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27/06/2017

Pakistan : des musulmans s’en prennent à coups de barres de fer à des chrétiens « impurs »

 

 

 

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Vendredi 19 mai dernier, un groupe de musulmans pris de boisson – il y a des accommodements avec Allah en islam… – hurlant et vociférant, menaient une sarabande dans le quartier de Samundri à Faisalabad, où habitent de nombreux chrétiens. Une chrétienne se mit à sa fenêtre pour leur demander de baisser un peu le ton et de respecter la tranquillité publique. Mal lui en prit… Outrés qu’une chrétienne, membre d’un groupe « impur », puisse avoir l’audace d’interpeller des musulmans, ces derniers, rameutant d’autres coreligionnaires, s’armèrent de barres de fer, de gourdins et d’autres armes improvisées, pour donner une bonne leçon à ces « impurs ». Ils forcèrent l’entrée de plusieurs maisons habitées par des chrétiens et frappèrent indistinctement hommes, femmes et enfants : sept blessés dont cinq durent être conduits à l’hôpital. Ils accompagnèrent leurs coups d’imprécations contre les chrétiens et même contre Jésus-Christ pourtant supposé être un « grand prophète » dans leur religion – là encore, on trouve toujours des accommodements avec Allah en islam…

 

 

 

Source : The Christian Post,

 

23/06/2017

LE PASTEUR JEAN-PIERRE BLANCHARD............

 

 

 

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Jean-Pierre Blanchard est une figure de la Droite nationale

prolétarienne française, chapelain de Jany Le Pen,

il est à l’origine des premières "soupes au lard",

distribuées dans les rues de Paris et de la création

tant de Fraternité française que de l’Entraide nationale,

associations caritatives,

ayant émergé respectivement dans les années 1980 et 1990.

Il préside actuellement l'Action sociale populaire.

 

 

 

Biographie :

 

 

Né en Languedoc d'un père ancien ouvrier devenu gendarme,

il découvre la dureté du travail à la chaîne,

au cœur des années 1960, dans une usine à Mazamet,

où le futur pasteur devint d'ailleurs un ouvrier modèle.

Mai 68 explose, avec lui son cortège de rêves.

Prenant conscience de sa vocation de travailleur social,

le futur pasteur des pauvres découvre l'étendue de la misère,

en tant qu'animateur de l'Armée du Salut à Paris 13e.

Croyant, de culture protestante, il devient pasteur à Paris 15e,

après un stage pastoral et une ordination au Saint Ministère.

 

 

 

Dans les années 1970,

les errements idéologiques de sa génération

le pousseront au festival de l'île de Wight,

dans les rangs de la Ligue communiste d'Alain Krivine,

puis dans l'aile situationniste des Maoïstes,

pour finir dans les fêtes de Lutte ouvrière.

Dans les années 1990, seul le Front national,

et surtout Jany Le Pen, de culture et de foi protestante,

lui permettront de réaliser son grand dessein,

une vraie soupe populaire au cœur de Paris,

face à la gare Saint-Lazare,

une soupe de nuit ouverte à tous les miséreux de la capitale.

Même L'Humanité le reconnaît à l'époque,

c'était un succès en terme de population aidée.

 

 

 

En 1997, il sera nommé par Jean-Marie Le Pen

au Comité central du Front national,

mais les soubresauts liés au "putsch" de Bruno Mégret

mettront fin à cette aventure caritative,

le pasteur étant considéré par les caciques du FN

comme non impliqué dans la crise mégrétiste.

 

 

En 2005, le Pasteur Blanchard portera

sur les fonts baptismaux l’Action sociale populaire (ASP)

qui recevra un soutien certain de toute les droites nationale.

