui donc prendra pitié de l'état où nous sommes ?
      D'où viendra le remède et le relèvement ?
      Ô Luther, que ton Dieu nous suscite des hommes
      Prêts à dire avec toi : "Je ne puis autrement !"



                  Théodore Monod

 

Commentaire :

 

Pasteur Philippe Volff :

 

Sur la page de Paul T. Mc Cain il y a eu un échange amusant à propos du "Here I stand" de Luther et, coïncidence heureuse, un vieil ami, un frère aîné dans la foi, vient de m'envoyer un poème de Théodore Monod sur cette confession. Il s'agit sans doute plutôt du compositeur de cantiques de la fin du XIXème siècle que de l'explorateur du XXème (anecdotiquement, parrain par procuration de mon parrain, Jean Volff, à Dakar).

 

Ce poème réjouira les militants dont l'épopée réformatrice gonfle le coeur.

 

Une ode à la vertu ne peut faire que du bien à tous.

 

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23/05/2023

Le « Moyen Age » n’a jamais cru que la Terre était plate !

 

 

 

 

 

 

 

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Encore un mythe à détruire, concernant l’horrible « Moyen-Age » chrétien.

 

 

« Présentation : Christophe Colomb n’a jamais eu à démontrer que la Terre était ronde. Car tout le monde le savait déjà. Et depuis longtemps ! C’est ce que confirme l’ouvrage d’un historien américain, Jeffrey B. Russel, qui met à mal bon nombre d’idées reçues sur les géographes du Moyen Age et de l’Antiquité. Il commence par constater que les auteurs médiévaux affirment la rotondité de la Terre, comme le faisait Platon. Il examine ensuite l’apparition du mythe moderne selon lequel le Moyen-Age croyait la Terre plate. En fait ce sont des évolutionnistes libéraux américains qui ont créé de toutes pièces ce mythe aujourd’hui repris dans la presse et dans les manuels scolaires.

 

 

 

En cette année anniversaire de la découverte du Nouveau Monde, c’est un véritable déluge de publications qui s’abat sur nous ; à cette occasion, nombre d’idées reçues sont remises en question. L’une d’elles, selon laquelle les contemporains de Christophe Colomb croyaient que la Terre était plate, a trouvé son historien, Jeffrey B. Russel, dans un petit ouvrage décapant qui vient d’être publié aux Etats-Unis.

 

 

 

Considérons le cas de Christophe Colomb : les historiens ont depuis longtemps dénoncé la fable selon laquelle il aurait dû affronter les foudres des docteurs de Salamanque pour avoir osé prétendre que la Terre était ronde – sans quoi le passage des Indes par l’ouest était inconcevable. Certes, le découvreur a eu ses détracteurs et ses opposants, mais leurs arguments tenaient aux probabilités d’échec de l’entreprise.

 

 

Et ils avaient raison, puisque la distance qui sépare les îles Canaries du Japon est de deux cents degrés de longitude, là où Colomb, pour avancer son projet, voulait n’en voir que soixante. Mais nulle part dans ces discussions il ne fut question d’une sphéricité que le navigateur aurait dû démontrer.

 

 

 

Déjà au XVème siècle, l’affaire était entendue. La Géographie du Grec Ptolémée (90-168) est traduite en latin en 1410. Or cet ouvrage ne laisse subsister aucun doute sur la rotondité de la Terre : il est tout entier fondé sur le quadrillage de la sphère en degrés de latitude et méridiens de longitude.

 

 

 

Et le cardinal Pierre d’Ailly en a bien retenu toutes les leçons dans son Image du monde écrite en latin dès 1410. Mais avant ? Là où les médiévistes ont souvent été plus évasifs, Jeffrey Russell nous invite à voir partout et toujours la même représentation, les mêmes comparaisons.

 

 

 

Pour les uns, la Terre est un oeuf ou une balle, pour d’autres, une pomme ou une pelote.

 

 

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Pour les philosophes John Holywood ou Thomas d’Aquin au XIIIème siècle, Jean Buridan ou Nicolas Oresme au XIVème , nul doute n’est possible. Ces deux derniers évoquent même la rotation de la Terre sur elle-même !

 

 

 

Faut-il remonter plus avant vers les « siècles obscurs », pour reprendre une expression chère aux Anglo-Saxons ? Là où un Isidore de Séville (mort en 636) semble entretenir certaines réserves, Bède le Vénérable au VIIIème siècle et Scot Erigène au IXème sont catégoriques : la Terre est ronde. Ils ne font d’ailleurs pas preuve d’originalité, puisqu’ils reprennent la tradition scientifique des compilateurs de l’Antiquité tardive, notamment Martianus Capella dont les Noces de Mercure et Philologie, écrites vers 420, connaissent une très large diffusion au Moyen Age. Or Martianus affirme lui aussi sans ambages : « Elle [la Terre] n’est pas plate, elle est ronde. »

 

 

 

Il semble donc y avoir durant tout le Moyen Age occidental unanimité sur la question.

 

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Non sans quelques problèmes pour les philosophes et les cartographes. Ceux-ci veulent en effet représenter un oekoumène (l’ensemble des terres habitées) conforme aux connaissances de la période et, d’autant que possible, à la tradition biblique et évangélique. Dès lors, que Jérusalem soit au centre du monde ou le paradis à l’est, c’est une simple convention cartographique. Le géographe arabe Al Idrisi ne place-t-il pas, au XIIème siècle, La Mecque au centre de sa carte ? Et, au XXème siècle, ne discute-t-on pas encore de la « juste » représentation de l’hémisphère sud sur nos modernes mappemondes ? Plus délicat est le problème de la conformité aux enseignements de l’Eglise selon lesquels les Apôtres ont apporté la Parole « aux quatre coins du monde ». Car il faudrait que le Terre soit plate pour posséder quatre coins*.

 

 

 

Ainsi s’explique l’hésitation d’Isidore de Séville ; pourtant saint Augustin lui-même (354-430) avait mis en garde contre le danger d’utiliser le sens littéral de l’Ecriture. Lorsque les cartographes médiévaux nous présentent une Terre d’apparence plate et circulaire, c’est donc certainement une convention cartographique, parfois l’illustration d’une certaine tradition biblique, mais jamais la représentation d’un soi-disant dogme de la « Terre plate ».

 

 

 

 

D'où vient alors ce mythe, puisque mythe il y a ? De l’exploitation qu’on a faite, au XIXème siècle, de certains textes de l’Antiquité tardive. Cette époque avait bel et bien connu deux « théoriciens » de la Terre plate : Lactance (vers 265-345) d’abord, polémiste crédule, qui s’oppose ouvertement à la pensée scientifique (et païenne) de son époque, au moyen d’arguments simples mais combien efficaces : « Y a-t-il quelqu’un d’assez extravagant pour se persuader qu’il y a des hommes qui aient les pieds en haut et la tête en bas […] et que la pluie et la grêle puissent tomber en montant ? »

 

 

 

 

Darwin contre l’Eglise

 

 

 

Puis, deux siècles plus tard, en Egypte, Cosmas dit « Indicopleustès » (« le voyageur des Indes »), retiré dans un monastère du Sinaï, rédige sous le titre de Topographie chrétienne une vaste compilation géographique où la Terre plate occupe une place importante. Il faut cependant savoir que cet ouvrage volumineux, rédigé en grec et aux marges orientales de la Chrétienté, ne nous est connu aujourd’hui qu’à travers trois manuscrits médiévaux complets.

 

 

 

Critiqué à Byzance dès le IXème siècle par le patriarche Photius, il est totalement ignoré de l’Occident médiéval. La première traduction latine de Cosmas date de 1705 ! Et c’est cet auteur, tout à fait marginal dans le monde grec et inconnu du monde latin, qui deviendra au XIXème siècle le symbole de l’obscurantisme médiéval!

 

 


Car ces visions farfelues du monde seraient restées aussi chimériques que les descriptions contemporaines de cynocéphales (hommes à tête de chien), si elles n’avaient été reprises par les positivistes et « progressistes » du XIXème siècle. La démonstration de Jeffrey Russell est ici tout à fait originale et convaincante.

 

 

 

 

 

S’il n’y a jamais eu de mythe médiéval de la « Terre plate », il y a bel et bien eu une légende moderne du « dogme médiéval de la Terre plate ». Russell traque son apparition puis sa diffusion, en France et aux Etats-Unis, tout au long du XIXème siècle ; il démasque à l’occasion quelques « coupables ».

 

 

 

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Coupable, le premier, le romancier américain Washington Irving (1783-1859), dans un pastiche historique sur la vie de Christophe Colomb, publié pour la première fois en 1828. Irving invente de toutes pièces une scène qui deviendra célèbre, dans laquelle le navigateur doit se défendre contre l’obscurantisme des docteurs de Salamanque incapables d’admettre que le Terre fût ronde.

