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27/04/2018

Le premier ennemi de Voltaire et de la philosophie des lumiéres un pasteur puis évêque luthérien

 

 

Herder 1.jpg

 

 

Johann Gottfried von Herder

 

 

 

 

 

 

 

Données clés:

 

 

 

 

Naissance

25 août 1744
Mohrungen

Décès

18 décembre 1803 (à 59 ans)
Weimar

Nationalité

 Royaume de Prusse

École/tradition

Nationalisme romantique

Idées remarquables

Volksgeist

A influencé

Sturm und Drangphilologieanthropologie culturelle

 

 

Éléments biographiques:

 

 

 

Johann Gottfried von Herder, né le 25 août 1744 à Mohrungen et mort le 18 décembre 1803 à Weimar, est un poète,théologien et philosophe allemand.

 

 

 

 

Formé à l’Albertina de Kœnigsberg, Herder fut de 1771 à 1776 au service du prince de Schaumbourg-Lippe avant de s'établir à Weimar.

 

 

 

Sa pensée:

 

 

 

Herder a notamment formulé une vive critique des lumières, des thèses des philosophes des Lumières sur le sens de l'Histoire. Considéré parCharles Taylor (The importance of Herder) comme un des pères fondateurs du relativisme culturel, il a remis en cause l'idée de supériorité de nature de la civilisation européenne, tandis que Sternhell demande, à l'opposé : « où réside la signification historique de Herder, sinon dans sa contribution à la poussée du nationalisme? ». Ce penseur fut également un mentor du jeune Goethe qu'il influença peut-être dans ses premières œuvres (Les Souffrances du jeune Werther, 1774).

 

 

 

Selon Herder, on ne saurait penser l'histoire à l'aide de la catégorie de progrès. Chaque culture doit être considérée comme sa propre finalité. Quant à la finalité de l'ensemble du monde humain, elle est insaisissable à l'esprit humain.

 

 

 

En ce qui concerne l'origine du langage, Herder défend l'idée que ce n'est pas Dieu qui en fit don à l'homme – s'opposant en cela àSüssmilch –, mais que c'est l'homme qui l'inventa (« Diese Besonnenheit ist ihm charakteristisch eigen und seiner Gattung wesentlich: so auch Sprache und eigne Erfindung der Sprache. »), ou, plus profondément, qu'il se confond avec sa nature. L'homme est fait pour contempler le monde. Il en sépare un objet donné, par exemple le mouton. Il exprime alors dans le médium sonore le caractère le plus frappant de cet étant. Tu es celui qui bêle ! Contrairement à la vue, trop riche, et au toucher, trop pauvre, le son allie la clarté et la richesse des déterminations. Il peut donc dire le monde.

 

 

 

Notons néanmoins que le spécialiste américain de Herder, Michael Forster estime que ce discours sur l'origine de la langue donne une image fausse de la pensée linguistique de Herder. Héritier de Leibniz et de Wolf, Herder serait le véritable fondateur de la tradition allemande de la philosophie du langage, dont les représentants les plus connus sont SchleiermacherHumboldt et Hegel. La philosophie du langage de Herder, qui se prolonge en herméneutique et en traductologie, est fondée sur trois thèses essentielles. La première veut que nous ne pensions que dans la mesure où nous parlons. C'est un principe expressiviste, comme le dit Charles Taylor. La deuxième assimile, avant Wittgenstein, la signification et l'usage du mot. Enfin la troisième rattache étroitement le sens du mot et les sensations et affects du locuteur. Le mot n'est pas qu'un concept logique, il est tout autant le résumé audible d'un état d'âme. On ne saurait d'ailleurs distinguer absolument le contenu logique du contenu affectif de la signification.

 

 

 

Herder a eu une profonde influence sur l'anthropologie, la géographie, la philosophie de l'histoire et la pensée du langage de Wilhelm von Humboldt. Il est notamment l'initiateur du mouvement littéraire romantique Sturm und Drang (Orage et tempête).

