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30/05/2014

29 mai 1453 : chute de Constantinople, tueries, viols et sacrilèges. La fin d’un monde

 

 

 

Le 29 mai 1453, l’Empire romain d’Orient (« empire byzantin ») s’effondrait avec la chute de Constantinople.
Celle-ci fut accompagnée de massacres des civils, tueries, viols et sacrilèges commis par les sectateurs de Mahomet.
Ce n’était que le début d’une longue nuit d’esclavage et de destruction culturelle.

 

 

« Durant toute cette journée, les Turcs firent, par toute la cité, un grand carnage de chrétiens. Le sang coulait sur la terre comme s’il en pleuvait et formait de vrais ruisseaux. … Georges Phrantzes dit aussi que, ‘en certains endroits, le sol disparaissait sous les cadavres et que l’on ne pouvait passer par les rues’.

 

‘… Ils volent, dérobent, tuent,… font captifs femmes, enfants, vieillards, jeunes gens, moines, hommes de tous âges, de toutes conditions’.

 

… Ils prenaient les trésors et les vases sacrés, dépeçaient les reliques et les jetaient au vent; ils exhibaient dans les rues puis dans leurs camps, le soir, des crucifix montrant le Christ coiffé de l’un de leurs bonnets rouges. De Sainte-Sophie, ils firent d’abord une écurie. Un nombre incalculable de manuscrits précieux, ouvrages des auteurs grecs ou latins de l’Antiquité, furent brûlés ou déchirés.

 

Les religieuses, violées par les équipages des galères, étaient vendues aux enchères. … ‘Cette cohue de toutes les nations, ces brutes effrénées, se ruaient dans les maisons, arrachaient les femmes, les traînaient, les déchiraient ou les forçaient, les déshonoraient, les violentaient de cent façons aux yeux de tous dans les carrefours’.

 

Pendant trois jours, ce fut aussi une terrible chasse et un immense marché aux esclaves. … Aucune bataille, aucune conquête n’avait jamais donné en si peu de temps autant de captifs. Ils furent vendus et revendus par la soldatesque puis par les mercantis de toutes sortes, séparés les uns des autres, promis aux travaux misérables jusqu’aux plus lointaines provinces du monde musulman.

 

Mehmet avait ordonné que les familles des dignitaires grecs soient réduites à la plus dure et à la plus humiliante des servitudes. Il s’était fait réserver les filles les plus belles et les plus jeunes adolescents et il fit don de quarante très jeunes gens et de quarante vierges au pacha de Babylone. D’autres enfants grecs furent envoyés jusqu’à Tunis et à Grenade.

 

… Les habitants de Constantinople échappés aux massacres et à l’esclavage avaient fui. Ce n’était plus qu’une ville en grande partie dévastée et vide d’hommes.

 

… La chute de l’Empire byzantin marquait la fin d’un monde et jetait à bas l’héritage de l’antique Rome ».

 

Rappelons que Mehmet II (Mohamed II) ne rêva « que d’entrer en maître dans cette Constantinople chrétienne, qu’il voulait capitale de l’Islam. Ce jeune homme cultivé,… ami des arts et des lettres, avait fait massacrer ses frères en bas âge et faisait, à chaque campagne, scier en deux ou empaler les chefs ennemis prisonniers« .

 

Source : Jacques Heers, Chute et mort de Constantinople, Perrin, Collection Tempus, Paris 2007, p. 239, 252-259.
Un livre que l’on peut acquérir en ligne ici.
Il y a aussi Constantinople, la perle du Bosphore, de Jean Castrillo.

Source

constantinople

 

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27/05/2014

Un gouvernement de lâches

 

 

Communiqué de la Fondation Lejeune :

"Après l’échec d’une tentative des radicaux de gauche en mars, le gouvernement s’obstine et a remis à l’ordre du jour de l’Assemblée nationale la proposition de loi visant la libéralisation de la recherche sur l’embryon humain en France.

