15/12/2017
Histoire de la Church of the Lutheran Confession (4).
Dans l'exercice de la communion et dans le culte (prier ensemble) ainsi que le travail avec d’autres églises, nous ne pouvons pas partager et considérer comme frères, ceux qui n’ont pas la même foi dans leurs cœurs, qui n'est pas pour nous visible. Au lieu de cela, par la grâce de Dieu et conformément à son enseignement, nous sommes autorisés à exercer la communion seulement avec ceux qui, dans leur confession et leur vie ce conforment à la règle de la Parole de Dieu. Parce que le Christ Lui-même a exhorté: "enseignez-leur à observer tout ce que je vous ai prescrit»; et parce que le Saint-Esprit a inspiré St. Paul à écrire: "Je vous exhorte, frères, par le nom de notre Seigneur Jésus-Christ, à tenir tous un même langage, et qu'il n'y ait pas de divisions parmi vous; mais que vous ne soyez parfaitement unis dans un même esprit et dans le même jugement »- nous savons dans la foi que c'est la volonté divine que les chrétiens sont appelés à être parfaitement unis dans la doctrine et la pratique, et qu'ils ne doivent pas être indifférents dans ces questions (ne pas chercher à être d'accord pour ne pas choquer) mais rechercher le seul accord possible, sur les bases de la Parole de Dieu. Là où il ya une telle unité dans la doctrine et la pratique, il est souhaitable dans la pratique, de mettre en place la communion dans toutes ses phases; où il n'y a pas une telle unité, la parole de Dieu dans Romains 16:17 énonce le refus de Dieu de cautionner la pratique de telle communion: "Je vous exhorte, frères, de fuir ceux qui causent des divisions et des scandales, sur doctrine que vous avez apprise de moi; évitez-les ".
Le CLC, en conséquence, confirme la déclaration suivante de 1932 : «Puisque Dieu a ordonné que Sa Parole uniquement soit enseigné, sans la mélanger avec des doctrine humaine, elle doit être enseignée et crue au sein de l'Église chrétienne (1 Pierre 4:11; Jean 8. :. 31,32; 1 Tim 6: 3,4) tous les chrétiens sont tenus par Dieu de faire la distinction entre l'église-corps orthodoxe du Christ et celle qui sont hétérodoxe, et, au cas où ils viendraient à s’égarer dans une église- hétérodoxe, de la laisser (Rom 16. : 17). Nous rejetons aussi le syndicalisme, c'est lui qui est en communion avec des églises adeptes de fausses doctrines, qui désobéissent à l'ordre de Dieu, causant divisions dans l'église (Rom 16:17;. 2 John 9,10), impliquant le danger constant de perdre la Parole de Dieu (2 Tim 2: 17-21.). ... Le caractère d'une église orthodoxe est établie non pas par son simple nom ni par son acceptation vers l'extérieur et l'adhésion à un credo orthodoxe, mais par la doctrine qui est réellement enseignée dans ses chaires, dans ses séminaires théologiques, et dans ses publications."
Ce qui était autrefois le cas de la LCMS, ce synode pratique maintenant ce qu'ils nomment «niveaux de communion," selon l’affirmation que la communion peut être pratiquée parmi les chrétiens de différentes confessions dans certaines circonstances: telles que la communion ouverte, services œcuméniques et autres.
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12/12/2017
En France, l’islam doit être mis sous la tutelle de la puissance publique !
La place de l’islam en France interroge notre société depuis bien des années. Là où les populations de confession musulmane sont massivement concentrées, une réalité s’impose brutalement : l’islam contemporain s’est radicalement éloigné de la pratique religieuse discrète d’autrefois.
L’islam ne se réduit pas à la seule foi intime de ses fidèles :
Encadrant l’individu du berceau au linceul dans un ensemble de rites et de normes culturelles (charia), il refuse, en tant que système politico-juridique, de soustraire l’espace public à son emprise et soumet l’individu au poids dela communauté musulmane. Ce modèle de civilisation s’oppose aux principes fondamentaux qui structurent l’univers de pensée européen : dignité de la personne humaine, égalité entre homme et femme, liberté de conscience, sécularisation de l’espace public… La proportion croissante de populations de culture musulmane sur le territoire français rend l’assimilation de plus en plus difficile et favorise l’émergence d’une contre-société aux modes de vie radicalement étrangers à nos traditions séculaires.
