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29/12/2017

ISLAM...........

 

 

 

 

LA BATAILLE DE POITIERS N’EST PAS UN MYTHE !

 

 

 

 

 
 
 
 
 
 
 
 

Entre Tours et Poitiers s’étend une vaste plaine au milieu de laquelle est un hameau qui porte le nom à jamais glorieux de Moussay-la-Bataille.

 

 

C’est là que, d’après une tradition immémoriale, fut livrée la bataille de Poitiers dans laquelle la chrétienté, servie par le bras de Charles Martel, écrasa les musulmans, arrêta de ce côté les progrès du croissant et sauva la civilisation européenne du plus grand péril qu’elle pût courir.

 

 

 

Tout est obscur dans les détails de cet événement considérable du 17 octobre de l’année 732.

 

 

Mais ce que l’on sait, ce que tous les chroniqueurs, arabes ou français, ont dit à l’envi, c’est que la journée de Poitiers fut une journée mémorable, qui vit deux religions, deux mondes, deux civilisations, deux races et, pour ainsi dire, deux pôles, le Nord et le Sud, se rencontrer et se heurter avec fracas.

 

 

Si Charles Martel avait été vaincu, à Poitiers, par Abdérame, comme l’empereur Constantin Paléologue le fut plus tard, à Constantinople, par Mehmed II, l’Europe aurait été la proie de l’islamisme, et Dieu sait ce que sont devenus les peuples qui ont eu à subir son joug !

 

 

 

Les soldats de Mahomet avaient conquis la moitié du monde : encore un effort, et tous les peuples seraient aux genoux des successeurs du Prophète. Le 28 avril 711, vingt-cinq mille musulmans, appelés par un traître, débarquent à Algésiras, battent les Goths à Xérès, anéantissent, après trois siècles d’existence, la monarchie wisigothe, deviennent maîtres de l’Espagne entière et établissent leur capitale à Cordoue.

 

 

 

Au printemps de l’année 732, Abdérame (Ab’ der-Rhaman), émir de Cordoue, obéissant aux instructions du calife Hescham, et déterminé à s’emparer de la Gaule, franchit les Pyrénées par la vallée de Roncevaux. Son armée était formidable. Elle comprenait la plus grande partie de ces vaillantes troupes qui avaient conquis l’Afrique et l’Espagne. Derrière les combattants venait une multitude énorme, vieillards, femmes et enfants, que certains historiens dignes de foi portent au chiffre de cinq cent mille âmes. C’était un peuple entier qui se jetait sur un autre, comme au temps des grandes invasions, et qui obéissait à la voix d’un des plus fameux capitaines de l’islam.

 

 

 

Telle était l’armée qui s’avançait vers la Gaule chrétienne. L’aile gauche enleva d’assaut toutes les villes de Béarn sans rencontrer de résistance sérieuse. Oléron, Dax, Bayonne furent livrées aux flammes, et une foule de prêtres, de religieux et de religieuses furent massacrés.

 

 

L’aile droite débarqua en Provence et exerça ses fureurs sur Marseille et sur la Provence entière, puis sur la Bourgogne avec une étonnante rapidité. À Sens, un évêque, saint Ebbo, arrêta l’aile droite de l’armée.

 

 

 

Pendant ce temps, la grande armée musulmane, sous les ordres d’Abdérame, montait en Gaule. Après avoir incendié la ville de Bazas elle se présenta devant Bordeaux. La grande cité, capitale de l’Aquitaine, fut emportée d’assaut, la population fut égorgée, les églises furent pillées et brûlées, le faubourg et le monastère de Sainte-Croix livrés aux flammes. Le duc Eudes, désespéré, s’enfuit avec les débris de son armée. Abdérame le poursuivit, franchit la Garonne, enleva la forteresse d’Agen et tomba enfin sur l’armée ducale qui fut écrasée. « Ce fut, dit le chroniqueur Isidore de Beja, une déroute et un massacre effroyables. Dieu seul sait le nombre de Francs qui périrent en cette journée ! »

 

 

 

Les conséquences de la défaite furent terribles. En quelques mois, l’armée musulmane, gorgée de butin, s’empara de Périgueux, de Saintes, d’Angoulême, livrant tout le pays à feu et à sang, ne laissant rien derrière elle, et arriva sous les murs de Poitiers.
(À suivre…)

 

 

 

Extraits de : Ferdinand Hervé-Bazin, Les Grandes Journées de la chrétienté, réédition Édilys 2015.

