23/04/2024
On aurait exhumé la ville de Sodome:
Et ce n’est probablement pas un hasard si cela advient à une époque où les mœurs infâmes de cette ville détruite se répandent aujourd’hui largement dans le monde…
En effet, Sodome, la ville incarnant dans la Bible la dépravation la plus extrême (et ayant donné son nom à un vice en particulier), pourrait bien avoir été localisée par une équipe d’archéologues dans l’actuelle Jordanie.
« Le professeur d’études bibliques et apologétiques de l’Université de Trinity Southwest, Steven Collins est formel : « le gigantesque site de Tall El Hamman » dans le sud de la vallée du Jourdain, à quelques kilomètres au nord de la mer Morte, réunit « tous les critères » de la ville de Sodome telle qu’elle est décrite dans la Bible, rapporte la revue scientifique
Sodome apparaît avec sa voisine Gomorrhe, dans le livre de la Genèse ainsi que dans le Livre de la Sagesse parmi trois autres cités formant « les villes de la plaine » située dans la vallée du Jourdain au sud du pays de Canaan.
Dieu, en réaction à la perversion qui régnait à Sodome, envoya deux anges pour « vérifier » si le péché était bien avéré. « La clameur qui s’élève de Sodome et Gomorrhe est immense et leurs péchés sont énormes… », témoignèrent-ils.
« Alors l’Éternel fit tomber sur Sodome et sur Gomorrhe une pluie de souffre et de feu ; ce fut l’Éternel lui-même qui envoya du ciel ce fléau. Il détruisit ces villes et toute la plaine, et tous les habitants de ces villes. La femme de Lot regarda en arrière, et elle se transforma en statue de sel. Abraham se leva de bon matin et se rendit à l’endroit où il s’était tenu en présence de l’Éternel. De là, il tourna ses regards du côté de Sodome et de Gomorrhe et vers toute l’étendue de la plaine; et il vit monter de la terre une fumée, semblable à la fumée d’une fournaise. » peut-on lire dans l’Ancien Testament (Genèse, XVIII).
Plus la moindre présence humaine durant 700 ans
Selon les textes, Sodome était décrite comme la plus grande cité du Kikkar (la plaine fertile mentionnée dans la Bible) à l’est du Jourdain. « J’en ai immédiatement conclu qu’il convenait de chercher quel site abritait les plus grandes ruines d’une cité de l’âge du Bronze » explique le docteur Collins. Ainsi, pendant plus de dix années de fouilles, les archéologues ont sorti de terre des objets ainsi que les ruines d’une immense cité appartenant à l’ère du Bronze (3500 – 2350 av. J.c.), en particulier un mur d’enceinte de plus de dix mètres ainsi que des tourelles défensives. « Une réalisation remarquable qui a demandé des millions de briques et, évidemment, un grand nombre d’ouvriers » souligne le docteur Collins. En comparant ces découvertes avec celles des villes avoisinantes, il apparaît que celle-ci était 5 à 10 fois plus grande que les autres.
Plus étonnant encore, sur ce site, tout semble indiquer que l’activité humaine s’est éteinte pendant 700 ans… »
07:49 Publié dans Apolégétique | Lien permanent | Commentaires (0)
19/04/2024
Article dans « Le Luthérien » Janvier Février 1992 :
CENTRE D'ETUDES THEOLOGIQUES Châtenay-Malabry
Ceux qui connaissent l'histoire de notre Eglise savent que les premières générations de ses pasteurs ont été formées à l'étranger. Plus précisément, dans les séminaires du Synode du Missouri aux Etats-Unis. C'était le cas de mon père et de mon beau-père. Mais certains de ces étudiants, partis aux Etats-Unis pour y étudier la théologie, sont restés là-bas pour diverses raisons qui s'expliquent. Pour remédier à cela, mais aussi pour instruire, des hommes qui n'étaient pas en mesure de s'expatrier pendant de longues années, notre Eglise s'est vue encouragée à former elle-même les pasteurs dont elle avait besoin.
