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06/12/2024

Jésus et le livre de la Genèse:

 

 

 

 

 

Par Laurence Tisdall:

 

 

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La Bible ne laisse personne indifférent, croyant ou non-croyant. Posez une Bible sur le coin de votre table, dans un restaurant et regardez combien de personnes vont tourner la tête pour observer. Pensent-elles que nous sommes des fanatiques religieux? Ou est-ce qu’ils sont simplement curieux de voir qui osera défier l’esprit séculier du monde? Je crois que c’est un peu les deux. Le chrétien traverse continuellement des courants d’incrédulité. Des courants qui soulèvent parfois l’adversité la plus féroce. La Bible, déclarée comme étant la Parole de Dieu (2 Tim 3.16) est l’absolu qui définit ce qui est bien et ce qui est mal. Elle nous confronte avec le concept du péché et rend les non-croyants inconfortables. Alors, pour contourner son sentiment de culpabilité, notre société s’impatiente, et tente de discréditer la Bible. Les journaux, les films et les revues nous submergent d’informations, indiquant que la  » science  » a démontré que la Bible est simplement une collection d’histoires de l’antiquité peu fiables, de poésies et de fables. Contrairement à ce qui est indiqué dans la Genèse, l’univers aurait surgi d’un Big Bang sans cause, il y a 10 ou 15 milliards d’années. La vie sur la terre serait apparue par hasard. Les lois de la survie du plus fort permettent à la grenouille de devenir un prince. Avec assez de temps, un singe commence à marcher debout, et devient un humain. En fait, l’impossible devient possible et on a remplacé le Dieu créateur de l’univers par l’homme, l’ultime production du temps et du hasard.

 

 

Il est évident que  » l’attaque  » contre la Bible vise principalement les premiers chapitres de la Genèse. Il y a plus d’un siècle, Thomas Huxley a exprimé ses vues sur la science et la Bible (Victoria Institute , 1866, 2:304)

 

 

«  Vous (le clergé) racontez à vos assemblées que le monde a été créé il y a 6 000 ans, en 6 jours, et que tous les animaux vivants ont été créés dans ce laps de temps… Je suis obligé de dire que je ne crois pas en ces déclarations que vous faites, je suis encore obligé de dire que je ne peux trouver parmi les hommes de science et de recherche, les hommes de vérité, un seul qui ne croit pas exactement le contraire.

 

 

Notez qu’Huxley se trompait sur plusieurs points dans cette citation. Par exemple, les créationnistes ne croient pas que  » tous les animaux vivants  » ont été créés durant les six jours, mais que les ancêtres de tous les animaux vivants ont été créés durant cette période. Néanmoins, 120 années plus tard, nous trouvons les mêmes propos dans les revues scientifiques et populaires. La science semble avoir remplacé la Parole de Dieu comme autorité sur la vérité ! Robert Lewis Dabner, un éminent presbytérien du dernier siècle, nous écrit que cette situation s’explique par deux facteurs :  » notre intelligence déchue et l’exaltation du naturalisme « 1. La science n’est pas et ne sera jamais une autorité reconnue pour interpréter la Bible. Si nous voulons savoir comment interpréter le livre de la Genèse, pourquoi ne pas se référer à l’ultime autorité, Jésus ? Il est intéressant de voir comment Jésus interprétait les premiers chapitres de la Genèse.

 

Dans l’évangile de Jean, Jésus dit :

 

 

Car si vous croyiez Moïse, vous me croiriez aussi, parce qu’il a écrit de moi. Mais si vous ne croyez pas à ses écrits, comment croirez-vous à mes paroles? (Jean 5 :46-47)

 

Nous lisons dans le 3e chapitre de la Genèse, écrit par Moïse, la première promesse messianique :

 

 

Je mettrai inimitié entre toi et la femme, entre ta postérité et sa postérité: celle-ci t’écrasera la tête, et tu lui blesseras le talon (Gen 3.15).

 

Jésus n’enseignait pas à ceux qui l’écoutaient que la Genèse était faite de fables ou de poèmes… non, Jésus lui-même témoigne de la véracité du texte de la Genèse et qu’elle est essentielle pour avoir la foi en lui! L’importance des écrits de Moïse est soulignée dans l’évangile de Luc :

 

 

Et Abraham lui dit: S’ils n’écoutent pas Moïse et les prophètes, ils ne se laisseront pas persuader quand même quelqu’un des morts ressusciterait. (Lu 16.31)

 

Ce verset est une puissante exhortation à chercher dans les textes que Moïse a écrits, notamment la Genèse, la révélation de qui est le fils de Dieu, le Messie. Comment convaincre les non-croyants du besoin d’un sauveur si nous ne croyons pas aux premiers chapitres de la Genèse ? Comment expliquer la souffrance dans le monde, si nous ne croyons pas à la chute de l’homme ? Comment avoir confiance dans la Bible, si les neuf premiers chapitres ne sont que des mythes ? Non, les six jours de la création ne sont pas juste une invention par Moïse pour nous aider à découper le temps ou pour améliorer la mise en page des rouleaux. Non, le jardin d’Eden, Adam et Eve et le serpent ne sont pas des personnages fictifs. Selon Jésus, la Genèse est vraie… textuellement.