 

 

 

 


Ferdinand Hervé-Bazin (1847-1889) fut avocat, professeur d’économie politique à l’Université catholique d’Angers. En écrivant ce livre après le désastre de 1870, il voulait montrer ces triomphes éclatants de l’Église, qui furent aussi des triomphes pour la civilisation, et qui s’appelèrent les journées du pont Milvius, de Tolbiac, de Poitiers, de Pavie, de Jérusalem, de Las Navas, de Grenade, de Lépante, de Vienne, de Peterwardein. Il pensait que de tels spectacles étaient de nature à faire aimer l’Église et aussi à relever les courages abattus.

 

 

 

 

 
 
 
 
 
 
 
 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

08:50 Publié dans Histoire | Lien permanent | Commentaires (0)

26/12/2017

L’islamisation tranquille de nos campagnes du Perche et d’ailleurs…

 

 

Le Loir-et-Cher est un département essentiellement rural. Peu de grandes villes autres que la Préfecture de Blois, l’ancien fief de Jack Lang, avec ses quartiers sensibles, comme ils disent.

  

 

Des quartiers si riches de valeurs humaines, si proches de l’autre, du différent, surtout le blanc qui a pris l’habitude de fermer sa gueule, et celui de passage pour peu qu’il vienne pour y faire un peu de commerce. De braves gamins vous dis-je, tous adeptes de la  biculture, celle du joint en barrettes, et celle des tombés de camions. De braves « jeunes » de 12 à 28 ans qui se saluent entre eux de manière courtoise, font la bise aux copines dans les caves, laissent les dames passer avec gentillesse, pour peu qu’elles s’appellent Yasmina, Rokhaya, Houria et autres Fatima, et qu’elles circulent avec leurs voiles bien serrés sur le front, pour éviter sans doute qu’un cheveu ne dépasse.

 

 

 

 

 

Il y a aussi sa Sous-Préfecture, la ville de Vendôme, petite ville socialiste de 18 000 habitants, avec son cinéma, sa seule rue piétonne, ses heures d’ouverture de magasins. Surtout, ne pas y aller entre 12h et 14h30. Ses habitants font comme beaucoup d’habitants en Province et dans beaucoup d’autres villes,  ils rentrent déjeuner chez eux.

 

Il y a aussi des villages entre 600 et 2500 habitants qui se transforment peu à peu, en désert. Les plaques de médecins font des vides sur les façades, des pharmacies fermées, des kilomètres à faire en semaine pour trouver un magasin de bricolage, et peu de concurrence. Les prix sont tempérés uniquement par les petites retraites des habitants qui sont restés attachés à leur maison, à cet habitat construit il y a 40 ou 50 ans, celle où ils sont nés, celle d’où ils partaient pour aller travailler dans les usines voisines, là l’abattoir de poulets, celui qui est devenu halal depuis son rachat par un riche marchant arabe qui balance sa production dans le 18eme arrondissement parisien.

 

Ils ont élevé leurs progénitures, puis ils les ont vus partir très vite en internat. A la campagne, il est bien rare de pouvoir garder ses enfants chez soi  jusqu’au BAC, du fait de l’éloignement des écoles primaires, secondaires et des universités, par rapport aux villages environnants.

 

Reste que la vie sociale est riche. Le Vendômois, journal local, est le lien de tous les habitants. Il liste l’ensemble de toutes les brocantes, les vide-greniers, les fêtes de village, les comices, etc. Hélas, il n’échappe pas au politiquement correct. Il remplit aussi sa mission de lobotomisation des Percherons du coin. Ses articles sur la multiculturalité sont patents avec la complicité de certains maires de village. Je pense à Montoire, ville célèbre, qui cherche sans doute à faire oublier la fameuse rencontre en organisant régulièrement, des réunions multiculturelles qui n’ont pas grand-chose à voir avec les danses, et les chants du terroir. Pour cela, il vaut mieux aller au Québec.

 

La vie sociale existe disais-je, et il suffit de circuler de brocantes en vide-greniers, pour constater que les gens se rencontrent, se parlent, rient fort entre eux, échangent des anecdotes piquantes, parfois lourdes aussi, mais toujours sympathiques. Ils viennent en famille, se donnent des nouvelles et j’imagine à les entendre, qu’ils se voient rarement le reste de l’année. Pour moi, tous ces rires, ces blagues à deux balles, ces rencontres conviviales autour de la buvette sont un bain de jouvence. Peu de toilettes pour ces dames, à la bonne franquette, et peu de tenues vestimentaires pour complaire. C’est du brut de décoffrage !