Grâce à un don généreux de notre Eglise sœur , le Synode du Missouri, le Centre d'Etudes Théologiques fut construit à Châtenay-Malabry (Hauts-de-Seine) et inauguré en 1955. J'ai eu le privilège d'être parmi les tout premiers étudiants à bénéficier des cours du Professeur Guillaume Wolff. Et cela, dès 1953, des années avant de passer mon baccalauréat. C'étaient des cours du soir donnés à Paris, à intervalles réguliers. Notre professeur, qui exerçait encore un ministère pastoral en Alsace, venait à intervalles réguliers pour des périodes de trois semaines.
J'avais pour compagnons d'études des hommes issus du clergé de l'Eglise Catholique, qui voulaient devenir pasteurs chez nous et suivaient pour cela un recyclage. D'autres étudiants se joignirent au petit groupe ; certains finirent par suivre une orientation différente.
Une fois passé le bac (en option A, après 6 années de latin et 4 de grec), je me rendis régulièrement à Châtenay-Malabry, dans les locaux flambant neufs du C.E.T. On nous encourageait fortement à nous inscrire parallèlement en faculté des lettres ou à l'Ecole Pratique des Hautes Etudes des Sciences Religieuses. Cela garantissait une couverture sociale et permettait de solliciter une bourse et de décrocher un diplôme universitaire.
D'autres étudiants prirent le relais. En nombre restreint, il est vrai, mais assez nombreux pour remplacer l'ancienne génération de pasteurs et même fonder des postes missionnaires dans la région parisienne et ailleurs. A l'heure actuelle, tous les pasteurs en exercice de notre Eglise ont suivi leur formation, totale ou partielle, à Châtenay-Malabry, et tous gardent un souvenir ému et reconnaissant de cet homme humble, discret, mais cultivé et profondément enraciné dans la Bible que fut le fondateur du C.E.T.
Il partit en retraite et fut remplacé par le soussigné en 1974. Il est fort possible que les études aient changé de style, mais leur contenu est resté fondamentalement le même. Le souci de notre Eglise en effet a été de dispenser un enseignement marqué par la soumission inconditionnelle à l'Ecriture Sainte et la fidélité aux Confessions adoptées par l'Eglise luthérienne au lendemain de la Réforme.
Le soussigné est le seul professeur employé à plein-temps, mais, dans la mesure du possible, secondé par des membres du corps pastoral. C'est dire que la formation dispensée au Centre d'Etudes Théologiques se concentre sur l'essentiel : l'étude des langues anciennes (grec, hébreu, latin), la théologie systématique, l'herméneutique (science et techniques d'interprétation), l'exégèse (commentaire des textes bibliques), l'art de la prédication, la théologie pastorale, la symbolique (étude des Confessions Luthériennes et étude comparée de l'enseignement des Eglises) et, dans la mesure du possible, histoire de l'Eglise, histoire des dogmes et histoire des religions.
Tous les étudiants sont encouragés à compléter leur formation en faculté, en suivant des cours d'histoire de l'Eglise, de sociologie, de psychologie, de science des communications, etc. Certains d'entre eux ont eu le privilège de faire une ou deux années de théologie, ou un stage, à l'étranger, aux Etats-Unis, en Allemagne ou en Angleterre, une expérience qui leur a permis d'élargir leur horizon et qu'ils ont certainement vécue comme enrichissante.
Le C.E.T. a eu également la possibilité de former au ministère des hommes qui travaillent pour le Seigneur sur d'autres continents. L'un d'eux exerce son ministère en Afrique du Sud, dans deux paroisses d'expression allemande. Deux pasteurs zaïrois mettent au service de l'Eglise Luthérienne au Zaïre l'enseignement reçu à Châtenay-Malabry pendant quatre ans et l'expérience acquise au cours d'un vicariat dans nos paroisses. D'autres travaillent ou ont travaillé aux USA, au Canada ou en Allemagne.