 

 

 

 

Le roman connaît un immense succès et contribue à accréditer, outre-Atlantique, la vision d’une Eglise catholique dogmatique et intolérante. Coupable encore, en France, à la même époque, le très respecté Antoine-Jean Letronne (1787-1848), directeur de l’Ecole des Chartes et professeur au Collège de France, qui dans la Revue des deux Mondes, avance l’idée d’un dogme de la Terre plate chez les Pères de l’Eglise et d’une interprétation littérale de la Bible au long du Moyen Age.

 

 

 

Coupables surtout, aux Etats-Unis à nouveau et principalement pendant la seconde moitié du XIXème siècle, nombre d’esprits libéraux qui souhaitent réfuter les arguments anti-évolutionnistes de l’époque. Nous sommes en effet en plein débat autour des thèses de Darwin sur l’évolution des espèces, que l’Eglise se refuse à admettre. Quoi de mieux, dès lors, pour combattre son étroitesse de vues, que de stigmatiser un obscurantisme plus général, dont le pseudo-dogme médiéval de la Terre plate deviendrait une sorte de cas exemplaire ? C’est la voie que suivent sans hésiter certains auteurs américains dans des ouvrages dont les titres à eux seuls sont tout un programme :

 

 


Histoire du conflit entre religion et science de 
John Draper (New York, 1874) ou Histoire du combat entre la science et la théologie dans le Christianisme d’Andrew White (New York, 1896)…L’idée d’un dogme médiéval de la Terre plate se diffuse dès lors dans les ouvrages de vulgarisation et les manuels scolaires. Elle correspond si bien à l’image que l’on se fait du Moyen Age au temps de Victor Hugo ou de Jules Michelet qu’on la reçoit sans discussion.

 

 

Tant et si bien que malgré toutes les réfutations modernes, un auteur à succès pourtant bien informé comme Daniel Boorstin perpétue encore aujourd’hui ce mythe.

 

 

Preuve, s’il en était besoin qu’un petit essai comme celui de Jeffrey Russell est d’actualité et mériterait d’être traduit en français sans délai. »

 

 

 

Michel Hébert – Le CEP – 2022

19/05/2023

Darwin est-il dangereux ?

 

 

 

 

 

Par Albert Mohler, Ph.D.

 

 

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Daniel C. Dennett est l’un des scientifiques évolutionnistes les plus influents au monde et, contrairement à plusieurs de ses collègues, il ne fuit pas les conclusions logiques du darwinisme. Au contraire, il qualifie cette théorie d’« acide universel » remodelant complètement la réalité et anéantissant toutes vérités jusqu’alors jugées permanentes et immuables.

 

 

« Dès qu’il est question du darwinisme, la température grimpe parce qu’il y a beaucoup plus en jeu que les simples faits empiriques liés à l’évolution de la Terre ou la validité de la théorie qui en rend compte », affirme-t-il.

 

 

Dans un entretien récent avec la revue allemande Der Spiegel, Dennett rejette le concept de dessein intelligent, soutenant que toute personne lucide doit se contenter d’accepter la théorie de Darwin au pied de la lettre. Néanmoins, il comprend la logique du dessein intelligent. Selon lui, plusieurs personnes refusent la notion d’évolution parce qu’elle « touche au point central de la découverte la plus troublante des derniers siècles dans le domaine scientifique. » Il s’agit de « l’idée selon laquelle seul un sujet grand, impressionnant et ingénieux peut engendrer un élément moindre. C’est ce que j’appelle la théorie de la création de la goutte par la source. Vous ne verrez jamais une lance fabriquer un armurier. Vous ne verrez jamais un fer à cheval forger un maréchal-ferrant. Vous ne verrez jamais un vase façonner un potier. La relation fonctionne toujours dans le sens inverse; cela semble aller de soi. »

 

 

Toutefois, Dennett croit que ce raisonnement est gravement erroné. Curieusement, il suggère que l’idée du dessein intelligent, sous sa forme fondamentale du moins, puisse être encore plus ancienne que l’espèce humaine. Il pose l’hypothèque que ce qu’il qualifie d’espèces primitives d’hominidés ait conçu des objets et ait ensuite « eu l’impression d’être plus digne d’admiration que ses réalisations. » Puis, les homo sapiens, capables de créer une variété apparemment sans fin d’articles, auraient présumé qu’eux aussi étaient les produits d’un créateur intelligent.

 

 

Étonnamment, Dennett, avec son collègue Richard Dawkins, utilise la réalité de la complexité et de la conception apparente pour réfuter l’idée d’un concepteur. En un sens, il renverse simplement la notion d’ingénierie, avançant qu’une organisation plus élaborée représente, dans les faits, une moindre preuve de l’existence d’un ingénieur. Comme il le prétend, « non seulement pouvez-vous retrouver une organisation dans des éléments qui n’ont pas été créés, mais vous pouvez même obtenir l’évolution de concepteurs à partir de cette absence d’ingénierie. Vous vous retrouvez finalement avec des auteurs et des poètes, et des artistes, et des ingénieurs, et d’autres concepteurs de toutes sortes, d’autres créateurs — fruits très récents de l’arbre de la vie. Et tout cela défie la conception selon laquelle la vie a un sens. » Effectivement…

 

 

Dennett croit tout de même que les êtres humains constituent une espèce à part. Ce statut particulier est essentiellement dû à la linguistique. Dennett, qui travaille en tant que professeur de philosophie et directeur du Centre d’études cognitives à la Tufts University, s’est consacré à la compréhension de la conscience et des capacités linguistiques de l’être humain.

 

 

Il explique que la capacité linguistique implique que les êtres humains peuvent apprendre, non seulement de leur propre expérience, mais aussi de celle des autres, morts ou vivants. Ainsi, « la culture humaine elle-même devient une force profonde d’évolution. C’est ce qui nous donne un horizon épistémologique qui est beaucoup, beaucoup plus grand que celui de toute autre espèce. Nous sommes la seule espèce à savoir qui nous sommes, à savoir que nous avons évolué. Nos chansons, notre art, nos livres et nos croyances religieuses sont tous, en bout de ligne, un produit des algorithmes évolutionnistes. Certains trouvent cette réalité passionnante, d’autres la considèrent déprimante. »

 

 

Il vaut la peine d’examiner les idées de Dennett d’un peu plus près. Après tout, il accepte hardiment ce que tant d’autres scientifiques évolutionnistes nient — que la théorie de Darwin implique l’impossibilité de toute croyance en Dieu. Alors que des évolutionnistes tels que le défunt Stephen J. Gould soutiennent que l’évolution et la religion peuvent être considérées comme des « domaines indépendants l’un de l’autre », permettant de ce fait à chacune de fonctionner dans des sphères distinctes, Dennett rejette explicitement ce raisonnement. Il adresse une critique spécifique à l’évolutionniste Michael Ruse, l’accusant « d’essayer de faire perdre de vue les implications de ce que Darwin nous fait comprendre et de rassurer les gens à l’effet qu’il n’y a pas tant de conflits entre la perspective de la biologie évolutionniste et leurs manières de penser traditionnelles. »

 

 

Lorsqu’il est question de l’âme humaine, Dennett souligne qu’il ne peut s’agir que de la conscience opérant en tant que partie intégrante de nos corps physiques. Le matérialisme de Dennett fait en sorte qu’il ne peut pas voir l’âme comme étant indépendante des opérations chimiques du cerveau. Comme il l’expliquait à Der Spiegel, « le cerveau n’est pas un tissu plus épatant que les poumons ou le foie. Il n’est qu’un tissu. »

 

 

Fidèle à une forme de matérialisme naturaliste radical, Dennett considère la croyance en Dieu comme n’étant rien de plus que le produit du processus évolutionniste. Il explique que la mort de Dieu « est une conséquence évidente » du darwinisme.

 

 

Sur ce point, nous devrions au moins être reconnaissants de ce que Dennett fasse preuve d’une plus grande honnêteté intellectuelle que plusieurs de ses collègues évolutionnistes. Il admet que la croyance en Dieu puisse être culturellement acceptable, mais seulement si ce Dieu n’a rien à voir avec nos origines ou nos vies — passées, le présentes, ou le futures.

