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13/01/2015

Reconnaître la responsabilité de l’islam:

 

 

 

 C’est donner raison à Zemmour…

 

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Inutile de revenir sur les faits qui sont connus de tous.

 

 

Derrière toutes les belles paroles dégoulinantes de politiquement correct et répétées inlassablement par les journalistes, politiques, intellectuels, artistes… du genre « c’est la liberté d’expression qui est visée… » ou « La république marque sa solidarité… », force est de constater qu’une fois encore nos « élites » se trompent de combat.

 

Les islamistes ne cherchaient pas à porter atteinte à Charlie Hebdoen tant que tel, mais à la France à travers ce journal.

 

Ce n’était pas la liberté d’expression qui était visée en tant que telle, mais toutes les valeurs occidentales, gréco-latine et judéo-chrétienne portées par notre pays.

 

 

Jean-Michel Ribes, le directeur du théâtre du Rond-point à Paris, l’un des papes de l’élite bien-pensante du milieu artistique français, déclarait quelques heures après ce drame sur une radio publique que c’est la liberté d’expression qui est visée et en danger du fait de tous les intégrismes. Et il insiste bien sur le fait que tous les intégrismes sont concernés. On sent dans son propos qu’il a très envie de viser tout ce qu’il exècre : le Front national, les réac de la Manif pour tous, Zemmour… Mais il ne peut pas car, de toute évidence, il se ridiculiserait. Alors il hésite et finalement revient au seul domaine religieux. Mais attention… il ne faut pas stigmatiser les musulmans ! Alors il noie le poisson en parlant aussi des intégristes catholiques !

Trop fort ! Sans jamais citer l’islam et les musulmans dont se revendiquent pourtant les terroristes de Paris après Toulouse, Bruxelles, Joué-lès-Tours… il arrive à glisser dans son indignation ce qui est l’un des fondements essentiels du combat de toute sa vie – l’anticléricalisme – comme pour se rassurer : non, à 68 ans, il ne s’est pas trompé de combat ! Je m’interroge donc : où voit-il sur terre des catholiques, même intégristes, couper des têtes, crucifier des hommes, violer des femmes, tuer des enfants juifs, tirer au lance-roquette dans un journal ?

 

En réalité, cet individu est à l’image des « élites » françaises qui refusent de voir les réalités : une guerre de civilisation a été engagée par une partie de l’islam contre l’occident et nous voyons les prémices d’une nouvelle forme de guerre civile en France. Mais chhuutt… il ne faut pas le dire. Car le reconnaître, c’est avouer s’être trompé d’adversaire et de combat pendant si longtemps, c’est admettre que l’immigration massive de populations musulmanes n’est pas forcément la richesse qu’on nous vante, c’est reconnaître que, depuis la première affaire du foulard islamique à Creil en 1989, ils ont été naïfs et complices de l’émergence de la situation actuelle.

 

Et c’est donner raison à Zemmour ! Impensable. Donc… ils continuent à faire l’autruche.

 

 

 

09/01/2015

« Il n’existe pas de différence importante entre un modéré et un extrémiste »

 

 

 

 

 

La citation est issue d’une tribune publiée par Le Salon Beige, récemment livrée par Courrier International qui l’a reprenait du journal Al Hayat, basé à Londres…

 

 

L’auteur, Yassin al-Haj Saleh, est un Syrien originaire de la ville de Raqqa, aujourd’hui aux mains de l’Etat Islamique, grand opposant au gouvernement Syrien, très favorable aux premières heures de la révolution syrienne et grand adepte du communisme. Aujourd’hui recherché par le gouvernement autant que par les islamistes il se terre quelque part en Syrie… Malgré ce profil assez atypique sur ce site, l’homme livre une réflexion intéressante à propos de la distinction effectuée (presque) uniquement en Occident entre « musulmans modérés » et « islamistes ».

 

 

Bien loin du discours en vogue chez nos « élites » qui ne cessent de se prendre pour des exégètes de l’islam sans que personne ne leur demande, le texte est très clair : si la condamnation intellectuelle de l’Etat Islamique est très faible par les musulmans c’est qu’elle est très difficile à faire pour eux. Et ce pour plusieurs raisons.