 

 

La  » science  » est censée avoir démontré que Jésus était dans l’erreur, que nous n’avons plus besoin de nous laisser enchaîner par la moralité ou de nous soumettre aux 10 commandements de Dieu. L’évolution n’est-elle pas un  » fait  » scientifique ? La réponse, comme vous le savez est NON. Malheureusement, beaucoup de chrétiens ont été amenés à croire des  » fables  » concernant la Bible et la science (2 Tim 4.4,5). On nous encourage à ne pas prendre au sérieux ce qui est écrit dans le livre de la Genèse. Pourtant, il est clair que Jésus confirme que les premiers chapitres de la Genèse doivent être respectés mot pour mot. Par exemple en Matthieu Jésus dit :

 

 

N’avez-vous pas lu que le créateur, au commencement, fit l’homme et la femme… (Mt 19 :4-6)

Remarquez comment Jésus dit  » qu’ au commencement  » l’homme et la femme ont été créés. Il ne parle pas d’hommes-singes avant Adam, pas de création chaotique avec satan en charge

 

 

 

 

 

 

 

 

avant le  » commencement « , pas de milliards d’années avant l’apparition de l’homme. En fait, Jésus et les disciples interprétaient le livre de la Genèse textuellement, comme son auteur, Moïse, l’aurait voulu. En passant, ce verset me rappelle toujours une rencontre que j’ai faite à l’université Laval. Après mon enseignement sur l’historique de l’évolution de l’homme, deux Raëliens sont venus me féliciter pour l’excellent travail que je faisais en démontrant que l’évolution des singes à l’homme ne s’est jamais produite. Les Raëliens croient que la race humaine a été ensemencée sur la Terre par des extra-terrestres, il y a environ 28 000 ans. Ils disent que la Genèse parle d’Elohim et que ce mot faisait référence aux extra-terrestres. Ils m’ont expliqué comment Jésus était l’un de ces extra-terrestres. Sachant que leur secte est plutôt sexuelle de nature, j’ai posé la question suivante :  » Jésus nous dit dans Marc 10.7-9 que l’homme quittera son père et sa mère, et s’attachera à sa femme, et que les deux deviendront une seule chair… Que l’homme donc ne sépare pas ce que Dieu a joint. Alors, ne devons-nous pas nous limiter à un partenaire dans les liens du mariage ?  » Ils m’ont répondu  » Mais vous savez, les textes du nouveau testament sont corrompus « .  » Intéressant  » leur ai-je répondu,  » mais Jésus a souvent cité le deuxième chapitre de la Genèse (2.24), le même chapitre qui parle justement d’Élohim. Pouvons-nous supposer que votre interprétation du mot Élohim est aussi erronée ? « . La conversation a eu une fin plutôt abrupte et les Raëliens sont partis sur le champ !

 

 

Dans Matthieu, Jésus proclame en parlant du temps des tribulations :

 

 

Car alors, la détresse sera si grande qu’il n’y en a point eu de pareille depuis le commencement du monde jusqu’à présent, et qu’il n’y en aura jamais.(Matt 24.21 ; Marc 13.9)

 

 

Il est naturel de considérer, selon les paroles de Jésus, des catastrophes telles que celles décrites dans la Genèse (au commencement). Durant ce temps, des catastrophes causeront encore plus de détresse que celles du déluge universel, de Sodome et Gomorrhe et de la tour de Babel. Puisqu’on parle de déluge universel, regardons les versets suivants où Jésus parle du déluge universel et de Noé

 

 

 » Ce qui arriva du temps de Noé arrivera de même à l’avènement du Fils de l’homme. Car, dans les jours qui précédèrent le déluge, les hommes mangeaient et buvaient, se mariaient et mariaient leurs enfants, jusqu’au jour où Noé entra dans l’arche; et ils ne se doutèrent de rien, jusqu’à ce que le déluge vînt et les emportât tous: il en sera de même à l’avènement du Fils de l’homme.  » (Matt 24.37-39).

 

 

Jésus affirme que Noé est un vrai personnage et que le déluge était réel. Pierre, un des disciples de Jésus, nous indique que des personnes  » dans les derniers jours  » vont nier l’évidence d’un déluge universel :

 

 

 » sachant avant tout que, dans les derniers jours, il viendra des moqueurs avec leurs railleries, marchant selon leurs propres convoitise… Ils veulent ignorer, en effet, que des cieux existèrent autrefois par la parole de Dieu, de même qu’une terre tirée de l’eau et formée au moyen de l’eau, et que par ces choses le monde d’alors périt, submergé par l’eau. (2 Pi 3.3-6 ; voir aussi 2 Pi 2.5 et 1 Pi 3.20).

 

 

 

Si le déluge décrit dans la Genèse n’était pas universel ni littéral mais seulement poétique et que le but était d’illustrer des bons principes, pourquoi Jésus, le Fils de Dieu, le Créateur, ne l’aurait-il pas dit à ses disciples. Pourquoi Pierre croit-il à l’histoire du déluge si ce n’est jamais arrivé, et surtout pourquoi Pierre nous dit qu’il viendra des  » moqueurs  » qui mentiront concernant l’évidence d’un déluge universel? On ne peut que se rendre à l’évidence que le déluge était universel et que le registre historique contenu dans le livre de la Genèse est véridique !

 

 

Jésus appuie l’histoire de Caïn et Abel dans l’évangile de Luc :

 

 

 » depuis le sang d’Abel jusqu’au sang de Zacharie, tué entre l’autel et le temple  » (Luc 11.51).

 

 

Il ne faut pas oublier non plus que les deux généalogies de Jésus remontent jusqu’à Adam (Matt 1, Luc 3) ! Nous pouvons comprendre que si nous réduisons les premiers chapitres de Genèse à des contes de fées, les évangiles et Jésus ressuscité ne sont que des mensonges grossiers. Je crois que le livre de la Genèse est possiblement le livre le plus important pour notre foi parce qu’il nous donne le fondement sur lequel nous pouvons avoir une foi intelligente et rationnelle.

