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13/04/2018

J’ ai été étudiant du CET (depuis fermé) :

 

 

 

 

 

 

 

 

CENTRE d’ÉTUDES THÉOLOGIQUES

  

rue Jules Barbier

   

92290 Chatenay-Malabry

 

  

 

Le Centre d’Etudes Théologiques de l’Eglise Evangélique Luthérienne-

Synode de France et de Belgique prépare au ministère pastoral, par une formation théologique de quatre ans, les titulaires du baccalauréat ou d'un équivalent.

 

 

 

L'enseignement dispensé comprend l'étude des langues anciennes (grec, hébreux, latin) et les principales disciplines théologiques : théologique systématique, introduction à l’Ecriture Sainte, herméneutique, exégèse de l'Ancien et du Nouveau Testament, symbolique, homélitique, théologie pastorale, histoire de l’Eglise, à quoi s’ajoute une introduction à la psychologie appliquée.

 

 

 

Cet enseignement a pour fondement l’affirmation de l’inspiration plénière, de l'infaillibilité et de l'autorité des livres canoniques de l’Ecriture Sainte et renonce à l'utilisation de toute méthode d'investigation critique de la Bible mettant en cause son origine divine et donc la valeur permanente de son contenu. Il veut rester fidèlement attaché aux grandes vérités doctrinales redécouvertes par la Réforme luthérienne. Il accueille, dans la limite des possibilités, tout étudiant qui partage cette conviction doctrinale.

 

 

 

 

 

 

10:13 Publié dans Biographie | Lien permanent | Commentaires (0)

10/04/2018

Une étrange épidémie très mortifère:

 

 

 

 

 

 Se répand en Allemagne:

 

 

 

 

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La psychopathie se manifeste essentiellement chez des sujets ayant à un moment ou un autre fréquenté une mosquée…

 

 

 

 

 

 

 
 
 
 
Nouvelliste.
 
 
 
 
 
 

Alors que le monde semble la proie d’une épidémie de psychopathie islamiste sans précédent (déséquilibre psychologique ne touchant que des individus se réclamant de l’islam, ce que ce dernier dément formellement : il s’agit donc d’une pathologie touchant une catégorie humaine inédite, le musulman non islamique), nulle étude épidémiologique ne semble avoir été envisagée, pour l’heure, par les instances mondiales de la santé mentale. Le temps presse cependant, car les victimes de cette psychopathie sont de plus en plus nombreuses à travers le monde, et si cette dernière concerne en priorité des musulmans non islamiques, c’est-à dire des fumeurs non fumeurs, un nombre croissant de « kouffars » en sont les victimes également. Ce qui prouve, selon tous les spécialistes, que l’islam n’est pas en cause en tant que tel : tout être humain est une victime potentielle.

 

 

 

 

Le mécanisme de propagation reste inconnu, la seule certitude épidémiologique étant que la psychopathie se manifeste essentiellement chez des sujets ayant, à un moment ou un autre, fréquenté une mosquée, ce qui est bien entendu radicalement discriminatoire envers ces maisons de paix et d’amour. Pour l’heure, il semble impossible de comprendre pourquoi, sauf très rares exceptions, la source de la psychopathie ne se situe que dans ces bâtisses et non dans des églises, cathédrales ou synagogues, et les spécialistes s’efforcent de découvrir quelles spécificités architecturales pourraient engendrer cette discrimination épidémiologique. Serait-ce dû à la nature des matériaux employés pour leur conception, par exemple les enduits sur les murs ? (Il est à noter également que même des camions n’ayant jamais mis les roues dans une mosquée peuvent être contaminés : d’où leur surnom de « camions fous ». Peut-être transportèrent-ils de ces enduits à un moment ou un autre ?) De même, tout lien avec l’éventuelle nature intrinsèque de l’islam est frénétiquement exclu par le monde politique occidental, ce dernier ne pouvant se résoudre à fournir à quiconque le moyen d’allumer la mèche d’un bâton de dynamite très profondément calé, par ses soins, dans son propre fondement sociétal. L’on se dirige ainsi vers l’hypothèse du complot architectural comme seule explication rationnelle restante de ce scandale discriminatoire islamophobe.