A côté de l'enseignement proprement dit, le Centre d'Etudes Théologiques s'efforce modestement de pallier une grave carence dans la littérature théologique luthérienne en français, en publiant soit des «Cahiers du Centre d'Etudes», soit des cours ou plans de cours. L'informatique a passé par le C.E.T. et apporte des solutions à des problèmes techniques qui étaient jadis quasiment insurmontables.
Il est à peu près certain que le C.E.T. devra à l'avenir diversifier son enseignement et former des hommes à différents types de ministères dans l'Eglise. Cet enseignement devra être décentralisé et dispensé avec assez de souplesse pour pouvoir être suivi par des gens exerçant une activité professionnelle ou suivant une formation en faculté. L'Eglise a besoin d'ouvriers aux talents divers, dont la formation ne sera pas nécessairement la même parce que leurs responsabilités ne seront pas identiques.
Vaste programme dont nous devons nous efforcer de clarifier au maximum les éléments. Mais c'est certainement à ces prix-là qu'elle pourra continuer d'accomplir la mission qui est la sienne avec les moyens en hommes et en argent dont elle dispose. Le travail qui se fera à l'avenir au Centre d'Etudes ne sera sans doute pas tout à fait identique à ce qu'il a été dans le passé. Mais ce travail est là. La moisson est grande, et il faut des ouvriers. Aussi nous souhaitons longue vie au C.E.T.
Professeur Wilbert Kreiss
PS : Je tiens à la disposition de ceux qui le souhaite l’article en PDF.
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16/04/2024
AVORTEMENT:
UN BLASPHÈME D’AUJOURD’HUI : PROPOSER D’ACCOUCHER DE SON ENFANT !
L’amour relié au foyer naturel, primitif, celui constitué d’un homme et d’une femme, est aujourd’hui devenu tabou et évoquer la possibilité de ne pas avorter devient un blasphème.
09:22 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)
12/04/2024
CREATIONNISME :
Pourquoi la Terre a 6 000 ans, comme l’atteste la Bible, par Laurent Glauzy

En 1993, à Hell Creek (Montana), le Dr Mary Schweitzer, paléontologue américaine, avait constaté la présence de tissus non décomposés sur le squelette d’un Tyrannosaurus Rex. Ce cas, parmi tant d’autres, démontre que les dinosaures n’ont pas disparu il y a 60-70 millions d’années. Cela est impossible, car la Terre n’a que quelque 6 000 ans.
Jusqu’à la révolution « française », préparée par les criminels maçons, les scientifiques défendaient une Terre de 6 000 ans. Cette périodicité a peu à peu augmenté en centaines de milliers d’années, puis en millions d’années pour atteindre l’évaluation fantasmagorique actuelle de 4,5 milliards d’années. La raison en est simple : le darwinisme implanté en Chine depuis les années 1890 pour préparer les esprits au communisme, a besoin de longues périodicités invérifiables pour dissimuler ses mensonges. Il est à rappeler que ce dogme débile a été exposé par Karl Marx dans une lettre du 18 décembre 1860 adressée à Friedrich Engels. Ce mensonge visant a faire croire que l’homme est le fruit du hasard, contraire aux plans divins, sera bien entendu financé par Rockefeller. Aujourd’hui le Dr Kent Hovind, qui a ridiculisé le chantre du darwinisme Dawkins, a été condamné à sept ans de prison, jusqu’en 2015, pour avoir défendu les théories du créationnisme. Officiellement, il a été accusé de blanchiment d’argent, alors qu’il n’avait que de minces revenus.
Pour ma part, mes travaux sur le créationnisme ont été traduit en plusieurs langues, dont en roumain, en 2004, par le Dr Dan Ghita, sous le titre Geocentrism şi creationism : un altfel de révizionism ?