 

 

« Il faut comprendre que le rôle de Dieu a été amoindri à travers les époques », enseigne Dennett. « Tout d’abord, nous avions Dieu… créant Adam et créant chaque créature de ses mains, arrachant une côte à Adam et créant Ève de cette côte. Puis, nous avons échangé ce Dieu pour le Dieu mettant en branle l’évolution. Et ensuite, vous vous dites que vous n’avez même plus besoin de ce Dieu — le législateur — puisque si nous considérons sérieusement les idées que nous pouvons tirer de la cosmologie, il existe d’autres endroits avec d’autres lois et la vie évolue là où elle le peut. Alors maintenant, nous n’avons plus « Dieu le trouveur de loi » ou « Dieu le législateur », mais plutôt « Dieu le maitre de cérémonies ». Et lorsque Dieu n’est plus que le maitre de cérémonies et qu’il ne joue plus, en fait, aucun rôle dans l’univers, il est, si l’on peut dire, diminué et n’intervient plus d’aucune façon. » Plus simplement, « la description des tâches de Dieu va en s’amenuisant. »

 

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                                           Daniel Dennet

 

 

Denett débute son livre paru en 1995, Darwin est-il dangereux? [traduction française de Darwin’s Dangerous Idea (ndt)], en récitant un chant de l’école du dimanche appris durant son enfance. Cette chanson, « Tell Me Why » [« Dis-moi pourquoi »(ndt)], demande pourquoi les étoiles brillent, pourquoi des spirales se dessinent sur le lierre et pourquoi le ciel est si bleu. Comme la chanson l’affirme, c’est parce que Dieu les a faits ainsi. « Cette déclaration franche et sentimentale me donne encore une larme à l’œil — quelles paroles douces à l’oreille, quelle innocence, quelle vision rassurante de la vie! » se remémore Dennett. Néanmoins, il ne croit pas qu’il s’agisse de la vérité. « Même si nous pouvons en avoir un souvenir agréable, la plupart d’entre nous avons passé l’âge pour cette douce et simple façon de voir les choses. Le gentil Dieu qui nous a tous façonnés individuellement avec amour (toutes créatures, grandes et petites) et qui a saupoudré le ciel d’étoiles brillantes pour le délice de nos yeux — ce Dieu est, comme le Père Noël, un mythe d’enfance et non pas un concept qu’un adulte sain d’esprit et délesté de ses naïves illusions pourrait croire littéralement. Ce Dieu doit être transformé en un symbole référant à une réalité moins concrète ou être complètement supprimé. »

 

 

La seule vision de Dieu qui puisse survivre à l’émergence du darwinisme, c’est Dieu en tant que concept intellectuel offrant simplement une approche mytho-poétique pour reconnaitre la magnificence et le pittoresque.

 

 

Le théisme, soutient Dennett, c’est-à-dire la croyance en un Dieu personnel existant par lui-même, doit aller par le même chemin que les oiseaux dodo [variété d’oiseaux, aussi appelés « drontes », exterminée par l’homme au 18e siècle (ndt)]. « La foi, telle une espèce, doit évoluer ou s’éteindre lorsque l’environnement change. Dans un cas comme dans l’autre, ce n’est pas un processus sans douleur… Nous prêchons la liberté de religion, mais seulement jusqu’à un certain point. » Il poursuit : « C’est bien d’avoir des grizzlys et des loups vivant dans la nature. Ces animaux ne constituent plus une menace à l’heure actuelle; eux et nous pouvons cohabiter paisiblement, avec un peu de sagesse. On peut voir le même principe dans notre tolérance politique, dans la liberté de religion. Vous êtes libre de conserver ou de créer n’importe quel credo religieux, tant que ça ne devient pas une menace publique. »

 

 

Eh bien, nous sommes prévenus. Dennett inclut clairement la chrétienté traditionnelle dans ce type de menace publique qu’il craint. Néanmoins, il est absolument certain que lui et sa théorie de l’évolution chérie gagneront — dans un futur rapproché. Le darwinisme occupera bientôt, affirme-t-il avec confiance, une « place sure et tranquille dans l’esprit — et le cœur — de chaque personne instruite sur la planète. »

 

 

L’engouement de Dennett pour le darwinisme remonte à son enfance, alors que lui et ses amis spéculaient sur l’existence et l’effet d’une substance qu’ils nommaient « l’acide universel ». « L’acide universel est un liquide tellement corrosif qu’il peut gruger à travers n’importe quoi! Le problème est le suivant: dans quel contenant le conserver? Il dissout les bouteilles de vitre et les boites d’acier inoxydable aussi facilement que les sacs de papier. Qu’arriverait-il si vous tombiez sur une cuillerée d’acide universel ou si vous en créiez une? La planète entière serait-elle éventuellement détruite? Que laisserait-elle dans son sillage? De quoi le monde aurait-il l’air après avoir été entièrement transformé par sa rencontre avec l’acide universel? »

 

 

En tant qu’adulte, Dennett comprend maintenant que le darwinisme représente exactement cet acide universel ayant fasciné son imagination pendant son jeune âge. Cet acide universel n’est pas une substance liquide, mais une idée intellectuelle.

 

 

« Je ne me doutais pas que, quelques années plus tard, je rencontrerais une idée — l’idée de Darwin — qui comporterait une similarité indubitable avec l’acide universel: elle gruge à travers à peu près tous les concepts traditionnels et laisse dans son sillage un point de vue révolutionné, avec la plupart des anciens points de repère encore reconnaissables, mais transformés de manière fondamentale. »

 

 

Transformés, c’est le moins qu’on puisse dire. Dennett comprend que chaque concept et chaque modèle de pensée important est instantanément transformé lorsqu’on reçoit le darwinisme comme étant vrai. Le point de vue évolutionniste de cette théorie, fondé sur des explications purement matérialistes et naturalistes de tous les phénomènes, ne laisse aucune place à une signification transcendante, à la dignité humaine, à la moralité ou à l’espoir. Les êtres humains, comme le reste du cosmos, sont simplement les sous-produits accidentels de vastes forces cosmiques.

 

 

Daniel C. Dennet comprend tout cela, mais jubile devant « l’idée dangereuse » de Darwin. Il propose de récompenser celui-ci « de la médaille d’or pour la meilleure idée jamais eue ». Souvenez-vous de Dennett la prochaine fois que vous entendrez dire que l’évolution et la chrétienté sont compatibles. L’incompatibilité fondamentale de la théorie de Darwin est LA facette de la pensée de Dennett que nous pouvons vraiment apprécier. Si seulement ses collègues évolutionnistes pouvaient être aussi sincères.

 

 

Traduit par Julie Charrette – l’article original se trouve sur le site d’Albert Mohler –

 

 

 

 http://www.albertmohler.com/commentary_read.php?cdate=2006-01-03

 

 

 

 

 

 

 

 

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16/05/2023

Liste des références bibliques à la Création divine:

 

 

 

 

 

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Le récit de la Création est d’autant plus difficile à contourner qu’il ne se trouve pas qu’au début du livre de la Genèse. Il en est aussi fait mention très fréquemment dans le reste de l’Ancien Testament et tout au long du Nouveau Testament. Voici la liste des passages bibliques qui abordent le sujet. Par leur grand nombre, mais aussi par leur contenu, ils soulignent l’importance de l’acte créateur de Dieu et son rôle primordial dans le plan du salut. Ils nous éclairent aussi sur notre identité, nous mettent en garde contre l’idolâtrie et nous invitent à louer l’Éternel!

 

 

 

Genèse 1 à 11;

 

 

 

Exode 4:11 :  L’Éternel lui dit: Qui a fait la bouche de l’homme? et qui rend muet ou sourd, voyant ou aveugle? N’est-ce pas moi, l’Éternel?

 

 

 

Exode 20:9-11 : Tu travailleras six jours, et tu feras tout ton ouvrage. Mais le septième jour est le jour du repos de l’Éternel, ton Dieu: tu ne feras aucun ouvrage, ni toi, ni ton fils, ni ta fille, ni ton serviteur, ni ta servante, ni ton bétail, ni l’étranger qui est dans tes portes. Car en six jours l’Éternel a fait les cieux, la terre et la mer, et tout ce qui y est contenu, et il s’est reposé le septième jour: c’est pourquoi l’Éternel a béni le jour du repos et l’a sanctifié.

 

 

 

Exode 31:15-17 : On travaillera six jours; mais le septième jour est le sabbat, le jour du repos, consacré à l’Éternel. Celui qui fera quelque ouvrage le jour du sabbat, sera puni de mort. Les enfants d’Israël observeront le sabbat, en le célébrant, eux et leurs descendants, comme une alliance perpétuelle. Ce sera entre moi et les enfants d’Israël un signe qui devra durer à perpétuité; car en six jours l’Éternel a fait les cieux et la terre, et le septième jour il a cessé son oeuvre et il s’est reposé.

 

 

 

Deutéronome 4:32 : Interroge les temps anciens qui t’ont précédé, depuis le jour où Dieu créa l’homme sur la terre, et d’une extrémité du ciel à l’autre: y eut-il jamais si grand événement, et a-t-on jamais ouï chose semblable?

 

 

 

Deutéronome 32:6 : Est-ce l’Éternel que vous en rendrez responsable, Peuple insensé et dépourvu de sagesse? N’est-il pas ton père, ton créateur? N’est-ce pas lui qui t’a formé, et qui t’a affermi?