 

 

Parfois les évolutionnistes et humanistes comprennent plus l’importance de la Genèse pour la christianisme que les chrétiens. Richard Bozarth dans la revue American Atheist nous explique :

 

 » Le christianisme a combattu, combat encore et combattra longtemps la science jusqu’à une fin sans issue pour vaincre l’évolution, parce que l’évolution détruit complètement et finalement la véritable raison pour laquelle la vie de Jésus sur terre avait apparemment été nécessaire. Détruisez Adam et Ève et le principe du péché originel, et parmi les décombres, vous trouverez que celui qui en ressort misérable est véritablement le Fils de Dieu. Si Jésus n’est pas le rédempteur mort pour nos péchés, et voilà ce qu’est le raisonnement de l’évolution, alors le christianisme n’est plus que néant. «  (‘The Meaning of Evolution’, American Atheist 20 September, 1979, p. 30.)

 

 

Quoique je ne sois pas en accord avec l’idée selon laquelle le christianisme combat la  » science « , je trouve que Bozarth a bien compris l’importance du livre de la Genèse pour les chrétiens.

Il est intéressant de lire l’avertissement que Paul a donné à Timothée :

 

 

 » Car il viendra un temps où les hommes ne supporteront pas la saine doctrine… (ils)détourneront l’oreille de la vérité, et se tourneront vers des fables  » (2 Tim 4.4,5).

Une de ces fables ne serait-elle pas le compromis entre la Genèse et les idées évolutionnistes ?

L’image suivante démontre clairement la stratégie des  » moqueurs  » …

 

 

 

Ces moqueurs visent le fondement, ils visent la Genèse. C’est une stratégie efficace et destructrice. Il est triste de constater que seul un petit nombre de croyants sont capables d’expliquer le modèle créationniste et de détruire le fondement de l’humanisme, la théorie de l’évolution. C’est pour cette raison que j’ai fondé l’Association de Science Créationniste du Québec [http://www.creationnisme.ca].

 

 

En conclusion, je vous encourage à relire les onze premiers chapitres du livre de la Genèse et de les lire avec simplicité. La science ne contredit pas la Genèse (nous allons élaborer davantage sur ce sujet dans de futurs articles), et elle peut même fortifier notre foi en Dieu et en la véracité de la révélation de Dieu, Sa parole. Jésus croyait textuellement ce qui était écrit dans la Genèse, tout comme ses disciples et Paul. La Genèse, si on la lit telle quelle, sans élaboration compliquée, nous explique notre origine spirituelle et naturelle. Et si nous pouvons comprendre d’où nous venons, nous allons mieux comprendre notre devenir.

 

 

Et il dit aux Juifs qui avaient cru en lui: Si vous demeurez dans ma parole, vous êtes vraiment mes disciples; vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous affranchira. (Jean 8.31,32).

 

 

1. Dabner, Robert Lewis. A caution against Anti-Christian Science in Discussions vol 3. (Edinburough:Banner of Truth, 1982) 153-154. Citée de « Did God Create in Six Days? » Joseph Pipa and David Hill, Southern Presbyterian Press, Tailors, SC. 1999.

 

 

Laurence Tisdall détient une maîtrise de l’Université McGill en biotechnologie. Il est le président-fondateur de l’Association de Science Créationniste du Québec.

 

 

03/12/2024

Église confessionnelle luthérienne-Norvège:

 

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Den Lutherske Bekjennelseskirke, l'église confessionnelle luthérienne en Norvège, a vu le jour en 1978. Un groupe de croyants était de plus en plus troublé par la situation dans leur église nationale, luthérienne de nom, une église populaire qui tolérait les enseignements et pratiques non bibliques. Combien de temps pourraient-ils rester membres là-bas? Que devraient-ils faire?Où pourraient-ils aller? L'aide provenait du pays voisin, la Suède, où une église confessionnelle luthérienne avait été fondée en 1974. Grâce à l'Institut Biblique pour la recherche biblique et à son directeur, le Dr Seth Erlandsson, les Norvégiens furent grandement renforcés. Ils ont reçu une instruction solide dans de nombreuses vérités bibliques importantes, telles que la doctrine de la justification par la seule grâce, et les principes de la communion ecclésiale.

 

 

 

 

Deux nouvelles congrégations ont été fondées à Avaldsnes et Stavanger sur la côte sud-ouest de la Norvège. Dès le début, ils étaient membres de l'Église confessionnelle luthérienne centrée en Suède (qui avait également des membres en Finlande). Cependant, depuis 2009, les congrégations norvégiennes ont été organisées en tant qu'organe indépendant de l'église norvégienne tout en maintenant des liens étroits avec les églises sœurs en Suède et en Finlande.

 

 

 

 

Les membres de l'Église confessionnelle luthérienne de Norvège se réunissent régulièrement pour des services religieux, des études bibliques pour jeunes et moins jeunes, des cours de confirmation et des chants de choeur. Dans tout ce que nous faisons, nous voulons nous concentrer sur l'Évangile de Jésus-Christ et le salut qu'il a gagné pour tous les peuples. Nous invitons tout le monde à venir entendre le merveilleux message de Dieu, qui nous a été donné par son mot verbalement inspiré, inerrant et autoritaire. L'église publie son propre magazine, Bibel og Bekjennelse (Bible et Confession), qui est également lu par de nombreux non-membres, ainsi que d'autres documents imprimés, des livres et des brochures en langue norvégienne.

 

 

 

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29/11/2024

CI Scofield:

 

 

 

 

 
 
 
CI Scofield, c.1920
 
 
 

Cyrus Ingerson Scofield (19 août 1843 - 24 juillet 1921) était un théologien, un ministre et un écrivain américain dont la Bible annotée la plus vendue popularisait le futurisme et le dispensationalisme chez les chrétiens fondamentalistes .