 

Examiné  en catimini, à la veille des vacances parlementaires, le texte ne fait pas l’objet du débat qu’il mérite. Mutisme de la ministre et du rapporteur, réserve de vote, absence des partisans du texte sur les bancs de l’hémicycle : le débat est tronqué alors que le Parlement s’apprête à entériner le bouleversement du droit, celui de chaque être humain à être protégé dès le commencement de sa vie (art. du Code civil). Les opposants à la recherche sur l’embryon humain, députés ou simples citoyens, peuvent s’indigner de la tournure que prend le simulacre de débat à l’Assemblée nationale.

Après avoir non seulement refusé de répondre à la seconde motion déposée par les défenseurs du régime actuel, la ministre a finalement décidé d’utiliser la réserve de vote pour vider de son intérêt tout examen des amendements. En effet, les opposants au texte ont le droit de défendre point par point chaque amendement à ceci près qu’aucun n’est plus soumis au vote. La manœuvre présente deux avantages que la ministre ne prend même pas la peine de maquiller : d’une part, elle permet à tous les partisans du texte de tranquillement quitter l’hémicycle et de se soustraire au débat puisqu’aucun vote n’aura lieu avant le vote solennel global de mardi, d’autre part, elle évite le risque qu’un des amendements ne soit adopté ce qui changerait, même à minima, le texte et obligerait à une navette avec le Sénat. [...]

La suite sur La Fondation Jérôme Lejeune

10:23 Publié dans Culture | Lien permanent | Commentaires (0)

23/05/2014

Le triste sort des chrétiens: dans le monde

 

 
 


 
En ce moitié d’année 2014, le bilan de l’année 2013 est assez triste pour les chrétiens dans le monde. S’il faut saluer l’excellent travail réalisé par l’équipe de l’Observatoire de la christianophobie, c’est par quelques chiffres affligeants que nous commençons cette nouvelle année. En 2013, ce ne sont pas moins de vingt deux opérateurs pastoraux, dont dix neuf prêtres et deux religieuses qui ont été tués, soit près de deux fois plus qu’en 2012. L’Amérique du Sud, l’Afrique, l’Inde, le Proche Orient, les Philippines et l’Italie sont concernés par ces meurtres.

 

 

 

 

En dehors des opérateurs pastoraux, la situation s’est considérablement détériorée pour les chrétiens en 2013

En Syrie, en Irak (photo ci-contre), en Egypte (photo en Une) et plus généralement dans le monde musulman, les populations chrétiennes pâtissent de l’influence grandissante des organisations islamistes et de la barbarie des conflits locaux.

 

C’est aussi le cas en Corée du Nord. Globalement, l’épiscopat estime à plus de 170.000 le nombre de personnes tuées en 2013 car chrétiennes ou assimilées. Pire encore, les fêtes de Noël ont à nouveau été l’occasion pour des terroristes hindouistes de brûler une église et des habitations de chrétiens au Népal, et pour les milices nigérienne, syrienne ou soudanaise d’assassiner des chrétiens.

 

Ce terrible bilan épargne-t-il l’Europe ?

Pour l’instant il est exact que le nombre d’assassinats de chrétiens est heureusement faible en Europe. Cependant, la violence se déchaîne de plus en plus contre la religion catholique, avec l’émergence de mouvements largement subventionnés comme les Femen, complaisamment décrites par les médias de l’oligarchie. De même, les profanations d’églises sont toujours plus fréquentes et rarement condamnées comme dernièrement à Malaga en Espagne, mais aussi à Paris où l’église de la Madeleine a été souillée en toute impunité. Des crèches ont aussi été saccagées en Hongrie et en Belgique.

10:03 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

20/05/2014

Képler 186f et les mensonges cabalistiques de l’astronomie, par Laurent Glauzy

 

  

 

 

« Le 17 avril, la Nasa annonçait avec grand bruit la découverte d’une exoplanète (planète en dehors de notre système solaire), baptisée Képler 186f, pouvant accueillir la vie. L’agence gouvernementale responsable du programme spatial des États-Unis entend par ce genre de spéculations et de mensonges habituer nos mentalités à une possibilité extraterrestre dans le cadre de la préparation de la venue de l’Antéchrist qui s’opérera par de faux miracles. (Pour dire les choses directement et sans ambages !)

 

Toutes ces vérités sont solidement étayées dans mon livre Extraterrestres, les messagers du New Age, expliquant entre autres pourquoi les Illuminati et en particulier les Rockefeller ont financé dans les années 1980 Mme Galbraith, l’épouse de l’ambassadeur US à Paris pour répertorier les scientifiques faisant des recherches sur l’énergie des soucoupes volantes.

