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Identité Luthérienne

Réflexion et partage sur tous les sujets en rapport avec l'identité luthérienne.

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Aux sources du protestantisme intégral

  • Au-delà de la reformation comme phénomène théologique et ecclesial bien connu, avec ses fortes affirmations du "Sola Scriptura" et du "Sola Fide", avec son refus du magistère et de la succession apostolique qui définit l'Eglise comme communion de tous les rachetés par leur foi en Jésus-Christ, tant vivant que mort. Luther, dans le domaine sociétal, contrairement à Calvin, condamne, l'acquisition du capital par l'intermédiaire de prêts, qui ne représentent aucun "travail" réellement effectué. Il dit dans son grand sermon sur l'usure : "tous ceux là, sont des usuriers qui prêtent à leur prochain du vin, du blé, de l'argent ou autre chose, de façon à faire rendre à ces choses un interêt un an après ou passé tel autre temps" c’est une condamnation des procédés économiques du monde moderne. Cette conception spécifiquement Luthérienne se trouve aux sources du protestantisme, il se fonde sur l'appel à la conscience, et à la règlementation des prix par l'autorité publique. Sur ce point il est en parfaite harmonie avec ce qu'a pu dire Thomas d'Aquin sur le sujet. A cet ordre voulu par Dieu appartiennent les "états" au sens juridique du terme, mais aussi les professions, "établies par Dieu". Ces "vocations" (Berufe) servent Dieu, attendues qu'elles "doivent être utiles aux autres". Ce sont là les principes sociaux du Luthéranisme des origines, qui contrairement aux autres courants du protestantisme proposent une conception de la société que l'on peut qualifier de traditionaliste. Pasteur Blanchard, Président d'Identité Luthérienne
  • Par le Pasteur Blanchard

Pasteur J.P Blanchard

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  • "Pour bien connaître Luther, et son œuvre réformatrice, il faut étudier sa vie entière, ses combats, ses tentations, ses consolations. L’homme est encore plus intéressant que l’homme de parti. Il n’est pas inexact de dire que Luther a été le restaurateur de la liberté pour les derniers siècles, il a courageusement signé de son nom la grande révolution qui légalisa en Europe le droit d’examen. Nous ne pouvons penser, parler,écrire, que cet immense bienfait de l’affranchissement intellectuel ne se renouvelle à chaque instant."
  • Jules Michelet

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13/06/2023

Les béatitudes au fil des jours :

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Bienheureux  ceux qui savent rire d’eux même ils n’ont pas fini de s’amuser !

 

 

Bienheureux ceux qui savent se taire et écouter ils apprendront des choses nouvelles !

 

 

Bienheureux ceux qui savent distinguer une montagne d’une taupinière il leur sera épargné bien des tracas !

 

 

Bienheureux ceux qui sont assez intelligents pour ne pas se prendre au sérieux, ils seront appréciés de leur entourage.

 

 

Bienheureux ceux qui savent regarder sérieusement les petites choses et paisiblement les choses sérieuses ils iront loin dans la vie.

 

 

Bienheureux ceux qui savent admirer un sourire et oublier une grimace, leur route sera ensoleillé.

 

 

Bienheureux ceux qui pensent avant d’agir et qui prient avant de penser, ils éviteront bien des bêtises.

 

 

Bienheureux surtout, vous qui savez reconnaître le Seigneur en tous ceux que vous rencontrez, vous avez trouvé la vraie lumière, vous avez trouvez le véritable Seigneur.

 

 

 

 

09:11 Publié dans Apolégétique | Lien permanent | Commentaires (0)

09/06/2023

La Genèse : une vérité biblique contre les mensonges des tablettes sumériennes.

 

 

 

 

 

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La racaille maçonne n’a de cesse de vouloir discréditer l’authenticité des Saintes Écritures et de la Genèse, témoignage de la création du monde. Pour ce faire, les tablettes sumériennes sont mises en exergue pour affirmer à tort que la Genèse en serait une copie. Le présent document démontre qu’il n’en est rien, et atteste au contraire que les tablettes sumériennes sont un tissus de conneries et d’incohérences. Les Francs-maçons et autres satanistes peuvent donc aller se faire voir et remballer leurs mensonges. Par ailleurs, dans Extraterrestres, les messagers du New-Age, je démonte les affabulations de feu Zecharia Sitchin, né en Israël, et qui prétendait que les Annunaki avaient créé la race humaine. Il n’en est rien. Les Annunaki sont les sept gardiens de l’enfer dans la civilisation de Sumer. Cet exemple démontre encore que Sumer sert de tremplin à tous les fantasmes des détraqués et autres malades mentaux.

 

Est-ce que dans Gn 1 à 11, la Bible retranscrit une histoire réelle, ou bien reprend-elle différents textes anciens ? La parole de Dieu est constituée de déclarations suprêmes absentes des textes anciens non bibliques. De manière récurrente, la Bible affirme être la parole parfaite de Dieu :

 

 

 

2 Ti 3, 16 : « Toute Écriture est divinement inspirée… »
2 Pi 1, 21 : « Mais sachez avant tout qu’aucune prophétie de l’Écriture ne procède d’une interprétation propre, car ce n’est pas une volonté d’homme qu’une prophétie n’a jamais été apportée, mais c’est poussés par l’Esprit Saint que les saints hommes de Dieu ont parlé. »
Ps 119, 160 :

« Le résumé de Ta parole est la vérité, et toutes les lois de la justice sont éternelles. »

 

 

Si la Bible était un emprunt des mythologies anciennes, ses affirmations devraient être remises en question. Partout, dans le monde, des légendes et des mythes ressemblent très étroitement à certains récits de l’Écriture, comme la Création, la Chute, le Déluge et la Tour de Babel[1]. Ces récits sont souvent utilisés comme une confirmation externe de la crédibilité de l’Écriture.