 

 

 

Il fut reçu franc-maçon à l'âge de 22 ans, lors de son séjour à Riga (1765-66), dans la loge de la Stricte Observance Zum Schwerdt (A l'Epée), fondée en 1750 (qui eut pour premier titre Zum Nordstern (A l'Etoile du Nord)). Il y exerça l'office de secrétaire. Son influence fut prépondérante au sein de l'Ordre allemand, au même titre que Goethe et Wieland

 

 

Le 1er juillet 1783, sous le nom de « Damasus Pontifex », Herder fut également initié, à Weimar, en qualité de doyen de la loge illuministeprésidée par son frère en maçonnerie Bode ; quatre mois après, Goethe l'y rejoignit.

 

 

 

Notes:

 

 

1.       Zeev Sternhell, Les Anti-Lumières du XVIIIe siècle à la Guerre froide, Gallimard, Paris, 2010, p. 369.

2.       After Herder, Presses Universitaires de Oxford, 2010

3.       Cf. Joseph Gabriel Findel, Histoire de la Franc-Maçonnerie depuis l'origine jusqu'à nos jours, A. Lacroix, Verboeckhoven et Cie, 1866,p. 192-193.

 

 

Œuvres principales:

 

 

·         Fragments sur la littérature allemande moderne (1767)

·         Sylves critiques (1769)

·         Traité sur l'origine des langues (1771) (nouvelle trad. Lionel Duvoy, Paris, Allia, 2010)

·         Une nouvelle philosophie de l'histoire (1774)

·         Le Plus Ancien Document sur l’histoire du genre humain (1774)

·         Voix des peuples, poésies populaires (1778-1779 et 1807)

·         Esprit de la poésie hébraïque (1782-1784)

·         Idées pour une philosophie de l’histoire de l’humanité (1784-1791), trad. Edgar Quinet, introduction, notes et dossier par Marc Crépon, Paris, Presses-Pocket, Agora, 1991.

·         Lettres pour l'avancement de l'humanité (1793-1797) (Traduction inédite de deux textes importants, tirés de l' Adrastea et des Lettres pour l'avancement de l'Humanité, consacrés à la franc-maçonnerie et à Benjamin Franklin, parus aux éditions Grammata)

·         Écrits chrétiens (1796-1799)

·         Entendement et expérience : une métacritique de la critique de la raison pure (1799)

·         Kalligone (contre la critique du jugement de Kant) (1800)

·         Le Cid (1802)

 

 

Bibliographie:

 

 

 

·         Les Écrivains célèbres, t. III, le XIXe et XXe siècles, Éditions d’art Lucien Mazenod

·         Herder et les Lumières - L'Europe de la pluralité culturelle et linguistique, collectif par Norbert Waszek et Pierre Pénisson, Revue Germanique Internationale, no 20, PUF, Paris, 2003, 207 p. (ISBN 2-13-053370-1 et 978-2130533702)

 

·         Isaiah BerlinÀ contre-courant. Essais sur l'histoire des idées, Paris, Albin Michel, 1988.

 

·         Antoine BermanL'épreuve de l'étranger. Culture et traduction dans l'Allemagne romantique: Herder, Goethe, Schlegel, Novalis, Humboldt, Schleiermacher, Hölderlin., Paris, Gallimard, Essais, 1984. ISBN 978-2070700769

 

·         Zeev SternhellLes Anti-Lumières : Une tradition du XVIIIe siècle à la Guerre froide, Fayard, « L'espace du politique », 2006; Gallimard, « Folio Histoire », (édition revue et augmentée), 2010

 

·         Michael N Forster, After Herder, Oxford, 2010.

 

 

 

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09:15 Publié dans Culture | Lien permanent | Commentaires (0)

24/04/2018

Vous rigolez des homos et des travestis en privé :

 

 

 

 

 

 Avec Macron, ce sera la taule !

 

 


 
 
 

 

 

 

 

Vient d’être publié au Journal Officiel, le “Décret n° 2017-1230 du 3 août 2017 relatif aux provocations, diffamations et injures non publiques présentant un caractère raciste ou discriminatoire”.