L’islam politique compromet gravement la cohésion culturelle de notre corps social, suscite parmi nos compatriotes des angoisses identitaires durables et menace les fondements historiques de la civilisation française. En l’état, l’islam politique n’est pas soluble dans la République. Il doit donc être mis durablement sous tutelle, sans qu’il soit besoin d’étendre ce régime aux autres religions qui ne présentent aucune menace particulière. Cette entreprise délibérément autoritaire restera vaine si, parallèlement, la France ne s’attaque pas au vide spirituel et moral de notre société. Trop souvent limité aux introuvables « valeurs de la République », ce modèle sans âme, dépourvu de toute dimension charnelle, sert trop souvent de cheval de Troie à l’expansion d’un islam culturellement décomplexé. La redéfinition d’une ambition collective, qui accepterait enfin les bienfaits identitaires de notre héritage judéo-chrétien, est donc une priorité politique absolue, sans quoi notre modèle de société ne pourra redevenir le creuset d’une assimilation réussie.
Pour donner corps à cette ambition, le SIEL propose les 10 mesures suivantes :
1.Affirmation, dans le préambule de la Constitution de 1958, de la prééminence du fait culturel judéo-chrétien qui doit bénéficier d’un privilège de civilisation.
2. Acceptation du principe de traitement différencié du culte musulman en France, impliquant notamment de modifier en ce sens la loi de 1905 sur la séparation des Églises et de l’État.
3. Dissolution immédiate du Conseil français du culte musulman, incapable de se libérer de l’influence de puissances étrangères, et constitution d’une instance véritablement représentative des fidèles musulmans de France sur le modèle du Consistoire israélite, dont les membres seront désignés par la puissance publique dans les départements comme au plan national.
4. Moratoire applicable sur le territoire français à toute construction de mosquée et de « centres culturels », tant que la communauté musulmane n’aura pas reconnu, dans le cadre d’un accord solennel négocié avec l’instance représentative des musulmans de France, la prééminence absolue des droits, mœurs et coutumes français.
5. Fermeture des lieux de culte musulman radicaux sur simple décision administrative et expulsion immédiate des prêcheurs islamistes vers leurs pays d’origine, sur ordre préfectoral, sans possibilité de retour.
6. Interdiction définitive du financement direct ou indirect du culte musulman par des puissances étrangères.
7. Obligation, pour les imams, de soumettre le texte de leurs prêches à l’approbation de l’autorité préfectorale préalablement à leur lecture, qui devra se faire désormais en langue française.
8. Formation des imams dans un centre national de formation, sur la base de savoirs fondamentaux définis conjointement avec la puissance publique et contrôlés par cette dernière.
9. Nomination, par les préfets, des imams qui n’exerceront définitivement leur ministère qu’après une période probatoire de cinq ans et pourront se voir retirer leur agrément en cas de défaillance, à l’initiative d’un corps d’inspecteurs placé sous tutelle du ministère de l’Intérieur.
10. Prohibition, dans l’espace public, de tous signes ostensibles et marqueurs identitaires musulmans et interdiction des manifestations, partis et associations contraires aux valeurs fondatrices de la civilisation française
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08/12/2017
DE LA MONTAGNE A LA FORÊT NOIRE.
J'ai eu une adolescence sans histoire, mais je ne trouvais pas ma voie. Le travail en usine me déplaisait. Pour assurer mon avenir, je signais un contrat d'apprenti garçon de restaurant au Grand Balcon, l'hôtel le plus huppé de Mazamet. Mon engagement lors des événements de 68 inquiéta ma famille. Mon père, militaire de carrière, pensa qu'il n'y avait rien de plus sûr que l'armée. Je signais à Toulouse en septembre de la même année un contrat de trois ans dans l'armée de l'air.
Je me retrouvais à faire mes classes à Nîmes Garons : un total naufrage ! L'armée, ne sachant que faire de moi, se souvint que j'avais été garçon de restaurant et m'envoya au mess des officiers en plein cœur de la forêt noire en Allemagne à Hornisgrinde. Ce fût un véritable cauchemar où j’étais isolé dans une petite station couverte de neigependant plus de six mois de l'année. Insupportable à un tel point que comme on le dit familièrement, je "pétais les plombs" au point de me faire expulser de l'armée.
De retour à la maison, ce fut la grande révolte. Deux mois plus tard, j'étais à l'Isle de Whight, avant de vivre toutes les dérives de ma génération.
Pasteur Blanchard
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05/12/2017
Marie-Christine Arnautu : « Respectez notre identité chrétienne » !
