Égypte : un pasteur arrêté pour avoir distribué l’Évangile:

 

 

 

 

Selon un article de Raymond Ibrahim paru dans Jihad Watch et reprenant une information publiée dans un média arabe le 10 février, un chrétien de 37 ans, Methat A., qui semble être pasteur d’une congrégation protestante, a été arrêté sur ordre du procureur général du gouvernorat de Minya en attendant son procès. Il a été dénoncé à l’autorité par des musulmans au motif qu’il leur prêchait le christianisme et distribuait de la littérature chrétienne, notamment des exemplaires du Nouveau Testament, ce qui serait une violation de la loi en vigueur en Égypte…

 

 

Source : Jihad Watch

 

Pour la Cour de cassation, le baptême est-il nuisible aux enfants ?

 

 

 

 

 

 

 

Un lecteur m’a envoyé hier au soir une coupure de presse tirée du magazine Le Particulier, daté de novembre. Je ne commenterai pas le conflit parental entre ces parents séparés ni, surtout, le fait que le père de ces deux enfants ait cru devoir porter l’affaire devant des tribunaux civils. Non, mais ce qui m’inquiète, c’est qu’un tribunal civil tranche d’une question religieuse, ce qui me semble abusif et dangereux : à Dieu ce qui est à Dieu, à César ce qui est à César, certes, mais les choses de Dieu n’appartiennent pas à César. En outre, ce que je lis de l’arrêt de cassation – je ne dispose pas du dispositif en son entier – est proprement aberrant s’il le juge estime que le baptême chrétien serait nuisible à l’enfant ! C’est en tout cas ce qui ressort du titre de cet articulet. Vos commentaires seront les bienvenus sur cette affaire apparemment abracadabrante…

 

 

 

 

 

 

Laos : un pasteur protestant tué de sang froid par la police communiste:

 

 

Quand ils ne persécutent pas les chrétiens, les communistes laotiens les tuent…

 

 

 

 

Le trouble règne parmi les chrétiens au Laos. Le pasteur protestant laotien Singkeaw Wongkongpheng a été tué de sang froid par des agents de police en province de Luang Prabang. Le crime a été commis au matin du 8 janvier dernier mais la nouvelle vient seulement d’être diffusée. Selon une reconstitution envoyée à l’Agence Fides par l’ONG Human Rights Watch for Lao Religious Freedom (HRWLRF), cinq hommes non identifiés sont entrés au domicile du pasteur, dans le village de Na-ang, situé dans le district de Chomphet, partie intégrante du territoire de la province de Luang Prabang. En premier lieu, ils ont pris son épouse. Accouru à son secours, le pasteur Singkeaw a été saisi et emmené. Attendu que l’homme a opposé résistance, il a été poignardé trois fois dans le dos, après quoi les assaillants se sont enfuis. Le fils du pasteur a poursuivi l’un des agresseurs et l’a blessé. L’homme se trouve dans un hôpital de la province de Luang Prabang. Il a été établi que le blessé est un agent de la police provinciale de Luang Prabang, prêtant service comme gardien de prison. Les chrétiens de Luang Prabang soupçonnent que les cinq hommes avaient initialement prévu d’enlever le pasteur Singkeaw et son épouse mais que l’opération a ensuite dégénéré en homicide. Le pasteur Singkeaw était responsable d’une petite communauté de 58 fidèles à Na-ang. Selon un responsable chrétien local, le pasteur était un bon citoyen, respectueux de la loi, qui menait une vie simple. De 1997 à 2002, il avait eu des problèmes, lorsque les autorités lui avaient intimé de ne pas répandre la foi chrétienne, ordre qui lui avait été réitéré voici deux ans. L’ONG HRWLRF demande au gouvernement laotien de mener une enquête sur la mort du pasteur Singkeaw et de rendre justice à sa famille en identifiant et punissant également les quatre autres coresponsables, eux aussi agents de police selon des sources locales, de cet homicide commis de sang froid.

Source : Agence Fides

Turquie : 15 pasteurs menacés de mort:

 

 

 

 

 

Une lectrice (merci Ch. P. !) me signale un article de Portes Ouvertes, l’organisation protestante bien connue au service des chrétiens persécutés et qui édite, chaque année, un très précieux Index mondial de persécution. Ce dont il nous informe est plus que préoccupant… Les actes christianophobes contre les chrétiens ne sont pas rares en Turquie, en particulier mais pas uniquement contre les chrétiens protestants.

