Alors que le monde semble la proie d’une épidémie de psychopathie islamiste sans précédent (déséquilibre psychologique ne touchant que des individus se réclamant de l’islam, ce que ce dernier dément formellement : il s’agit donc d’une pathologie touchant une catégorie humaine inédite, le musulman non islamique), nulle étude épidémiologique ne semble avoir été envisagée, pour l’heure, par les instances mondiales de la santé mentale. Le temps presse cependant, car les victimes de cette psychopathie sont de plus en plus nombreuses à travers le monde, et si cette dernière concerne en priorité des musulmans non islamiques, c’est-à dire des fumeurs non fumeurs, un nombre croissant de « kouffars » en sont les victimes également. Ce qui prouve, selon tous les spécialistes, que l’islam n’est pas en cause en tant que tel : tout être humain est une victime potentielle.
Le mécanisme de propagation reste inconnu, la seule certitude épidémiologique étant que la psychopathie se manifeste essentiellement chez des sujets ayant, à un moment ou un autre, fréquenté une mosquée, ce qui est bien entendu radicalement discriminatoire envers ces maisons de paix et d’amour. Pour l’heure, il semble impossible de comprendre pourquoi, sauf très rares exceptions, la source de la psychopathie ne se situe que dans ces bâtisses et non dans des églises, cathédrales ou synagogues, et les spécialistes s’efforcent de découvrir quelles spécificités architecturales pourraient engendrer cette discrimination épidémiologique. Serait-ce dû à la nature des matériaux employés pour leur conception, par exemple les enduits sur les murs ? (Il est à noter également que même des camions n’ayant jamais mis les roues dans une mosquée peuvent être contaminés : d’où leur surnom de « camions fous ». Peut-être transportèrent-ils de ces enduits à un moment ou un autre ?) De même, tout lien avec l’éventuelle nature intrinsèque de l’islam est frénétiquement exclu par le monde politique occidental, ce dernier ne pouvant se résoudre à fournir à quiconque le moyen d’allumer la mèche d’un bâton de dynamite très profondément calé, par ses soins, dans son propre fondement sociétal. L’on se dirige ainsi vers l’hypothèse du complot architectural comme seule explication rationnelle restante de ce scandale discriminatoire islamophobe.
L’actualité immédiate nous offre deux exemples à partir desquels il est encore un peu tôt de prédire un destin de cas d’école… D’abord, samedi, cet « islamiste » originaire des Émirats arabes unis, souffrant « d’instabilité psychologique », « connu comme islamiste mais non comme djihadiste », considéré comme « un cas suspect » avec « des éléments montrant une radicalisation », tuant une personne et en blessant six à Hambourg, aux cris désormais familiers d’Allah est grand (autorités allemandes citées par le JDD). « Simple fait divers ou attaque plus inquiétante ? » Les enquêteurs (qu’Allah les aide) n’ont pu encore le déterminer, précise le JDD. Ah, et puis ce dimanche matin 30 juillet, toujours en Allemagne (Constance), un Irakien de 34 ans, déjà établi en Allemagne, a ouvert le feu dans une discothèque au fusil-mitrailleur, faisant deux morts (dont l’agresseur abattu par la police) et plusieurs blessés. Les autorités affirment qu’il ne s’agit en aucun cas d’un acte terroriste (Source De Telegraaf). Cependant que les vessies des poules aux dents en or massif semblent bel et bien des lanternes.
La bonne nouvelle nous vient (pour une fois) d’Angleterre, où, selon le Sunday Times, les autorités, craignant un retour massif de guerriers musulmans sur son sol en cas d’effondrement de Daech, vient préventivement de déchoir de leur nationalité 150 de ces tristes sires, de même que leurs épouses. Il n’est jamais trop tard pour bien faire, même si ces questions de nationalité n’empêchent en rien toutes sortes de clandestins et d’illégaux d’aller et venir sur notre pauvre continent et commettre des massacres à l’occasion.
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