Si l’on accepte le témoignage biblique, tout le genre humain provient d’un seul homme (Gn 17, 26). Après le Déluge, le genre humain en reconstruction se fixe dans la vallée de Sennar pour édifier la tour de Babel, avant la dispersion en 2197 av. J.-C. Tous les hommes ont vécu après le déluge dans cette cité. De ce fait, des récits communs (comme la Création et le Déluge) devraient se retrouver dans les histoires et les traditions de groupes de personnes qui vécurent ensemble dans ce même endroit, après le Déluge. Au vu de cette période éloignée, et de la diversité culturelle qui s’y ajoutera, quand l’humanité s’est répandue à travers le monde, il n’est donc pas surprenant que ces histoires aient évolué en intégrant différentes influences culturelles.

 

 

Au milieu du XIXe siècle, à l’intérieur des cités enfouies de l’ancien Proche-Orient (y compris Ninive et Nippur dans l’Irak actuel), plusieurs fouilles ont permis la découverte d’une bibliothèque entière constituée de tablettes appartenant à l’époque mésopotamienne. Sur ces tablettes figuraient des listes de rois, des archives commerciales, des documents administratifs et plusieurs versions du Déluge. Chaque version avait sa propre forme de langage et sa propre fin (la plupart de ces versions n’étaient que partiellement intactes), la plus complète étant l’Epopée Babylonienne de Gilgamesh[2].

 

 

La onzième tablette représente une narration du grand Déluge. De nombreux détails montrent des similarités avec le récit biblique. Cependant, plutôt que de s’en servir comme confirmation de la crédibilité biblique, les scientifiques athées ont tenté d’utiliser ces tablettes comme une raison de douter de Parole de Dieu : certaines d’entre elles précéderaient les premiers temps de la Bible et l’écriture du pentateuque retranscrit par Moïse.

 

L’antériorité de la civilisation de Sumer permet de conclure très imprudemment que les récits bibliques seraient une dérivation des premières légendes sumériennes. Certains ont aussi suggéré que la Genèse est une forme de la mythologie juive.

 

Ces vestiges ont été utilisés comme une raison de douter de l’autorité et de l’inspiration de la parole de Dieu. Ces scientifiques rabougris ont nié que Moïse était le rédacteur de la Genèse, présentée comme un mythe ou une poésie. La théorie du Déluge et l’ensemble du récit biblique pouvaient donc être tournés en dérision.

 

Le faillible contre l’infaillible

 

Deux conclusions découlent de la présente étude :

 

1- Si la Bible dérive de mythologies anciennes, les revendications bibliques inspirées de Dieu et son monde parfait sont fausses : la Bible ne peut pas être prouvée.

2- La Bible est réellement la Parole de Dieu, donc tout apport externe est faux.

Or, la Bible expose que toute l’Écriture vient de Dieu et non de la volonté de l’homme. Elle se réclame de la perfection de Dieu et du Verbe. A contrario, toute contradiction et tout défaut s’opposent à l’inerrance biblique et à l’infaillibilité de Dieu.

 

Aujourd’hui, des étudiants et des pseudo-exégètes tentent de comprendre l’Écriture à travers une étude comparative : ils cherchent des parallèles dans les cultures et les textes comme un moyen d’interpréter la Bible. Cette méthode moderniste signifie l’exploitation de documents externes pour interpréter l’Écriture plutôt que l’inverse : commencer par l’étude de l’Écriture pour comprendre l’histoire de l’humanité et les documents externes.

 

La découverte de tablettes à Ninive et à Nippur, deux des plus anciennes villes de Mésopotamie, a conduit à la remise en question de l’autorité de l’Écriture. Il est à souligner que ces supports demeurent en grande partie inconnus.

 

En outre, bien que ces documents présentent plusieurs similarités (le Déluge ou encore les rois antédiluviens de Sumer avec les patriarches de la Bible) avec l’histoire biblique, de très nombreuses différences sont relevées. Seule la Bible offre une logique consistante du récit.

Datation et source des documents

 

La datation supposée des tablettes s’étend de 2200 à 620 av. J.-C. Dieu a donné la Loi à Moïse durant l’errance du peuple juif au XVe siècle av. J.-C. Faire remonter ces documents sumériens à jusqu’à 800 ans avant que Moïse n’écrive le récit de la Bible ne signifie pas qu’elle dérive de Sumer[3].

 

Dans leur acharnement à contredire les Écritures, les anti-biblistes ne mentionnent pas trois hypothèses :

 

  1. Les documents sumériens (faussés et inexacts) dérivent du texte original hébreu.
  2. Provenant de ces documents, le texte hébreu a été corrigé.
  3. Les deux textes distincts portent sur une histoire commune.

Cependant, il demeure difficile de faire un choix définitif entre la première et la troisième option.

 

Quand des récits historiques sont transmis, les rapports sont habituellement embellis avec le temps. Ainsi, l’histoire originelle devient de plus en plus déformée. La deuxième option requerrait de la part de l’écrivain d’élaguer un grand nombre de récits embellis et légendaires pour produire le récit biblique. Certains pourraient exposer que Dieu a dirigé Moïse dans cette entreprise tellement délicate : le patriarche aurait eu besoin de passer au crible des chapitres et des textes en différentes langues pour trouver des bribes de sources dans chacun de ces mêmes textes. De plus, si l’on a besoin d’invoquer une intervention surnaturelle, il serait bien plus logique d’accepter la vision traditionnelle du texte issu directement du Verbe divin.

 

Par l’observation de l’épopée babylonienne du Déluge, nous trouvons des différences à l’intérieur de différentes versions du Moyen-Orient découvertes en 1909 par Hermann Volrath Hilprecht, de l’Université de Pennsylvanie. Cet assyriologue d’origine allemande a étudié le fragment le plus récent de l’épopée du Déluge. Après la traduction prudente de chaque caractère cunéiforme, Hilprecht fit l’affirmation suivante : « Sa partie préservée montrait une plus grande ressemblance à l’histoire biblique du Déluge qu’aucune partie déjà publiée. »[4]

 

L’affirmation d’Hilprecht va dans le sens de la corruption continue de l’histoire de Babylone par rapport à une authentique préservation du récit biblique. Il ne soutient pas la conclusion selon laquelle la mythologie doit être considérée comme la source principale du récit biblique. En effet, les disparités entre les textes eux-mêmes indiquent un manque compréhensible de crédibilité, si bien qu’on ne devrait pas les utiliser pour jauger de l’authenticité du récit biblique.