 

 

Biographie:

 

 

Enfance 

 

Cyrus Scofield est né dans le canton de Clinton, comté de Lenawee, Michigan , le septième et dernier enfant d'Elias et Abigail Goodrich Scofield. Les ancêtres d'Elias Scofield étaient d'origine anglaise et puritaine, mais la famille était nominalement épiscopalienne . Abigail Scofield est mort trois mois après la naissance de Cyrus, et son père s'est remarié à deux reprises pendant la minorité de Cyrus. [1] Les détails de son éducation précoce sont inconnus, mais il n'y a aucune raison de douter de son témoignage ultérieur qu'il était un lecteur enthousiaste et qu'il avait étudié Shakespeare et Homer. [2]

 

 

Service de guerre civile :

 

 

En 1861, Scofield vivait avec des parents au Liban, au Tennessee . Au début de la guerre civile américaine , Scofield, âgé de 17 ans, s'est enrôlé comme soldat dans le 7e régiment d'infanterie du Tennessee, le CSA , et son régiment a combattu à Cheat Mountain , Seven Pines et Antietam . En 1862, après avoir passé un mois à l' hôpital Chimborazo de Richmond , Scofield a réussi à obtenir une libération. [3] Scofield est ensuite retourné au Liban et a été enrôlé de nouveau dans le service confédéré. Commandé à McMinnville, au Tennessee , Scofield a déserté et s'est échappé derrière les lignes Union à Bowling Green, Kentucky . [4] Après avoir prêté le serment d'allégeance de l'Union, Scofield a été autorisé à passer en toute sécurité à St. Louis, Missouri , où il s'est installé. [5]

 

 

Avocat et homme politique :

 

 

En 1866, il épousa Léontine LeBeau Cerrè, membre d'une importante famille catholique française à Saint-Louis. [6] Scofield a fait son apprentissage dans le cabinet juridique de son beau-frère et a ensuite travaillé dans le bureau de l'évaluateur de St. Louis avant de déménager à Atchison, au Kansas à la fin de 1869. En 1871, Scofield a été élu à la Chambre des représentants du Kansas. d'Atchison pendant un an, puis du comté de Nemaha pour une seconde. En 1873, il travailla pour l'élection de John J. Ingalls comme sénateur du Kansas, et quand Ingalls a gagné, le nouveau sénateur a nommé Scofield procureur de district américain pour le Kansas - à 29 ans, le plus jeune dans le pays. [7] Néanmoins, la même année, Scofield fut obligé de démissionner "sous le coup d'un scandale" en raison de transactions financières douteuses, acceptant des pots-de-vin de la part de compagnies ferroviaires, volant des contributions politiques à Ingalls, . [8] Il est possible que Scofield ait été emprisonné pour des accusations de falsification, bien qu'il n'y ait aucune preuve existante dans les archives publiques. [9]

 

Peut-être en partie à cause de sa consommation excessive d'alcool, [10] Scofield a abandonné sa femme et ses deux filles pendant cette période. [11] Leontine Cerrè Scofield l'a divorcé pour des raisons de désertion en 1883, et la même année Scofield a épousé Hettie Hall von Wartz, avec qui il a finalement eu un fils. [12]

 

 

Conversion et carrière ministérielle:

 

 

Pastorat:

 

 

Selon Scofield, il a été converti au christianisme évangélique par le témoignage d'une connaissance d'avocat. [13] Certainement vers la fin de l'automne de 1879, Scofield aidait dans la campagne de St. Louis conduite par Dwight L. Moody , et il a été le secrétaire du YMCA de St Louis. De manière significative, Scofield est passé sous le mentorat de James H. Brookes , pasteur de l'église presbytérienne de Walnut Street, St. Louis, un pré-millénariste éminent dispensationaliste . [14]

 

 

En octobre 1883, Scofield fut ordonné ministre congrégationaliste - alors que son divorce était en cours mais pas encore définitif - et il accepta le pastorat de la petite église missionnaire fondée par cette dénomination, qui devint la première église congrégationaliste de Dallas, Texas (maintenant Scofield Memorial Église ). [15] L'église est passée de quatorze à plus de cinq cents membres avant sa démission en 1895. En 1895, Scofield a été appelé comme pasteur de l'église de Moody's, l'église congrégationaliste trinitaire d' East Northfield, Massachusetts , et il a aussi tenté avec succès prendre en charge Moody's Northfield Bible Training School. [16]

 

 

Intérêt pour les missions:

 

 

En 1888, Scofield assista à la Conférence biblique de Niagara, où il rencontra le missionnaire pionnier en Chine, Hudson Taylor . L'approche de Taylor aux missions chrétiennes a influencé Scofield pour fonder la Mission d'Amérique centrale en 1890 (maintenant Camino Global ). [17] Scofield a également servi de surintendant de l'American Home Missionary Society du Texas et de la Louisiane; En 1890, il aida à fonder Lake Charles College (1890-1903) à Lake Charles, en Louisiane.