 

 

Deutéronome 32:15 : Israël est devenu gras, et il a regimbé; Tu es devenu gras, épais et replet! -Et il a abandonné Dieu, son créateur, Il a méprisé le rocher de son salut

 

 

1 Samuel 2:8 : De la poussière il retire le pauvre, Du fumier il relève l’indigent, Pour les faire asseoir avec les grands. Et il leur donne en partage un trône de gloire; Car à l’Éternel sont les colonnes de la terre, Et c’est sur elles qu’il a posé le monde.

 

 

 

2 Rois 19:14-15 : Ézéchias prit la lettre de la main des messagers, et la lut. Puis il monta à la maison de l’Éternel, et la déploya devant l’Éternel, à qui il adressa cette prière: Éternel, Dieu d’Israël, assis sur les chérubins! C’est toi qui es le seul Dieu de tous les royaumes de la terre, c’est toi qui as fait les cieux et la terre.

 

 

 

1 Chroniques 16:25-26 : Car l’Éternel est grand et très digne de louange, Il est redoutable par-dessus tous les dieux; Car tous les dieux des peuples sont des idoles, Et l’Éternel a fait les cieux.

 

 

 

2 Chroniques 2:12 : Huram dit encore: Béni soit l’Éternel, le Dieu d’Israël, qui a fait les cieux et la terre, de ce qu’il a donné au roi David un fils sage, prudent et intelligent, qui va bâtir une maison à l’Éternel et une maison royale pour lui!

 

 

 

Néhémie 9:6 : C’est toi, Éternel, toi seul, qui as fait les cieux, les cieux des cieux et toute leur armée, la terre et tout ce qui est sur elle, les mers et tout ce qu’elles renferment. Tu donnes la vie à toutes ces choses, et l’armée des cieux se prosterne devant toi.

 

 

 

Job 4:17-19 : L’homme serait-il juste devant Dieu? Serait-il pur devant celui qui l’a fait? Si Dieu n’a pas confiance en ses serviteurs, S’il trouve de la folie chez ses anges, Combien plus chez ceux qui habitent des maisons d’argile, Qui tirent leur origine de la poussière, Et qui peuvent être écrasés comme un vermisseau!

 

 

 

Job 9:8-10 : Seul, il étend les cieux, Il marche sur les hauteurs de la mer. Il a créé la Grande Ourse, l’Orion et les Pléiades, Et les étoiles des régions australes. Il fait des choses grandes et insondables, Des merveilles sans nombre.

 

 

 

Job 10:2-3 : Je dis à Dieu: Ne me condamne pas! Fais-moi savoir pourquoi tu me prends à partie! Te paraît-il bien de maltraiter, De repousser l’ouvrage de tes mains, Et de faire briller ta faveur sur le conseil des méchants?

 

 

 

Job 10 : 8-12 : Tes mains m’ont formé, elles m’ont créé, Elles m’ont fait tout entier… Et tu me détruirais! Souviens-toi que tu m’as façonné comme de l’argile; Voudrais-tu de nouveau me réduire en poussière? Ne m’as-tu pas coulé comme du lait? Ne m’as-tu pas caillé comme du fromage? Tu m’as revêtu de peau et de chair, Tu m’as tissé d’os et de nerfs; Tu m’as accordé ta grâce avec la vie, Tu m’as conservé par tes soins et sous ta garde.

 

 

 

Job 12:8-10 : Parle à la terre, elle t’instruira; Et les poissons de la mer te le raconteront. Qui ne reconnaît chez eux la preuve Que la main de l’Éternel a fait toutes choses? Il tient dans sa main l’âme de tout ce qui vit, Le souffle de toute chair d’homme.

 

 

 

Job 26:8-14 : Il renferme les eaux dans ses nuages, Et les nuages n’éclatent pas sous leur poids. Il couvre la face de son trône, Il répand sur lui sa nuée. Il a tracé un cercle à la surface des eaux, Comme limite entre la lumière et les ténèbres. Les colonnes du ciel s’ébranlent, Et s’étonnent à sa menace. Par sa force il soulève la mer, Par son intelligence il en brise l’orgueil. Son souffle donne au ciel la sérénité, Sa main transperce le serpent fuyard. Ce sont là les bords de ses voies, C’est le bruit léger qui nous en parvient; Mais qui entendra le tonnerre de sa puissance?

 

 

 

Job 28:25-27 : Quand il régla le poids du vent, Et qu’il fixa la mesure des eaux, Quand il donna des lois à la pluie, Et qu’il traça la route de l’éclair et du tonnerre, Alors il vit la sagesse et la manifesta, Il en posa les fondements et la mit à l’épreuve.

 

 

 

Job 31:13-15 : Si j’ai méprisé le droit de mon serviteur ou de ma servante Lorsqu’ils étaient en contestation avec moi, Qu’ai-je à faire, quand Dieu se lève? Qu’ai-je à répondre, quand il châtie? Celui qui m’a créé dans le ventre de ma mère ne l’a-t-il pas créé? Le même Dieu ne nous a-t-il pas formés dans le sein maternel?

 

 

 

Job 32:22 : Car je ne sais pas flatter: Mon créateur m’enlèverait bien vite.

 

 

Job 33:4 : L’esprit de Dieu m’a créé, Et le souffle du Tout Puissant m’anime.

 

 

 

Job 33:6 : Devant Dieu je suis ton semblable, J’ai été comme toi formé de la boue

 

 

Job 34:19 : Qui n’a point égard à l’apparence des grands Et ne distingue pas le riche du pauvre, Parce que tous sont l’ouvrage de ses mains?

 

 

Job 35:10 : Mais nul ne dit: Où est Dieu, mon créateur, Qui inspire des chants d’allégresse pendant la nuit

 

 

Job 36:3 : Je prendrai mes raisons de haut, Et je prouverai la justice de mon créateur.

 

Job 38;

Job 40;

Job 41;

 

Psaume 8:3-8 : Quand je contemple les cieux, ouvrage de tes mains, La lune et les étoiles que tu as créées: Qu’est-ce que l’homme, pour que tu te souviennes de lui? Et le fils de l’homme, pour que tu prennes garde à lui? Tu l’as fait de peu inférieur à Dieu, Et tu l’as couronné de gloire et de magnificence. Tu lui as donné la domination sur les oeuvres de tes mains, Tu as tout mis sous ses pieds, Les brebis comme les boeufs, Et les animaux des champs, Les oiseaux du ciel et les poissons de la mer, Tout ce qui parcourt les sentiers des mers.

 

 

Psaume 19:1-5 : Au chef des chantres. Psaume de David. Les cieux racontent la gloire de Dieu, Et l’étendue manifeste l’oeuvre de ses mains. Le jour en instruit un autre jour, La nuit en donne connaissance à une autre nuit. Ce n’est pas un langage, ce ne sont pas des paroles Dont le son ne soit point entendu: Leur retentissement parcourt toute la terre, Leurs accents vont aux extrémités du monde, Où il a dressé une tente pour le soleil. Et le soleil, semblable à un époux qui sort de sa chambre, S’élance dans la carrière avec la joie d’un héros

 

 

Psaume 24:1-2 : Psaume de David. A l’Éternel la terre et ce qu’elle renferme, Le monde et ceux qui l’habitent! Car il l’a fondée sur les mers, Et affermie sur les fleuves.

 

 

Psaume 33:6-9 : Les cieux ont été faits par la parole de l’Éternel, Et toute leur armée par le souffle de sa bouche. Il amoncelle en un tas les eaux de la mer, Il met dans des réservoirs les abîmes. Que toute la terre craigne l’Éternel! Que tous les habitants du monde tremblent devant lui! Car il dit, et la chose arrive; Il ordonne, et elle existe.

 

 

Psaume 74:16-17 : À toi est le jour, à toi est la nuit; Tu as créé la lumière et le soleil. Tu as fixé toutes les limites de la terre, Tu as établi l’été et l’hiver.

 

Psaume 78:69 : Et il bâtit son sanctuaire comme les lieux élevés, Comme la terre qu’il a fondée pour toujours.

 

Psaume 86:9 : Toutes les nations que tu as faites viendront Se prosterner devant ta face, Seigneur, Et rendre gloire à ton nom.

 

Psaume 89:11-12 : C’est à toi qu’appartiennent les cieux et la terre, C’est toi qui as fondé le monde et ce qu’il renferme. Tu as créé le nord et le midi; Le Thabor et l’Hermon se réjouissent à ton nom.

 

Psaume 89 :47 : Rappelle-toi ce qu’est la durée de ma vie, Et pour quel néant tu as créé tous les fils de l’homme.

 

Psaume 90:2 : Avant que les montagnes fussent nées, Et que tu eussent créé la terre et le monde, D’éternité en éternité tu es Dieu.

 

Psaume 94:9 : Celui qui a planté l’oreille n’entendrait-il pas? Celui qui a formé l’oeil ne verrait-il pas?

