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30/01/2018

Angleterre : condamnation d’un musulman partisan d’attentats contre les chrétiens:

 

 

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Akeem Samuels, 22 ans, sujet de Sa Gracieuse Majesté, originaire de la Jamaïque et converti, adolescent, à la religion de Mahomet sur le sol de la Grande-Bretagne, avait été arrêté en août dernier après que des policiers du contre-espionnage découvrirent des messages de haine de sa part sur Instagram, postés entre le 31 décembre 2016 et le 14 août 2017. Adhérant virtuel mais sans réserve à l’État Islamique, il avait notamment appelé sur la toile à « mener des attentats terroristes contre les chrétiens », nous apprend le Daily Mail. Il vient d’être condamné à Londres à quatre ans de prison…

 

 

Source : Daily Mail

26/01/2018

Un Afrikaner d'origine Luthérienne: le Président Paul Kruger(1)

 

 

 

Stephanus Johannes Paulus Kruger (né le 10 octobre 1825 à Bulhoeken Afrique du Sud - mort le 14 juillet 1904 à Clarens en Suisse) - plus communément appelé Paul Kruger - était un homme politique boer, président de la république sud-africaine du Transvaal de 1883 à 1902.

 

Origines:

 

Les origines familiales de Paul Kruger en Afrique du Sud remontent à Jacob Kruger (1690-1749). Celui-ci était né près de Berlin en Prusse et avait débarqué dans la colonie du Cap en 1714 comme soldat au service de la compagnie néerlandaise des Indes orientales. Il s'était par la suite installé dans la colonie en tant que fermier.

 

 

Parmi ses descendants, certains étaient devenus des Trekboers (des nomades) qui avaient finalement pris racine dans la région de Cradock.

 

 

Stephanus Johannes Paulus Kruger est né près de Venterstad dans la colonie du CapAfrique du Sud. Il est le fils de Kasper Jan Hendrik Kruger, et de Elsie Fransina née Steyn.

 

 

Il ne passe que trois mois à l'école et fait l'essentiel de son éducation au milieu du Veld.

 

 

Le jeune participant au Grand Trek (1835-1840):

 

 

Sa famille fait partie des quatorze mille Boers qui émigrent de la colonie du Cap dans les années 1835-1840 lors du Grand Trek.

 


Menée par son père, Casper Kruger, la famille de Paul Kruger rejoint d'abord le convoi de Piet Retief en 1836 avec lequel elle participe aux combats contre les Zoulous. Les Kruger se joignent ensuite au convoi de Hendrik Potgieter avec lequel ils franchissent le fleuve Vaal en 1838. Casper Kruger et son frère participent alors à la fondation de Potchefstroom, première ville boer située au nord des frontières de la colonie du Cap.

 

 

Un peu plus tard, Casper Kruger installe sa famille plus au nord, dans le district de Rustenburg.

 

 

Le fermier du Transvaal (1840-1855):

 

 

En 1841, âgé de seize ans, Paul Kruger s'émancipe de sa famille et se bâtit une ferme au pied des monts Magaliesberg. Intéressé par les questions militaires, il est aussi sous-lieutenant dans l’« armée du Transvaal ».

 

 

En 1842, il épouse Maria du Plessis. Le couple séjourne un temps avec Casper Kruger dans l'est du Transvaal avant de revenir s'établir à Rustenburg où Maria et son enfant nouveau-né meurent tous deux du paludisme en 1846.

 

 

Paul Kruger se remarie alors avec Gezina du Plessis, ex-épouse de son cousin, de laquelle il aura sept filles et neuf garçons (certains moururent en bas âge).

 

 

C'est dans cette partie du continent que Kruger acquiert sa première ferme, Waterkloof.

 

 

La participation de sa famille au Grand Trek lui sert alors pour participer à la vie politique de la République du Transvaal.

 

 

Ascension politique au Transvaal (1854-1881):

 

 

 

 
 
 
Paul Kruger en 1879
 

En 1854, Kruger est commandant de Rustenburg.

 

 

En 1856, il est membre du parlement républicain (Volksraad) qui rédige la constitution de la République sud-africaine (Transvaal).

 

 

En 1858, il est promu commandant général de l'armée du Transvaal faisant de lui le deuxième personnage de la république sud-africaine.

 

 

En 1859, cet homme de foi calviniste est l'un des fondateurs de la Gereformeerde Kerk, l’Église réformée du Transvaal.

 

 

En 1873, Kruger démissionne du commandement-général de l'armée du Transvaal pour se retirer dans sa ferme de Boekenhoutfontein.

 

 

En 1874, sa retraite prend fin avec son élection au conseil exécutif du Transvaal suivi de sa nomination à la vice-présidence du Transvaal.