 

Les rois antédiluviens

 

Un bref regard sur quelques particularités des rois sumériens, ainsi que sur le récit du Déluge, montrera l’inconsistance du mythe babylonien comme source de l’Écriture. La liste des rois sumériens antédiluviens présente de curieuses similarités avec la liste des patriarches dans la Genèse.

 

Par exemple, la Genèse et la liste sumérienne se réfèrent toutes deux au Déluge et à des hommes (comme les patriarches) ayant de grands âges. Néanmoins, les listes présentent trois différences significatives :

 

  1. Les âges et les longueurs de règne des rois sumériens sont plus longs que ceux des patriarches bibliques. De plus, les rois sumériens sont supposés régner pendant plus de 30 000 ans. Si l’on tient compte de la découverte que les Sumériens utilisaient le système sexagésimal et non pas décimal, les plus longues durées de vie indiquées dans la liste sumérienne se rapprochent fortement de la durée de vie des patriarches de l’Ancien testament.
  2.  
  1. La liste sumérienne compte seulement huit rois, alors que la Bible donne dix patriarches avant le déluge (dont Noé). Bien qu’une corrélation existe entre les deux sources, il semble que la liste sumérienne ait omis le premier homme, Adam, et l’homme qui survécut au Déluge, Noé
  2.  
  3. La Bible montre une différence claire dans la qualité de l’information, la supériorité spirituelle et morale des patriarches, et l’exhaustivité de cette liste. Le récit de la Genèse explique de manière détaillée la lutte de l’humanité contre le péché : la mort est une intruse qui touche toutes les espèces vivantes à partir de la sortie d’Adam et Ève du paradis terrestre. La Bible présente de manière exhaustive les patriarches. Un tel détail ne se trouve pas dans la liste des rois sumériens.
  4.  
  5.  

L’étude des textes sumériens constitue un voyage fascinant sur l’histoire de cette civilisation, ainsi que sur le fonctionnement de leur système numérique et commercial. Cependant, la qualité du texte biblique est incomparablement supérieure de par sa complexité, ses informations et les qualités spirituelles et morales. Il ne reflète pas l’emprunt d’un texte inférieur. Par conséquent, la mention de la liste de rois, similaire au récit biblique, confirme, tout comme le Déluge, l’authenticité de la Bible.

 

 

Le Déluge

 

Les récits du Proche-Orient ont trois versions principales : le récit sumérien de Ziusudra (selon les listes royales sumériennes, le dernier des rois antédiluviens de Sumer), l’épopée d’Atrahasis et l’épopée babylonienne de Gilgamesh. Athrahasis et Gilgamesh sont en outre des personnages de la mythologie mésopotamienne.

 

 

L’épopée babylonienne de Gilgamesh, la plus complète, se compose de douze tablettes déchiffrables. La onzième tablette présente le récit le plus complet du Déluge. Après la grande tristesse d’avoir perdu son ami Enkidu, Gilgamesh cherche Utnapishtim (l’équivalent babylonien de Noé) pour lui donner le secret de l’immortalité. Utnapishtim lui raconte le désir des dieux d’inonder le monde parce qu’ils ne pouvaient pas dormir en raison du vacarme de l’humanité ! Dans un rêve, le dieu de la sagesse avertit Utnapishtim de convertir sa maison en bateau, de prendre la semence de chaque créature. Pour échapper à la colère du Dieu Enlil, Utnapishtim construit un bateau en sept jours et fait monter sa famille, des créatures sauvages et domestiquées, et tous les artisans. Quand le Déluge commence, les dieux terrifiés s’enfuient. Cette description est fort étrange pour des dieux ! Pendant six jours et six nuits, le Déluge inonde la Terre. Le septième jour, la pluie cesse. Le bateau s’échoue sur le mont Nisir. Utnapishtim lâche une colombe, une hirondelle et enfin un corbeau. Quand le corbeau ne revient pas, il fait un sacrifice, et les dieux se rassemblent. Ces récits sur le déluge révèlent plusieurs contradictions. En revanche, le récit de la Bible est parfaitement cohérent.

 

 

La différence est dans le détail

 

 

« De tous les animaux purs, tu en prendras avec toi sept paires, des mâles et leur femelle, et de tous les animaux qui ne sont pas purs, tu en prendras deux, un mâle et sa femelle ; sept paires aussi des oiseaux du ciel, des mêmes et leur femelle, pour conserver en vie leur race sur la face de toute la terre. » (Gn 7, 2-3)

 

 

La Bible affirme que Noé prend sur l’Arche deux de chaque espèce d’animal terrestre et sept paires de certains animaux. La Bible affirme que Noé en prend une paire. Le récit de la Genèse est clair et réaliste quand on compare les animaux et la taille de l’Arche.

 

 

L’épopée de Gilgamesh est peu crédible parce qu’elle affirme qu’Utnapisgtim devait prendre la semence de chaque créature vivante, sauvage et domestique. De plus, aucune information n’est divulguée sur le nombre d’animaux à bord. Le récit biblique montre que la terre entière était recouverte d’eau et qu’il avait plu continuellement pendant quarante jours et nuits. Le niveau de l’eau avait continué à monter jusqu’au cent cinquantième jour. Concernant la destruction de l’humanité par le Déluge, l’épopée de Gilgamesh ne détaille ni l’étendue géographique ni la profondeur du déluge.

 

 

La Bible transmet les dimensions de l’Arche, un vaisseau qui pouvait flotter dans des eaux tumultueuses et abriter les animaux décrits[5]. Les dimensions du bateau de l’épopée de Gilgamesh rendent compte d’un vaisseau cubique, d’une largeur égale à sa longueur. Bien que nous sachions qu’il a sept étages, il est impossible de déterminer la taille précise du vaisseau. De plus, ce bateau n’aurait pas pu flotter de manière stable. Lors d’une tempête, il se serait retourné car sa structure n’était pas fiable, contrairement à l’Arche décrite par la Genèse.