 

 

Leader fondamentaliste:

 

 

En tant qu'auteur de la brochure «Divisant correctement la Parole de Vérité» (1888), Scofield devint rapidement un chef de file dans le prémillénarisme dispensationaliste , un précurseur du fondamentalisme chrétien du XXe siècle. [18] Bien que, en théorie, Scofield soit retourné à son pastorat de Dallas en 1903, sa Bible de référence projetée a consommé une grande partie de son énergie, et pour la plupart du temps avant sa publication, il était malade ou en Europe. Lorsque la Scofield Reference Bible fut publiée en 1909, elle devint rapidement la déclaration la plus influente sur le prémillénarisme dispensationaliste, et la popularité de Scofield en tant que conférencier de la Bible augmenta au fur et à mesure que sa santé déclinait. Les redevances provenant du travail étaient substantielles, et Scofield détenait des biens immobiliers à Dallas, Ashuelot, New Hampshire et Douglaston, Long Island . Scofield a également rejoint le prestigieux Club Lotos . [19]

 

 

 

Scofield quitta l'Église congrégationaliste en voie de libéralisation pour devenir un presbytérien du Sud et s'installa dans la région de New York où il dirigea un institut de correspondance et de laïcs, la New York Night School de la Bible. En 1914, il a fondé l'école Philadelphia de la Bible à Philadelphie , en Pennsylvanie (maintenant l' université de Cairn ).

 

Vie personnelle:

 

 

Au début des années 1890, Scofield commença à se nommer Rev. CI Scofield, DD; mais il n'y a aucun dossier existant d'aucune institution académique lui ayant accordé le titre honorifique de docteur en théologie . [20] La deuxième épouse de Scofield s'est avérée un compagnon fidèle et un assistant d'édition, mais ses relations avec ses enfants étaient au mieux éloignées. [21] Scofield est mort à sa maison sur Long Island en 1921. [22]

 

 

Signification religieuse:

 

 

Le cours d'étude biblique par correspondance de Scofield fut la base de sa Bible de référence , une Bible d'étude annotée et largement diffusée, publiée pour la première fois en 1909 par Oxford University Press . [23] Les notes de Scofield enseignent le futurisme et le dispensationalisme , une théologie qui fut systématisée au début du XIXe siècle par le pasteur anglo-irlandais John Nelson Darby , qui comme Scofield avait également été formé en tant qu'avocat. [24] Le dispensationalisme met l'accent sur les distinctions entre l'Église du Nouveau Testament et l'ancien Israël de l'Ancien Testament. Scofield a cru qu'entre la création et le jugement final il y a sept époques distinctes de la relation de Dieu avec l'homme et que ces époques sont un cadre autour duquel le message de la Bible peut être expliqué. C'est en grande partie grâce à l'influence des notes de Scofield que le prémillénarisme dispensationaliste devint influent parmi les chrétiens fondamentalistes aux États-Unis, et ces notes devinrent une source importante pour les écrivains religieux populaires tels que Hal Lindsey .

 

 

Notes:

 

 

  1. Jump up^ Lutzweiler, 60-61.
  2. Jump up^ Lutzweiler, 61-62. Scofield a dit à son premier biographe que sa lecture personnelle l'avait inspiré pour commencer à faire une carte de l'histoire universelle quand il avait douze ans.
  3. Jump up^ Lutzweiler, 63-65. Scofield a soutenu qu'il était originaire du Michigan, qu'il n'avait jamais exercé les droits de citoyenneté dans la Confédération, qu'il s'était enrôlé en tant que mineur, qu'il souffrait d'une mauvaise santé et qu'il avait l'intention d'entrer dans la Guerilla à East Tenn. Il a été libéré le 26 septembre 1862.
  4. Jump up^ Rushing, 24.
  5. Jump up^ Rushing, 26. En 1903, Scofield a reçu la Croix d'honneur du Sud par les Filles Unies de la Confédération , Chapitre de Dallas # 6. Se précipiter, 105.
  6. Jump up^ Lutzweiler, 71.
  7. Jump up^ Lutzweiler, 73-74.
  8. Jump up^ Lutzweiler, 74; Michael Phillips , Metropolis blanc: Race, ethnicité et religion à Dallas, 1841-2001 (Austin: University of Texas Press , 2006), 47-48.
  9. Jump up^ Histoire de l'Attorney District des Etats-Unis du Kansas . L'excusé Mangum & Sweetnam notent que "il ya des divergences dans ces rapports quant à l'endroit où son temps a été purgé ou quel crime il aurait commis." Même Canfield, après avoir parcouru les archives publiques, cherchant à corroborer les histoires de prison, conclut que de tels rapports ne sont que des rumeurs non fondées. »(37)
  10. Jump up^ Mangum & Sweetnam, 25.
  11. Jump up^ Scofield a également eu un fils par Leontine, Guy Sylvestre (1872-74), qui est mort de scarlatine à l'âge de deux ans. Mangum & Sweetnam, 24.
  12. Jump up^ Noël Paul Scofield (1888-1962) a toujours refusé de donner des interviews sur son père.Lutzweiler, 198. CI Scofield a presque certainement fourni des renseignements personnels délibérément inexacts à Who's Who et à son biographe officiel, Charles Trumball. Comme l'a écrit un autre biographe, Scofield «était secret au sujet de son passé et ne déformait pas les faits de ses années sombres». John D. Hannah, "Scofield, Cyrus Ingerson" Biographie nationale américaine en ligne Février 2000.
  13.  
  14. Jump up^ Trumbull, 28.
  15. Jump up^ Mangum & Sweetnam, 11.
  16. Jump up^ Lutzweiler, 101.
  17. Jump up^ Quand Moody est mort en 1899, Scofield a présidé à son service funèbre. Mangum & Sweetnam, 15.
  18. Jump up^ Tucker, 304-305.
  19. Jump up^ Mangum & Sweetnam, 13-15.
  20. Jump up^ Lutzweiler, 182.
  21. Jump up^ Mangum & Sweetnam, 46. Scofield n'a pas inclus le "DD" dans l'information qu'il a fourni Who's Who .
  22. Jump up^ Lutzweiler, 192-98. Les deux filles ont vécu à Atchison, au Kansas et sont devenues des professeurs d'école. Mangum & Sweetnam, 26.
  23. Jump up^ Mangum & Sweetnam, 18. Les funérailles ont eu lieu dans le grand sanctuaire de la First Baptist Church, Flushing, New York, et Scofield a été enterré dans le cimetière de Flushing.
  24. Jump up^ La page de titre énumérait sept «éditeurs de consultation»: Henry G. Weston, James M. Gris , WJ Erdman , AT Pierson , WG Moorehead, Elmore Harris et AC Gaebelein . "Le rôle que ces éditeurs ont joué dans le projet a fait l'objet d'une certaine confusion: apparemment, Scofield ne voulait que reconnaître leur aide, même si certains ont spéculé qu'il espérait obtenir un soutien pour sa publication des deux côtés du mouvement millénariste. dispositif." Ernest Sandeen, Les racines du fondamentalisme: le millénarisme britannique et américain, 1800-1930 (Chicago: University of Chicago Press, 1970), 224.
  25. Néanmoins, le dispensationaliste Charles Caldwell Ryrie soutient que Scofield suivait en fait le schéma dispensationaliste de l'auteur de l'hymne et théologien Isaac Watts (1674-1748) plutôt que celui de Darby, bien que Watts ait rejeté le Millénium comme une dispensation.Charles C. Ryrie, Dispensationalism (Chicago: Moody Press, 1995), 55.