L’eurodéputée Marie-Christine Arnautu, élue du Front National et membre du Groupe Europe des Nations et des Libertés, est intervenue lors de la séance plénière du Parlement européen, le 13 novembre dernier. Une intervention courte mais substantielle…
Au siècle dernier, les dictatures communistes et l’Empire ottoman persécutèrent violemment les chrétiens, certains régimes athées, tels les laïcards français, les républicains espagnols ou les révolutionnaires mexicains en firent autant.
Aujourd’hui, ils sont encore nombreux à souffrir et mourir à cause de leur foi. Les rapports de l’Aide à l’église en détresse et de Portes Ouvertes sont alarmants : près de 200 millions de chrétiens, 50 pays concernés.
En Chine communiste, des réfugiés chrétiens sont renvoyés en Corée du Nord avec seule issue la mort ou les camps d’internement. Au Moyen-Orient et en Afrique, ils sont victimes de l’islamisme institutionnel ou djihadiste. En Inde, les fondamentalistes hindous multiplient les brimades… La liste est longue.
Si les dirigeants européens veulent être entendus, ils doivent être cohérents. Il est hypocrite de s’apitoyer sur le sort des chrétiens persécutés puis refuser de rappeler les racines chrétiennes de l’Europe dans les traités, et vilipender les dirigeants polonais, hongrois, russes ou américains pour leur attachement à l’identité chrétienne de leurs peuples. Respectez d’abord nos traditions et notre héritage spirituel malmenés par des décennies d’individualisme consumériste et d’accommodements “raisonnables” avec l’islamisme !
Source : blogue de Marie-Christine Arnautu,
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01/12/2017
Histoire de la Church of the Lutheran Confession (3):
Dans les problèmes doctrine mentionnée dans l’article de la semaine dernière en ce qui concerne les Écritures, la CLC diffère largement des branches les plus libérales du monde luthérien, à savoir les églises luthériennes que nous trouvons dans les pays européens et, aux États-Unis, auxquels la majorité des églises luthérienne s'identifie, depuis 1988, l'Église évangélique luthérienne d'Amérique (ELCA). L'ELCA n'est plus en phase avec la doctrine orthodoxe, les organes de ces églises ce trouvent dans une grande confusion . Même son aile la plus conservatrice n'accepterait pas le point de vue sur les Écritures comme étant verbalement inspirée et totalement sans erreur, qui sans vergogne enseigné dans le CLC.
Comme l'ELCA est le plus libéral des corps de l'église luthérienne aux Etats-Unis, de sorte que l'Église luthérienne-Synode du Missouri (LCMS) peut être considérée d’un conservatisme modéré. Ce n'est pas totalement vrai, par exemple, l'ELCA permet aux femmes de servir en tant que pasteur de paroisse (un sondage que des pasteurs de la LCMS plus de 1000 d'entre eux n'avaient aucune objection à ce que des femmes soient membres du clergé), mais il y a changement par rapport aux positions du passé (comme l’avaient défini les grands théologiens CFW Walther et F. Pieper) il est permis désormais aux femmes de voter et d'être élues dans l'église.
Ceci est une illustration de l'attitude actuelle des LCMS sur l’inerrance de l'Écriture.
Le LCMS affirme que les notions qu’enseigné Saint Paul concernant les femmes dans l'église étaient culturellement dépassé et ne sont plus applicables dans la société d'aujourd'hui
La CLC, quand à elle, confesse avec Saint Paul que tous les mots de l'Ecriture ont été verbalement inspirés est infaillible, et expriment la volonté éternelle de Dieu.
Une autre illustration de cette différence peut être appréhendée dans la doctrine de l'Eglise, en particulier en référence à la communion ecclésiale. Parce que la CLC, déplore toute tentative de modifier ou de mettre de côté une seule parole inspirée de l'Écriture, nous souhaitons également obéir à la parole de Dieu qui nous instruisent en ce qui concerne l'Eglise et la pratique de la communion. Nous croyons fermement que l'Église se compose de tous ceux qui, par la miséricorde de Dieu et selon son propre dessein, était de toute éternité ordonnés à la vie éternelle, et que le facteur d'unité de l'Église est «la seule vraie foi». La foi ne peut pas être vue par des yeux humains, et donc l'existence même de l'Église est un article de foi. Depuis que la parole de Dieu a été donné au monde, nous croyons que là où l'Évangile par la parole et des sacrements, la dans chaque pays ce trouve l’Eglise véritable corps du Christ.
10:06 Publié dans Les copains | Lien permanent | Commentaires (0)