 

 

En 1877, il est l'un des rares dirigeants de la république à s'opposer à l'annexion du Transvaal par les Britanniques. Il se rend alors en Angleterreafin de protester contre l'annexion du Transvaal. En 1878, il fait encore partie de la seconde délégation qui se rend à Londres puis se rend à Parisoù il survole la ville à bord d'une montgolfière.

 

 

Lorsque les protestions auprès des Britanniques se révèlent vaines, il forme un triumvirat avec Piet Joubert et Marthinus Wessel Pretorius, fils d'Andries Pretorius et ancien président de la république, dans le but de créer un mouvement de résistance.

 

 

En 1881, il commande les forces armées boers rebelles. La victoire des Boers à Majuba en 1881 oblige les Britanniques à négocier sérieusement une nouvelle autonomie pour le Transvaal.

 

 

Le président du Transvaal (1883-1902):

 

 

 

En 1883, âgé de cinquante-sept ans, Paul Kruger est élu président de la République sud-africaine (Transvaal), poste auquel il est réélu quatre fois de suite.

 


En 1884, il parvient à négocier la complète indépendance du Transvaal (Convention de Londres). Lors de son voyage, il mène une tournée triomphale aux Pays-Bas, en Belgique en France et en Espagne. En Allemagne, il est reçu par le Kaiser et le chancelier Otto von Bismarck, lors d'un banquet impérial donné en son honneur.

 

 

Calviniste pratiquant, austère, fin politicien, Kruger devient le symbole du Boer résistant aux Britanniques.

 

 

À partir de 1886, la ruée vers l'or du Transvaal amène l'État transvaalien à construire des voies de chemins de fer, des rues dans les villes nouvelles et toutes sortes de commodités et de services jusqu'alors inexistants. L'exploitation et l'industrie minières stimulent le commerce et le secteur des transports faisant rapidement du Transvaal le nouveau centre économique de l'Afrique du Sud aux dépens de la colonie du Cap. L'afflux de travailleurs étrangers, les uitlanders, risque dorénavant de menacer le pouvoir politique des Boers mais Kruger refuse de leur accorder la citoyenneté en dépit des pressions britanniques.

 


En 1893, réélu de justesse face à Joubert, Paul Kruger doit faire face à une plus forte opposition qui lui reproche son inflexibilité et sa politique économique inadaptées aux nouveaux défis de la modernité.

 

 

 

 
 

Retranché dans ses convictions tirées littéralement des saintes-écritures, la liberté et la religion sont en fait les axiomes de sa politique. Il est alors considéré comme un homme providentiel par ses compatriotes du Transvaal mais comme un anachronisme par les Britanniques. Son opposition à toutes les demandes britanniques concernant les droits des uitlanders, débouche sur un sérieux antagonisme avec le Colonial Office et la colonie du Cap.

 

 

Le raid Jameson sur le Transvaal à la fin de l'année 1895, entrepris par des amis de Cecil Rhodes, premier ministre du Cap, marque l'amorce du déclenchement des hostilités entre Boers et Britanniques. Dans un premier temps, le calme et la détermination de Kruger dans sa gestion du raid Jameson lui permettent de sauver son pouvoir alors que son rival du Cap, Cecil Rhodes, est contraint de démissionner. Mais pour Kruger, le raid Jameson confirme que les Britanniques ne mènent qu'une seule politique basée sur la tromperie, l'intimidation, la pression et le banditisme.

 

 

En 1898, Paul Kruger est élu une quatrième fois à la présidence du pays contre le chef de la Cour de justice, John Gilbert Kotzé. Il se venge alors de son opposant en le faisant démettre de sa fonction judiciaire prenant une grande liberté avec la constitution et avec la séparation des pouvoirs. C'est alors qu'un jeune homme politique et avocat originaire du Cap, Jan Smuts, présenta le mémoire en défense de Kruger particulièrement bien argumenté, légitimant le renvoi de Kotzé de la Cour de justice.

 

 

Impressionné par les qualités et la rhétorique de Smuts, Kruger fait entrer le jeune avocat de vingt-huit ans dans son gouvernement.