 

 

La Bible demeure également crédible sur le récit se rapportant à l’ordre des oiseaux lâchés. Il est logique d’envoyer un corbeau, qui est un charognard, avant une colombe, qui ne se nourrit que d’herbe. Les intervalles du lâcher de la colombe correspondent à la durée nécessaire afin que la terre soit suffisamment asséchée pour la végétation et les occupants. En comparaison, l’épopée de Gilgamesh mentionne une colombe, ensuite une hirondelle et finalement un corbeau. Il n’y a aucun intervalle mentionné pour évaluer les temps de vol. En outre, bien sûr, le fait de lâcher des corbeaux à la fin est critiquable et permet de remettre en question l’authenticité du récit.

 

 

Le caractère des « dieux »

 

 

Dans l’épopée de Gilgamesh, les dieux sont impatients et impulsifs. Ils n’aiment pas la révolte et la tour de Babel et décident de détruire l’humanité, sans aucune raison morale. En comparaison, le Dieu de la Bible envoie le Déluge dans un monde déjà maudit à cause du cœur abject de l’homme. Le jugement de Dieu à la lumière du pêché est droit et juste. Les dieux babyloniens, qui mentent, demandent à Utnapishtim de mentir aux autres humains sur la fureur à venir.

 

 

L’épopée de Gilgamesh promeut la mythologie polythéiste, condamnée par la Bible, annonçant un dieu trinitaire. Dans l’épopée de Gilgamesh, la plupart des dieux diffèrent par leurs idées et leurs motivations. Ils cherchent à se contrecarrer les uns les autres. Le Dieu de la Bible est saint, pur et immuable : il ne ment pas. Il s’agit de quelques traits de caractère différents entre le Dieu de la Bible et la description des dieux dans le mythe babylonien6 qui, en réalité, sont des démons. Nous comprenons pourquoi les ésotéristes et les francs-maçons sont fascinés par Sumer.

 

Enfin, il est important de noter que, dans l’épopée de Gilgamesh, le dieu Ea dit à Utnapishtim de se sauver lui-même par l’Arche en trompant les autres dieux. Dans la Bible, Dieu lui-même fournit les plans de l’Arche dans le but de sauver Noé et sa famille. De plus, Noé était un prêcheur de droiture plus que de tromperie. (2 Pi 2, 5).

 

Fondés à partir des mythes païens imparfaits, il est absurde de penser que les descriptions dans les textes babyloniens puissent être la source du récit de la Genèse.

 

 

Conclusion

 

 

Les textes mythologiques de l’ancien Proche-Orient ne peuvent pas être la source d’influence de la Genèse. Alors que la Genèse décrit la droiture de Dieu, ainsi qu’un caractère souverain, les textes mythologiques montrent des dieux se livrant à des chamailleries.

 

 

Les textes mythiques n’apportent que peu d’éléments authentiques, ni aucun sens logique et scientifique. La Genèse Déluge fournit suffisamment d’informations crédibles sur le pour le confirmer sur les plans historique et géologique. En effet, la Bible est la Parole de Dieu et la seule Vérité.

 

Laurent Glauzy

 

 

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09:04 Publié dans Apolégétique | Lien permanent | Commentaires (0)

06/06/2023

La Confession dans L'Église luthérienne:

 

 

 

 

 

 

 

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Pour la confession générale dans l'Église luthérienne, voir Rite pénitentiel .
Ne pas être confondu avec l' Église de la Confession luthérienne .
 
 
 
 
 
 
 
 
"L'absolution privée doit être conservée dans les églises, bien que dans la confession une énumération de tous les péchés ne soit pas nécessaire." - Confession d'Augsbourg , article 11
 

Dans l'Église luthérienne , la confession (aussi appelée l'absolution sainte ) est la méthode donnée par le Christ à l'Église par laquelle les hommes et les femmes peuvent recevoir le pardon des péchés; selon le Grand Catéchisme , le «troisième sacrement» de l'Absolution Sacrée est correctement considéré comme une extension du Saint Baptême . [1]

 

Contenu: 

   
  • 1croyances
  • 2Martin Luther sur la confession
  • 3Forme de confession
  • 4Références

Croyances :

 

L'Église luthérienne pratique la «Confession et l'Absolution» (appelée le Bureau des Clés) en mettant l'accent sur l'absolution, qui est la parole de pardon de Dieu. En effet, les luthériens considèrent hautement la Sainte-Absolution. Comme les catholiques romains, ils voient Jacques 5:16 et Jean 20: 22-23 comme des preuves bibliques de la confession. [2] La confession et l'absolution sont faites en privé au pasteur, appelé le " confesseur " avec la personne confessant connue sous le nom de "pénitent". Dans la confession, le pénitent fait un acte de contrition , comme le pasteur, agissant in persona Christi , annonce la formule de l'absolution. Avant la confession, le pénitent doit réviser les Dix Commandements pour examiner sa conscience . [3] Dans l'Église luthérienne, comme l'Église catholique romaine, le pasteur est lié par le sceau du confessionnal . Petit Catéchisme de Luther dit "le pasteur est promis de ne pas dire à quelqu'un d'autre des péchés à lui dans la confession privée, pour ces péchés ont été enlevés." Si le sceau est brisé, il en résultera une excommunication . [2] Aux XIXe et XXe siècles, la confession privée est tombée en désuétude; [la citation nécessaire ] à l'heure actuelle, il est, par exemple, attendu avant de prendre l' Eucharistie pour la première fois. [4] [ source non-primaire nécessaire ] Il est également recommandé de le faire fréquemment dans une année [5][ source non-primaire nécessaire ] (spécifiquement avant Pâques). Dans de nombreuses églises, [ citation nécessaire ] les temps sont fixés pour que le pasteur puisse entendre les confessions.[6]

 

 