Le Dr Harold S. Slusher, géophysicien, établit le calcul suivant : sachant que 14,3 milliards de tonnes de poussières interplanétaire se déposent chaque année sur la Lune, pour 4,5 milliards d’années, nous obtiendrions alors une épaisseur de trois cents à trois cent trente mètres. Or, l’épaisseur de la poussière sur l’astre est de trois à sept centimètres : la Lune aurait donc dix mille ans. Cette évaluation est d’autant plus pertinente que les scientifiques créationnistes et les évolutionnistes pensent de manière unanime que la Lune et la Terre présentent le même âge.
Selon ce scientifique, l’observation du Soleil est également très révélatrice. Son diamètre diminue de 1,5 mètre par heure. À cette vitesse, il y a vingt millions d’années, sa surface aurait heurté celle de la Terre.
Le Dr Melvin A. Cook, physicien-chimiste américain déjà nominé pour le prix Nobel, affirme grâce à l’étude du taux d’hélium contenu dans l’atmosphère, si la Terre avait 4,5 milliards d’années, son atmosphère serait saturée en hélium.
Les anneaux de Neptune ont des régions épaisses et des régions minces. Cette inégalité signifie qu’ils ne peuvent pas avoir des milliards d’années, puisque les collisions des objets des anneaux finissent par rendre les anneaux très uniformes.
Le méthane qui est sur Titan, plus grande lune de Saturne, devrait avoir entièrement disparu en seulement 10 000 ans à cause de la dégradation en éthane induite par les ultraviolets. Et, il n’y a pas non plus de quantités d’éthane.
Les lunes de Jupiter « volcaniquement actives », comme Io, sont compatibles avec un âge jeune : la mission Galileo a enregistré quatre-vingts volcans actifs. Si Io avait été en éruption plus de 4,5 milliards d’années à même 10 % de son rythme actuel, ses éruptions auraient dépassé 40 fois sa masse totale.
Le Dr Russel Humphreys, physicien, observe que la désintégration des comètes est trop rapide, l’eau et les sols marins manquent de vase et de sel, l’inclinaison des couches géologiques est trop forte pour que la Terre et l’univers aient plusieurs milliards d’années. Dans l’article Mercury’s magnetic field is young (Le champ magnétique de Mercure est jeune) de la parution Journal of Creation, il affirme que la présence d’un champ magnétique important autour de Mercure n’est pas compatible avec son âge jeune supposé de milliards d’années. Il ajoute qu’une planète si petite doit s’être suffisamment refroidie pour qu’un noyau liquide soit solidifié, empêchant le mécanisme de dynamo des évolutionnistes. Le Dr Russel Humphreys atteste au sujet de la décroissance du champ magnétique terrestre, que sa décroissance exponentielle est évidente à partir des mesures et est en accord avec la théorie de la décroissance libre depuis la Création. Ce phénomène suggère pour la Terre un âge bien inférieur à 20 000 ans.
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09/04/2024
Faits appuyant l’hypothèse d’une terre jeune:
par D. Russell Humphreys, Ph.D.
Voici une liste de phénomènes naturels contredisant la théorie évolutionniste selon laquelle la terre et l’univers ont quelques milliards d’années. Chacun d’eux implique un nombre maximum d’années qui est bien moindre que le temps d’évolution requis. S’ils veulent être pris au sérieux, les scénarios évolutionnistes devront expliquer ces grandes incohérences.
Bien qu’il existe un bien plus grand nombre d’évidences, j’ai choisi quelques faits brefs et simples à expliquer. Certains d’entre eux ne pourraient concorder avec l’idée d’un vieil univers qu’en proposant une série de suppositions improbables et non prouvées; d’autres ne peuvent s’insérer que dans la perspective d’un univers jeune.
