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19/05/2017

L’évolution, le plus extraordinaire conte de fées jamais raconté:

 

Joseph Mastropaolo, Ph.D.

 

 

 

 

 

L’évolution prétend être une science, mais elle nous leurre, car aucune de ses expérimentations n’a eu de succès. Il s’agit d’une religion occulte parce que, comme le mysticisme, l’astrologie ou l’alchimie, on ne la retrouve nulle part dans l’univers. La loi respectée par l’univers est plutôt la dévolution, car chaque être vivant et non vivant se désintègre. Tout comme le hasard, le temps fait toujours des ravages, il ne construit pas. Comme le hasard, le temps détruit les créatures les plus complexes, les êtres vivants, tout comme il détruit les plus simples, les êtres non vivants. Tout comme le hasard, le temps entraîne toutes choses vivantes vers la mort, faisant pourrir les plantes et putréfiant les animaux, suivant un processus de désintégration des molécules les plus complexes, qui réduit les molécules à leurs plus simples éléments constitutifs. Le temps et le hasard ne bâtissent jamais la vie, qui est la forme d’énergie la plus complexe. Ils ne contribuent pas non plus à la diversifier ni à la complexifier. Le temps et le hasard font toujours diminuer la quantité d’énergie disponible, ils contribuent toujours à la désintégration de l’énergie et de la masse de l’univers. Universellement, ils font dégénérer la masse et l’énergie. Natura semper scalas descendet, la nature décroît toujours.

 

 

L’une des manières de vérifier l’évolution est d’examiner ses définitions. La première définition de l’évolution est celle d’un changement qui survient avec le temps. « Pour la simple raison que ces changements ont été observés à répétition, l’évolution de ce type est un fait. » (Affiliation Scientifique Américaine, 1996). Cependant, selon l’observation commune, chaque individu de la biosphère vieillit et meurt. Une fois morts, les organismes pourrissent ou se putréfient en de simples éléments non-vivants. Individuellement, les êtres vivants se désagrègent. Les formes de vie telles que les populations régressent également. D’éléments vivants, elles passent à l’extinction permanente. Encore une fois, on observe une dévolution, et non une évolution. L’univers non vivant se désintègre également (Humphreys 1978). La première définition de l’évolution s’oppose aux billions d’observations conséquentes relevées par des milliards de personnes sur une période de plusieurs milliers d’années. L’univers entier, vivant comme non vivant, se désintègre. Le seul fait observable est la dévolution.

 

 

La deuxième définition de l’évolution est la descendance commune. Cette « vision que toutes (ou presque toutes) les formes de vie, actuelles ou éteintes, sont unies par un ancêtre commun : une théorie traitant de l’histoire de la vie… l’observation sensée qui veut que tout rejeton doit avoir des parents a incité plusieurs scientifiques à traiter la généralisation de la race commune comme si c’était un fait » (Affiliation Scientifique Américaine 1996). Cependant, selon nos observations, les individus vieillissent et meurent dans la même espèce que celle dans laquelle ils sont nés. Les individus se reproduisent également selon leur espèce.

 

 

Les formes de vie des populations démontrent des caractéristiques variables, comme la taille, le poids, la couleur et la vitesse de déplacement, mais chacun se multiplie selon son espèce. Les chiens, par exemple, peuvent être décrits selon leur taille ou d’autres caractéristiques propres aux chiens. Certains chiens comme le grand danois peuvent être jusqu’à six fois plus gros que les chihuahuas, mais ces deux races sont néanmoins des chiens. Il est admis que toute diversité au niveau des parents et du rejeton dans l’ensemble de la faune et de la flore demeure dans l’espèce. Aucun chihuahua n’a donné naissance à un chat, et aucun grand danois n’a donné naissance à un poulain. Les formes de vie ne se transforment pas. Les formes de vie au niveau des individus et des populations tendent vers l’extinction et n’évoluent jamais. La deuxième définition de l’évolution s’oppose également aux billions d’observations conséquentes de milliards de personnes sur une période de plusieurs milliers d’années. Encore-là, la dévolution est le seul fait observé.

 

 

La troisième définition de l’évolution est la sélection naturelle; « cette théorie (qui se base sur les variations génétiques telles que la mutation) a été le mécanisme primaire des changements biologiques décrits dans la première et la deuxième définition. » (dans sa version originale, l’Affiliation Scientifique Américaine 1996 insiste sur cet élément). Comme nous l’avons observé précédemment, la première et la deuxième définition sont des définitions de dévolution et non d’évolution.