Conformément à la déclaration initiale de Luther dans son Grand Catéchisme , certains luthériens ne parlent que de deux sacrements, le Baptême et l'Eucharistie, bien que plus tard dans le même ouvrage il appelle Confession et Absolution [8] "le troisième sacrement". [9] La définition du sacrement dans l' Apologie de la Confession d'Augsbourg énumère l'Absolution comme l'un d'entre eux. [10] Luther est allé à la confession toute sa vie. [11] Bien que les luthériens ne considèrent pas les quatre autres rites comme des sacrements, ils sont toujours conservés et utilisés dans l'église luthérienne. Philipp Melanchthon parlant de la Confession dans l'Église luthérienne, affirme que «nous ne voulons pas sanctionner la torture [la tyrannie des consciences] des Résistants, ce qui aurait été moins intolérable s'ils avaient ajouté un mot concernant la foi, qui réconforte En ce qui concerne cette foi, qui obtient la rémission des péchés, il n'y a pas une syllabe dans une si grande masse de règlements, de gloses, de résumés, de livres de confession: le Christ n'y est nulle part lu ». [12]

 

 

Martin Luther sur la confession :

 

 

Dans ses catéchismes de 1529, Martin Luther a fait l'éloge de la confession (devant un pasteur ou un chrétien) "pour l' absolution ", le pardon des péchés octroyé d'une manière audible et concrète. [13] Les réformateurs luthériens ont soutenu qu'une énumération complète des péchés est impossible [14] et que la confiance du pardon ne doit pas être basée sur la sincérité de la contrition ni sur les travaux de satisfaction imposés par le confesseur ( pénitence ). [15] L'église catholique a tenu la confession pour être composée de trois parties: contritio cordis ("contrition du coeur"), confessio oris ("confession de la bouche"), et satisfactio operis ("satisfaction des actes"). [16] Les réformateurs luthériens ont aboli la «satisfaction des actes», soutenant que la confession et l'absolution se composent de seulement deux parties: la confession du pénitent et l'absolution parlée par le confesseur.[17] La foi ou la confiance en la complète satisfaction active et passive de Jésus est ce qui reçoit le pardon et le salut gagnés par lui et transmis au pénitent par la parole d'absolution.

 

 

Forme de confession :

 

 

 

La confession luthérienne (de la même manière que la confession dans l' église catholique ) peut être faite dans le choeur de l'église avec le pénitent agenouillé à l' autel et le pasteur assis devant eux, dans l'intimité du bureau du pasteur, ou parfois dans un confessionnel . Les mots ci-dessous, tirés du livre du service luthérien et utilisés dans la plupart des confessions, disent:

 

Le pénitent commence en disant:

 

S'il vous plaît, écoutez ma confession et prononcez le pardon afin de réaliser la volonté de Dieu. Moi, pauvre pécheur, plaide coupable devant Dieu de tous les péchés. J'ai vécu comme si Dieu n'avait pas d'importance et comme si j'avais le plus d'importance. Le nom de mon Seigneur que je n'ai pas honoré comme je devrais; mon culte et mes prières ont échoué. Je n'ai pas laissé son amour se frayer un chemin avec moi, et ainsi mon amour pour les autres a échoué. Il y a ceux que j'ai blessés et ceux que je n'ai pas aidés. Mes pensées et mes désirs ont été gâtés par le péché. Ce qui me dérange particulièrement, c'est que ...

 

Ici, le pénitent doit confesser tout ce qu'il a fait contre les commandements de Dieu, selon sa propre place dans la vie. Le pénitent continue.

 

Je suis désolé pour tout cela et demande la grâce. Je veux faire mieux.

Le pasteur continue:

 

Dieu soit miséricordieux envers toi et fortifie ta foi. Croyez-vous que mon pardon est le pardon de Dieu?

 

Le pénitent dira:

 

Oui.

 

Le pasteur place sa main sur la tête du pénitent et dit ce qui suit:

 

À la place et par l'ordre de mon Seigneur Jésus-Christ, je vous pardonne tous vos péchés au nom du Père et du Fils + et du Saint-Esprit. Amen.

 

Le pasteur rejette le pénitent.

 

Vas en paix.

 

Le pénitent répond:

 

Amen.

 

Une autre forme suggérée pour la confession a été esquissée par Luther lui-même dans le Petit Catéchisme de 1529 (Partie V. COMMENT LE NON-DÉCLARÉ DEVRAIT ÊTRE ENSEIGNÉ POUR CONFESSER):

 

Vous parlez au confesseur ainsi:

 

Révérend et cher monsieur, je vous prie d'écouter ma confession et de me pardonner pour l'amour de Dieu

 

Procéder!

 

Moi, pauvre pécheur, je me confesse devant Dieu coupable de tous les péchés; surtout je confesse devant vous que je suis serviteur, servante, etc. Mais, hélas, je sers infidèlement mon maître; car en ceci et en cela je n'ai pas fait ce qu'ils m'ont commandé; Je les ai provoqués, je les ai fait maudire, j'ai fait preuve de négligence [dans beaucoup de choses] et j'ai permis de faire du mal; J'ai aussi été impudique dans les paroles et les actes, je me suis disputé avec mes égaux, j'ai grondé et juré à ma maîtresse, etc. Pour tout cela, je suis désolé, et je prie pour la grâce; Je veux faire mieux.

 

Un maître ou une maîtresse peut dire ainsi:

 

En particulier, je confesse devant vous que je n'ai pas fidèlement formé mes enfants, mes domestiques et ma femme à la gloire de Dieu. J'ai maudit, donné le mauvais exemple par des paroles et des actes grossiers, j'ai fait du mal à mon prochain et j'ai parlé de mal de lui, je l'ai surfait et je lui ai donné de fausses informations et de courtes mesures.

 

Et si quelqu'un d'autre ne se trouve pas accablé de tels péchés ou de plus grands péchés, il ne devrait pas s'inquiéter ni rechercher ou inventer d'autres péchés, et ainsi faire de la confession une torture, mais mentionne un ou deux qu'il connaît. Ainsi:

 

En particulier j'avoue que j'ai une fois maudit; encore une fois, j'ai déjà utilisé des mots impropres, j'ai déjà négligé ceci ou cela, etc.

 

Laissez cela suffire. Mais si vous n'en connaissez pas du tout (ce qui n'est pourtant guère possible), alors n'en parlez pas en particulier, mais recevez le pardon de la confession générale que vous faites devant Dieu au confesseur.

 

Alors le confesseur dira:

 

Dieu soit miséricordieux envers toi et fortifie ta foi! Amen.

En outre:

 

Crois-tu que mon pardon est le pardon de Dieu?