Je référerai a des résultats s’exprimant en millions d’années, c’est-à-dire que je considérerai alors l’âge maximal possible et non l’âge actuel. Donc, ces » limites élevées » a) nient les milliards d’années d’évolution requises, et b) sont parfaitement cohérentes avec l’âge biblique de la Terre, c’est-à-dire entre 6 000 et 10 000 ans.
1. Les galaxies tournent trop rapidement sur elles-mêmes
Les étoiles de notre galaxie, la Voie Lactée, tournent autour du centre galactique à différentes vitesses, les plus centrales tournent plus rapidement que les plus périphériques. Les vitesses de rotation observées sont si grandes que si la galaxie était plus vieille que quelque cent millions d’années, elle aurait l’apparence d’un nuage d’étoiles informe plutôt que la forme de spirale qu’on lui connaît1.
Pourtant, notre galaxie est supposée être âgée d’au moins 10 milliards d’années. Les évolutionnistes appellent cette contradiction » le dilemme de la rotation » et essaient de la résoudre à l’aide d’une théorie complexe, celle des » ondes de densité « 1. Cette théorie comporte des problèmes conceptuels et n’a pas été confirmée par l’observation. Ce dilemme ne se poserait pas si on acceptait que les galaxies ont été créées récemment.
2. Les comètes se désintègrent trop rapidement
Selon la théorie de l’évolution, les comètes sont supposées être aussi vieilles que le système solaire, c’est-à-dire environ 5 milliards d’années. Soulignons que chaque fois qu’une comète s’approche du soleil, elle perd une si grande quantité de sa matière qu’elle disparaîtrait au bout d’environ 100 000 ans. Beaucoup de comètes ont l’âge typique de 10 000 ans3. Les évolutionnistes expliquent cette incohérence en supposant que:
Les comètes proviennent d’un » nuage d’Oort » jamais observé, loin derrière l’orbite de Pluton, à l’abri de la destruction solaire. Jusqu’à maintenant, aucune de ces suppositions n’a été démontrée ni par observation, ni par des calculs réalistes.
3. Les continents terrestres s’érodent trop rapidement
Chaque année l’eau et le vent provoquent l’érosion d’environ 25 milliards de tonnes de poussière et de roche des continents et les déposent au fond de l’océan5. À ce rythme, il suffirait de 15 millions d’années pour éroder toute la terre située au-dessus du niveau de la mer. Ainsi la plupart de la surface terrestre aurait été ensevelie sous les mers depuis quelque 100 millions d’années. Les théories concernant l’élévation des continents à mesure qu’ils deviennent plus légers (puisque érodés) sont inadéquates pour expliquer toutes ces divergences.
4. Trop peu de sédiments dans le lit marin
Les plus récentes théories géologiques (celles des plaques tectoniques) soutiennent que le sol océanique est âgé de 200 millions d’années. Au rythme actuel de sédimentation des continents, le lit marin devrait être recouvert de plusieurs kilomètres de sédiments. Présentement, ce sol présente en moyenne environ 250 mètres (800 pieds) de sédiments6.
Ceci implique que le sol marin n’existe que depuis 15 millions d’années tout au plus. Certains évolutionnistes argumenteraient que les théories de subduction (de larges régions du sol océanique se seraient ensevelies dans la terre) pourraient résoudre ce problème. Cependant, en considérant les 200 millions d’années mentionnées plus haut, on obtient un rythme de subduction si lent qu’il n’aurait pu disposer de plus de 10% des sédiments nouvellement formés, ceci est beaucoup trop peu pour compenser ces différences. De plus, il existe de grandes surfaces de sol marin (p. ex. la mer Tasman, près de l’Australie) qui ne peuvent faire partie de ces » zones de subduction « . Pour ces raisons, I’argumentation selon laquelle le lit marin serait jeune semble valable.