 

Psaume 95:3-6 : Car l’Éternel est un grand Dieu, Il est un grand roi au-dessus de tous les dieux. Il tient dans sa main les profondeurs de la terre, Et les sommets des montagnes sont à lui. La mer est à lui, c’est lui qui l’a faite; La terre aussi, ses mains l’ont formée. Venez, prosternons-nous et humilions-nous, Fléchissons le genou devant l’Éternel, notre créateur!

 

Psaume 96:5 : Car tous les dieux des peuples sont des idoles, Et l’Éternel a fait les cieux.

 

Psaume 100:3 : Sachez que l’Éternel est Dieu! C’est lui qui nous a faits, et nous lui appartenons; Nous sommes son peuple, et le troupeau de son pâturage.

 

Psaume 102:24-26 : Je dis: Mon Dieu, ne m’enlève pas au milieu de mes jours, Toi, dont les années durent éternellement! Tu as anciennement fondé la terre, Et les cieux sont l’ouvrage de tes mains. Ils périront, mais tu subsisteras; Ils s’useront tous comme un vêtement; Tu les changeras comme un habit, et ils seront changés.

 

Psaume 103:22 : Bénissez l’Éternel, vous toutes ses oeuvres, Dans tous les lieux de sa domination! Mon âme, bénis l’Éternel!

 

Psaume 104;

Psaume 115:15 : Soyez bénis par l’Éternel, Qui a fait les cieux et la terre!

 

Psaume 119:73 : Tes mains m’ont créé, elles m’ont formé; Donne-moi l’intelligence, pour que j’apprenne tes commandements!

 

Psaume 119 :90-91 : De génération en génération ta fidélité subsiste; Tu as fondé la terre, et elle demeure ferme. C’est d’après tes lois que tout subsiste aujourd’hui, Car toutes choses te sont assujetties.

 

Psaume 121:2 : Le secours me vient de l’Éternel, Qui a fait les cieux et la terre.

 

Psaume 124:8 : Notre secours est dans le nom de l’Éternel, Qui a fait les cieux et la terre.

 

Psaume 134:3 : Que l’Éternel te bénisse de Sion, Lui qui a fait les cieux et la terre!

 

 

 

Psaume 136:5-9 : Celui qui a fait les cieux avec intelligence, Car sa miséricorde dure à toujours!Celui qui a étendu la terre sur les eaux, Car sa miséricorde dure à toujours! Celui qui a fait les grands luminaires, Car sa miséricorde dure à toujours! Le soleil pour présider au jour, Car sa miséricorde dure à toujours! La lune et les étoiles pour présider à la nuit, Car sa miséricorde dure à toujours!

 

 

Psaume 146:6 : Il a fait les cieux et la terre, La mer et tout ce qui s’y trouve. Il garde la fidélité à toujours.

 

Psaume 148:1-6 : Louez l’Éternel! Louez l’Éternel du haut des cieux! Louez-le dans les lieux élevés! Louez-le, vous tous ses anges! Louez-le, vous toutes ses armées! Louez-le, soleil et lune! Louez-le, vous toutes, étoiles lumineuses! Louez-le, cieux des cieux, Et vous, eaux qui êtes au-dessus des cieux! Qu’ils louent le nom de l’Éternel! Car il a commandé, et ils ont été créés. Il les a affermis pour toujours et à perpétuité; Il a donné des lois, et il ne les violera point.

 

 

Psaume 149:2 : Qu’Israël se réjouisse en celui qui l’a créé! Que les fils de Sion soient dans l’allégresse à cause de leur roi!

 

Proverbes 3:19 : C’est par la sagesse que l’Éternel a fondé la terre, C’est par l’intelligence qu’il a affermi les cieux

 

Proverbes 8:26-29 : Il n’avait encore fait ni la terre, ni les campagnes, Ni le premier atome de la poussière du monde. Lorsqu’il disposa les cieux, j’étais là; Lorsqu’il traça un cercle à la surface de l’abîme, Lorsqu’il fixa les nuages en haut, Et que les sources de l’abîme jaillirent avec force, Lorsqu’il donna une limite à la mer, Pour que les eaux n’en franchissent pas les bords, Lorsqu’il posa les fondements de la terre

 

Proverbes 14:31 : Opprimer le pauvre, c’est outrager celui qui l’a fait; Mais avoir pitié de l’indigent, c’est l’honorer.

 

Proverbes 16:4 : L’Éternel a tout fait pour un but, Même le méchant pour le jour du malheur.

 

Proverbes 17:5 : Celui qui se moque du pauvre outrage celui qui l’a fait; Celui qui se réjouit d’un malheur ne restera pas impuni.

 

Proverbes 20:12 : L’oreille qui entend, et l’oeil qui voit, C’est l’Éternel qui les a faits l’un et l’autre.

 

Proverbes 22:2 : Le riche et le pauvre se rencontrent; C’est l’Éternel qui les a faits l’un et l’autre.

 

Proverbes 30:4 : Qui est monté aux cieux, et qui en est descendu? Qui a recueilli le vent dans ses mains? Qui a serré les eaux dans son vêtement? Qui a fait paraître les extrémités de la terre? Quel est son nom, et quel est le nom de son fils? Le sais-tu?

 

Ecclésiaste 3:11 : Il fait toute chose bonne en son temps; même il a mis dans leur coeur la pensée de l’éternité, bien que l’homme ne puisse pas saisir l’oeuvre que Dieu fait, du commencement jusqu’à la fin.

 

Ecclésiaste 7:29 : Seulement, voici ce que j’ai trouvé, c’est que Dieu a fait les hommes droits; mais ils ont cherché beaucoup de détours.

 

Ecclésiaste 11:5 : Comme tu ne sais pas quel est le chemin du vent, ni comment se forment les os dans le ventre de la femme enceinte, tu ne connais pas non plus l’oeuvre de Dieu qui fait tout.

Ecclésiaste 12:1 : Mais souviens-toi de ton créateur pendant les jours de ta jeunesse, avant que les jours mauvais arrivent et que les années s’approchent où tu diras: Je n’y prends point de plaisir

 

Ecclésiaste 12:7 : avant que la poussière retourne à la terre, comme elle y était, et que l’esprit retourne à Dieu qui l’a donné.

 

Ésaïe 17:7 : En ce jour, l’homme regardera vers son créateur, Et ses yeux se tourneront vers le Saint d’Israël

 

Ésaïe 27:11 : Quand les rameaux sèchent, on les brise; Des femmes viennent, pour les brûler. C’était un peuple sans intelligence: Aussi celui qui l’a fait n’a point eu pitié de lui, Celui qui l’a formé ne lui a point fait grâce.

 

Ésaïe 29:16 : Quelle perversité est la vôtre! Le potier doit-il être considéré comme de l’argile, Pour que l’ouvrage dise de l’ouvrier: Il ne m’a point fait? Pour que le vase dise du potier: Il n’a point d’intelligence?

 

Ésaïe 37:16 : Éternel des armées, Dieu d’Israël, assis sur les chérubins! C’est toi qui es le seul Dieu de tous les royaumes de la terre, c’est toi qui as fait les cieux et la terre.

 

Ésaïe 40:26-28 : Levez vos yeux en haut, et regardez! Qui a créé ces choses? Qui fait marcher en ordre leur armée? Il les appelle toutes par leur nom; Par son grand pouvoir et par sa force puissante, Il n’en est pas une qui fasse défaut. Pourquoi dis-tu, Jacob, Pourquoi dis-tu, Israël: Ma destinée est cachée devant l’Éternel, Mon droit passe inaperçu devant mon Dieu? Ne le sais-tu pas? ne l’as-tu pas appris? C’est le Dieu d’éternité, l’Éternel, Qui a créé les extrémités de la terre; Il ne se fatigue point, il ne se lasse point; On ne peut sonder son intelligence.

 

 

 

Ésaïe 42:5 : Ainsi parle Dieu, l’Éternel, Qui a créé les cieux et qui les a déployés, Qui a étendu la terre et ses productions, Qui a donné la respiration à ceux qui la peuplent, Et le souffle à ceux qui y marchent.

 

Ésaïe 43:1 : Ainsi parle maintenant l’Éternel, qui t’a créé, ô Jacob! Celui qui t’a formé, ô Israël! Ne crains rien, car je te rachète, Je t’appelle par ton nom: tu es à moi!

 

Ésaïe 43:7 : Tous ceux qui s’appellent de mon nom, Et que j’ai créés pour ma gloire, Que j’ai formés et que j’ai faits.

 

Ésaïe 43:10-13 : Vous êtes mes témoins, dit l’Éternel, Vous, et mon serviteur que j’ai choisi, Afin que vous le sachiez, Que vous me croyiez et compreniez que c’est moi: Avant moi il n’a point été formé de Dieu, Et après moi il n’y en aura point. C’est moi, moi qui suis l’Éternel, Et hors moi il n’y a point de sauveur. C’est moi qui ai annoncé, sauvé, prédit, Ce n’est point parmi vous un dieu étranger; Vous êtes mes témoins, dit l’Éternel, C’est moi qui suis Dieu. Je le suis dès le commencement, Et nul ne délivre de ma main; J’agirai: qui s’y opposera?