 

 

 

L’actualité immédiate nous offre deux exemples à partir desquels il est encore un peu tôt de prédire un destin de cas d’école… D’abord, samedi, cet « islamiste » originaire des Émirats arabes unis, souffrant « d’instabilité psychologique »« connu comme islamiste mais non comme djihadiste », considéré comme « un cas suspect » avec « des éléments montrant une radicalisation », tuant une personne et en blessant six à Hambourg, aux cris désormais familiers d’Allah est grand (autorités allemandes citées par le JDD). « Simple fait divers ou attaque plus inquiétante ? » Les enquêteurs (qu’Allah les aide) n’ont pu encore le déterminer, précise le JDD. Ah, et puis ce dimanche matin 30 juillet, toujours en Allemagne (Constance), un Irakien de 34 ans, déjà établi en Allemagne, a ouvert le feu dans une discothèque au fusil-mitrailleur, faisant deux morts (dont l’agresseur abattu par la police) et plusieurs blessés. Les autorités affirment qu’il ne s’agit en aucun cas d’un acte terroriste (Source De Telegraaf). Cependant que les vessies des poules aux dents en or massif semblent bel et bien des lanternes.

 

 

 

 

La bonne nouvelle nous vient (pour une fois) d’Angleterre, où, selon le Sunday Times, les autorités, craignant un retour massif de guerriers musulmans sur son sol en cas d’effondrement de Daech, vient préventivement de déchoir de leur nationalité 150 de ces tristes sires, de même que leurs épouses. Il n’est jamais trop tard pour bien faire, même si ces questions de nationalité n’empêchent en rien toutes sortes de clandestins et d’illégaux d’aller et venir sur notre pauvre continent et commettre des massacres à l’occasion.

 

 

 

 

 

 
 
 
 
 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

06/04/2018

On aurait exhumé la ville de Sodome:

 

 

 

 

Et ce n’est probablement pas un hasard si cela advient à une époque où les mœurs infâmes de cette ville détruite se répandent aujourd’hui largement dans le monde…

 

 

 

 

 

 

 

En effet, Sodome, la ville incarnant dans la Bible la dépravation la plus extrême (et ayant donné son nom à un vice en particulier), pourrait bien avoir été localisée par une équipe d’archéologues dans l’actuelle Jordanie.

 

 

 

« Le professeur d’études bibliques et apologétiques de l’Université de Trinity Southwest, Steven Collins est formel :  « le gigantesque site de Tall El Hamman » dans le sud de la vallée du Jourdain, à quelques kilomètres au nord de la mer Morte, réunit « tous les critères » de la ville de Sodome telle qu’elle est décrite dans la Bible, rapporte la revue scientifique Popular Archaeology.

 

 


Sodome apparaît avec sa voisine Gomorrhe, dans le livre de la Genèse ainsi que dans le Livre de la Sagesse parmi trois autres cités formant « les villes de la plaine » située dans la vallée du Jourdain au sud du pays de Canaan.

 

 

 

 

 

 

 

 

Dieu, en réaction à la perversion qui régnait à Sodome, envoya deux anges pour « vérifier » si le péché était bien avéré. « La clameur qui s’élève de Sodome et Gomorrhe est immense et leurs péchés sont énormes… », témoignèrent-ils.

 

 

 


« Alors l’Éternel fit tomber sur Sodome et sur Gomorrhe une pluie de souffre et de feu ; ce fut l’Éternel lui-même qui envoya du ciel ce fléau. Il détruisit ces villes et toute la plaine, et tous les habitants de ces villes. La femme de Lot regarda en arrière, et elle se transforma en statue de sel. Abraham se leva de bon matin et se rendit à l’endroit où il s’était tenu en présence de l’Éternel. De là, il tourna ses regards du côté de Sodome et de Gomorrhe et vers toute l’étendue de la plaine; et il vit monter de la terre une fumée, semblable à la fumée d’une fournaise. » peut-on lire dans l’Ancien Testament (Genèse, XVIII).