 

 

 

Selon le gouvernement, ce décret «améliore la lutte contre les manifestations de racisme, de sexisme et d’homophobie pouvant se produire dans des lieux non publics, comme au sein des entreprises ou des établissements scolaires. Il renforce à cette fin la répression des contraventions de provocation, diffamation et injure non publiques à caractère raciste, sexiste, homophobe ou handiphobe» et «élargit ces infractions aux cas où elles sont commises en raison de l’identité de genre de la victime, afin de mieux lutter contre la transphobie, et il substitue à la notion de race, qui n’est pas applicable aux êtres humains, celle de “prétendue race” comme cela a été fait dans les dispositions législatives du code pénal par la loi du 27 janvier 2017».

 

 

 

 

Ainsi, plutôt que de protéger les citoyens français des attaques quasi quotidiennes de la part d’“Allahouakbars” armés de couteaux ou au volant de fourgon fonçant sur la foule, plutôt que d’enrayer le déferlement migratoire sans précédent de clandos qui se métastasent plus vite qu’un cancer foudroyant, la priorité de ce gouvernement édouard-philippard présidé par le petit Cron est de punir la parole privée, celle de ceux qui pensent qu’il y a des races, que la religion musulmane est une religion de guerre, de haine et d’intolérance, qu’il y a des hommes et des femmes et pas de troisième genre .

 

 

 

 

Les raisons de ce choix sont essentiellement idéologiques: l’ultra libéralisme a besoin des clandestins et du communautarisme pour régner.

 

 

 

 

Nous voilà donc interdits de nous exprimer sur Conchita Saucisse (Wurtz, en allemand),

 

 

 

 

 

 

 

 

 

sur le look de quelques individus qui déambulent dans nos rues,

 

 

 

 

 

 

 

sur l’existence de races humaines…

 

 

 

 

 

 

 

Evidemment, le but est taper sur la France périphérique, de congeler définitivement la liberté de penser et de s’exprimer chez les Français de souche, de faire disparaître la lucidité des citoyens, de punir l’esprit critique face à un monde que les prétendues élites sont en train d’édifier contre nous.

 

 

 

 

La bien-pensance appelle systématiquement racistes ceux qui constatent la malchance qu’est, pour leur pays, l’arrivée des hordes barbares, le ramollissement cérébral provoqué par la mainmise de la théorie du genre sur notre quotidien (particulièrement dans l’éducation).

 

 

 

Pour anéantir ces perturbateurs “endoctriniens”, elle envoie maintenant sa police de la pensée et ses petits juges “mur des cons” dans ce qu’elle nomme le «domaine non public», autrement dit, les conversations privées.

 

 

 

Ce gouvernement de peigne-culs devrait demander bientôt l’installation de micros et de caméras dans les murs des habitations en attendant la mise au point d’implants crâniens détecteurs de phobies.

 

 

 

Les associations liberticides (LDH, Licra et compagnie) vont envoyer toujours plus de Français devant les tribunaux pour se faire tranquillement du fric.

 

 

 

Bientôt l’Allemagne de l’Est, l’URSS, la Chine de Mao, paraîtront des paradis déchus de la liberté d’expression par rapport à la France macroniste.

 

 

 

A quand  Le Grand Remplacement de Renaud Camus, Le terrorisme intellectuel de Jean Sévilla, Le suicide français d’Eric Zemmour, Le Camp des Saints de Jean Raspail, A contre Coran de Jack-Alain Léger, Le choc des civilisations de Samuel Huntington, La rage et l’orgueil d’Origan Fallaci et tant d’autres, brûlés en place publique sous le doux regard d’Edouard Philippe ?

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Marcus Graven

 

 

09:18 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

20/04/2018

Christianisme contre capitalisme ? : L'économie selon Jésus-Christ:

 

 

 

 

 

 

 

de Falk van Gaver

 

 

Le propos est littéralement décapant

 

 

 

 

 

 

 
 
 
 
 
 
 
Docteur en droit, journaliste et essayiste
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Il est dit et proféré beaucoup de choses à l’encontre du christianisme – et, d’une manière générale, vis-à-vis des trois religions monothéistes – convaincu, notamment, d’avoir permis l’arraisonnement de la Terre par l’homme. L’accusation porte même tellement loin qu’elle rend même le christianisme coupable de toutes les turpitudes écologiques, à commencer par les dérèglements migratoires causés par les transferts volontaires massifs de populations du Sud vers le Nord. Que l’on nous permette, à l’occasion de cette chronique, de battre en brèche ces sombres préjugés qui traduisent, bien souvent, une méconnaissance fondamentale de la Bible.

