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10/06/2022

30 mai 1431 : mort Jeanne d’Arc ; son cœur resté intact miraculeusement, après le bûcher:

 

 

 

 

 

 

 

D’après les témoignages le cœur de la sainte fut l’objet d’un miracle : dans l’impossibilité de le consumer, le bourreau l’a jeté dans la Seine.

 

Concernant sa mort et ce fait, voici la déposition de frère Isambard de la Pierre, dominicain ayant assisté aux événements :

 

« A son dernier jour, Jeanne se confessa et communia. La sentence ecclésiastique fut ensuite prononcée. Ayant assisté à tout le dénouement du procès, j’ai bien et clairement vu qu’il n’y ut pas de sentence portée par le juge séculier. Celui-ci était à son siège, mais il ne formula pas de conclusion. L’attente avait été longue. A la fin du sermon, les gens du roi d’Angleterre emmenèrent Jeanne et la livrèrent au bourreau pour être brûlée. Le juge se borna à dire au bourreau, sans autre sentence : « Fais ton office ! »

 

Frère Martin Ladvenu et moi suivîmes Jeanne et restâmes avec elle jusqu’aux derniers moments. Sa fin fut admirable tant elle montra grande contrition et belle repentance. Elle disait des paroles si piteuses, dévotes et chrétiennes que la multitude des assistants pleurait à chaudes larmes. Le cardinal d’Angleterre et plusieurs autres Anglais ne purent se tenir de pleurer ; l’évêque de Beauvais, même lui, versa quelques pleurs.

 

 

Comme j’étais près d’elle, la pauvre pucelle me supplia humblement d’aller à l’église prochaine et de lui apporter la croix pour la tenir élevée tout droit devant ses yeux jusqu’au pas de la mort, afin que la croix où Dieu pendit, fût, elle vivante, continuellement devant sa vue.

 

C’était bien une vraie et bonne chrétienne. Au milieu des flammes, elle ne s’interrompit pas de confesser à haute voix le saint nom de Jésus, implorant et invoquant l’aide des saints du paradis. En même temps elle disait qu’elle n’était ni hérétique, ni schismatique comme le portait l’écriteau. Elle m’avait prié de descendre avec la croix, une fois le feu allumé, et de la lui faire voir toujours. Ainsi je fis.

 


A sa fin, inclinant la tête et rendant l’esprit, Jeanne prononça encore avec force le nom de Jésus. Ainsi signifiait-elle qu’elle était fervente en la foi de Dieu, comme nous lisons que le firent saint Ignace d’Antioche et plusieurs autres martyrs. Les assistants pleuraient.

 

 

Un soldat anglais qui la haïssait mortellement avait juré qu’il mettrait de sa propre main un fagot au bûcher de Jeanne. Il le fit. Mais à ce moment, qui était celui où Jeanne expirait, il l’entendit crier le nom de Jésus. Il demeura terrifié et comme foudroyé. Ses camarades l’emmenèrent dans une taverne près du Vieux-Marché pour le ragaillardir en le faisant boire. L’après-midi, le même Anglais confessa en ma présence à un frère prêcheur de son pays, qui me répéta ses paroles, qu’il avait gravement erré, qu’il se repentait bien de ce qu’il avait fait contre Jeanne, qu’il la réputait maintenant bonne et brave pucelle ; car au moment où elle rendait l’esprit dans les flammes il avait pensé voir sortir une colombe blanche volant du côté de la France.

 

 

Le même jour, l’après-midi, peu de temps après l’exécution, le bourreau vint au couvent des frères prêcheurs trouver frère Martin Ladvenu et moi. Il était tout frappé et ému d’une merveilleuse repentance et angoissante contrition. Dans son désespoir il redoutait de ne jamais obtenir de Dieu indulgence et pardon pour ce qu’il avait fait à cette sainte femme : « Je crains fort d’être, damné, nous disait-il, car j’ai brûlé une sainte ».

 

 

Ce même bourreau disait et affirmait que nonobstant l’huile, le soufre et le charbon qu’il avait appliqués contre les entrailles et le coeur de Jeanne, il n’avait pu venir à bout de consumer et réduire en cendres ni les entrailles ni le coeur. Il en était très perplexe, comme d’un miracle évident. »

 

 

Et cet extrait de la déposition de Jean Massieu, huissier :

 

« Accompagnée de frère Martin, Jeanne fut conduite et liée, et jusqu’au dernier moment elle continua les louanges et lamentations dévotes envers Dieu, saint Michel, sainte Catherine et tous les saints.
En mourant, elle cria à haute voix : Jésus !

 

Je tiens de Jean Fleury, clerc et greffier du bailli, qu’au rapport du bourreau, le corps étant réduit en cendres, le coeur de Jeanne était resté intact et plein de sang.


On donna ordre au bourreau de recueillir tout ce qui restait de Jeanne et de le jeter à la Seine, il le fit. »

 

 

 

 

 

08:28 Publié dans Histoire | Lien permanent | Commentaires (0)

07/06/2022

Le singe n’est pas le père de l’humanité, Dieu merci, par L. Glauzy

 

 

 

Les évolutionnistes jouent sur les pourcentages pour faire croire que le singe est proche de l’homme. Qu’en est-il exactement ?