Références:

 

 

  • Joseph M. Canfield, L'incroyable Scofield et son livre , (Vallecito, Californie: Ross House Books, 1988).
  • William E. Cox Pourquoi j'ai quitté Scofieldism (Phillipsburg, NJ: Presbyterian et Reformed Publishing, 1992) .
  •  
  • John Gerstner, divisant à tort la Parole de Vérité , (Brentwood, Tennessee: Wolgemuth & Hyatt, 1991).
  • John D. Hannah, "Scofield, Cyrus Ingerson," Biographie nationale américaine .
  •  
  • David Lutzweiler, L'éloge de la folie: La vie énigmatique et la théologie de CI Scofield (Draper, VA: Apologetics Group Media, 2009).
  •  
  • R. Todd Mangum et Mark S. Sweetnam, La Bible de Scofield: son histoire et son impact sur l'Église évangélique (Colorado Springs: Paternoster, 2009).
  •  
  • D. Jean Rushing, «Du déserteur confédéré à un érudit biblique décoré: explorer la vie énigmatique de CI Scofield, 1861-1921», Thèse de maîtrise, East Tennessee State University, 2011.
  •  
  • Ernest R. Sandeen, Les racines du fondamentalisme, le millénarisme britannique et américain , 1800-1930 (Chicago: University of Chicago Press, 1970).
  •  
  • Charles G. Trumball, L'histoire de la vie de CI Scofield (New York: Oxford University Press, 1920).

 

 

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25/11/2024

Le singe n’est pas le père de l’humanité, Dieu merci, par L. Glauzy

 

 

 

 

Les évolutionnistes jouent sur les pourcentages pour faire croire que le singe est proche de l’homme. Qu’en est-il exactement ?

 

 

Les évolutionnistes utilisent à vau-l’eau les ressemblances génétiques. Ils en déduisent des liens de parenté, une descendance. Pourtant, de récentes découvertes démentent que l’homme et le singe partagent 99 % de leur code ou patrimoine génétique. Un article de Science Magazine du 29 juin 2007 intitulé « Relative Differences : The Myth of 1 % » (Des différences relatives : le mythe du 1 %) mentionne que cette différence est plus prononcée. Elle ne serait pas de 1 %, mais de 6,4 %. En Suède, le Dr Swante Pääbo surnommé « le pape de l’archéo-génétique » en référence à une étude menée sur l’ADN d’un prince égyptien momifié, dit qu’il n’existe pas aujourd’hui de moyens suffisamment précis pour se prononcer de manière péremptoire sur cette différence.

 

 

 Dans la parution bibliste Creation update, les défenseurs du créationnisme avancent que cette ressemblance s’explique parce que nous vivons sur la même planète et que nous avons le même Créateur. Ils soulignent avec perspicacité que les évolutionnistes occultent une information majeure : l’ADN de l’homme est à 66 % identique à celui des choux !

 

 De plus, l’homme compte vingt-trois paires de chromosomes. Ils sont constitués d’ADN. L’ADN total du génome humain comporte près de trois milliards de bases. Les bases sont désignées par les lettres A, T, G, C. Les combinaisons des bases correspondent à des instructions formant un être vivant. Cela signifie par exemple qu’un écart de 2 % correspond à soixante millions de bases contenant des informations différentes.

 

 

 L’homme n’a donc rien a voir avec le singe comme le démontre l’absence totale de chaînons manquants. Il est à répéter que la science a maintes fois monté des faux comme l’homme de Nebraska, l’homme de Piltdown, l’homme de Java et Lucy, mélangeant des os d’homme et de singe.

 

 

 « La science moderne est la science du démon » (Padre Pio, dont le corps est intact)

 

 

 

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09:17 Publié dans Science | Lien permanent | Commentaires (0)

22/11/2024

Église de la confession luthérienne:

 

 

 

 

 

Dédié à la proclamation de la Bonne Nouvelle du Christ crucifié pour tous les pécheurs.

 

 

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Une histoire de la CLC et des différences avec les autres luthériens.