 

L’extrait ci-dessous, tiré du chapitre Les exoplanètes, une moisson trompeuse, expose l’impossibilité et les arguments cachés pour lesquels la « science » ne peut absolument pas parler d’exoplanète.

 

Il est étayé sur les explications de scientifiques créationnistes (mettant Dieu au centre de la Création) britanniques et américains. C’est cette même science entre les mains des satanistes et des Francs-maçons des Brights qui le 25 décembre (!) 2003, envoyait Beagle 2 (Beagle, nom du bateau qui amena de Darwin au Galápagos) pour chercher des indices de vie sur Mars. Mais, la sonde se perdit mystérieusement et le projet échoua.

 

Comme le laisse très clairement entendre la Bible, la Terre est un miracle de la Création ne tenant qu’à un fil, et les seuls extraterrestres existant sont les anges les démons ; et rien de plus !

 

Les exoplanètes : une moisson trompeuse

 

Le 6 octobre 1995, la presse présente la découverte de la première planète extrasolaire, 51 Peg b. Deux Suisses, Michael Mayor, professeur au département d’astronomie de l’université de Genève et Didier Queloz, astronome à l’observatoire de la même ville, ont en effet annoncé l’observation d’une masse orbitant autour de l’étoile 51 Pegasi, dans la constellation de Pégase. Malgré des calculs très affinés, les scientifiques estiment très généreusement le diamètre de l’exoplanète entre la moitié et le double de celui de Jupiter.

 

Pendant les huit prochaines années, cent sept exoplanètes auraient été localisées. En 2007, elles seraient plus de deux cents. En juillet 2008, on en recenserait trois cent sept qui, comme Gliese 581 c, seraient enfouies dans un nuage de poussières obstruant toute étude minutieuse. L’opacité de ces poussières peut y être cent mille fois supérieure à notre système solaire. Cet environnement nébuleux est composé de gaz et de poussières. Il explique en partie l’invisibilité des exoplanètes. On y attribue aussi le processus de formation des étoiles, bien que celui-ci soit inconnu. A cela, s’ajoute l’imprécision des deux principales méthodes de détection : la méthode par vitesse radiale s’appuie sur les perturbations que l’exoplanète provoquerait sur le mouvement de l’étoile ; tandis que la méthode de transit consiste à étudier l’orbite de l’exoplanète quand elle passe entre son étoile et la Terre. Tout ceci reste très théorique, car les exoplanètes n’émettent guère de lumière par elles-mêmes. Elles ne sont visibles que par réflexion de l’éclat de l’étoile qui les inonde de luminosité.

 

Il n’est donc pas fortuit que ces récentes découvertes se trouvent assombries par une nuée de contradictions, d’incohérences et de fausses publications. Ainsi, contrairement à toutes les affirmations, tout commence en 1992 par une fausse alerte, où la variation des émissions radio d’un trou noir n’est pas provoquée par la présence d’une exoplanète, mais par le propre mouvement orbital de notre planète !

 

Trois ans plus tard, et de manière tout aussi discrète, l’on reviendra également sur l’existence de planètes orbitant entre autres autour des étoiles de Bernard, de 61 Cygni et Vb8b. C’est sur ces cas d’erreurs appelant à beaucoup de circonspection que Donald B. DeYoung, Docteur en Physique ne craignant nullement les condamnations de la science prend le contre-pied de la nouvelle vogue des exoplanètes, souvent mâtinée de romantisme et d’« avancées technologiques ». Étant donné les difficultés que pose par exemple l’observation de Pluton, il ne comprend pas que l’on soit capable de se prononcer sur les caractéristiques d’exoplanètes (masse, température, orbite), cinq cent mille fois plus éloignées de la Terre que cette dernière planète du système solaire.