 

 

 

 

Pour ce faire, nous nous appuierons sur un récent et stimulant petit essai interrogeant la relation du christianisme avec le capitalisme et sous-titré L’économie selon Jésus-Christ ». Son auteur, Falk van Gaver, jeune écrivain à la déjà impressionnante bibliographie – on lui doit, notamment, outre ses récits de voyages, un très instructif AnarChrist ! Histoire de l’anarchisme chrétien –, nous livre, ici, une réflexion percutante et corrosive sur notre rapport – en tant que chrétien – au marché. Véritable éloge de la simplicité volontaire, l’opus plaide, tout à la fois, pour une décroissance inconditionnelle et totale – en ce qu’il invite à décoloniser tant le corps que l’âme de toute tentation fétichiste de la marchandise – comme pour une impérieuse et salvatrice écologie intégrale qui se veut radicalement révolutionnaire.

 

 

 

 

Assurément, le propos est littéralement décapant. L’auteur, sur les traces du saint martyr Óscar Arnulfo Romero, en appelle à renouer avec une authentique théologie de la libération, « un courant méconnu et incompris en Europe, vu longtemps à travers le prisme déformant de la guerre froide et du communisme marxiste-léniniste ». Le message est simple, quoique éminemment exigeant et ne souffrant aucun accommodement ou petits arrangements dont nous sommes tous coutumiers : « Suivre pauvre le Christ pauvre, suivre nu le Christ nu » car, « pour le théologien de la libération, il ne s’agit pas moins que de prendre au sérieux l’Évangile annoncé aux pauvres – et non pas l’Évangile qui plaît à la bourgeoisie ».

 

 

 

 

Puisant aux meilleures sources – quand bien même elles ne seraient pas toutes explicitement citées, mais l’auteur a prouvé par ses écrits antérieurs qu’il était remarquablement inspiré –, de Bloy à Ellul, en passant par Thoreau, Proudhon, Péguy, Simone Weil ou Gustave Thibon, sans oublier l’Évangile ou les encycliques pontificales, l’auteur en appelle à un eudémonisme de la liberté : « Le bonheur est dans la liberté, autosuffisance qui passe par l’autolimitation. Se contenter, c’est être libre et content. » Point de cilice ou de propitiatoires flagellations, mais une ode à la joie de la Création.

 

 

 

 

 

Fustigeant « les faux amis de l’écologie chrétienne », l’essayiste en tient résolument pour une écologie chrétienne qui rompt inexorablement ses liens avec le capital apatride et mondialisé et, d’une manière générale – car tout ce qui gravite autour de lui est intrinsèquement lié –, avec tout ce qui concourt à déshumaniser l’homme en le rendant étranger à lui-même et au monde. Cette écologie de la profondeur humaine se veut, dans le même temps, une écologie de l’élévation de l’homme à sa plus complète dignité.

 

 

 

 

 

 

Foin de tout clivage artificiel entre une pseudo-droite, une pseudo-gauche et un non moins pseudo-« parti écologiste », « il s’agit véritablement pour les catholiques de se convertir à l’écologie, mais également de convertir l’écologie ». Sur ce point, Falk van Gaver rappelle opportunément l’impératif de cohérence.

 

 

 

 

 

 

Tout écologiste – a fortiori chrétien, cela va sans dire – ne peut vouloir, dans un relativisme complaisant, et l’avortement de masse et l’immigration du même tabac. Si cette dernière s’apparente, comme aux funestes temps de l’Union soviétique, à de monstrueux et dramatiques transferts de populations déracinées – la volonté tient une part subsidiaire quand on s’exile de son pays –, le premier est « un véritable eugénisme d’État, digne d’Aktion T4, le programme national-socialiste d’euthanasie des handicapés ». Imparable.

 

 

 

 

 
 
 
 
 
 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

09:12 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

17/04/2018

Aux coptes:

 

 

 

 

 

 Les chrétiens d’Occident disent merci !