 

 

 

Prof. John Lau:

 

 

 

 

L'église de la confession luthérienne:

 

 

 

 

(CLC) se considère comme le véritable descendant spirituel de la Conférence synodale évangélique luthérienne, qui a été formée en 1872 et a duré jusqu'au début des années 1960.Alors que cette association de l'église luthérienne autrefois conservatrice en Amérique du Nord tirait son dernier souffle, le CLC devenait juste un corps d'église.

 

 

 

 

Le CLC est issu de trois des anciennes Églises membres de la Conférence synodale: principalement le Synode évangélique luthérien du Wisconsin (WELS), mais aussi le Synode luthérien-Missouri (LCMS) et le Synode évangélique luthérien (ELS). La Conférence synodale avait été initialement formée sur la base de 
accord de doctrine et de pratique de la part des Eglises membres; il s'est brisé lorsque cette base et la doctrine biblique de la communion ecclésiale sur laquelle il reposait n'étaient plus pleinement pratiquées par les Eglises membres.

 

 

 

 

Les membres du CLC sont impatients de témoigner des vérités qui avaient été tenues par la Conférence synodale au temps où elle avait été fidèle aux doctrines de l'Écriture et aux Confessions luthériennes, telles qu'elles se trouvent dans le Livre de Concorde de 1580; ainsi le nom qui a été choisi: l'église de la confession luthérienne.

 

 

 

 

Ce désir est également attesté par l'adoption par le CLC de la Brève Déclaration de 1932 comme l'un des écrits confessionnels cités dans sa constitution. Ainsi, la CLC confesse: «Dans notre enseignement et notre prédication, nous dépendons entièrement de la Bible, des Écritures canoniques de l'Ancien et du Nouveau Testament. Nous considérons ce Livre des Livres comme la Parole de Dieu, verbalement inspirée et entièrement sans erreur telle qu'écrite par les saints hommes de Dieu. Nous considérons que notre mission est celle de communiquer les paroles et le message de ce livre à ceux qui les entendront; et nous ne connaissons aucune autre source divine de véritable doctrine et d'instruction sur la voie du salut et de la vie agréable à Dieu. "

 

 

 

 

En outre: «Nous rejetons donc comme sacrilège et destructeur tout effort par lequel l'intellect ou la science de l'homme modifierait ou mettrait de côté une seule parole inspirée. Nous déplorons l'apostasie répandue ... qui réduit la Bible au statut de document humain contenant des erreurs et des mythes. "

 

 

 

 

Dans la doctrine des Écritures mentionnée ci-dessus, la ClC diffère largement des branches les plus libérales du luthéranisme général, à savoir les églises luthériennes trouvées dans les nations européennes et, aux États-Unis, cette église luthérienne s'identifiant, depuis 1988, comme évangélique. Église luthérienne en Amérique (ELCA). L'ELCA n'est certes pas d'accord en doctrine parmi les organismes d'église qui l'ont formé par la fusion. Même son aile la plus conservatrice n'accepterait pas la haute vision des Ecritures comme inspirée verbalement et totalement sans erreur, qui est enseignée sans honte dans le CLC.

 

 

 

Comme l'ELCA est le plus libéral des corps d'église luthériens aux États-Unis, le Synode luthérien-Missouri (LCMS) peut être considéré comme l'aile modérée, plus médiane du luthéranisme américain. Par exemple, l'ELCA ne permet pas encore aux femmes de servir comme pasteurs.

 

 

 


un sondage des pasteurs LCMS a rapporté que plus de 1000 d'entre eux n'avaient aucune objection au clergé féminin), mais il a changé sa position antérieure (telle que détenue par les précédents dirigeants CFW Walther et F. Pieper) et permet maintenant aux femmes de voter et d'occuper l'église. Ceci est une illustration de l'attitude actuelle du LCMS envers l'inviolabilité de l'Écriture. Le LCMS épouse la notion que les paroles de saint Paul concernant les femmes dans l'église étaient culturellement affectées et ne sont plus applicables dans la société d'aujourd'hui.D'autre part, la CLC soutient que saint Paul, en écrivant des mots qui étaient verbalement inspirés et inerrants, exprimait la volonté éternelle de Dieu.

 

 

 

 

Une autre illustration de cette différence peut être vue dans la doctrine de l'Église, en particulier en référence à la communion ecclésiale. Parce que nous, du CLC, déplorons toute tentative de modifier ou de mettre de côté une seule parole inspirée de l'Écriture, nous voulons aussi obéir à ces paroles de Dieu qui instruisent concernant l'Église et la pratique de la communion fraternelle.Nous croyons fermement que l'Église se compose de tous ceux qui, par la miséricorde de Dieu et selon son propre but et grâce, ont été éternellement ordonnés à la vie éternelle, et que le facteur qui unit l'Église est «la seule vraie foi». par les yeux humains, et par conséquent l'existence même de l'Église est un article de foi. Puisque la parole de Dieu le promet, nous croyons que là où l'évangile en parole et en sacrement est utilisé, les vrais croyants sont présents.

