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21/07/2015

Et si on parlait franc !

 

 

 

 
 
 
Le fanatisme islamique tue et décapite surtout des infidèles, des chrétiens et des juifs. Au nom de qui ces pires atrocités barbares sont-elles commises ? On juge un arbre à ses fruits.
 
 
 
 
 
 
 
 

La pensée unique, qui impose son point de vue et interdit toute affirmation différente, se réfugie dans une politique de l’autruche consistant à condamner moralement le terrorisme, sans se préoccuper des causes explicatives, sauf à répéter avec insistance « pas d’amalgame ».

 

 

Les faits qui sont têtus imposent des questions. Le fanatisme islamique tue et décapite surtout des infidèles, des chrétiens et des juifs. Au nom de qui ces pires atrocités barbares sont-elles commises ? On juge un arbre à ses fruits.

 

 

En conséquence, il est logique d’exiger une condamnation expresse de cette guerre monstrueuse de la part des milieux intéressés. En particulier, une prise de position la plus catégorique est attendue de la part des organes représentatifs de la religion musulmane. Une telle consigne doit entraîner la condamnation unanime, sans recherche subtile d’explication, des assassinats terroristes, de la politique de l’État islamique, des officines de recrutement de djihadistes et des djihadistes eux-mêmes. Au-delà des déclarations apaisantes, une mobilisation de rejet doit faire sortir le monde musulman de sa distance. Une telle prise de responsabilité doit également conduire cette confession à engager son aggiornamento afin d’adapter la croyance à notre siècle.

 

 
 

L’exigence d’objectivité rend nécessaire de lire attentivement le Coran pour rechercher si le texte prêche la mort de l’infidèle ou la paix de tous les hommes et de parcourir ses œuvres de paix ou de guerre, de réconciliation ou de conquête. De nos jours, il faut combattre une guerre islamique globale déclarée aux démocraties laïques et aux civilisations des droits de l’homme et de la femme.

 

 

En France, l’exaltation de la laïcité arrive au bon moment, sous prétexte de tenir à distance toutes les religions considérées sur un pied d’égalité, en réalité pour banaliser ce qui reste de chrétien dans notre société et pour tenter de comprendre le message qui nous viendrait de l’islam. Ainsi, pourquoi le gouvernement se croit-il obligé de prendre part à la fête de la fin du ramadan, alors qu’il n’a qu’indifférence pour la fête chrétienne de Pâques ?

 

 

Nous avons besoin de clarification et non de camouflage d’un jeu trouble. Tout d’abord, les citoyens ont le devoir d’exiger des statistiques objectives faisant apparaître le nombre des étrangers, le nombre des Français naturalisés sur la base du droit du sol, le nombre des régularisations administratives. Le fait de refuser de répondre sous prétexte du tabou des origines est déjà un aveu de dissimulation et d’indécision. Au besoin, une pétition nationale pourrait imposer une telle démarche de loyauté à nos dirigeants. Dans le même souci d’information, il serait également intéressant d’apprécier l’incidence de l’immigration concernant la part relative dans la démographie nationale, dans l’échec scolaire, dans la délinquance, dans le chômage, dans la Sécurité sociale.

 


La maîtrise de l’immigration de masse est le devoir impératif de l’État national. À cet effet, un moratoire de trois ans permettrait d’expertiser la situation actuelle et de ne consentir qu’un quota sélectif et contrôlé d’entrées sur le territoire national. De même, il est normal et urgent de se préoccuper de la réforme de la nationalité acquise par le droit du sol, qui avait été décidée en fonction d’une époque totalement différente.

 

 

La guerre qui menace la substance et les racines de la France exige des actes de combat et non pas des discours lénifiants !

 

 

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