 

 

 

 

Aussi, comme il a été suggéré ci-haut, les grands danois donnent naissance à des grands danois et ont des chiots qui grandissent autant que les grands danois, et les chihuahuas donnent naissance à des chihuahuas qui atteignent seulement le 1/6 de la taille des grands danois. Les êtres humains ne deviennent pas des primates et vice versa, les dinosaures ne deviennent pas des oiseaux non plus, et vice versa. La sélection naturelle ne s’applique nullement au procédé de reproduction confinant chaque forme de vie à la diversité de son espèce. Tout comme le vieillissement observé depuis le commencement de l’histoire, cette reproduction se dirige inévitablement vers l’extinction permanente. Aucun individu ne vit pour toujours, et il en est de même pour les populations. Dans le cas des individus et des populations, la tendance est toujours l’extinction, jamais l’évolution.

 

 

Attardons-nous maintenant à considérer si les variations génétiques, comme la mutation, pourraient d’une quelconque façon mitiger l’intuition qui nous dit que l’évolution est impossible. Les évolutionnistes désirent nous faire croire que les mutations vont entraîner l’apparition de nouvelles et meilleures formes de vie qui résulteront en plusieurs espèces de plantes et d’animaux. Ils disent observer une diversification, et une progression vers des formes de vie supérieures et plus complexes.

 

 

Afin de clarifier ce raisonnement, nous allons nous prêter à une expérience mentale. Imaginons que nous mettions dans le désordre le total des pièces de la fusée Delta qui a mis un satellite de communication en orbite autour de la Terre. Imaginez-vous que vous vous nouez un foulard sur les yeux, et que vous tournez environ dix fois sur vous même et que vous prenez au hasard, un morceau de la fusée. Il s’agirait alors de faire muter la pièce. S’il s’agit d’un circuit, coupez une connexion, ou branchez-la à l’endroit où vous avez déposé votre main. S’il s’agit d’une pièce métallique, tordez-la, coupez-la, remplacez-la ou bien, laissez-la simplement de côté. Assemblez les pièces de la fusée et essayez-la. Répétez le processus. Si la fusée parvient à mener le satellite à une meilleure orbite, alors les mutations auront amélioré la fusée. Si, à cause des mutations, le satellite de communication est devenu un satellite de navigation orbitale, alors les mutations auront entraîné la diversité. Si les mutations ont produit un véhicule pour l’exploration humaine sur Mars avec un mécanisme de retour sécuritaire, alors les mutations auront produit une forme de fusée plus performante. Si la fusée n’arrive pas à décoller ou encore qu’elle explose, les mutations auront accéléré son extinction.

 

 

Évidemment, cette dernière supposition est la plus probable, car les mutations doivent obéir aux lois de la physique et des mathématiques qui exigent la dévolution dans cette situation, et non l’évolution. Considérons à présent les mutations humaines.

 

 

Les mutations humaines ont été cataloguées depuis 1966 et sont rapportées médicalement en tant qu’affections génétiques humaines (McKusick 1998). Si l’évolution était vraie, alors nous devrions observer une décroissance futur des affections génétiques. Selon la première définition de l’évolution, le changement se démontre avec le temps, et selon la troisième, par la sélection naturelle. Au lieu de cela, ce que nous observons est l’augmentation exponentielle d’affections génétiques, ce qui s’oppose précisément à la théorie de l’évolution, et confirme la dévolution menant à l’extinction permanente. Ainsi, je vous ai présenté les données réelles prouvant que la dévolution est la seule théorie pouvant être considérée comme un fait, et que l’évolution, n’est qu’un mythe que Aximander a créé il y a 2 500 ans (Durant, 1939) et que Darwin a mis à la page il y a 140 ans (Darwin, 1859).

 

 

L’évolution désire faire croire au monde entier que les éléments chimiques de l’océan des temps anciens se sont simplement combinés par le hasard afin de former le premier acide aminé nécessaire à la vie. L’histoire continue et les 19 acides aminés nécessaires à la vie se sont également formés près du premier par hasard. Ensuite, en dépit des lois de la chimie et du hasard, on nous dit de croire que les formes d’acides aminés gauchers seulement se sont d’une quelconque manière sélectionnés parmi leurs jumeaux droitiers.

 

 

Nous devons ensuite croire que ces acides aminés s’étant dissociés par eux-mêmes se sont attachés seulement aux liaisons peptides dans des séquences exactes afin de prendre les configurations première, secondaire, tertiaire puis quaternaire nécessaires à chacune des myriades de protéines configurées de façon unique et servant de matériel brut pour la construction des milliers de mécanismes complexes d’une cellule vivante.