Répondre:

 

Oui, cher monsieur.

Alors laissez-le dire:

 

 

Comme tu crois, ainsi soit-il fait pour toi. Et par l'ordre de notre Seigneur Jésus-Christ, je te pardonne tes péchés, au nom du Père et du Fils + et du Saint-Esprit. Amen. Partir en paix.

 

 

Mais ceux qui ont de grands fardeaux dans leur conscience, ou qui sont affligés et tentés, le confesseur sauront consoler et encourager à la foi avec plus de passages de l'Écriture. Ce doit être simplement une forme générale de confession pour les illettrés. [18]

 

 

Références :

 

 

  1. Jump up^ http://bookofconcord.org/lc-6-baptism.php#para74
  2. ^ Jump up to:un b Une explication du petit catéchisme archivé 2009-10-07 à la machine de Wayback .
  3. Jump up^ "Copie archivée" (PDF) . . Récupéré le 2010-02-02 . Récupéré le 2010-02-02.
  4. Jump up^ Excuses de la confession d'Augsbourg , article 24, paragraphe 1. Récupéré 2010-02-02.
  5. Jump up^ La défense de la confession d'Augsbourg; Article XI: De la confession . Récupéré le 2010-02-02.
  6. Jump up^ Un exemple d'une église qui a un temps fixé pour les confessions [ lien mort permanent ] .Récupéré le 2010-02-02.
  7. Le grand catéchisme de Luther IV, 1: «Nous avons maintenant terminé les trois parties principales de la doctrine chrétienne commune: nous devons encore parler de nos deux sacrements institués par le Christ, dont chaque chrétien devrait avoir au moins un Bref enseignement, parce que sans eux il ne peut y avoir de chrétien, bien que, hélas, aucune instruction à leur sujet n'ait été donnée jusqu'ici »(emphase ajoutée, voir Théodore G. Tappert, trans et éd., Le Livre de Concord: Les Confessions de l'Église évangélique luthérienne , (Philadelphia: Fortress Press, 1959), 733).
  8. Jump up^ John 20:23 , et Engelder, TEW Popular Symbolics . St. Louis: Concordia Publishing House, 1934. pp. 112-3, partie XXVI "Le ministère", paragraphe 156Le grand catéchisme de Luther IV, 74-75: «Et vous voyez ici que le baptême, aussi bien dans sa puissance que dans sa signification, comprend aussi le troisième sacrement, qui a été appelé repentance , car il n'est vraiment rien d'autre que le baptême». Voir Théodore G. Tappert, traduit et éd., The Book of Concord.

 

 

 

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02/06/2023

Billy Graham

 

 

 

 

 

 

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Billy Graham



Généralités

Nom de naissance

William Franklin Graham

Surnom

The America's Pastor

Date de naissance

7 novembre 1918

Lieu de naissance

Charlotte ( Caroline du Nord )

Date de décès

21 février 2018 (à 99 ans)

Lieu de décès

Montreat ( Caroline du Nord )

Nationalité

Américain

Pays de résidence

États-Unis

Diplôme

Théologie, Trinity Bible College, 1940. Anthropologie, Wheaton College, 1943.

Spiritualité

Religion

Christianisme évangélique

Courant

Baptisme

Fonctions

Service

Missionnaire

Activité(s)

Évangélisation

Autre(s) activité(s)

Fondateur de la Billy Graham Evangelistic Association

Vie personnelle

Conjoint(e)

Ruth Graham

Enfant(s)

5

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William Franklin Graham, Jr., dit Billy Graham, né le 7 novembre 1918 à Charlotte (Caroline du Nord) et mort le 21 février 2018 à Montreat dans le même État américain, est un pasteur et prédicateur chrétien évangélique baptiste américain.

 

Biographie

 

Graham naît le 7 novembre 1918 à Charlotte (Caroline du Nord)1. Il vit dans une ferme avec un frère et deux sœurs et est élevé dans la foi presbytérienne par ses parents2. Adolescent, il est renvoyé d'un groupe de jeunes de son église parce qu'il n'était pas très intéressé par les questions spirituelles3. Après avoir assisté à plusieurs réunions d' évangélisation de Mordecai Ham, Graham se convertit à l'âge de 16 ans en 19344. En 1936, il commence des études de théologie évangélique au Bob Jones College (devenu Université Bob Jones ), mais arrête parce qu'il trouve l'institution trop légaliste, reprochant à cette dernière de préférer le texte à l'esprit du texte5. En 1937, il intègre le Trinity College of Florida6. Il prêche son premier sermon à l'âge de dix-neuf ans, dans la Bostwick Baptist Church près de Palatka, en Floride7. En 1939, il est consacré pasteur baptiste par une église de la Convention baptiste du Sud, la Peniel Baptist Church de Palatka, en Floride8. En 1940, il obtient un Bachelor of Arts en théologie du Trinity Bible College évangélique (devenu Trinity College of Florida) 9, 10. Puis il étudie l’ anthropologie au Wheaton College et obtient un Bachelor of Arts en 194311.

 

Ministère

 

Billy Graham lors d'une prédication à Düsseldorf, en Allemagne, le 21 juin 1954.

1:15

Discours de Billy Graham au stade de Feyenoord à Rotterdam, aux Pays-Bas, le 30 juin 1955.

De 1943 à 1944, Graham est pasteur de la First Baptist Church à Western Springs (Illinois). En 1946, il devient évangéliste à plein temps pour Youth for Christ4. En 1947, il fait sa première réunion d'évangélisation au Civic Auditorium à Grand Rapids (Michigan) en présence de 6 000 personnes12.

En 1948, dans une chambre d'hôtel à Modesto (Californie), l’évangéliste Billy Graham et son équipe d’évangélisation ont établi le Modesto Manifesto, un code d’ éthique de vie et de travail pour les hommes pour se protéger des accusations d’abus financiers, sexuels et de pouvoir13. Ce code comprend des règles pour la répartition des offrandes reçues dans les églises, le travail uniquement avec des églises favorables à l’évangélisation coopérative, l’usage des estimations officielles des foules lors des évènements en plein air et l’engagement à ne jamais être seul avec une femme autre que son épouse14.