 

Ésaïe 43:15 : Je suis l’Éternel, votre Saint, Le créateur d’Israël, votre roi.

 

Ésaïe 43: 27 : Ton premier père a péché, Et tes interprètes se sont rebellés contre moi.

 

 

 

Ésaïe 45:7-12 : Je forme la lumière, et je crée les ténèbres, Je donne la prospérité, et je crée l’adversité; Moi, l’Éternel, je fais toutes ces choses. Que les cieux répandent d’en haut Et que les nuées laissent couler la justice! Que la terre s’ouvre, que le salut y fructifie, Et qu’il en sorte à la fois la délivrance! Moi, l’Éternel, je crée ces choses. Malheur à qui conteste avec son créateur! -Vase parmi des vases de terre! -L’argile dit-elle à celui qui la façonne: Que fais-tu? Et ton oeuvre: Il n’as point de mains? Malheur à qui dit à son père: Pourquoi m’as-tu engendré? Et à sa mère: Pourquoi m’as-tu enfanté? Ainsi parle l’Éternel, le Saint d’Israël, et son créateur: Veut-on me questionner sur l’avenir, Me donner des ordres sur mes enfants et sur l’oeuvre de mes mains? C’est moi qui ai fait la terre, Et qui sur elle ai créé l’homme; C’est moi, ce sont mes mains qui ont déployé les cieux, Et c’est moi qui ai disposé toute leur armée.

 

Ésaïe 45:18 : Car ainsi parle l’Éternel, Le créateur des cieux, le seul Dieu, Qui a formé la terre, qui l’a faite et qui l’a affermie, Qui l’a créée pour qu’elle ne fût pas déserte, Qui l’a formée pour qu’elle fût habitée: Je suis l’Éternel, et il n’y en a point d’autre.

 

Ésaïe 48:12-13 : Écoute-moi, Jacob! Et toi, Israël, que j’ai appelé! C’est moi, moi qui suis le premier, C’est aussi moi qui suis le dernier. Ma main a fondé la terre, Et ma droite a étendu les cieux: Je les appelle, et aussitôt ils se présentent.

 

Ésaïe 49:5 : Maintenant, l’Éternel parle, Lui qui m’a formé dès ma naissance Pour être son serviteur, Pour ramener à lui Jacob, Et Israël encore dispersé; Car je suis honoré aux yeux de l’Éternel, Et mon Dieu est ma force.

 

Ésaïe 51:13 : Et tu oublierais l’Éternel, qui t’a fait, Qui a étendu les cieux et fondé la terre! Et tu tremblerais incessamment tout le jour Devant la colère de l’oppresseur, Parce qu’il cherche à détruire! Où donc est la colère de l’oppresseur?

 

Ésaïe 51:16 : Je mets mes paroles dans ta bouche, Et je te couvre de l’ombre de ma main, Pour étendre de nouveaux cieux et fonder une nouvelle terre, Et pour dire à Sion: Tu es mon peuple!

 

Ésaïe 54:5 : Car ton créateur est ton époux: L’Éternel des armées est son nom; Et ton rédempteur est le Saint d’Israël: Il se nomme Dieu de toute la terre

 

Ésaïe 57:16 : Je ne veux pas contester à toujours, Ni garder une éternelle colère, Quand devant moi tombent en défaillance les esprits, Les âmes que j’ai faites.

 

Ésaïe 64:8 : Cependant, ô Éternel, tu es notre père; Nous sommes l’argile, et c’est toi qui nous as formés, Nous sommes tous l’ouvrage de tes mains.

 

Ésaïe 65:17-18 : Car je vais créer de nouveaux cieux Et une nouvelle terre; On ne se rappellera plus les choses passées, Elles ne reviendront plus à l’esprit. Réjouissez-vous plutôt et soyez à toujours dans l’allégresse, A cause de ce que je vais créer; Car je vais créer Jérusalem pour l’allégresse, Et son peuple pour la joie.

 

Ésaïe 66:1-2 : Ainsi parle l’Éternel: Le ciel est mon trône, Et la terre mon marchepied. Quelle maison pourriez-vous me bâtir, Et quel lieu me donneriez-vous pour demeure? Toutes ces choses, ma main les a faites, Et toutes ont reçu l’existence, dit l’Éternel. Voici sur qui je porterai mes regards: Sur celui qui souffre et qui a l’esprit abattu, Sur celui qui craint ma parole.

 

Jérémie 1:5 : Avant que je t’eusse formé dans le ventre de ta mère, je te connaissais, et avant que tu fusses sorti de son sein, je t’avais consacré, je t’avais établi prophète des nations.

Jérémie 5:22 : Ne me craindrez-vous pas, dit l’Éternel, Ne tremblerez-vous pas devant moi? C’est moi qui ai donné à la mer le sable pour limite, Limite éternelle qu’elle ne doit pas franchir; Ses flots s’agitent, mais ils sont impuissants; Ils mugissent, mais ils ne la franchissent pas.

 

Jérémie 10:11-16 : Vous leur parlerez ainsi: Les dieux qui n’ont point fait les cieux et la terre Disparaîtront de la terre et de dessous les cieux. Il a créé la terre par sa puissance, Il a fondé le monde par sa sagesse, Il a étendu les cieux par son intelligence. A sa voix, les eaux mugissent dans les cieux; Il fait monter les nuages des extrémités de la terre, Il produit les éclairs et la pluie, Il tire le vent de ses trésors. Tout homme devient stupide par sa science, Tout orfèvre est honteux de son image taillée; Car ses idoles ne sont que mensonge, Il n’y a point en elles de souffle, Elles sont une chose de néant, une oeuvre de tromperie; Elles périront, quand viendra le châtiment. Celui qui est la part de Jacob n’est pas comme elles; Car c’est lui qui a tout formé, Et Israël est la tribu de son héritage. L’Éternel des armées est son nom.

 

Jérémie 14:22 : Parmi les idoles des nations, en est-il qui fassent pleuvoir? Ou est-ce le ciel qui donne la pluie? N’est-ce pas toi, Éternel, notre Dieu? Nous espérons en toi, Car c’est toi qui as fait toutes ces choses.

 

Jérémie 27:5 : C’est moi qui ai fait la terre, les hommes et les animaux qui sont sur la terre, par ma grande puissance et par mon bras étendu, et je donne la terre à qui cela me plaît.

Jérémie 31:35 : Ainsi parle l’Éternel, qui a fait le soleil pour éclairer le jour, Qui a destiné la lune et les étoiles à éclairer la nuit, Qui soulève la mer et fait mugir ses flots, Lui dont le nom est l’Éternel des armées

 

Jérémie 32:17 : Ah! Seigneur Éternel, Voici, tu as fait les cieux et la terre Par ta grande puissance et par ton bras étendu: Rien n’est étonnant de ta part.

 

Jérémie 51:15-19 : Il a crée la terre par sa puissance, Il a fondé le monde par sa sagesse, Il a étendu les cieux par son intelligence. A sa voix, les eaux mugissent dans les cieux, Il fait monter les nuages des extrémités de la terre, Il produit les éclairs et la pluie, Il tire le vent de ses trésors. Tout homme devient stupide par sa science, Tout orfèvre est honteux de son image taillée; Car ses idoles ne sont que mensonge, Il n’y a point en elles de souffle. Elles sont une chose de néant, une oeuvre de tromperie; Elles périront, quand viendra le châtiment. Celui qui est la part de Jacob n’est pas comme elles; Car c’est lui qui a tout formé, Et Israël est la tribu de son héritage. L’Éternel des armées est son nom.

 

Osée 8:14 : Israël a oublié celui qui l’a fait, Et a bâti des palais, Et Juda a multiplié les villes fortes; Mais j’enverrai le feu dans leurs villes, Et il en dévorera les palais.

 

Amos 4:13 : Car voici celui qui a formé les montagnes et créé le vent, Et qui fait connaître à l’homme ses pensées, Celui qui change l’aurore en ténèbres, Et qui marche sur les hauteurs de la terre: Son nom est l’Éternel, le Dieu des armées.

 

Amos 5:8 : Il a créé les Pléiades et l’Orion, Il change les ténèbres en aurore, Il obscurcit le jour pour en faire la nuit, Il appelle les eaux de la mer, Et les répand à la surface de la terre: L’Éternel est son nom.

 

Amos 9:6 : Il a bâti sa demeure dans les cieux, Et fondé sa voûte sur la terre; Il appelle les eaux de la mer, Et les répand à la surface de la terre: L’Éternel est son nom.

 

Jonas 1:9 : Il leur répondit: Je suis Hébreu, et je crains l’Éternel, le Dieu des cieux, qui a fait la mer et la terre.