 

Ces trois dernières années, nous avons pu observer l’arrivée de familles bourgeoises venues de la région parisienne, profitant des faibles coûts des maisons à vendre, pour s’installer, venir manger bio, et respirer le bon air. Impossible de les louper ! Mais, ils jouent le jeu et partagent la convivialité ambiante. Après tout, c’est le plus important. Les Percherons ne sont pas dupes. Il faudra des années avant que ces nouveaux arrivants s’intègrent. La différence des niveaux de vie est flagrante. Ceci expliquant cela !

 

Cette année, ce sont les voilées qui viennent de débarquer dans les marchés, les brocantes, les vide-greniers. Voilées des pieds à la tête. Certaine toute en noir. (Source)

 

Elles sont à part. Se vivent à part. Elles circulent en étant (semble-t-il) indifférentes à l’entourage qui les regardent avec curiosité, mais sans agressivité aucune.

 

C’est la deuxième fois que je vois ces « créatures » exposer leurs « différences », démontrer leur message de femmes soumises à leurs maris, et à leur dieu. Elles prennent leur temps, poussent des landaus avec des enfants. Elles empilent par-dessus, leurs achats divers et variés.

 

Déjà deux fois en quelques mois et je reste choqué devant cette représentation que je croyais impossible, il y a encore peu, dans ces villages.

 

Ce lundi 7 août, ce fut ma troisième rencontre avec une voilée vendant des chaussures sur un marché à Mondoubleau. Elle était seule cette voilée, parmi les vendeurs de salade, de carottes, de pommes fruits, et des vendeurs de poulets de ferme et de lapins. La paysannerie dans toute sa beauté, entachée par cette horrible démonstration ignoble de la soumission de la femme. Là aussi, j’avais l’impression d’être bien seul. Chacun allait à ses occupations, ignorant cet état de fait, et poursuivait les achats en s’échangeant moult amabilités en passant.

 

Est-ce eux qui finalement avaient raison, ou moi qui montrais des signes d’énervements manifestes.

 

Il n’en reste pas moins que l’islamisation se poursuit tranquillement dans nos campagnes et que la femme est bien le fer de lance de celle-ci. Je pense à ces femmes faisant du « sein nu » sur une plage de la Baule. Ce n’étaient pas des voilées qui se permirent d’émettre une opinion islamiste. Elles se firent envoyer balader par des femmes attachées à leurs droits. Elles revinrent avec leurs maris.

 

Cette technique d’imposition de la charia est connue. Je pense que cette technique se met en place dans nos villages, et qu’elle va poser un problème majeur dans les années futures.

 

Le risque est que cette engeance s’impose dans un tissu vieillissant, où les adultes refusent de s’investir dans la vie politique, ou il faut que les habitants supplient pour avoir un candidat à la mairie du village. Que la jeunesse ne songe qu’à rejoindre les villes, les métropoles. Demain, avec la volonté d’installer des « clandestins » dans nos campagnes, et par le jeu du regroupement familial, nous risquons bien de perdre la saveur de nos campagnes, de nos terroirs, de nos productions, et les églises de nos villages. Je doute que les bobos parisiens, lessivés par la propagande d’état, ne réagissent vraiment.

 

Ce commentaire lu sur Salon Beige doit nous alerter: Ils sont en train de s’implanter systématiquement dans nos campagnes et dans nos villes petites et moyennes pour y jouir tranquillement de leurs diverses allocations – que nous leur payons – et se préparer à nous assaillir aussitôt qu’ils jugeront que le succès est promis à leurs entreprise (…) c’est ce que l’on appelle la trahison du peuple par ses représentants – je ne fais d’ailleurs que dénoncer une évidence.

 

Gérard Brazon 

 

 

25/12/2017

Joyeux Noël !

 

 

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09:53 Publié dans Louange | Lien permanent | Commentaires (0)

22/12/2017

J’ai été étudiant du CET (depuis fermé) :

 

 

                                                

 

 

 

CENTRE d’ÉTUDES THÉOLOGIQUES

  

rue Jules Barbier

   

92290 Chatenay-Malabry

 

  

 

Le Centre d’Etudes Théologiques de l’Eglise Evangélique Luthérienne-

Synode de France et de Belgique prépare au ministère pastoral, par une formation théologique de quatre ans, les titulaires du baccalauréat ou d'un équivalent.