 

 

 

Plus la moindre présence humaine durant 700 ans:

 

 

 

 

Selon les textes, Sodome était décrite comme  la plus grande cité du Kikkar (la plaine fertile mentionnée dans la Bible) à l’est du Jourdain. « J’en ai immédiatement conclu qu’il convenait de chercher quel site abritait les plus grandes ruines d’une cité de l’âge du Bronze » explique le docteur Collins. Ainsi, pendant plus de dix années de fouilles, les archéologues ont sorti de terre des objets ainsi que les ruines d’une immense cité appartenant à l’ère du Bronze (3500 – 2350 av. J.c.), en particulier un mur d’enceinte de plus de dix mètres ainsi que des tourelles défensives. « Une réalisation remarquable qui a demandé des millions de briques et, évidemment, un grand nombre d’ouvriers » souligne le docteur Collins. En comparant ces découvertes avec celles des villes avoisinantes, il apparaît que celle-ci était 5 à 10 fois plus grande que les autres.

 

 

 


Plus étonnant encore, sur ce site, tout semble indiquer que l’activité humaine s’est éteinte pendant 700 ans… »

 

 

 

 

 

Pasteur Blanchard

 

09:16 Publié dans Ethique | Lien permanent | Commentaires (0)

03/04/2018

Pakistan :

Deux évangélistes assassinés par des islamistes ?

 

 

 

 

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Deux Chinois, supposés évangélistes, ont été enlevés et assassinés par des islamistes dans le Baloutchistan pakistanais : le Balouchistan recouvre, en fait, le Pakistan, l’Iran et l’Afghanistan. Leur assassinat a été revendiqué par l’État Islamique sans qu’on sache trop si cette revendication n’est pas opportuniste. L’affaire est complexe. Un article long et bien documenté d’Églises d’Asie tente de nous la rendre plus compréhensible.

 

 

 

« Concernant les deux Chinois tués par l’État islamique, rien n’a été trouvé, pour l’instant, qui permette de confirmer la suspicion selon laquelle ils feraient partie d’un groupe missionnaire coréen », a déclaré un haut fonctionnaire sud-coréen au Hindustan Times, mercredi 13 juin dernier. Autorités pakistanaises et chinoises avaient pourtant indiqué qu’il s’agissait de « prédicateurs chrétiens » rattachés à une communauté missionnaire protestante sud-coréenne. Pour le Global Times« cette tragédie est due au conflit entre les agences missionnaires sud-coréennes et les terroristes locaux » ; dès lors, la sécurité des travailleurs chinois, dans cette région clé de la nouvelle route de la soie, ne ferait pas l’objet de menaces particulières.

 

 

 

 

Li Zingyang et Meng Lisi, deux jeunes Chinois de 24 et 26 ans, avaient été kidnappés le 24 mai dernier, à Quetta, capitale du Baloutchistan, province du sud-ouest du Pakistan, par des hommes armés qui prétendaient être des policiers. Le 8 juin, Aamaq, l’agence de propagande de l’Etat islamique (EI), avait annoncé leur exécution. Le ministère des Affaires étrangères chinois s’était alors déclaré « extrêmement préoccupé » et avait rappelé que « la Chine condamn[ait] toute forme de terrorisme et souten[ait] le Pakistan dans sa lutte contre les forces terroristes ». Quelques heures plus tôt, le même jour, l’armée pakistanaise avait publié les détails d’un raid de trois jours sur une cache de militants islamistes du groupe Lashkar-e-Jhangv, soupçonné d’avoir fait allégeance à l’EI, et avait indiqué avoir tué douze « terroristes particulièrement dangereux ».

 

 

 

 

L’agence Reuters, dans une dépêche du 8 juin, rappelait que la Chine avait demandé au Pakistan à de nombreuses reprises d’améliorer la sécurité de ses ressortissants, dans une région-clé de la nouvelle route de la soie. Le Baloutchistan se trouve en effet au cœur du « Couloir économique sino-pakistanais » (CPEC), un vaste projet doté d’investissement à hauteur de 46 milliards de dollars lancé en avril 2015 à l’occasion de la visite du président chinois, reliant Kashar, au pied des montagnes du Tian Shan, dans le Xinjiang, région autonome de l’Est de la Chine, à la mer d’Oman, afin de faciliter l’accès de la Chine au Moyen-Orient. Plus important importateur de pétrole brut au monde, les importations de la Chine proviennent à 80 % du Moyen-Orient. La construction d’un port en eaux profondes à Gwadar et de liaisons routières, ferroviaires, d’oléoducs et de réseaux de communication constitue les principaux chantiers. Mais le Baloutchistan, une région désertique et montagneuse qui a des frontières communes avec l’Iran et l’Afghanistan, est la province la plus pauvre du pays (la moitié de la population y vit sous le seuil de pauvreté), confrontée à des insurrections, aussi bien nationaliste qu’islamiste.