 

 

 

 

 
 
 
 
 
Ecrivain, journaliste
Son blog 
 
 
 
 
 
 

 Près d’une trentaine de coptes ont été assassinés par des islamistes. Nous autres, chrétiens occidentaux, voudrions bien les aider. Nous dégainons aussi sec notre carnet de chèques, d’abord parce que c’est la façon avec laquelle nous pensons pouvoir régler tout problème, ensuite parce qu’il faut bien dire : ils en ont cruellement besoin.

 

 

Mais qui aide le plus l’autre ? Qui devrait dire merci ? Les coptes nous secouent les puces, nous bottent le train, nous tapent sur l’épaule : Eh, vous vous êtes vus quand vous avez tout perdu ?

 

 

« Ils ont été tués parce qu’ils n’ont pas voulu renier leur foi », a-t-on pu lire, phrase anachronique s’il en est, dans les journaux. C’est encore possible, ça ? Ce genre de scénario existe ailleurs que dans Ben-Hur et Quo Vadis ? Il aurait suffi, peut-être, de quelques mots pour sauver leur peau et ils ont répondu, dans leur langue à eux, non possumus, comme disaient les premiers martyrs dans l’arène romaine ?

 

 

 

Forts de leur exemple, nous ne pouvons plus, nous non plus. Non possumus continuer à ranger distraitement notre religion dans la case art de vivre et développement personnel – entre le yoga et la pensée positive – avec un gentil curé en guise de coach.

 

 

Non possumus laisser le coq chanter à se faire une extinction de voix dans nos activités professionnelles, politiques, amicales, alors que seule notre réputation risque de se faire flinguer.

 

 

Non possumus transmettre à nos enfants un non-catéchisme, dont l’alpha est le vivre ensemble et l’oméga la charte de Nicolas Hulot, parce que les mystères de l’Incarnation, de la Rédemption, de la Sainte-Trinité, trop vintage et abstrus, ont été mis au rebut, et que 2.000 ans de théologie ont été définitivement résumés en chanson par le prophète Michel Polnareff : « On ira tous au paradis. »

 

 

 

Non possumus les laisser confondre, dans une tentation de dialogue interreligieux irénique, charité et relativisme, vérité et syncrétisme. Parce que si toutes les religions se valent, ou presque, c’était un peu ballot, n’est-ce pas, de la part des coptes, de mourir pour si peu !

 

 

Ce n’est quand même pas l’épitaphe que les chrétiens d’Occident souhaitent offrir aux coptes ? Alors réformons-nous.

 

 
 
 
 
 

 

 

 

 

13/04/2018

J’ ai été étudiant du CET (depuis fermé) :

 

 

 

 

 

 

 

 

CENTRE d’ÉTUDES THÉOLOGIQUES

  

rue Jules Barbier

   

92290 Chatenay-Malabry

 

  

 

Le Centre d’Etudes Théologiques de l’Eglise Evangélique Luthérienne-

Synode de France et de Belgique prépare au ministère pastoral, par une formation théologique de quatre ans, les titulaires du baccalauréat ou d'un équivalent.

 

 

 

L'enseignement dispensé comprend l'étude des langues anciennes (grec, hébreux, latin) et les principales disciplines théologiques : théologique systématique, introduction à l’Ecriture Sainte, herméneutique, exégèse de l'Ancien et du Nouveau Testament, symbolique, homélitique, théologie pastorale, histoire de l’Eglise, à quoi s’ajoute une introduction à la psychologie appliquée.

 

 

 

Cet enseignement a pour fondement l’affirmation de l’inspiration plénière, de l'infaillibilité et de l'autorité des livres canoniques de l’Ecriture Sainte et renonce à l'utilisation de toute méthode d'investigation critique de la Bible mettant en cause son origine divine et donc la valeur permanente de son contenu. Il veut rester fidèlement attaché aux grandes vérités doctrinales redécouvertes par la Réforme luthérienne. Il accueille, dans la limite des possibilités, tout étudiant qui partage cette conviction doctrinale.

 

 

 

 

 

 

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