07/04/2015
Notre minorité agissante a les clés de l'avenir........
Délégué général d’Alliance VITA, promoteur du Courant pour une écologie humaine et porte-parole de la Manif pour tous, Tugdual Derville répond à Politique Magazine. Extraits :
"Najat Vallaud-Belkacem s’est montrée, dès le début de notre mouvement social, particulièrement idéologique. Une vidéo a circulé, à l’époque, dans laquelle on la voit demander à de très jeunes élèves de « changer la mentalité de leurs parents » en faveur de la loi Taubira ! Avant d’être ministre, elle était d’ailleurs, au PS, chef de file du courant favorable à la GPA. C’est donc une personnalité aux antipodes de notre mouvement social. Sa nomination, dans un ministère d’importance, n’a rien fait pour nous rassurer. [...]
Quel bilan tirer de ces deux années de mobilisations ?
A court terme, notre mouvement a déjà connu une fécondité qui dépasse les notions de « victoire » ou de « défaite ». Je suis prudent avec l’usage de ces mots. Certes, la loi a été votée – et on peut s’en désoler. Certes, elle n’a pas validé, comme le voulaient ses promoteurs, la PMA et la GPA homosexuelles, mais les tribunaux français et européens s’emploient à le faire. Nous avons, tout de même, fait reculer le pouvoir sur la loi famille. C’est à long terme que s’est ouverte la grande promesse. Une chape de plomb a été levée permettant une libération de la parole et, surtout, des consciences. C’est le plus important ! Nous entamons aujourd’hui un tournant culturel : des générations nouvelles s’investissent au service du Bien commun dans un mouvement de « désembourgeoisement ». Beaucoup s’engagent dans des initiatives foisonnantes (Veilleurs, Sentinelles, écologie Humaine, Sens commun etc…), en y travaillant jour et nuit. Des jeunes choisissent des métiers en adéquation avec leurs idées, quitte à renoncer à des carrières plus rémunératrices. Cette minorité agissante (qui s’est réunie en grandes foules) a les clés de l’avenir. L’Histoire nous enseigne que ce sont toujours ces « minorités conscientisées » qui font évoluer la culture et avancer la société, alors que les masses restent versatiles, inféodées aux modes. [...]
Pour vous, la droite parlementaire, réputée conservatrice, joue-t-elle suffisamment son rôle d’opposant à ces projets de lois ?
Notre mouvement social a été vu avec sidération des deux côtés de l’échiquier politique. Pour le gouvernement, comme évoqué plus haut, mais aussi pour l’opposition parlementaire. Si certains de ses députés ont bataillé courageusement, d’autres ont hésité. Sans doute quelques-uns ont-ils rejoints nos cortèges selon leur intérêt politique. C’est le jeu, mais nous sommes restés prudents face à toute récupération politique du mouvement. Il y a des politiques habitués au louvoiement qui changent vite de position… J’espère que les convictions dont nos manifestations ont témoigné sereinement, auront permis à certains de se constituer un fonds argumentaire, qui était jusqu’alors un peu pauvre sur les questions éthiques. Si des élus négligent le rôle de la famille, fondement de la subsidiarité, on imagine mal leur manière de gouverner dans les sphères plus hautes. La nation française n’est qu’une famille de familles. C’est d’ailleurs la famille qui explique la nation et non l’inverse. [...]"
09:28 Publié dans Science | Lien permanent | Commentaires (0)
03/04/2015
Le singe n’est pas le père de l’humanité, Dieu merci, par L. Glauzy
Les évolutionnistes jouent sur les pourcentages pour faire croire que le singe est proche de l’homme. Qu’en est-il exactement ?
Les évolutionnistes utilisent à vau-l’eau les ressemblances génétiques. Ils en déduisent des liens de parenté, une descendance. Pourtant, de récentes découvertes démentent que l’homme et le singe partagent 99 % de leur code ou patrimoine génétique. Un article de Science Magazine du 29 juin 2007 intitulé « Relative Differences : The Myth of 1 % » (Des différences relatives : le mythe du 1 %) mentionne que cette différence est plus prononcée. Elle ne serait pas de 1 %, mais de 6,4 %. En Suède, le Dr Swante Pääbo surnommé « le pape de l’archéo-génétique » en référence à une étude menée sur l’ADN d’un prince égyptien momifié, dit qu’il n’existe pas aujourd’hui de moyens suffisamment précis pour se prononcer de manière péremptoire sur cette différence.
Dans la parution bibliste Creation update, les défenseurs du créationnisme avancent que cette ressemblance s’explique parce que nous vivons sur la même planète et que nous avons le même Créateur. Ils soulignent avec perspicacité que les évolutionnistes occultent une information majeure : l’ADN de l’homme est à 66 % identique à celui des choux !
De plus, l’homme compte vingt-trois paires de chromosomes. Ils sont constitués d’ADN. L’ADN total du génome humain comporte près de trois milliards de bases. Les bases sont désignées par les lettres A, T, G, C. Les combinaisons des bases correspondent à des instructions formant un être vivant. Cela signifie par exemple qu’un écart de 2 % correspond à soixante millions de bases contenant des informations différentes.
L’homme n’a donc rien a voir avec le singe comme le démontre l’absence totale de chaînons manquants. Il est à répéter que la science a maintes fois monté des faux comme l’homme de Nebraska, l’homme de Piltdown, l’homme de Java et Lucy, mélangeant des os d’homme et de singe.
« La science moderne est la science du démon » (Padre Pio, dont le corps est intact)
10:26 Publié dans Apolégétique | Lien permanent | Commentaires (0)