 

Aussi, dans l’article New Stars, New Planets ?, à travers une argumentation pertinente, D. B. DeYoung revisite la question des exoplanètes à travers la célèbre 51 Peg b, 70 Virginis et 47 Ursae Majoris b :

51 Pegasi située à quarante-cinq années-lumière, dissimulerait une planète très différente de la Terre. Les émissions radio enregistrées sur les télescopes électroniques indiqueraient la présence d’un satellite cent quatre-vingt-dix fois plus lourd que notre planète et dont la position par rapport à 51 Pegasi serait de 0,05 Unité astronomique (U.A.). Cette unité correspond à la distance moyenne entre la Terre et le Soleil, soit environ cent cinquante millions de kilomètres. On pense que la surface de 51 Peg b excèderait 1 300 °C. La présence d’un tel satellite accomplissant une révolution complète de quatre jours autour de 51 Pegasi, pose plusieurs défis. Les astronomes ont longtemps affirmé que cette exoplanète serait le résultat d’un amalgame de plusieurs débris de planètes provenant initialement d’un disque entourant 51 Pegasi. Wayne R. Pencer contredit cette supposition dans l’article The Existence and Origin of Extrasolar Planets (L’existence et l’origine des planètes extrasolaires). Selon ce physicien diplômé de la Wichita State University, le disque estimé à plusieurs millions d’années se serait dissipé avant la formation du centre de l’exoplanète.

 

Il reste donc peu crédible que ce mécanisme ait pu se concrétiser à une distance si proche de l’étoile, sans que l’exoplanète ne soit avalée. De plus, dans ses premiers instants appelés stade « T. Tauri », l’étoile aurait été cent fois plus volumineuse, émettant donc de puissantes radiations.

 

L’annonce d’une planète extrasolaire 70 Virginis b effectuant sa révolution autour de 70 Virginis dans la constellation de la Vierge, marque l’aboutissement d’observations minutieuses menées pendant sept ans ! Deux mille cinq cents fois plus lourde que la Terre, soit plus de quarante fois la masse de Jupiter, sa distance de 70 Virginis serait de 0,5 U.A. Malgré sa température élevée et la recherche vaine d’une hypothétique trace d’eau, des scientifiques se plaisent à imaginer que la nouvelle planète abriterait une forme de vie. L’hebdomadaire américain Time utilise ces hypothèses pour affirmer dans un sous-titre « choc » mais mensonger : « Des astronomes ont détecté de l’eau sur des planètes autour d’autres étoiles ». [Nous remarquons qu’avec Képler les affabulateurs de la Nasa n’en sont pas à leur premier coup d’essai.] Il est à noter que la gravité et peut-être la pression atmosphérique surdimensionnées d’une telle exoplanète empêcheraient le développement de toute forme de vie. Malgré tous ces tâtonnements, on établit que l’exoplanète 70 Virginis b aurait une ou plusieurs lunes qui influenceraient une orbite décrite comme très elliptique.

 

L’étoile 47 Ursae Majoris serait une naine jaune localisée dans la constellation de la Grande ourse. Ses oscillations seraient dues à l’orbite d’une exoplanète mille fois plus lourde que la Terre, 47 Ursae Majoris b, une géante gazeuse éloignée de deux U.A. de 47 Ursae Majoris. Bien que la distance des planètes au Soleil ne soit pas un critère définitif (la température de Vénus est de 500 °C, tandis que celle de Mercure, deux fois plus près du Soleil, est de 125 °C), au regard de sa position, on en conclut que la surface de l’exoplanète avoisine –100 °C.

De pareilles spéculations prolifèrent comme s’il s’agissait dès à présent de planter le décor d’une vie extraterrestre et pourquoi pas de visiteurs de l’espace. Les exoplanètes gazeuses ont précédé les exoplanètes telluriques. Dans ce brouhaha infernal où les dessins d’artistes se substituent à l’absence de toute preuve formelle, nous pouvons déjà nous demander quelles seront les prochaines affirmations de l’astronomie ?

 

Des astronomes plus prudents préfèrent interpréter les oscillations communément accordées aux exoplanètes par la présence de naines brunes. Présentant une masse intermédiaire entre les planètes et les étoiles, la quantité de deutérium (composition très proche de l’atome d’hydrogène) de ces astres est insuffisante pour déclencher toute fusion nucléaire de la matière. Cette hypothèse s’avère plus réaliste. Elle montre que le néologisme d’exoplanète est employé sans modération. A ce propos, Ron Bernitt, journaliste en astronomie, s’étonne dans l’article Extrasolar Planets Suggest Our Solar System Is Unique And Young (Les exoplanètes suggèrent la singularité et la jeunesse de notre système solaire) que les caractéristiques des exoplanètes soient si différentes des géantes gazeuses du système solaire, auxquelles on les compare. L’ellipse de ces dernières est cependant située à une distance respectable du soleil supérieure à trois U.A., au contraire de 75 % des exoplanètes qui orbitent à proximité de leur étoile.