 

 

 

 

Voici le texte, qui au delà d’une analyse politique de l’islam est une tribune expliquant l’incompatibilité évidente entre l’Islam et notre civilisation européenne…

 

 

_________________

Il y a des islamistes qui s’opposent à Daech [l’Etat islamique]. Il y a même des islamistes, y compris salafistes, qui ont engagé le combat armé contre lui. Mais sur le front des idées ce combat reste étonnamment atone.

 


Cela amène à se demander pourquoi les musulmans ne s’insurgent pas pour défendre leur religion, cette religion qui sert aujourd’hui à désigner des pratiques qui sont les plus criminelles de l’histoire de l’humanité. Pourquoi sont-ils incapables de dire clairement que ce n’est pas l’islam ?

 

 

 

L’explication réside dans le fait qu’au niveau intellectuel il n’existe pas de différence importante entre un modéré et un extrémiste. Tous aspirent à établir durablement le règne de l’islam, dans des pays qu’ils ne voient que sous l’angle de leur [seule] identité islamique.

 

 

Le sens d’un tel règne de l’islam consiste en quelque sorte à rétablir un ordre qui aurait été dévoyé par les complots des colonisateurs et consorts. Les Etats-nations et toute notre histoire contemporaine sont considérés comme des phénomènes passagers, puisque notre vraie nature profonde résiderait dans une invariable islamique qui remonte [à la naissance de l’islam].

(…) Sur tous ces points, il n’y a pas de distinction réelle entre modérés et extrémistes. Il y a seulement ceux qui sont extrémistes (Frères musulmans), d’autres qui sont très extrémistes (les salafistes du Front islamique), d’autres qui sont encore plus extrémistes (Front Al-Nosra), et finalement ceux qui sont excessivement extrémistes (Daech). Il y a certes des islamistes qui sont modérés, mais ils sont dépourvus des bases intellectuelles qui leur permettraient d’affirmer la légitimité de leurs positions.

 

 

Pour être précis, les islamistes partagent quatre idées :

 

 

1) Le refus de séparer clairement la religion de la violence et de dire que la violence au nom de l’islam est illégitime. Par conséquent, personne parmi eux n’accepte entièrement la liberté religieuse, la liberté de changer de religion ou de ne pas en avoir. Sur ce point, il n’y a pas de rupture entre les “modérés” et Daech.

 


Les “modérés” sont incohérents quand ils s’opposent à la violence débridée de Daech sans s’opposer à la substantialité du lien entre la religion et la violence, ni à “l’application de la charia”, ni au projet de contrôler à la fois l’Etat et la société, à l’instar des organisations totalitaires.

 

 

2) L’imaginaire de l’empire. Cet imaginaire tourne autour de conquêtes, d’invasions et de gloire militaire. C’est un imaginaire de puissance et de domination, de héros et de sultans qui laisse peu de place aux aspects de la vie quotidienne, aux gens ordinaires et aux femmes. On n’a jamais procédé à une révision de l’Histoire pour dire que ces conquêtes islamiques s’expliquent par des contingences historiques, sans lien intrinsèque avec la religion.

 

 

3) Le mépris de l’Etat-nation. Ce qui compte aux yeux de tous les islamistes est la nation islamique [umma]. Les islamistes dissolvent les Etats existants dans l’umma, alors que ces Etats représentent l’intérêt général depuis plus d’un siècle et que l’umma a duré moins longtemps qu’eux. Est-ce que les islamistes “modérés” – les Frères musulmans syriens, par exemple – ont critiqué cet apatriotisme ? Pas un mot ! Pourquoi ? Parce qu’ils le partagent.

 

 

4) L’“application de la charia” est un autre point commun, qui s’ajoute à la coercition, à l’imaginaire de l’empire et au mépris pour l’Etat-nation. En l’absence de bases intellectuelles solides pour s’opposer aux extrémistes, les jeunes musulmans ont l’impression que c’est Daech et consorts qui représentent leur religion, et non pas les modérés inconsistants.