De 1948 à 1952, il est président du Northwestern Bible College (devenu University of Northwestern – St. Paul ) à Minneapolis. En 1950, il fonde la Billy Graham Evangelistic Association, une organisation d'évangélisation15.

Lors de ses réunions d'évangélisation, Billy Graham met l'accent sur la conversion et le pardon des péchés par Jésus-Christ16.

Pays où Billy Graham a prêché17.

 

Distinctions[

 

Billy Graham recevant la médaille présidentielle de la Liberté par le président Ronald Reagan, le 23 février 1983.

Il a obtenu de nombreuses récompenses, notamment le Prix Templeton en 1982 pour sa contribution à l’entraide et la compréhension inter-religieuse 18, la médaille présidentielle de la Liberté en 1983 pour ses actions d'évangélisation19et la Ronald Reagan Freedom Award pour sa contribution à l’avancement de la liberté dans le monde, en 200020.

Entre 1948 et 2018, Billy Graham a figuré 61 fois dans le groupe des dix hommes les plus admirés publié par la firme Gallup21.

Actions de paix

Billy Graham a été un ami de Martin Luther King et il a œuvré en faveur des lois anti- ségrégationnistes durant les années 1960 et tout au long de son ministère22, 23.

S'étant rendu deux fois en république populaire démocratique de Corée (RPDC), en 1992 et 1994, à l'invitation des autorités nord-coréennes, Billy Graham était apprécié du président nord-coréen Kim Il-sung. Les liens de confiance entre la famille Graham et les autorités nord-coréennes ont ainsi conduit à la réalisation de plusieurs projets de coopération en Corée du Nord par la BGEA et la Samaritan's Purse, par exemple, le réseau de télévision de la RPDC, la mise en place de cliniques dentaires ou d'une unité de soins intensifs24.

 

Relations avec la politique

 

Billy Graham rencontre le président Barack Obama à Montreat, NC, en 2010.

Billy Graham a eu des rapports privilégiés avec divers personnages haut placés américains, dont douze présidents américains de Truman à Obama25. Ainsi, George W. Bush attribue à une discussion avec le révérend Graham sa décision d'arrêter de boire à l'âge de 40 ans26. Il ne rencontra le futur président Donald Trump qu'en 2013, au gala pour son 95e anniversaire[réf. nécessaire].

Le 25 avril 2010, le président Barack Obama rend visite à Billy Graham dans sa maison de Montreat en Caroline de Nord, et ils prennent ensemble un temps de prière27.

Vie privée

Billy Graham et sa femme à Oslo en Norvège, 1955.

Il a épousé Ruth Graham en 1943, une camarade du Wheaton College6. Ils ont eu cinq enfants ensemble 28.

Mort[

Billy Graham meurt dans son sommeil le 21 février 2018 à l'âge de 99 ans. Il souffrait depuis plusieurs années de la maladie de Parkinson29.

Critiques et controverses

 

Critiques religieuse

 

 

Graham a été critiqué pendant plusieurs années par quelques évangéliques fondamentalistes pour ses messages d'unité et sa proximité avec l' Église catholique (particulièrement à l'adresse du pape Jean-Paul II )30.

 

Critiques sociales et politiques

 

Graham a également été critiqué pour sa position traditionnelle à propos du rôle des femmes ("épouse, mère et ménagère")31.

Publications

En français

 

  • La paix avec Dieu, 1964 impr., éditeur : Groupes Missionnaires, ( ISBN2-88050-000-1 )
  • Christ ressuscité, éditeur : Groupes Missionnaires, GM1545-20
  • Christ revient, éditeur : Groupes Missionnaires, GM1545-12
  • Les anges, agents secrets de Dieu, 1976, éditeur : 7ici, ( ISBN2-905093-02-1 )
  • La mort, point final ou deux points ?, 1989, éditeur : Ebv, ( ISBN3765576220 )
  • Avis de tempête, 1993, éditeur : Vida, ( ISBN0-8297-1887-7 )
  • Tel que je suis, 1997, éditeur : Eternity Publishing, ( ISBN2-9511515-7-8 )

En anglais[

 

  • Calling Youth to Christ(1947)
  • America's Hour of Decision(1951)
  • I Saw Your Sons at War(1953)
  • Peace with God(1953, 1984)
  • Freedom from the Seven Deadly Sins(1955)
  • The Secret of Happiness(1955, 1985)
  • Billy Graham Talks to Teenagers(1958)
  • My Answer(1960)
  • Billy Graham Answers Your Questions(1960)
  • World Aflame(1965)
  • The Challenge(1969)
  • The Jesus Generation(1971)
  • Angels: God's Secret Agents(1975, 1985)
  • How to Be Born Again(1977)
  • The Holy Spirit(1978)
  • Evangelist to the World(1979)
  • Till Armageddon(1981)
  • Approaching Hoofbeats(1983)
  • A Biblical Standard for Evangelists(1984)
  • Unto the Hills(1986)
  • Facing Death and the Life After(1987)
  • Answers to Life's Problems(1988)
  • Hope for the Troubled Heart(1991)
  • Storm Warning(1992)
  • Just As I Am: The Autobiography of Billy Graham(1997, 2007)
  • Hope for Each Day(2002)
  • The Key to Personal Peace(2003)
  • Living in God's Love: The New York Crusade(2005)
  • The Journey: How to Live by Faith in an Uncertain World(2006)
  • Wisdom for Each Day(2008)
  • Nearing Home: Life, Faith, and Finishing Well(2011)
  • The Heaven Answer Book(2012)
  • The Reason for My Hope: Salvation(2013)
  • Where I Am: Heaven, Eternity, and Our Life Beyond the Now(2015)
  •  

Notes et références

 

 