 

 

 

Notons premièrement qu’une oeuvre de science-fiction exige moins de crédulité de notre part et que deuxièmement, même si toutes les protéines nécessaires à ces mécanismes s’étaient si miraculeusement assemblées, elles ne pourraient nullement produire une cellule vivante sans les éléments suivants : l’ADN, l’ARNm, les organelles, les systèmes d’énergie, les enzymes, une membrane extraordinaire, une architecture interne extrêmement complexe et de nombreux autres éléments à propos desquels on ne connaît à peu près rien (Behe 1996, Denton 1986, Holum 1998). Donc, nous admettons que l’évolution simulée d’une seule des composantes brutes de la protéine sous-estime grandement la probabilité de l’évolution d’une cellule vivante. Afin de percevoir l’évolution avec davantage de clarté, penchons-nous maintenant sur la probabilité d’évolution d’une molécule d’une petite protéine que l’on retrouve chez les plantes et les animaux. Une fois cela fait, nous pouvons multiplier ce nombre par le nombre de protéines que l’on retrouve dans la plus infime cellule vivante. Ce calcul nous permettra d’estimer la probabilité d’évolution du matériel brut de la protéine. Il s’agit de l’étape initiale pour estimer la probabilité d’évolution de la première cellule vivante de l’environnement décrit dans les manuels de biologie par des expressions telles que : «la vie a pris forme dans les anciennes mers» (Johnson 1998) et «cette soupe organique originale» (Miller and Levine 1998).

 

 

 

 

Si un calcul de probabilité est fait sur la construction évolutive de la molécule d’une protéine, alors les principes de la physique, de la chimie, des mathématiques, de la théorie informative, de la théorie du code, de la géométrie stéréographique et de la biologie moléculaire doivent être employés. Tous les acides aminés essentiels doivent être correctement disposés, et cela avec les formes gauchères seulement et avec les liaisons peptides seulement, et la disposition doit donner une permissivité aux substituts qui ne détruisent pas l’utilité biologique. Selon ces données, la probabilité de faire évoluer une seule molécule d’iso-1-cytochrome c était évaluée à 2,3 fois un trillion vigintillion à 1 contre le fait que cela se produise. Un trillion vigintillion se compose de 75 zéros. L’auteur de cette étude a conclu en disant : « L’origine de la vie survenue par hasard dans une soupe primitive est impossible en probabilités de la même manière qu’une machine en mouvement perpétuel est impossible en probabilités. » (Yockey 1992) Afin de donner un aperçu supplémentaire, l’auteur a permis une mutation à chaque seconde à partir du commencement du temps cosmique jusqu’à maintenant et il a trouvé que cette molécule unique serait à seulement 43 % de son achèvement. Cela est désastreux pour l’évolution, parce qu’il ne reste aucun temps pour l’achèvement de cette molécule, aucun temps pour l’évolution des autres 60 000 protéines nécessaires à l’existence du matériel brut de la protéine d’une seule cellule vivante minime (Denton 1986, Morowitz 1966), et aucun temps pour construire la biosphère entière et son écologie. Afin d’avoir la chance d’être vraie, l’évolution ne nécessiterait pas seulement 15 milliards (15 x 109) d’années depuis le commencement de l’univers ou même 15 x 1022 d’années pour une seule molécule d’une seule protéine. L’évolution aurait besoin de 15 x 10^~* années, 15 suivi d’un nombre quasi infini de zéros. Évidemment, l’esprit évolutionniste plonge dans une terre de miracles presque infinis.

 

 

Cependant, s’il y avait du temps, alors la probabilité s’élèverait à plus de 104 478 296 à 1 contre l’évolution des 60 000 protéines nécessaires pour la plus petite cellule vivante. Avancer qu’aucun être humain rationnel ne croirait une chose aussi impossible est l’un des plus grands euphémismes de toute l’histoire. Mais, soyons patient, et laissons la science identifier les critères de l’impossible.

 

 

La réflexion se poursuit. Estimez le nombre de secondes qui nous séparent du commencement du temps cosmique, et pour prendre une bonne mesure, multipliez cela par un chiffre approximatif de 10 millions. Il n’y a certainement pas eu plus que 1025 secondes depuis le commencement des temps. À présent, tentons de découvrir si une seconde et quelques poussières peut être convertie en quelque chose de plus précis. Cette donnée est 1045 fractions par seconde. Si ces deux nombres sont multipliés, le produit est l’estimation du nombre total de possibilités, soit 1070, pour quelque chose qui doit s’être produit au début des temps.