5. L’océan accumule le sodium trop rapidement
Tous les ans, les rivières7 et les autres cours d’eau8 jettent plus de 450 millions de tonnes de sodium dans l’océan. Seulement 27% de cette quantité de sodium peut ressortir de la mer chaque année8,9 À ce qu’on sache, le reste s’accumule simplement dans l’océan.
S’il n’y avait aucune trace de sodium au départ, il aurait suffi de moins de 42 millions d’années pour accumuler la quantité actuelle de sodium, aux taux actuels d’absorption et d’émission8C’est beaucoup moins que l’âge de l’océan avancé par la théorie évolutionniste (soit 3 milliards d’années).
La réplique habituelle est que par le passé les quantités de sodium introduites dans l’océan étaient moindres qu’à l’heure actuelle et que les quantités évacuées etaient plus importantes. Toutefois, les calculs les plus généreux permettent aux scénarios évolutionnistes d’atteindre, tout au plus, un âge maximal de 62 millions d’années9. Des calculs10 concernant plusieurs autres éléments chimiques présents dans l’eau de mer donnent aux océans un âge beaucoup moins avancé.
6. Le champ magnétique terrestre décroît trop rapidement.
L’énergie emmagasinée dans le champ magnétique terrestre a diminué constamment d’un facteur de 2,7 depuis plus de 1000 ans11. Les théories évolutionnistes expliquant cette diminution rapide, ainsi que la façon dont la Terre aurait maintenu son champ magnétique pendant des milliards d’années », sont très complexes et inadéquates.
Une bien meilleure théorie créationniste existe. Elle est simple, basée sur la physique du son et elle explique plusieurs caractéristiques du champ : sa création, un renversement rapide durant le déluge de la Genèse, des fluctuations d’intensité jusqu’au temps de la venue de Christ et un rythme de décroissance constant depuis ce temps jusqu’a maintenant.
Cette théorie s’accorde avec les données paléomagnétiques historiques et actuelles13. Le résultat principal est que l’énergie du champ (et non l’intensité locale) a toujours diminué au moins aussi rapidement que maintenant. À ce rythme le champ ne peut être âgé de plus de 10 000 ans14.
7. Sur plusieurs couches, les fossiles s’étalent sur trop de strates
Les fossiles » poly strates « , qui pénètrent plusieurs strates géologiques, sont décrits dans la documentation géologique approuvée. Par exemple, aux Joggins en Nouvelle-Écosse, plusieurs fossiles d’arbres encore debout sont éparpillés dans 760 mètres (2500 pieds) d’horizons géologiques15. Ces arbres ont été enfouis sous terre avant même de pourrir. Ceci implique qu’ils ont été engloutis tout entiers en quelques années, tout au plus16. Mais voilà que la théorie évolutionniste soutient que les strates superficielles se sont déposées sur les strates internes après des millions d’années.
8. Trop d’hélium dans les roches chaudes
Une étude publiée dans Geophysical Research Letters démontre que l’hélium produit par la désintégration radioactive dans les roches chaudes et profondes n’a pas eu le temps de s’échapper. Bien que ces roches soient supposées être âgées de milliards d’années, l’hélium qu’elles contiennent suggère un âge inférieur à des millions d’années24.
9. L’agriculture est trop récente
Le portrait évolutionniste habituel présente l’homme comme ayant chassé et cueilli sa subsistance pendant 100 000 ans durant l’âge de pierre avant de découvrir l’agriculture, il y a moins de 10 000 ans25. Les preuves archéologiques démontrent que l’homme de pierre etait aussi intelligent que nous. II semblerait que l’homme vécut sans agriculture pendant moins de quelques centaines d’années, et il est même raisonnable de croire que l’homme ait depuis toujours connu l’agriculture26.