 

Zacharie 12:1 : Oracle, parole de l’Éternel sur Israël. Ainsi parle l’Éternel, qui a étendu les cieux et fondé la terre, Et qui a formé l’esprit de l’homme au dedans de lui

 

Malachie 2:10 : N’avons-nous pas tous un seul père? N’est-ce pas un seul Dieu qui nous a créés? Pourquoi donc sommes-nous infidèles l’un envers l’autre, En profanant l’alliance de nos pères?

 

Matthieu 13:35 : afin que s’accomplît ce qui avait été annoncé par le prophète: J’ouvrirai ma bouche en paraboles, Je publierai des choses cachées depuis la création du monde.

 

Matthieu 19:4-6 : Il répondit: N’avez-vous pas lu que le créateur, au commencement, fit l’homme et la femme et qu’il dit: C’est pourquoi l’homme quittera son père et sa mère, et s’attachera à sa femme, et les deux deviendront une seule chair? Ainsi ils ne sont plus deux, mais ils sont une seule chair. Que l’homme donc ne sépare pas ce que Dieu a joint.

 

Matthieu 23:35 : afin que retombe sur vous tout le sang innocent répandu sur la terre, depuis le sang d’Abel le juste jusqu’au sang de Zacharie, fils de Barachie, que vous avez tué entre le temple et l’autel.

 

Matthieu 24:37-39 : Ce qui arriva du temps de Noé arrivera de même à l’avènement du Fils de l’homme. Car, dans les jours qui précédèrent le déluge, les hommes mangeaient et buvaient, se mariaient et mariaient leurs enfants, jusqu’au jour où Noé entra dans l’arche; et ils ne se doutèrent de rien, jusqu’à ce que le déluge vînt et les emportât tous: il en sera de même à l’avènement du Fils de l’homme.

 

Marc 10:6 : Mais au commencement de la création, Dieu fit l’homme et la femme

 

Marc 13:19 : Car la détresse, en ces jours, sera telle qu’il n’y en a point eu de semblable depuis le commencement du monde que Dieu a créé jusqu’à présent, et qu’il n’y en aura jamais.

 

Luc 3:34-38 : fils de Jacob, fils d’Isaac, fils d’Abraham, fis de Thara, fils de Nachor, fils de Seruch, fils de Ragau, fils de Phalek, fils d’Éber, fils de Sala, fils de Kaïnam, fils d’Arphaxad, fils de Sem, fils de Noé, fils de Lamech, fils de Mathusala, fils d’Énoch, fils de Jared, fils de Maléléel, fils de Kaïnan, fils d’Énos, fils de Seth, fils d’Adam, fils de Dieu.

 

 

 

Luc 11:51 : depuis le sang d’Abel jusqu’au sang de Zacharie, tué entre l’autel et le temple; oui, je vous le dis, il en sera demandé compte à cette génération.

 

Luc 17:26-27 : Ce qui arriva du temps de Noé arrivera de même aux jours du Fils de l’homme. Les hommes mangeaient, buvaient, se mariaient et mariaient leurs enfants, jusqu’au jour où Noé entra dans l’arche; le déluge vint, et les fit tous périr.

 

Jean 1:1-3 : Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. Elle était au commencement avec Dieu. Toutes choses ont été faites par elle, et rien de ce qui a été fait n’a été fait sans elle.

 

Jean 8:44 : Vous avez pour père le diable, et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il a été meurtrier dès le commencement, et il ne se tient pas dans la vérité, parce qu’il n’y a pas de vérité en lui. Lorsqu’il profère le mensonge, il parle de son propre fonds; car il est menteur et le père du mensonge.

 

Jean 17:24 : Père, je veux que là où je suis ceux que tu m’as donnés soient aussi avec moi, afin qu’ils voient ma gloire, la gloire que tu m’as donnée, parce que tu m’as aimé avant la fondation du monde.

 

Actes 4:24 : Lorsqu’ils l’eurent entendu, ils élevèrent à Dieu la voix tous ensemble, et dirent: Seigneur, toi qui as fait le ciel, la terre, la mer, et tout ce qui s’y trouve

 

Actes 7:49-50 : Le ciel est mon trône, Et la terre mon marchepied. Quelle maison me bâtirez-vous, dit le Seigneur, Ou quel sera le lieu de mon repos? N’est-ce pas ma main qui a fait toutes ces choses?

Actes 14:15 : en s’écriant: O hommes, pourquoi agissez-vous de la sorte? Nous aussi, nous sommes des hommes de la même nature que vous; et, vous apportant une bonne nouvelle, nous vous exhortons à renoncer à ces choses vaines, pour vous tourner vers le Dieu vivant, qui a fait le ciel, la terre, la mer, et tout ce qui s’y trouve.

 

Actes 17:24 : Le Dieu qui a fait le monde et tout ce qui s’y trouve, étant le Seigneur du ciel et de la terre, n’habite point dans des temples faits de main d’homme

 

Romains 1:20 : En effet, les perfections invisibles de Dieu, sa puissance éternelle et sa divinité, se voient comme à l’oeil, depuis la création du monde, quand on les considère dans ses ouvrages. Ils sont donc inexcusables

 

Romains 4:17 : Je t’ai établi père d’un grand nombre de nations. Il est notre père devant celui auquel il a cru, Dieu, qui donne la vie aux morts, et qui appelle les choses qui ne sont point comme si elles étaient.

 

Romains 5:12-19 : C’est pourquoi, comme par un seul homme le péché est entré dans le monde, et par le péché la mort, et qu’ainsi la mort s’est étendue sur tous les hommes, parce que tous ont péché,… car jusqu’à la loi le péché était dans le monde. Or, le péché n’est pas imputé, quand il n’y a point de loi. Cependant la mort a régné depuis Adam jusqu’à Moïse, même sur ceux qui n’avaient pas péché par une transgression semblable à celle d’Adam, lequel est la figure de celui qui devait venir. Mais il n’en est pas du don gratuit comme de l’offense; car, si par l’offense d’un seul il en est beaucoup qui sont morts, à plus forte raison la grâce de Dieu et le don de la grâce venant d’un seul homme, Jésus Christ, ont-ils été abondamment répandus sur beaucoup. Et il n’en est pas du don comme de ce qui est arrivé par un seul qui a péché; car c’est après une seule offense que le jugement est devenu condamnation, tandis que le don gratuit devient justification après plusieurs offenses. Si par l’offense d’un seul la mort a régné par lui seul, à plus forte raison ceux qui reçoivent l’abondance de la grâce et du don de la justice régneront-ils dans la vie par Jésus Christ lui seul. Ainsi donc, comme par une seule offense la condamnation a atteint tous les hommes, de même par un seul acte de justice la justification qui donne la vie s’étend à tous les hommes. Car, comme par la désobéissance d’un seul homme beaucoup ont été rendus pécheurs, de même par l’obéissance d’un seul beaucoup seront rendus justes.

 

 

Romains 8:20-22 : Car la création a été soumise à la vanité, -non de son gré, mais à cause de celui qui l’y a soumise, – avec l’espérance qu’elle aussi sera affranchie de la servitude de la corruption, pour avoir part à la liberté de la gloire des enfants de Dieu. Or, nous savons que, jusqu’à ce jour, la création tout entière soupire et souffre les douleurs de l’enfantement.

 

Romains 9:20 : O homme, toi plutôt, qui es-tu pour contester avec Dieu? Le vase d’argile dira-t-il à celui qui l’a formé: Pourquoi m’as-tu fait ainsi?

 

Romains 11:36 : C’est de lui, par lui, et pour lui que sont toutes choses. A lui la gloire dans tous les siècles! Amen!

 

1 Corinthiens 6:16 : Loin de là! Ne savez-vous pas que celui qui s’attache à la prostituée est un seul corps avec elle? Car, est-il dit, les deux deviendront une seule chair.

1 Corinthiens 11:8-9 : En effet, l’homme n’a pas été tiré de la femme, mais la femme a été tirée de l’homme; et l’homme n’a pas été créé à cause de la femme, mais la femme a été créée à cause de l’homme.

 

1 Corinthiens 15:21-22 : Car, puisque la mort est venue par un homme, c’est aussi par un homme qu’est venue la résurrection des morts. Et comme tous meurent en Adam, de même aussi tous revivront en Christ

 

1 Corinthiens 15:38-47 : puis Dieu lui donne un corps comme il lui plaît, et à chaque semence il donne un corps qui lui est propre. Toute chair n’est pas la même chair; mais autre est la chair des hommes, autre celle des quadrupèdes, autre celle des oiseaux, autre celle des poissons. Il y a aussi des corps célestes et des corps terrestres; mais autre est l’éclat des corps célestes, autre celui des corps terrestres. Autre est l’éclat du soleil, autre l’éclat de la lune, et autre l’éclat des étoiles; même une étoile diffère en éclat d’une autre étoile. Ainsi en est-il de la résurrection des morts. Le corps est semé corruptible; il ressuscite incorruptible; il est semé méprisable, il ressuscite glorieux; il est semé infirme, il ressuscite plein de force; il est semé corps animal, il ressuscite corps spirituel. S’il y a un corps animal, il y a aussi un corps spirituel. C’est pourquoi il est écrit: Le premier homme, Adam, devint une âme vivante. Le dernier Adam est devenu un esprit vivifiant. Mais ce qui est spirituel n’est pas le premier, c’est ce qui est animal; ce qui est spirituel vient ensuite. Le premier homme, tiré de la terre, est terrestre; le second homme est du ciel. Tel est le terrestre, tels sont aussi les terrestres; et tel est le céleste, tels sont aussi les célestes.