 

Marsha Freeman, géophysicienne, reconnaît dans la revue 21st Century Science & Technology l’imprudence des astronomes à transposer leurs connaissances du système solaire dans d’autres réalités et régions de la Voie lactée qui s’opposent à la formation des planètes du système solaire. D’après elle, les scientifiques ont affirmé à tort que les autres systèmes solaires pouvaient être conformes, au moins pour les paramètres de base, au nôtre. Ce constat est aussi partagé par le Frankfurter Allgemeine Zeitung. En mars 2008, dans ses pages scientifiques, le célèbre quotidien allemand écrit : « Les autres mondes planétaires qui auraient ressemblé au nôtre paraissent de plus en plus rares », etdéfend l’unicité de notre système solaire.Ce qui remet bien entendu en cause le schéma universel du Big Bang.

 

A l’évidence, la multiplication des exoplanètes dénonce une certaine incompréhension de l’univers et la subjectivité d’une science de plus en plus échafaudée à coup de dogmes et de couvertures de magazines. »

 Laurent Glauzy,

auteur de :
Les géants et l’Atlantide
Témoins de Jéhovah, les missionnaires de Satan
Illuminati. « De l’industrie du Rock à Walt Disney : les arcanes du satanisme ».
Karl Lueger, le maire rebelle de la Vienne impériale
Atlas de géopolitique révisée, tome II
Atlas de géopolitique révisée, tome I
Chine, l’empire de la barbarie
Extra-terrestres, les messagers du New-Age

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16/05/2014

Gender : pénétrer tous les programmes académiques de formation

 

 

Le député UMP Guy Geoffroy a interpellé le Premier ministre sur les ouvrages pédagogiques :

 

 

"Monsieur le Premier ministre, je veux vous citer trois adjectifs qui figurent dans le rapport annuel de la Cour des comptes : « obsolète », « inefficient », « inefficace ». Ce sont en effet les qualificatifs employés par la Cour des comptes au sujet du Centre national de documentation pédagogique. Après avoir lu ces propos, on comprend mieux pourquoi nos concitoyens sont inquiets, préoccupés, lorsqu’ils voient quelles sont les publications que le CNDP recommande à nos écoles (Exclamations sur les bancs des groupes SRC et écologiste) : le livre Tous à poil, par exemple (M. Geoffroy brandit un exemplaire du livre), ou d’autres publications que j’ai ici et que je pourrais vous montrer. Permettez-moi de le dire : cela commence à faire un peu trop !

 

 

 

Ma question s’adresse à vous, monsieur le Premier ministre, parce qu’elle concerne la nation toute entière. L’éducation nationale est envahie – ou est en voie de l’être – par la confusion du genre. (« Ah ! » sur les bancs des groupes SRC et écologiste. [...] Dans l’académie de Nice, le programme académique de formation des chefs d’établissement prévoit, entre la construction d’un emploi du temps et la gestion et communication de crise, un atelier « Genre et éducation ». (Exclamations sur divers bancs.) La personne qui anime cet atelier est bien connue, notamment au sein d’une association qui s’est créée il y a un an seulement et qui décrit clairement son objectif : pénétrer tous les programmes académiques de formation. (Applaudissements sur quelques bancs du groupe UMP. – Exclamations sur les bancs du groupe SRC.) [...] Voilà ce que dit cette formatrice : « Dès le plus jeune âge, il faut expliquer à un garçon qu’il peut très bien être une fille. Tout se vaut. Son apparence physique n’a aucune importance. » (Exclamations continues sur les bancs du groupe SRC.) [...] « Et vice versa pour une petite fille. »

 

Monsieur le Premier ministre, quand allez-vous enfin être clair ? Quand allez-vous enfin mettre un terme à cette confusion du genre ?"

 

09:04 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)