 

 

Maintenant, estimons combien d’agents peuvent exister dans l’univers afin que quelque chose se produise. Ne considérons pas les agents aussi importants que les humains, mais plutôt des agents aussi petits qu’une particule fondamentale telle qu’un électron. Ce nombre a été estimé à 1080 pour l’univers entier. Si nous multiplions le nombre d’agents possibles, 1080, par le nombre d’opportunités possibles, 1070, alors le produit est 10150 opportunités pour tous les agents possibles depuis le commencement du temps cosmique jusqu’à présent afin de permettre que quelque chose se produise. Si la probabilité est plus grande que 10150 à 1 contre le fait que quoi que ce soit se produise, alors cela ne pourrait pas s’être produit, c’est scientifiquement impossible (Dembski 1998). Si la probabilité d’évolution d’une molécule de protéine est d’approximativement 1075 à 1 contre cela, alors, il est clair que l’obtention de deux molécules de protéine par l’évolution est impossible. La cellule vivante la plus petite a besoin de 60 000 protéines et la probabilité de les obtenir par l’évolution est (2,3 x 107560 000 = 104,478, 296 à 1 contre cela (Yockey 1992, Mastopaolo 1999). En d’autres mots, la croyance selon laquelle « la vie est apparue dans les anciens océans » est plus que 104 478 146 (1 suivi de 4 478 146 zéros) fois plus improbable que le critère scientifique de l’impossible. Pour cette discussion, définissons comme un zillion, le chiffre 1 suivi par plus de 4 millions de zéros. Maintenant, nous pouvons dire que cette déclaration : « la vie est apparue dans les océans anciens » (Johnson 1998) et que cette expression « une soupe organique originale » (Miller et Levine 1998) est plus d’un zillion de fois plus improbable que la définition scientifique de l’impossible.

 

Ou encore, nous pouvons dire que l’évolution est plus improbable que plus d’un zillion de machines en mouvement perpétuel . Des extrêmes d’impossible semblables font davantage fonctionner l’imagination que n’importe quel conte de fées. Et cette évolution grotesque, impossible au-delà de l’imagination, on la retrouve partout, faisant ses grimaces dans les écoles publiques, dans les universités et dans tous les médias du monde.

 

 

Considérons comme impossible le cas de la Fée Bleue ayant donné vie à la marionnette Pinocchio, puis l’ayant par la suite transformé en petit garçon à partir de cet esprit, alors que la marionnette reposait dans un coin de l’atelier de Gepetto (Collodi 1883). Donnons à la Fée Bleue une probabilité scientifique de 10150 à 1 contre la déclaration qu’elle n’ait jamais existé depuis le commencement du temps cosmique. Elle est seulement une fée et son existence est définitivement impossible.

 

 

À présent, visualisons cette définition de l’impossible en convertissant chaque unité de probabilité du 10150 en Fée Bleue. De cette manière, nous pourrions asseoir une Fée Bleue sur chaque particule élémentaire, un électron, par exemple, dans l’univers entier. Ceci installerait 1080 fées bleues.

 

 

 

Maintenant, jouons au jeu enfantin de la chaise musicale aussi rapidement qu’il est possible de le faire, en commençant au début du temps cosmique. Alors que chaque particule élémentaire agissant telle une chaise est reprise à 1045 fois par seconde pour les 1025 secondes depuis le commencement du temps, nous retrouvons aujourd’hui 1070 fées attendant patiemment leur tour pour jouer. Si nous convertissons en fées le reste de la probabilité d’évolution du matériel brut de la protéine seulement, et cela pour une cellule seulement, un agent de ce qui est nécessaire à la formation d’une cellule, soit 104 478 146, nous aurons plus d’un zillion de Fées Bleues attendant leur tour pour jouer aux chaises musicales cosmiques. En attendant, il y aurait 104 478 066 d’entre elles attroupées sur chaque particule élémentaire de l’univers. Chaque feuille, chaque grain de sable, chaque goutte d’eau des océans et des nuages, le soleil, les planètes et chaque étoile de chaque galaxie serait d’un bleu solide à l’intérieur et à l’extérieur. L’on peut voir clairement que l’évolution est, de loin le plus grand conte de fées jamais raconté. L’évolution est plus d’un zillion de fois plus hallucinante en tant que conte de fées que le fait d’enseigner aux étudiants en biologie que la Fée Bleue a créé la première cellule vivante avec la touche de sa baguette magique.