 

 

Portes Ouvertes s’inquiète de la sécurité de plusieurs pasteurs protestants qui, depuis le 27 novembre, sont harcelés par des messages les menaçant de mort sur leur boîte de courriels, pages Facebook et internet ou téléphones. Le langage et les visuels utilisés par leurs auteurs font penser à l’organisation État islamique. L’un des pasteurs dit avoir reçu des messages par SMS et e-mail le prévenant de sa future décapitation : « Ils nous disent que nous sommes responsables des conversions d’autres musulmans au christianisme, qu’il est désormais trop tard et qu’Allah leur livrera nos têtes ! » D’après l’Association des Chrétiens Protestants de Turquie, les chrétiens sont habitués aux menaces, mais depuis quelques semaines, elles sont devenues plus nombreuses et systématiques. Elles proviennent également d’une même source. En effet, la plupart des messages reçus incluent un extrait de la sourate 33 du Coran qui déclare que « les maudits seront pris et tués impitoyablement où qu’on les trouve ». L’un de ces messages spécifie : « Le temps de votre décapitation est proche,  gloire et louange à Allah ! ». Par ailleurs, une vidéo dont le contenu tente de justifier par des preuves religieuses l’assassinat des apostats a été récemment postée sur Youtube en Turquie. Contrairement à de nombreux autres pays à majorité musulmane, la Turquie permet de changer librement sa religion sur la carte d’identité ou même de ne pas la mentionner. Pourtant la Turquie fait partie des 50 pays où les chrétiens sont le plus persécutés, selon l’Index Mondial de Persécution. Dans ce pays, tous les chrétiens sont touchés par la persécution, aussi bien dans leur vie privée, familiale, sociale, ecclésiale que civile. La persécution s’explique surtout par l’extrémisme islamique et le nationalisme religieux.

 

 

Source : Portes Ouvertes

Laos : un pasteur protestant tué de sang froid par la police communiste:

 

 

 

 

Quand ils ne persécutent pas les chrétiens, les communistes laotiens les tuent…

 

 

 

 

Le trouble règne parmi les chrétiens au Laos. Le pasteur protestant laotien Singkeaw Wongkongpheng a été tué de sang froid par des agents de police en province de Luang Prabang. Le crime a été commis au matin du 8 décembre dernier mais la nouvelle vient seulement d’être diffusée. Selon une reconstitution envoyée à l’Agence Fides par l’ONG Human Rights Watch for Lao Religious Freedom (HRWLRF), cinq hommes non identifiés sont entrés au domicile du pasteur, dans le village de Na-ang, situé dans le district de Chomphet, partie intégrante du territoire de la province de Luang Prabang. En premier lieu, ils ont pris son épouse. Accouru à son secours, le pasteur Singkeaw a été saisi et emmené. Attendu que l’homme a opposé résistance, il a été poignardé trois fois dans le dos, après quoi les assaillants se sont enfuis. Le fils du pasteur a poursuivi l’un des agresseurs et l’a blessé. L’homme se trouve dans un hôpital de la province de Luang Prabang. Il a été établi que le blessé est un agent de la police provinciale de Luang Prabang, prêtant service comme gardien de prison. Les chrétiens de Luang Prabang soupçonnent que les cinq hommes avaient initialement prévu d’enlever le pasteur Singkeaw et son épouse mais que l’opération a ensuite dégénéré en homicide. Le pasteur Singkeaw était responsable d’une petite communauté de 58 fidèles à Na-ang. Selon un responsable chrétien local, le pasteur était un bon citoyen, respectueux de la loi, qui menait une vie simple. De 1997 à 2002, il avait eu des problèmes, lorsque les autorités lui avaient intimé de ne pas répandre la foi chrétienne, ordre qui lui avait été réitéré voici deux ans. L’ONG HRWLRF demande au gouvernement laotien de mener une enquête sur la mort du pasteur Singkeaw et de rendre justice à sa famille en identifiant et punissant également les quatre autres coresponsables, eux aussi agents de police selon des sources locales, de cet homicide commis de sang froid.

 

 

Source : Agence Fides