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26/12/2017

L’islamisation tranquille de nos campagnes du Perche et d’ailleurs…

 

 

Le Loir-et-Cher est un département essentiellement rural. Peu de grandes villes autres que la Préfecture de Blois, l’ancien fief de Jack Lang, avec ses quartiers sensibles, comme ils disent.

  

 

Des quartiers si riches de valeurs humaines, si proches de l’autre, du différent, surtout le blanc qui a pris l’habitude de fermer sa gueule, et celui de passage pour peu qu’il vienne pour y faire un peu de commerce. De braves gamins vous dis-je, tous adeptes de la  biculture, celle du joint en barrettes, et celle des tombés de camions. De braves « jeunes » de 12 à 28 ans qui se saluent entre eux de manière courtoise, font la bise aux copines dans les caves, laissent les dames passer avec gentillesse, pour peu qu’elles s’appellent Yasmina, Rokhaya, Houria et autres Fatima, et qu’elles circulent avec leurs voiles bien serrés sur le front, pour éviter sans doute qu’un cheveu ne dépasse.

 

 

 

 

 

Il y a aussi sa Sous-Préfecture, la ville de Vendôme, petite ville socialiste de 18 000 habitants, avec son cinéma, sa seule rue piétonne, ses heures d’ouverture de magasins. Surtout, ne pas y aller entre 12h et 14h30. Ses habitants font comme beaucoup d’habitants en Province et dans beaucoup d’autres villes,  ils rentrent déjeuner chez eux.

 

Il y a aussi des villages entre 600 et 2500 habitants qui se transforment peu à peu, en désert. Les plaques de médecins font des vides sur les façades, des pharmacies fermées, des kilomètres à faire en semaine pour trouver un magasin de bricolage, et peu de concurrence. Les prix sont tempérés uniquement par les petites retraites des habitants qui sont restés attachés à leur maison, à cet habitat construit il y a 40 ou 50 ans, celle où ils sont nés, celle d’où ils partaient pour aller travailler dans les usines voisines, là l’abattoir de poulets, celui qui est devenu halal depuis son rachat par un riche marchant arabe qui balance sa production dans le 18eme arrondissement parisien.

 

Ils ont élevé leurs progénitures, puis ils les ont vus partir très vite en internat. A la campagne, il est bien rare de pouvoir garder ses enfants chez soi  jusqu’au BAC, du fait de l’éloignement des écoles primaires, secondaires et des universités, par rapport aux villages environnants.

 

Reste que la vie sociale est riche. Le Vendômois, journal local, est le lien de tous les habitants. Il liste l’ensemble de toutes les brocantes, les vide-greniers, les fêtes de village, les comices, etc. Hélas, il n’échappe pas au politiquement correct. Il remplit aussi sa mission de lobotomisation des Percherons du coin. Ses articles sur la multiculturalité sont patents avec la complicité de certains maires de village. Je pense à Montoire, ville célèbre, qui cherche sans doute à faire oublier la fameuse rencontre en organisant régulièrement, des réunions multiculturelles qui n’ont pas grand-chose à voir avec les danses, et les chants du terroir. Pour cela, il vaut mieux aller au Québec.

 

La vie sociale existe disais-je, et il suffit de circuler de brocantes en vide-greniers, pour constater que les gens se rencontrent, se parlent, rient fort entre eux, échangent des anecdotes piquantes, parfois lourdes aussi, mais toujours sympathiques. Ils viennent en famille, se donnent des nouvelles et j’imagine à les entendre, qu’ils se voient rarement le reste de l’année. Pour moi, tous ces rires, ces blagues à deux balles, ces rencontres conviviales autour de la buvette sont un bain de jouvence. Peu de toilettes pour ces dames, à la bonne franquette, et peu de tenues vestimentaires pour complaire. C’est du brut de décoffrage !

 

Ces trois dernières années, nous avons pu observer l’arrivée de familles bourgeoises venues de la région parisienne, profitant des faibles coûts des maisons à vendre, pour s’installer, venir manger bio, et respirer le bon air. Impossible de les louper ! Mais, ils jouent le jeu et partagent la convivialité ambiante. Après tout, c’est le plus important. Les Percherons ne sont pas dupes. Il faudra des années avant que ces nouveaux arrivants s’intègrent. La différence des niveaux de vie est flagrante. Ceci expliquant cela !

 

Cette année, ce sont les voilées qui viennent de débarquer dans les marchés, les brocantes, les vide-greniers. Voilées des pieds à la tête. Certaine toute en noir. (Source)

 

Elles sont à part. Se vivent à part. Elles circulent en étant (semble-t-il) indifférentes à l’entourage qui les regardent avec curiosité, mais sans agressivité aucune.

 

C’est la deuxième fois que je vois ces « créatures » exposer leurs « différences », démontrer leur message de femmes soumises à leurs maris, et à leur dieu. Elles prennent leur temps, poussent des landaus avec des enfants. Elles empilent par-dessus, leurs achats divers et variés.

 

Déjà deux fois en quelques mois et je reste choqué devant cette représentation que je croyais impossible, il y a encore peu, dans ces villages.

 

Ce lundi 7 août, ce fut ma troisième rencontre avec une voilée vendant des chaussures sur un marché à Mondoubleau. Elle était seule cette voilée, parmi les vendeurs de salade, de carottes, de pommes fruits, et des vendeurs de poulets de ferme et de lapins. La paysannerie dans toute sa beauté, entachée par cette horrible démonstration ignoble de la soumission de la femme. Là aussi, j’avais l’impression d’être bien seul. Chacun allait à ses occupations, ignorant cet état de fait, et poursuivait les achats en s’échangeant moult amabilités en passant.

 

Est-ce eux qui finalement avaient raison, ou moi qui montrais des signes d’énervements manifestes.

 

Il n’en reste pas moins que l’islamisation se poursuit tranquillement dans nos campagnes et que la femme est bien le fer de lance de celle-ci. Je pense à ces femmes faisant du « sein nu » sur une plage de la Baule. Ce n’étaient pas des voilées qui se permirent d’émettre une opinion islamiste. Elles se firent envoyer balader par des femmes attachées à leurs droits. Elles revinrent avec leurs maris.

 

Cette technique d’imposition de la charia est connue. Je pense que cette technique se met en place dans nos villages, et qu’elle va poser un problème majeur dans les années futures.

 

Le risque est que cette engeance s’impose dans un tissu vieillissant, où les adultes refusent de s’investir dans la vie politique, ou il faut que les habitants supplient pour avoir un candidat à la mairie du village. Que la jeunesse ne songe qu’à rejoindre les villes, les métropoles. Demain, avec la volonté d’installer des « clandestins » dans nos campagnes, et par le jeu du regroupement familial, nous risquons bien de perdre la saveur de nos campagnes, de nos terroirs, de nos productions, et les églises de nos villages. Je doute que les bobos parisiens, lessivés par la propagande d’état, ne réagissent vraiment.

 

Ce commentaire lu sur Salon Beige doit nous alerter: Ils sont en train de s’implanter systématiquement dans nos campagnes et dans nos villes petites et moyennes pour y jouir tranquillement de leurs diverses allocations – que nous leur payons – et se préparer à nous assaillir aussitôt qu’ils jugeront que le succès est promis à leurs entreprise (…) c’est ce que l’on appelle la trahison du peuple par ses représentants – je ne fais d’ailleurs que dénoncer une évidence.

 

Gérard Brazon 

 

 

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