 

 

 

 

2 Corinthiens 4:6 : Car Dieu, qui a dit: La lumière brillera du sein des ténèbres! a fait briller la lumière dans nos coeurs pour faire resplendir la connaissance de la gloire de Dieu sur la face de Christ.

 

2 Corinthiens 11:3 : Toutefois, de même que le serpent séduisit Eve par sa ruse, je crains que vos pensées ne se corrompent et ne se détournent de la simplicité à l’égard de Christ.

 

Éphésiens 3:9 : et de mettre en lumière quelle est la dispensation du mystère caché de tout temps en Dieu qui a créé toutes choses

 

Éphésiens 5:31 : C’est pourquoi l’homme quittera son père et sa mère, et s’attachera à sa femme, et les deux deviendront une seule chair.

 

Colossiens 1:16 : Car en lui ont été créées toutes les choses qui sont dans les cieux et sur la terre, les visibles et les invisibles, trônes, dignités, dominations, autorités. Tout a été créé par lui et pour lui.

Colossiens 3:10 : et ayant revêtu l’homme nouveau, qui se renouvelle, dans la connaissance, selon l’image de celui qui l’a créé.

 

1 Timothée 2:13-14 : Car Adam a été formé le premier, Eve ensuite; et ce n’est pas Adam qui a été séduit, c’est la femme qui, séduite, s’est rendue coupable de transgression.

 

1 Timothée 4:4 : Car tout ce que Dieu a créé est bon, et rien ne doit être rejeté, pourvu qu’on le prenne avec actions de grâces

 

Hébreux 1:2 : Dieu, dans ces derniers temps, nous a parlé par le Fils, qu’il a établi héritier de toutes choses, par lequel il a aussi créé le monde

 

Hébreux 1:10 : Et encore: Toi, Seigneur, tu as au commencement fondé la terre, Et les cieux sont l’ouvrage de tes mains

 

Hébreux 2:10 : Il convenait, en effet, que celui pour qui et par qui sont toutes choses, et qui voulait conduire à la gloire beaucoup de fils, élevât à la perfection par les souffrances le Prince de leur salut.

 

Hébreux 3:4 : Chaque maison est construite par quelqu’un, mais celui qui a construit toutes choses, c’est Dieu.

 

Hébreux 4:3-4 : Pour nous qui avons cru, nous entrons dans le repos, selon qu’il dit: Je jurai dans ma colère: Ils n’entreront pas dans mon repos! Il dit cela, quoique ses oeuvres eussent été achevées depuis la création du monde. Car il a parlé quelque part ainsi du septième jour: Et Dieu se reposa de toutes ses oeuvres le septième jour.

 

Hébreux 9:25-26 : Et ce n’est pas pour s’offrir lui-même plusieurs fois qu’il y est entré, comme le souverain sacrificateur entre chaque année dans le sanctuaire avec du sang étranger; autrement, il aurait fallu qu’il eût souffert plusieurs fois depuis la création du monde, tandis que maintenant, à la fin des siècles, il a paru une seul fois pour abolir le péché par son sacrifice.

Hébreux 11:3-7 : C’est par la foi que nous reconnaissons que le monde a été formé par la parole de Dieu, en sorte que ce qu’on voit n’a pas été fait de choses visibles. C’est par la foi qu’Abel offrit à Dieu un sacrifice plus excellent que celui de Caïn; c’est par elle qu’il fut déclaré juste, Dieu approuvant ses offrandes; et c’est par elle qu’il parle encore, quoique mort. C’est par la foi qu’Énoch fut enlevé pour qu’il ne vît point la mort, et qu’il ne parut plus parce Dieu l’avait enlevé; car, avant son enlèvement, il avait reçu le témoignage qu’il était agréable à Dieu. Or sans la foi il est impossible de lui être agréable; car il faut que celui qui s’approche de Dieu croie que Dieu existe, et qu’il est le rémunérateur de ceux qui le cherchent. C’est par la foi que Noé, divinement averti des choses qu’on ne voyait pas encore, et saisi d’une crainte respectueuse, construisit une arche pour sauver sa famille; c’est par elle qu’il condamna le monde, et devint héritier de la justice qui s’obtient par la foi.

 

 

 

Hébreux 12:24 : de Jésus qui est le médiateur de la nouvelle alliance, et du sang de l’aspersion qui parle mieux que celui d’Abel.

 

Jacques 3:9 : Par elle nous bénissons le Seigneur notre Père, et par elle nous maudissons les hommes faits à l’image de Dieu.

 

1 Pierre 3:20 : qui autrefois avaient été incrédules, lorsque la patience de Dieu se prolongeait, aux jours de Noé, pendant la construction de l’arche, dans laquelle un petit nombre de personnes, c’est-à-dire huit, furent sauvées à travers l’eau.

 

1 Pierre 4:19 : Ainsi, que ceux qui souffrent selon la volonté de Dieu remettent leurs âmes au fidèle Créateur, en faisant ce qui est bien.

 

 

2 Pierre 2:5 : s’il n’a pas épargné l’ancien monde, mais s’il a sauvé Noé, lui huitième, ce prédicateur de la justice, lorsqu’il fit venir le déluge sur un monde d’impies

 

2 Pierre 3:4-6 : et disant: Où est la promesse de son avènement? Car, depuis que les pères sont morts, tout demeure comme dès le commencement de la création. Ils veulent ignorer, en effet, que des cieux existèrent autrefois par la parole de Dieu, de même qu’une terre tirée de l’eau et formée au moyen de l’eau, et que par ces choses le monde d’alors périt, submergé par l’eau

 

 

1 Jean 3:8-12 : Celui qui pèche est du diable, car le diable pèche dès le commencement. Le Fils de Dieu a paru afin de détruire les oeuvres du diable. Quiconque est né de Dieu ne pratique pas le péché, parce que la semence de Dieu demeure en lui; et il ne peut pécher, parce qu’il est né de Dieu. C’est par là que se font reconnaître les enfants de Dieu et les enfants du diable. Quiconque ne pratique pas la justice n’est pas de Dieu, non plus que celui qui n’aime pas son frère. Car ce qui vous a été annoncé et ce que vous avez entendu dès le commencement, c’est que nous devons nous aimer les uns les autres, et ne pas ressembler à Caïn, qui était du malin, et qui tua son frère. Et pourquoi le tua-t-il? parce que ses oeuvres étaient mauvaises, et que celles de son frère étaient justes.

 

 

Jude 11 : Malheur à eux! car ils ont suivi la voie de Caïn, ils se sont jetés pour un salaire dans l’égarement de Balaam, ils se sont perdus par la révolte de Coré.

 

Jude 14 : C’est aussi pour eux qu’Énoch, le septième depuis Adam, a prophétisé en ces termes: Voici, le Seigneur est venu avec ses saintes myriades

 

Apocalypse 2:7 : Que celui qui a des oreilles entende ce que l’Esprit dit aux Églises: A celui qui vaincra je donnerai à manger de l’arbre de vie, qui est dans le paradis de Dieu.

 

Apocalypse 3:14 : Écris à l’ange de l’Église de Laodicée: Voici ce que dit l’Amen, le témoin fidèle et véritable, le commencement de la création de Dieu.

 

Apocalypse 4:11 : Tu es digne, notre Seigneur et notre Dieu, de recevoir la gloire et l’honneur et la puissance; car tu as créé toutes choses, et c’est par ta volonté qu’elles existent et qu’elles ont été créées.

 

Apocalypse 10:6 : et jura par celui qui vit aux siècles des siècles, qui a créé le ciel et les choses qui y sont, la terre et les choses qui y sont, et la mer et les choses qui y sont, qu’il n’y aurait plus de temps.

 

 

Apocalypse 14:7 : Il disait d’une voix forte: Craignez Dieu, et donnez-lui gloire, car l’heure de son jugement est venue; et adorez celui qui a fait le ciel, et la terre, et la mer, et les sources d’eaux.

 

 

Apocalypse 20:2 : Il saisit le dragon, le serpent ancien, qui est le diable et Satan, et il le lia pour mille ans.

 

 

Les citations sont tirées de la traduction Louis Segond.

 

 

 

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