Bibliographie
1. Scheffer, H. and H. Elsasser, Physics of the Galaxy and an Iterstellar Matter, Springer-Verlag, Berlin, 1987, pp. 352,353, 401-413. 2. Slusher, H.S., The Age of the Cosmos, Technical Monograph No. 9, Institute for Creation Research, El Cajon, CA. 1980, pp. 15,16. 3. Steidl, P.F., » Planets, comets, and asteroids « , in Design and Origins in Astronomy, G. Mulfinger, ed., Creation Research Society Books, Norcross, GA, 1983, pp. 73-106. 4. Whipple, F.L., » Background of modern comet theory « , Nature, Vol. 263, Sept. 2,1976, p. 15. 5. Gordeyev, V.V. et al., » The average chemical composition of suspensions in the world’s rivers and the supply of sediments to the ocean by streams « , Dockl. Akad. Nauk. SSSR, Vol. 238, 1980, p. 150 6. Austin, S.A., priv. communication, Institute for Creation Research, El Cajon, CA, July 7, 1988. 7. Maybeck, M., » Concentrations des eaux fluviales en éléments majeurs et apports en solution aux océans « , Rev. de Geol. Dyn. Geogr. Phys., Vol. 21, 1979, p. 215. 8. Austin, S.A. and D. R. Humphreys, » The sea’s missing salt: a dilemma for evolutionists « , Proceedings of the Second Intemational Conference on Creationism, Vol. 2, Creation Science Fellowship, Pittsburg, PA, 1991, in press. 9. Sayles, F.L. and P.C. Mangelsdorf, » Cation-exchange characteristics of Amazon River suspended sediment and its reaction in seawater « , Geochimica et Cosmochimica Acta. Vol. 41., 1979, p. 767. 10. Austin, S.A., » Evolution : the oceans say no! « , ICR Impact, No. 8, Institute for Creation Research, El Cajon, CA, October 1973. 11. Merill, R.T. and M.W. McElhinney, The Earth’s Magnetic Field, Academic Press, London, 1983, pp. 101-106. 12. Humphreys. D.R., » Reversals of the earth’s magnetic field during the Genesis flood « , Proceedings of the First International Conference on Creationism, Vol. 2, Creation Science Fellowship, Pittsburg, PA, 1987, pp. 113-126. 13. Coe, R.S. and M . Prévot, » Evidence suggesting extremely rapid field variation during a geomagnetic reversal, Earth and Planetary Science Letters, Vol 92, April 1989, pp. 292-298. 14. Humphreys, D.R., » Physical mechanisms for reversals of the earth’s magnetic field during the flood « , Proceedings of the Second Intemational Conference on Creationism, Vol. 2, Creation Science Fellowship, Pittsburg, PA, 1991. 15. Dunbar, C.O., Historical Geology, 2nd ed., Wiley, New York, 1960, p. 227. 16. Rupke, N .A., » Prolegomena to a study of cataclysmal sedimentation », in Why not Creation?, W.E. Lammers, ed., Creation Research Society, Norcross, GA, 1970. pp. 152-158. 20. Gentry, R.V. et al » Radiohalos in coalified wood : new evidence relating to time of uranium introduction and coalification « , Science, Vol. 194, October 15, 1976, pp. 315-318. 21. Gentry, R.V., » Radiohalos in a radiochronological and cosmological perspective « , ScienceVol. 184, April 5, 1974, pp. 62-66. 22. Gentry, R.V., Creation’s Tiny Mystery, Earth Science Associates, Knoxville, TN, 1986, pp. 23-37, 51-59, 61,62. 24. Gentry, R.V et al, » Differential helium retention in zircons : implications for nuclear waste management « , Geophys. Res. Lett., Vol. 9, October 1982, pp. 1129-1130. 25. Deevey, E.S., » The human population « , Scientific American, Vol. 203, September1960, pp. 194-204. 26. Dritt, J.O., » Man’s earliest beginnings : discrepancies in the evolutionary timetable « , Proceeding’s of the Second International Conference on Creationism, Vol. 1, Creation Science Fellowship, Pittsburgh, PA, 1991, pp. 73-78.
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