  1. ↑George Thomas Kurian, James D. Smith III, The Encyclopedia of Christian Literature, Volume 2, Scarecrow Press, USA, 2010, p. 341
  2. ↑ David Aikman, Billy Graham: His Life and Influence, Thomas Nelson Inc, USA, 2010, p. 30
  3. ↑ David Aikman, Billy Graham: His Life and Influence, Thomas Nelson Inc, USA, 2010, p. 35
  4. ↑ Revenir plus haut en :aet b Randall Herbert Balmer, Encyclopedia of Evangelicalism: Revised and expanded edition, Baylor University Press, USA, 2004, p. 300
  5. ↑ Timothy J. Demy Ph.D., Paul R. Shockley Ph.D., Evangelical America: An Encyclopedia of Contemporary American Religious Culture, ABC-CLIO, USA, 2017, p. 188
  6. ↑ Revenir plus haut en :aet b Barry Hankins, American Evangelicals: A Contemporary History of a Mainstream Religious Movement, Rowman & Littlefield Publishers, USA, 2009, p. 41
  7. ↑ David Aikman, Billy Graham: His Life and Influence, Thomas Nelson Inc, USA, 2010, p. 40
  8. ↑George Thomas Kurian, Mark A. Lamport, Encyclopedia of Christianity in the United States, Volume 5, Rowman & Littlefield, USA, 2016, p. 1005
  9. ↑ Bill Adler, Ask Billy Graham: The World's Best-Loved Preacher Answers Your Most Important Questions, Thomas Nelson Inc, USA, 2010, p. VIII
  10. ↑ Beau Zimmer,  Billy Graham attended Bible College in Temple Terrace [ archive ], wtsp.com, USA, 21 février 2018
  11. ↑ Edward E. Hindson, Daniel R. Mitchell, The Popular Encyclopedia of Church History: The People, Places, and Events That Shaped Christianity, Harvest House Publishers, USA, 2013, p. 160
  12. ↑ CBN, Remembering the Billy Graham Crusades That Led People to Jesus [ archive ], cbn.com, USA, 24 février 2018
  13. ↑ Seth Dowland, The “Modesto Manifesto” [ archive ], christianhistoryinstitute.org, USA, #111, 2014
  14. ↑ Yonat Shimron, Billy Graham made sure his integrity was never in question [ archive ], religionnews.com, USA, 23 février 2018
  15. ↑ Randall Herbert Balmer, Encyclopedia of Evangelicalism: Revised and expanded edition, Baylor University Press, USA, 2004, p. 80
  16. ↑ JEFFREY COLLINS, Thousands pay their respects to Rev. Billy Graham in North Carolina [ archive ], thestar.com, Canada, 26 février 2018
  17. ↑ "Pilgrim Preacher: Billy Graham, the Bible, and the Challenges of the Modern World". Museum of the Bible. 21.04.2020
  18. ↑George Thomas Kurian, Mark A. Lamport, Encyclopedia of Christianity in the United States, Volume 5, Rowman & Littlefield, USA, 2016, p. 1006
  19. ↑ Irvin Molotsky, 12, INCLUDING JAVITS, GET FREEDOM MEDAL FROM THE PRESIDENT [ archive ], nytimes.com, USA, 24 février 1983
  20. ↑ Thomas P. Johnston, Examining Billy Graham's Theology of Evangelism, Wipf and Stock Publishers, USA, 2003, p. 451
  21. ↑ Frank Newport, In the News: Billy Graham on 'Most Admired' List 61 Times [ archive ], news.gallup.com, USA, 12 mai 2008
  22. ↑ Grant Wacker, America's Pastor, Harvard University Press, USA, 2014, p. 125, 132
  23. ↑ Géraud Bosman-Delzons , Mort de Billy Graham, berger évangélique de l'Amérique [ archive ], Rfi.fr, France, 21 février 2018
  24. ↑ Michelle Vu, Franklin Graham: “Kim Il Sung Liked My Father” [ archive ], sur le site The Christian Post, 8 juillet 2006.
  25. ↑ WILLIAM LOBDELL et RUSSELL CHANDLER, Billy Graham, minister to presidents and millions worldwide, dies at 99 [ archive ], latimes.com, USA, 21 février 2018
  26. ↑ Sophie Tatum, George W. Bush says Billy Graham changed his life [ archive ], cnn.com, USA, 24 février 2018
  27. ↑ (en) « President Obama Meets Billy Graham » [ archive ], sur time.com, 25 avril 2010
  28. ↑ Terry Mattingly, Billy Graham's children say their goodbyes [ archive ], knoxnews.com, USA, 10 mars 2018
  29. ↑« Details on Billy Graham's death, funeral service released » [ archive ], sur Citizen Times, 21 février 2018
  30. ↑ (en) Grant Wacker, America's Pastor, Harvard University Press, USA, 2014, p. 92
  31. ↑ Brantley W. Gasaway, Progressive Evangelicals and the Pursuit of Social Justice, University of North Carolina Press, USA, 2014, p. 106

 

 

Bibliographie

 

  • Billy Graham, pape protestant ?, Sébastien Fath, 2002, édition Albin Michel, ( ISBN978-2226135605 )
  • (en) Billy Graham, Conversion – A Personal Revolution [ archive ], The Ecumenical Review, vol. XIX, no 3, juillet 1967, p. 271-284.
  •  

Articles connexes

 

  • Religion aux États-Unis | Évangélisme

Liens externe

 

  • (en) Le Billy Graham Center [ archive ]
  • (en) La Billy Graham Evangelistic Association [ archive ]
  • Billy Graham et le christianisme américain [ archive ] Entretien avec Sébastien Fath sur le site Religioscope.
  • Sermons de Billy Graham [ archive ] Sermons de Billy Graham.
  • Vidéo:Billy Graham [ archive ] en 1960, lors de sa tournée d'évangélisation en Suisse romande, une archive de la Télévision suisse romande
  • Ressources relatives à la musique: 
    • Discogs
    • (en) Carnegie Hall
    • (en) MusicBrainz
    • (en) Muziekweb
  • Ressource relative à l'audiovisuel: 
    • (en) Internet Movie Database
  • Ressource relative aux beaux-arts: 
    • (en) National Portrait Gallery
  • Ressource relative à la bande dessinée: 
    • (en) Comic Vine
  • Ressource relative à la vie publique: 
    • (en) C-SPAN
  • Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes: 
    • Brockhaus Enzyklopädie [ archive ]
    • Deutsche BiographiearchiveDictionary of Sydneyarchive
    •  

 

v

 

Contexte

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