 

 

L'enseignement dispensé comprend l'étude des langues anciennes (grec, hébreux, latin) et les principales disciplines théologiques : théologique systématique, introduction à l’Ecriture Sainte, herméneutique, exégèse de l'Ancien et du Nouveau Testament, symbolique, homélitique, théologie pastorale, histoire de l’Eglise, à quoi s’ajoute une introduction à la psychologie appliquée.

 

 

Cet enseignement a pour fondement l’affirmation de l’inspiration plénière, de l'infaillibilité et de l'autorité des livres canoniques de l’Ecriture Sainte et renonce à l'utilisation de toute méthode d'investigation critique de la Bible mettant en cause son origine divine et donc la valeur permanente de son contenu. Il veut rester fidèlement attaché aux grandes vérités doctrinales redécouvertes par la Réforme luthérienne. Il accueille, dans la limite des possibilités, tout étudiant qui partage cette conviction doctrinale.

 

 

 

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07:53 Publié dans Biographie | Lien permanent | Commentaires (0)

19/12/2017

Aude : une musulmane vandalise une église à Rennes-le-Château:

 

 

 

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Il s’agit de l’église Sainte-Marie-Madeleine. La presse régionale a amplement évoqué les actes de vandalisme doublé de profanation – l’autel ayant été vandalisé aussi – mais avec des approximations : le bénitier (qui a aussi été endommagé) n’est pas « surmonté » par cette effigie d’un démon, mais au contraire posé sur ses épaules… Le « manteau noir » qui la revêtait était vraisemblablement une abaya. Quant à la « cape blanche » qu’elle a ensuite jeté sur ses épaules, c’est sa couleur – ou plutôt l’absence de couleur, car le blanc n’est pas une couleur… – qui a du sens puisque le blanc est symbole de pureté en islam : les défunts mahométans sont toujours enseveli dans un linceul blanc. Allez savoir si, dans l’esprit de cette femme, cette cape blanche n’a pas été imaginée comme une sorte de linceul pour le cas où elle aurait été abattue sur place. Intéressant aussi de noter que la vandale révèle que son mari est « là-bas », c’est-à-dire en Syrie. Y mène-t-il le djihad ? Ce n’est pas, contrairement, à ce que dit le maire de Rennes-le-Château, un attentat contre la « République française », mais un acte de haine contre les chrétiens, les “croisés”, commis dans l’un de leurs lieux de culte…

Hier matin [17 décembre] vers 9 h, une jeune femme d’une vingtaine d’années, seule, habillée d’un manteau noir, se présente à l’office de tourisme de Rennes-le-Château pour demander les horaires d’ouverture de l’église. Elle avait, disait-elle, l’intention de la visiter. L’employée du site lui indique les horaires. La visiteuse décide alors de boire un café puis de déambuler dans les ruelles. Vers 11 h 15, elle demande à un restaurateur de se laver les mains. Quelques minutes plus tard, elle réapparaît habillée d’une longue cape blanche, d’un voile sur la tête et d’un masque style vénitien sur le visage […] Devant des touristes surpris, la jeune femme se réfugie dans la grotte dite de la Vierge, à proximité de l’église, et téléphone longuement en arabe, puis rentre tranquillement dans l’église, sort une hache et se met à frapper sur le célèbre bénitier surmonté [sic] par la représentation d’Asmodée. Elle décapite le fameux diable rouge, lui coupe le bras et pose un coran à ses côtés, puis lacère le bas-relief de l’autel de Marie-Madeleine, devant des visiteurs ébahis. Ces derniers donnent l’alerte, le maire, Alexandre Painco, intervient. Il constate les faits et appelle la gendarmerie. Face à la jeune femme étonnamment calme, il lui demande pourquoi elle a commis ces actes. Elle répond posément : «  pendant qu’en Syrie l’Occident bombarde et tue des enfants. Vous êtes tous des mécréants ! Mon mari est là-bas ». Rapidement sur place, les gendarmes interpellent la jeune femme sans aucune résistance. Un périmètre de sécurité est établi dans le village, et une équipe de déminage arrivée dans l’après-midi se met à l’œuvre. Le maire n’en revient toujours pas : « Cette femme était déterminée et son geste prémédité. Elle a choisi ce jour, ce lieu précis, pour qu’il ait un impact médiatique important et ainsi porter atteinte à la République française. »

 

Source : La Dépêche, 18 décembre; L’Indépendant, 18 décembre(repris par Midi Libre, 18 décembre) [Merci M. K., A. V., F. P., C. D. et N. D. pour ce signalement]

 

09:30 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)