 

 

06/01/2015

Nations Unies :

 

 

L’ambassadeur Yakovenko dans son bureau de Londres : un détail qui ne  

trompe pas…

 

 

 initiative russe pour les chrétiens d’Orient

 

La Russie étudie « la possibilité de soumettre au Conseil pour les droits fondamentaux des Nations unies – organisme des Nations Unies ayant son siège à Genève – une résolution visant à solliciter des mesures internationales de protection au profit des communautés chrétiennes du Proche-Orient et d’Afrique du nord » sachant que « des experts russes travaillent d’ores et déjà au texte de ce document ». L’initiative en préparation de la part de la Russie a été révélée par le diplomate russe Alexander Yakovenko, actuel ambassadeur de Russie au Royaume-Uni qui avait été, jusqu’en 2011, vice-ministre des Affaires étrangères de la Fédération de Russie. Dans une intervention publiée sur le site Internet de la chaîne russe en langue anglaise RT.com, le diplomate – connu pour son action dans le cadre des organisations internationales multilatérales et dans le domaine de la coopération humanitaire – indique également qu’au prochain Conseil des ministres de l’Organisation pour la Sécurité et la Coopération en Europe, prévue pour les 4 et 5 février prochains à Bâle, la délégation russe demandera à ce que soient étudiées des mesures visant à soutenir et à secourir les chrétiens au Proche-Orient, dans la situation difficile qu’ils traversent en de nombreuses zones de la région, sollicitant en ce sens une implication plus ferme surtout de la part des pays d’Europe.

 

 

Source : Agence Fides

09:58 Publié dans Spirituel | Lien permanent | Commentaires (0)

02/01/2015

MAIS OU MENENT-ILS NOS ENFANTS ?

 

Depuis plus de quarante ans, les politiques de l’enseignement et les politiques urbaines, qui sont en amont et en aval de l’épine dorsale de nos sociétés, sont inspirées par des idéologies fumeuses et utopiques.
 
 

Des apprentis sorciers, souvent sans visages et sans noms, substituent à la saine analyse historique, à la nécessaire observation des faits et à l’incontournable homogénéité de destin, des mécanismes de mise en condition des peuples qui privilégient la valeur incantatoire des mots pour mieux brouiller les héritages et les repères culturels.

 

 

 


L’entreprise de démolition commence à l’école par la mise en place de projets éducatifs d’inspiration totalitaire. A coup de slogans du type « Ecole de la réussite », « Hétérogénéité obligatoire des classes », « Réussite pour tous » « ABCD de l’égalité » etc.…, des politiciens irresponsables ont camouflé, sous l’angélisme des propositions, la rupture radicale avec la transmission de l’héritage culturel de nos sociétés.

 

 

De la dérive de l’école à la sédition des banlieues et des quartiers sensibles

 

 

L’entreprise de démolition s’est concrétisé dans les politiques urbaines qui ont accouché au travers des « Projets de Ville » et des « Intégrations à marche forcée » (par ailleurs grassement subsidiés), un monde kafkaïen et barbare où le vernis des liftings urbanistiques, ronds-points, nouveaux trottoirs, plateaux et pistes cyclables, camoufle mal les zones de non droit (ZUS & ZSP), les mafias, les caïds et la racaille.

 

Alors, il est temps, grand temps, de stigmatiser les politiques malhonnêtes et suicidaires, car la constatation des mêmes effets pervers ne doit pas se solder, comme c’est le cas, par de nouveaux dérapages vers l’abîme, au son de cantiques lénifiants et creux, mais au contraire par un retour aux valeurs saines et aux politiques responsables. Il faut arrêter ce sabotage de l’Enseignement.

 

Soyons clairs, nous combattons les dérives sectaires dans les écoles, car ces projets fabriquent à la chaîne des individus amnésiques, incapables de jugement, et parfaitement soumis aux pouvoirs totalitaires et à la marchandisation mondialiste. Il faut écouter ceux qui, déjà nombreux, préconisent le retour aux filières et méthodes traditionnelles qui seules assureront la mémoire d’un héritage millénaire.

 

Il faut abandonner les mots d’ordre des quarante dernières années. Non, l’immigration n’est pas une chance pour nos pays ; non, l’intégration ne fonctionne pas pour des masses qui ne partagent aucun de nos principes culturels ; non, l’antiracisme ne facilite pas l’intégration, il génère au contraire un racisme à rebours et l’ostracisme de nos identités ; non, l’Etat providence et l’assistanat ne règlent aucunement tous les problèmes économiques et sociaux, ils les enracinent durablement.

 

Il faut expurger la morale de la culpabilité et avoir le courage de dire :

 

HALTE AUX DELIRES !

 

Pieter KERSTENS.

 

10:06 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)