 

 

 

 

Le 12 juin, le ministère de l’Intérieur pakistanais a confirmé le décès des deux ressortissants chinois et indiqué que ces derniers étaient des « prédicateurs » qui étaient entrés dans le pays sous couvert de visas d’affaires. « Au lieu de participer à des activités commerciales, ils sont allés à Quetta, et, sous prétexte d’apprendre l’ourdou [la langue nationale du Pakistan] auprès d’un ressortissant coréen, ils étaient en réalité en train de prêcher », a déclaré le ministre, sans préciser de quelle confession ils se revendiquaient. Le ministère de l’Intérieur, Chaudhry Nisar Ali Khan, a regretté que « l’utilisation d’un visa d’affaires [ait] contribué à un incident malheureux ».

 

 

 

 

Le lendemain, dans son édition en anglais, le Global Times, un quotidien de Chine populaire reflétant le point de vue officiel du gouvernement, a indiqué que « les progrès du CPEC [n’allaient] pas être ralentis par la complexité de la situation sécuritaire » locale, précisant que les autorités pakistanaises avaient alloué près de 15 000 militaires à la sécurité des travailleurs chinois.

 

 

 

 

L’article a par ailleurs fait observer que « cette tragédie est à l’évidence le fruit d’un conflit entre des agences missionnaires [chrétiennes] sud-coréennes et les terroristes locaux ». Et de poursuivre : « Les meurtres montrent l’effroyable atrocité des terroristes. Mais le peuple chinois est aussi fermement opposé aux Eglises sud-coréennes qui recrutent de jeunes Chinois pour prêcher dans des zones en proie à la guerre, les exposant ainsi à de grands dangers ». L’article dénonce également « des médias indiens et occidentaux [qui] ont l’intention d’exagérer les conséquences de cet incident. Ils ont pour ambition de dire du mal et de mettre à mal la coopération économique sino-pakistanaise en liant ces actes terroristes nés de conflits religieux à la coopération politique et économique entre deux pays ».

 

 

 

Dans un autre article, le Global Times, donnant la parole à « Chu Yin, professeur associé à l’Université des relations internationales », lui fait dire que « des missionnaires sud-coréens conduisent des activités missionnaires souterraines en Chine depuis au moins une décennie. Beaucoup d’organisations missionnaires sont même sponsorisées par le National Intelligence Service [les services secrets sud-coréens] ».

 

 

 

Interrogé par le Hindustan Times, un haut fonctionnaire sud-coréen a pourtant déclaré, le 13 juin dernier, que rien ne permettait de « confirmer la suspicion selon laquelle [les deux Chinois assassinés par l’EI] auraient fait partie d’un groupe missionnaire coréen ». Quant au rôle joué par les services secrets sud-coréens dans l’organisation des activités missionnaires, cette information n’a pas fait l’objet de commentaires.

 

 

 

 

Selon une étude de l’Association coréenne des missions dans le monde parue le 8 janvier 2015, 26 677 missionnaires coréens se trouvaient dans 170 pays, en décembre 2014, soit une augmentation de 932 missionnaires pour la seule année 2014. Et 1 766 d’entre eux se trouvaient alors en Asie du Sud.

 

 

 

 

En 2007, 23 jeunes protestants sud-coréens avaient été enlevés – et deux d’entre eux exécutés – par les talibans en Afghanistan. Le ministère sud-coréen des Affaires étrangères de ce pays où les chrétiens représentent près d’un tiers de la population (19 % de protestants et 10 % de catholiques) avait alors interdit aux missionnaires de se rendre dans les zones « à risque » de la planète, précisant que les contrevenants seraient passibles d’une peine allant jusqu’à un an de prison et une amende de trois millions de wons (1 700 €). Le Conseil national des Églises en Corée, principal regroupement des communautés protestantes, avait déclaré que leur travail missionnaire serait désormais mené de façon plus prudente.

 

 

 

 

 

 

Source : Églises d’Asie