 

 

 

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23/01/2018

Conférence : « Les chrétiens persécutés en Afrique »

 

 

 

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Communiqué

 

 

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Solidarité InternationaleTrinitaire organise, cette année, un colloque à Paris, les 25 et 26 avril prochain, pour parler de la persécution des chrétiens en Afrique, continent trop souvent oublié. Ils sont très nombreux ceux et celles qui souffrent à cause de leur foi en Jésus-Christ. Certaines communautés religieuses ont souffert de la disparition de l’un de leur membre sur ce continent, par enlèvement ou assassinat. Nous vous invitons à venir partager ce temps d’information avec nous, chez les sœurs Bénédictine du Sacré-Cœur de Montmartre, à Paris. Si vous ne pouvez vous déplacer, nous vous remercions de prier pour tous ces chrétiens discriminés ou persécutés à cause de Jésus. Pour s’inscrire, vous pouvez le faire directement à partir de notre site Internet : www.sit-france.org. Vous pouvez aussi nous aider à la réussite de ce colloque, en faisant circuler cette information auprès de vos communautés, auprès des paroisses dans lesquelles vous êtes, auprès de vos amis. Vous trouverez en pièces jointes l’affiche ainsi que le dépliant de cet événement. Nous en profitons pour vous souhaitez un bon Carême. Fraternellement en la Très Sainte Trinité.

 

 

 

Fr. Frédéric Souchet, O.SS.T., Président SIT Canada – France

 

 

 

Tel.: 04 92 81 09 17 ou 07 86 64 78 95 / Courriel: sitfrancequebec@gmail.com

Site Internet : www.sit-france.org

 

 

 

 

19/01/2018

Un poisson mutant prouve l’évolution ?

 

 

 

 

 

En novembre 2015, le magazine Evolution a publié un article dans lequel on clame encore une fois avoir découvert une preuve de l’évolution. L’équipe de Rowan Barrett, zoologiste à l’Université de Colombie Britannique, est à l’origine de cette recherche qui concerne un poisson de la famille des épinoches qui vit en eaux marines et en eaux douces.

Sur le site de l’université de Colombie Britannique on rapporte que :

 

 

Selon le zoologiste Rowan Barrett : « Les scientifiques ont identifié une version mutante du gène, ou allèle, qui inhibe la croissance de l’armure d’écailles »

« Alors que cet allèle n’est présent que chez 1 % des individus marins, cet allèle est très répandu au sein de la population vivant en eau douce »

 

 

 

En d’autres mots, la perte d’une fonction (armure d’écaille) chez cette espèce de poisson a favorisé sa survie en eaux douces. La production des écailles chez le poisson est commandée par certains gènes de son ADN. D’autres gènes dits « régulateurs » contrôlent l’expression de ce gène. Une mutation du gène régulateur a causé une « erreur », comme c’est l’effet de toute mutation génétique (elles peuvent être, tout au plus, neutres). Cette erreur a fait en sorte que le poisson mutant a une armure d’écaille réduite. Ainsi, sa croissance corporelle est mise à profit et la taille de son corps est augmentée. Ces effets semblent lui conférer un avantage en eaux douces.

 

 

 

 

Le mot « évolution » est mal choisi

 

 

 

 

Cet évènement ne représente aucunement l’apparition d’une innovation biologique, c’est plutôt la suppression d’une innovation biologique (les écailles). Cette suppression constitue un avantage en eaux douces qui s’est répandu grâce à la sélection naturelle ou, la survie du « mieux adapté ».

 

 

Le même genre de phénomène se produit chez les bactéries. Une mutation génétique chez une bactérie peut corrompre le bon fonctionnement de la membrane cellulaire, par exemple. Cette corruption légère peut toutefois être suffisante pour empêcher un antibiotique de pénétrer à l’intérieur de la bactérie et de la tuer. La résistance aux antibiotiques est l’exemple le plus cité et le plus flagrant d’« évolution » au sein de la littérature évolutionniste. Pourtant, cet exemple, autant que les études récentes sur les épinoches, ne démontre aucunement l’apparition de nouveaux caractères biologiques.

 

 

Régression au lieu d’évolution

 

 

Ces exemples acclamés comme des preuves éclatantes de l’évolution concernent des traits existants qui s’atrophient au profit de la survie, et ce, dans un contexte très particulier.

Ce sont donc de véritables changements qui, de surcroît, sont bel et bien répandus dans les générations successives grâce à la sélection naturelle, mais le résultat final est une « sous-espèce » qui a régressé sur le plan biologique. Si le bilan biologique d’une espèce se comptabilise par le nombre de fonctions biologiques qu’elle opère (la vue, la respiration, la nage, la reproduction, la protection, etc) alors une espèce qui perd une fonction régresse, même si cela est utile à sa survie. Non seulement elle régresse, mais l’origine des fonctions biologiques que porte l’espèce demeure inexpliquée.

 

 

Que cherchons-nous à expliquer ?

 

 

Bien que cette recherche sur les épinoches mutantes soit fort intéressante, elle n’explique rien du point de vue des origines. L’évolutionnisme et le créationnisme prétendent expliquer l’origine des formes de vies et non pas leur potentielle perte de fonctions une fois que celles-ci existent.