 

 

 

 

 

 

Ou bien, exposons la chose ainsi : Afin de rendre la biologie un zillion de fois plus vraie et scientifique, enseignez que toutes les formes de vie ont été générées par une intelligence suprême, il y a des années lumière de cela, une intelligence dépassant la sagesse humaine, et non la Fée Bleue. Et si les dictateurs de l’évolution persistent dans leur tyrannie globale, alors laissez-nous enseigner la théorie des chaises musicales cosmiques à l’école. Si les étudiants doivent subir un lavage de cerveau avec le plus grand conte de fées jamais raconté au lieu de la biologie, le moins que l’on puisse faire est de leur offrir un peu d’amusement!

 

 

Joseph A. Mastropaolo détient un baccalauréat en kinésiologie du collège Brooklyn, une maîtrise en kinésiologie de l’université de l’Illinois et un doctorat. également en kinésiologie, de l’université de l’Iowa. Il a aussi étudié l’électrocardiographie et la biophysique de la circulation à la Faculté de médecine de l’université de Chicago. M. Mastropaolo est Fellow du Council on Epidemiology et détient un brevet d’invention en conditionnement d’équipage pour les missions spatiales habitées de façon prolongée.

 

 

Références

 

 

Affiliation Scientifique Américaine. 1996. « L’histoire d’un succès de commission scolaire  » dossier de l’Affiliation Scientifique Américaine. lettre de nouvelles ASA, volume 38 no 1, Janvier/Février.

 

 

Behe, Michael J, 1996.  » La boite noire de Darwin : le défi biochimique lancé à l’évolution  » New York, Touchstone, pp 262-268

 

 

Collodi, Carlo (Carlo Lorezini), 1883, « Le aventure di Pinocchio » Firenze : Felice Paggi Librario- Editore

 

 

La fée aux cheveux turquoise anima la marionnette de bois Pinocchio de l’esprit d’un garçon. Puis, elle transforma cet esprit en un garçon humain spontanément généré. La marionnette abandonnée dans un coin est redevenue inanimée sans la trace du rôle que la fée jouait dans les abiogenèses du garçon. Les parallèles entre les abiogenèses (la structure et génération fonctionnelles spontanées presque infinies de créer la vie à partir d’éléments non-vivants) et les monogénismes (les presque infinies diversités et complexités progressives générées spontanément ) de l’évolution sont frappants. Anaximander, Darwin et Lorenzini ont suivi le même mythe et chacun d’eux en a fait un charmant conte de fées pour la philosophie antireligieuse, pour l’amoralité posant en tant que science et pour les récits de chevet occulte que l’on lit aux enfants, et cela, respectivement.

 

 

Darwin, Charles. 1859. L’origine des espèces, chapitre V, Les lois de la variation.

 

 

Dembski, William A 1998. The design inference : éliminer le hasard au travers des petites probabilités. Presse de l’université de Cambridge p 209

 

 

Durant, Will 1939. L’histoire de la civilisation, la vie de la Grèce. New York : Simon & Schuster, p 138

 

 

Denton, Michael. 1986. l’évolution : une théorie en crise. Bethesda, MarylandL Adler & Adler, p 263.

 

 

Holum, John R. 1998 Fondements de la chimie générale, organique et biologique New York : John Wiley & Sons, pp 480-493, 568-597, 668-701

 

 

Humphreys, D. R. 1978 Utiliser la deuxième loi plus effectivement. Creation research Society

Quaterly 14 :209-210

 

 

Johnson, G. B. 1998. Biologie, vie visualisée. Austin, New York, Orlando,

 

 

Chicago, Atlanta, San Fransisco, Boston, Dallas, Toronto, London : Holt & Reinhart and Winston, p 195

 

 

Mastropaolo, Joseph. 1999. Evolution is biologically impossible. Acts and Facts 28(11): I-iv, Impact #317 http://www.icr.org/pubs/imp/imp-317.htm

 

 

McKusick, V. A. 1998. L’héritage mendelien de l’homme : un catalogue de gènes humains et de défectuosités génétiques. Baltimore, Presse de l’université John Hopkins, vol. 1 xiii-xviii

Miller, Kenneth R. , Joseph Levine. 1998. Biologie. Upper Saddle River, New Jersey : Prentice Hall, p. 346

 

 

Morowitz, H.J. 1966. La taille minimum des cellules in Principes de l’organisation bimoléculaire , éd. G.E.W. Wostenholme and M. O’Connor, London : J.A. Churchill, p 446-459

 

 

Yockey, Hubert P. 1992, Théorie de l’information et biologie moléculaire. Cambridge : presse de l’université de Cambridge. pp 255, 2015

 
 
 
 

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