 

 

Les évolutionnistes utilisent à vau-l’eau les ressemblances génétiques. Ils en déduisent des liens de parenté, une descendance. Pourtant, de récentes découvertes démentent que l’homme et le singe partagent 99 % de leur code ou patrimoine génétique. Un article de Science Magazine du 29 juin 2007 intitulé « Relative Differences : The Myth of 1 % » (Des différences relatives : le mythe du 1 %) mentionne que cette différence est plus prononcée. Elle ne serait pas de 1 %, mais de 6,4 %. En Suède, le Dr Swante Pääbo surnommé « le pape de l’archéo-génétique » en référence à une étude menée sur l’ADN d’un prince égyptien momifié, dit qu’il n’existe pas aujourd’hui de moyens suffisamment précis pour se prononcer de manière péremptoire sur cette différence.

 

 

 Dans la parution bibliste Creation update, les défenseurs du créationnisme avancent que cette ressemblance s’explique parce que nous vivons sur la même planète et que nous avons le même Créateur. Ils soulignent avec perspicacité que les évolutionnistes occultent une information majeure : l’ADN de l’homme est à 66 % identique à celui des choux !

 

 De plus, l’homme compte vingt-trois paires de chromosomes. Ils sont constitués d’ADN. L’ADN total du génome humain comporte près de trois milliards de bases. Les bases sont désignées par les lettres A, T, G, C. Les combinaisons des bases correspondent à des instructions formant un être vivant. Cela signifie par exemple qu’un écart de 2 % correspond à soixante millions de bases contenant des informations différentes.

 

 

 L’homme n’a donc rien a voir avec le singe comme le démontre l’absence totale de chaînons manquants. Il est à répéter que la science a maintes fois monté des faux comme l’homme de Nebraska, l’homme de Piltdown, l’homme de Java et Lucy, mélangeant des os d’homme et de singe.

 

 

 « La science moderne est la science du démon » (Padre Pio, dont le corps est intact)

 

 

 

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09:03 Publié dans Science | Lien permanent | Commentaires (0)

03/06/2022

Qui était CI Scofield?

 

 

 

 

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Question: "Qui était CI Scofield?" 

 



Réponse: Cyrus Ingerson Scofield (1843-1921) était un ministre américain influent. Sa Scofield Reference Bible, remplie d'annotations utiles sur le texte, a été publiée en 1909 et est devenue la norme pour une génération de chrétiens intégristes et de théologie dispensationalisée vulgarisée. 

 



CI Scofield avait une vie très colorée en tant que soldat confédéré qui a servi avec distinction. Après la guerre, il a servi dans la Kansas House of Representatives et en tant que US District Attorney for Kansas (nommé par le président Grant) mais a été contraint de démissionner en raison de scandales et de pratiques douteuses. . Scofield était un gros buveur et a abandonné sa femme et ses enfants. Il a apparemment fait la cour à une autre femme avant que son divorce (pour cause de désertion) soit finalisé. 

 



Certains des faits peu recommandables sur la vie de Scofield ont été enterrés par ceux qui sont d'accord avec ses enseignements, et ces mêmes faits ont été utilisés par d'autres qui s'opposent à son dispensationalisme pour prouver qu'il était inapte à être un ministre ou un enseignant de la Bible. Ces deux réponses sont fausses.L'exactitude ou l'inexactitude de l'enseignement de Scofield est logiquement distincte de sa vie personnelle.Ses enseignements doivent être évalués par la Parole de Dieu. En outre, la vie qu'il a vécue avant de venir à Christ, même si certains de ses mauvais comportements ont continué pendant quelques années après sa profession de foi, ne le disqualifie pas du ministère ultérieur. John Newton a également continué dans un comportement pécheresse après avoir fait une profession de foi, mais personne ne déchire "Amazing Grace" hors du livre des cantiques. Le fait est que, chez les deux individus, l'Esprit de Dieu a commencé à apporter des changements, et finalement les changements ont été manifestes et significatifs. 

 



CI Scofield est venu à la foi en Christ à travers le témoignage d'une connaissance. Il a commencé à servir dans les ministères chrétiens, y compris le YMCA, et il a aidé à organiser une campagne d'évangélisation DL Moody à Saint-Louis. Scofield devint par la suite un ministre congrégationaliste ordonné et continua à travailler avec DL Moody. 

 



Scofield a produit plusieurs grands travaux théologiques. Tout d'abord, il a écrit un livre intitulé 
Rightly Diving the Word of Truth , qui exprime les principes de l'herméneutique dispensationnelle. Deuxièmement, sa Bible de référence annotée est devenue la norme pour une génération. Enfin, son cours par correspondance biblique a rendu son enseignement facilement disponible dans le monde entier. Ces trois œuvres sont toujours disponibles aujourd'hui. L'influence de Scofield a été amplifiée par son influence sur Lewis Sperry Chafer, qui a fondé Dallas Theological Seminary. DTS est devenu le séminaire dispensational le plus important au monde;ses nombreux diplômés de haut profil comprennent Chuck Swindoll, Tony Evans, Andy Stanley, David Jeremiah, J. Vernon McGee, Hal Lindsey et Bruce Wilkinson. 

 



Beaucoup de dispensationalistes et de prémillénaristes considèrent encore Scofield comme un héros, bien que sa marque particulière de dispensationalisme ne soit pas aussi populaire aujourd'hui, que le dispensationalisme progressiste est plus en faveur

 

 

Pasteur Blanchard

 

 

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