 

 

Je suggère l’analogie suivante : la serrure de votre porte de maison est bousillée. En conséquence, les voleurs avec leurs outils habituels ne réussiraient pas à trafiquer cette serrure. Votre maison est alors immunisée contre le vol et serait la seule sur la rue qui ne peut pas être volée.

 

 

Diriez-vous que votre maison est plus évoluée que les autres ? Diriez-vous que ce bris pourrait expliquer l’origine de la plomberie et de l’électricité dans une maison standard ?

Un évolutionniste répondrait « oui » à ces deux questions.

 

 

Conclusion

 

 

 

La résistance aux antibiotiques aussi bien que les épinoches mutantes sont des cas très concrets et réels. Cependant, ces cas démontrent que l’effet combiné des mutations génétiques et de la sélection naturelle mène à la régression biologique des espèces. Le problème est purement terminologique : les croyants évolutionnistes associent à l’« évolution » n’importe quel changement biologique qui confère un avantage de survie. Cette approche très légère ne fait qu’alimenter la confusion dans le débat des origines.

Les failles du darwinisme, La Recherche 1996 pp. 87-90

 

 

 

« Dans une zone qui se désertifie, les espèces qui disparaissent [les premiers] sont celles qui ont le plus besoin d’eau. Ce qui n’explique pas l’apparition chez les survivants de structures dont les propriétés fonctionnelles leur  permettent de mieux résister à la sécheresse. Le concept de sélection naturelle n’est pas un concept très fort. »

 

 


Commentaire d’un lecteur

 

 

 

Pourquoi les évolutionnistes interprètent cette découverte comme étant une preuve de l’évolution malgré son invalidité… sont ils des menteurs? Pourquoi ces mensonges et toutes ces propagandes? Pourquoi ils veulent tromper les gens?

 

 

Les évolutionnistes ne veulent pas tromper les gens. La théorie de l’évolution est devenue très large c’est-à-dire qu’un changement biologique est automatiquement classifié comme une preuve de l’évolution même si l’espèce régresse en termes d’information génétique. C’est le cas de l’argumentation très popularisée relativement à la résistance aux antibiotiques.

Si l’on se penche sur la question des origines des formes de vie, il est impératif de proposer un mécanisme qui fait progresser la quantité d’information génétique. Les évolutionnistes ont simplement perdu de vue cet objectif.

 

 

Pensez-vous que dans le future on trouvera des preuves de l’évolution ou bien au contraire vous croyez  que la théorie de l’évolution est comme l’alchimie elle finira, avec le temps, par disparaitre de la littérature scientifique.

 

 

Tant que la définition de l’évolution englobera n’importe quel changement, sans analyser l’impact concret en termes de quantité d’information génétique fonctionnelle, eh bien oui, d’autres « preuves » seront découvertes.

 

 

Par contre, la théorie de l’évolution, sous cette forme, n’est pas une théorie des origines, elle est une théorie sur les changements biologiques au sein  des espèces. Ces changements sont régressifs ou neutres au niveau de l’information génétique et n’expliquent alors rien sur l’origine des gènes qui codent pour les yeux, les nageoires, le système nerveux, les fonctions de reproduction, etc.

 

 

Sources :

 

 

Rowan D. H. Barrett  “Environment Specific Pleiotropy Facilitates Divergence at the Ectodysplasin Locus in Threespine Stickleback” Evolution, Volume 63, (novembre 2009)

http://www.publicaffairs.ubc.ca/media/releases/2008/mr-08...

 

 

M.-P. Schützenberger : Les failles du darwinisme, La Recherche 1996 pp. 87-90

 

 

 

Mathématicien, informatique théorique, médecin, généticien et épidémiologiste, spécialiste du pian. Il a travaillé sur la théorie des codes et apporté de grandes contributions à la compréhension mathématique du codage de l’information.

09:43 Publié dans Science | Lien permanent | Commentaires (0)

16/01/2018

Érythrée : plus de 120 chrétiens arrêtés depuis décembre…

 

 

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Le 9 décembre dernier, je signalais l’arrestation de 89 chrétiens. Au moins 22 autres ont été arrêtés depuis : 17 dans une banlieue de la capitale Asmara le 28 décembre et 5 autres ont été arrêtés à leur domicile à Dongolo le 6 janvier. Open Doors (Portes Ouvertes) établit le nombre des arrestations de chrétiens à 121 depuis mai, tandis que Christian Solidarity Worldwide (CSW) l’estime à 122. Ce sont tous des chrétiens évangéliques ou pentecôtistes. L’Érythrée, selon le classement de Portes Ouvertes, est à la dixième place des pays les plus dangereux pour les chrétiens, ce qui explique, en partie, le nombre non négligeable d’Érythréens chrétiens parmi les migrants en Europe.

 

 

 

Source : World Watch Monitor