 

 

 

 

Dans l'exercice de la communion dans l'adoration (prier ensemble) et le travail conjoint de l'église, nous ne pouvons pas reconnaître nos frères par la foi dans leurs cœurs, qui ne nous est pas visible. Au lieu de cela, par la grâce de Dieu et conformément à ses instructions, nous ne pouvons exercer la communion qu'avec ceux qui, dans leur confession et leur vie, s'inclinent devant la parole divine. Parce que le Christ lui-même a exhorté: "Enseignez-leur à observer tout ce que je vous ai prescrit"; et parce que le Saint-Esprit a inspiré saint Paul à écrire: «Je vous exhorte, frères, au nom de notre Seigneur Jésus-Christ, à dire la même chose, et qu'il n'y ait pas de divisions entre vous; mais que vous soyez parfaitement unis dans le même esprit et dans le même jugement "- nous savons dans la foi que c'est la volonté divine que les chrétiens doivent être parfaitement unis dans la doctrine et la pratique, et qu'ils ne doivent pas être indifférents dans cette question (peut-être «accepter d'être en désaccord agréablement») mais doivent rechercher un accord sur la base de la parole de Dieu. Là où il y a une telle unité dans la doctrine et la pratique, il doit y avoir la pratique de la communion dans toutes ses phases; là où il n'y a pas une telle unité, la parole de Dieu dans Romains 16:17 expose le refus de Dieu de la pratique de la communion: «Maintenant, je vous en conjure, frères, notez-en ceux qui causent des divisions et des offenses. à la doctrine que vous avez apprise; et les éviter. "

 

 

 

Le CLC, par conséquent, confirme ce qui suit dans la Brève Déclaration de 1932: «Puisque Dieu a ordonné que Sa Parole seulement, sans l'adjonction de la doctrine humaine, soit enseignée et crue dans l'Église Chrétienne (1 Pierre 4:11; 31,32; 1 Tim 6,4,4), tous les chrétiens sont tenus par Dieu de faire la distinction entre les corps d'église orthodoxes et hétérodoxes, et, au cas où ils se seraient égarés dans des corps d'église hétérodoxes, de les quitter (Rom. 17). Nous répudions le syndicalisme, c'est-à-dire la communion fraternelle avec les adeptes de la fausse doctrine, comme la désobéissance au commandement de Dieu, comme provoquant des divisions dans l'Église (Romains 16:17, 2 Jean 9,10), et impliquant le danger constant de perdre la Parole de Dieu entièrement (2 Timothée 2: 17-21). ... Le caractère orthodoxe d'une église est établi non par son simple nom, ni par son acceptation et son adhésion à une croyance orthodoxe, mais par la doctrine qui est réellement enseignée dans ses chaires, dans ses séminaires théologiques et dans ses publications.

 

 

 

Au lieu de ce qui précède, qui était autrefois détenu par le LCMS, ce corps d'église pratique maintenant ce qu'ils appellent «niveaux de communion», selon lequel la communion peut être pratiquée entre chrétiens de diverses confessions dans certaines circonstances: comme la communion ouverte, œcuménique services et similaires.

 

 

 

Le Synode évangélique luthérien du Wisconsin (WELS) et l'évangélique.

 

 

 

Le Synode luthérien (ELS) est en communion les uns avec les autres, bien que pas totalement d'accord sur l'implication de l'admonition dans le processus de terminaison de la communion de leur part avec un corps d'église qui a «été infecté par l'erreur». qu'il est nécessaire de faire le jugement ("arriver à la conviction") 

 

 


que "l'admonition ne sert à rien" avant que la résiliation de la bourse puisse avoir lieu. D'un autre côté, la CLC soutient qu'un tel jugement subjectif concernant les résultats ultérieurs de l'avertissement n'est pas seulement impossible, parce que Dieu seul peut lire les cœurs humains, mais aussi inutile; pour Rom. 16:17 dit seulement que quand il a été établi qu'un individu ou un corps d'église provoque des divisions et des offenses contraires à la doctrine de la Sainte Écriture, la directive à éviter est aussi contraignante que tout mot qui nous est adressé par notre Dieu Sauveur en Saint Écriture. Le péremptoire de l'apôtre "évitez!" Est la voix du Bon Pasteur lui-même, car il protège ses brebis et ses agneaux de la tromperie de l'erreur et il donne gracieusement un avertissement au faux enseignant. ... Nous rejetons toute interprétation de Rom. 16: 17-18 qui, au nom de 
L'amour chrétien ferait dépendre les causes des divisions et des offenses du jugement subjectif que l'admonition ne sert plus à rien et qu'une impasse a été atteinte.

 

 

On pourrait penser que le CLC n'existe que pour témoigner contre les erreurs des autres. La vérité est que le CLC est, en fait, pour quelque chose de très précieux, à savoir le plein.

 

 


et complète la révélation de la parole de Dieu au monde des pécheurs, parmi lesquels nous nous incluons. Sûrement, alors, la CLC est une église évangélique, au plein sens du terme; notre mission la plus importante est de proclamer l'Évangile de Jésus-Christ, la bonne nouvelle que Dieu a racheté le monde entier et l'a déclaré juste par la mort et la résurrection corporelle de l'homme-Dieu, Jésus-Christ; et que les croyants en Lui hériteront de la vie éternelle dans les cieux.

 

 

 

Dans le cadre de sa mission, le CLC est profondément intéressé et impliqué dans l'éducation chrétienne. Les externats chrétiens, enseignés par des enseignants formés professionnellement, sont gérés par 
plus d'un quart de ses congrégations. La CLC éduque également les jeunes pour le leadership en tant que membres laïcs dévoués, professeurs d'école de jour chrétienne, ou pasteurs, à son Collège Immanuel Lutheran à Eau Claire, Wisconsin. Le collège a trois départements: lycée, collège des arts libéraux, et séminaire théologique. Il existe des programmes de quatre ans menant à un baccalauréat en éducation élémentaire ou en études pré-théologiques, et un programme d'études générales de deux ans accordant un grade d'associé.

 

 

 

Les congrégations membres du CLC sont situées dans 23 États et au Canada, et l'église soutient actuellement des missions dans 18 villes américaines. Bien que n'étant pas en communion avec un autre organisme luthérien américain, le CLC a une fraternité avec trois organismes de l'Église à l'étranger qu'il aide à soutenir en Inde et au Nigeria.

 

 

 

 

 

 

 

 

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