Et, en 2006, il lance les maraudes dans les rues de Paris

en 2008, débute les visites aux personnes agées 

en 2017 prépare sa onzième campagne de maraude, 21 ans après la première soupe de nuit à St Lazare 

 

 

Œuvres :

 

 

  • Martin Heidegger philosophe incorrect, L'Aencre, 1997
  • Aux sources du national-populisme, L'Aencre, 1998
  • Heidegger, Pardès, 2000
  • La Faim justifie les moyens, Deterna, 2000
  • Mythes et races, Déterna, 2000
  • Jalons du protestantisme, Malpertuis, 2001
  • Le FN, et le social, Deterna, 2012

 

 

09:41 Publié dans Biographie | Lien permanent | Commentaires (0)

20/06/2017

Espagne : à peine relâché, le musulman incendiaire commet un nouveau forfait dans une église:

 

 

 

 

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Il y a tout de même, en Espagne, un laxisme judiciaire qui n’a rien à envier à celui que nous connaissons en France… Le même musulman d’origine marocaine, – âgé de 20 ans et répondant au prénom de Naoufal –, qui avait incendié, le 9 mai dernier, l’église de Fontellas (Navarre), et avait été relâché quelques jours plus tard avec une simple interdiction de ne plus circuler à moins de 10 m de lieux de culte catholiques ( !), vient de récidiver… Dans la soirée du mardi 16 mai, il s’est introduit dans l’église de San Blas de Ribaforade (Navarre), a renversé l’antique Croix de pierre sur l’autel et décapité une statue saint Bartholomée, le saint patron de la commune. Il a été arrêté par la Guardia Civil. Il a reconnu être un adepte du djihadisme et en être à son cinquième forfait contre des lieux de culte catholiques… Espérons que, cette fois-ci, on ne le relâchera plus !

 

 

 

Sources : Navarra.com,

16/06/2017

LIRE OTTO WEININGER, par Francis Venant:

 

 

 
 
 
 

Parmi les grands Viennois que nous avons évoqués, nul sans doute ne fut plus original qu’Otto Weininger. Né en 1880 dans une famille juive, converti au protestantisme – d’une conversion sincère dans laquelle il entraîna les siens –, il se suicida à l’âge de 23 ans, dans la maison où Beethoven était mort, après une dépression dont le caractère fut sans doute plus métaphysique que psychique ou pathologique.

 

 

Un an auparavant, il avait publié un livre étonnant et fascinant, Sexe et caractère, que l’on peut juger aussi profond que contestable, « scientifiquement parlant » – ce qui ne le discrédite pas forcément ! –, lequel livre rencontra un succès considérable dans les pays germaniques et au-delà. (Mais pas en France, où il ne fut traduit qu’en 1975.) Otto Weininger devint, plusieurs décennies durant, une figure mythique, qu’auréolait bien sûr sa fin tragique – non exceptionnelle à Vienne en ces temps-là cependant… Pour autant, ce succès ne fut pas que de mode. A preuve : Karl Kraus, Ludwig Wittgenstein et Stefan Zweig f assistèrent à son enterrement, et l’on trouve une trace prolongée de la pensée de Weininger chez le second. Freud affirma également la profondeur de sa pensée. De nos jours, l’œuvre est devenue « infréquentable » en raison de l’hostilité qu’elle manifestait à l’encontre des femmes et des Juifs, et seuls quelques initiés (en général germanistes) ou esprits libres s’y intéressent encore. Il reste que nombre de ses formules demeurent extrêmes. Mais comment les entendre ? – là est toute la question.

 

 

La recherche de l’absolu

 

 

Deux traits caractérisent la philosophie de l’existence de Weininger. D’une part, une exigence absolue de « génialité », c’est-à-dire d’originalité dans la recherche et l’accomplissement de soi. D’autre part, la conviction que l’individu doit sacrifier résolument sa part sensuelle faisant obstacle à la prépondérance désirable de l’esprit. Ce schéma, moral, est à l’évidence sinon d’inspiration kantienne du moins conforme au modèle anthropologique de la Critique de la raison pratique. « Vérité, pureté, fidélité, sincérité à l’égard de soi-même : c’est là la seule éthique pensable » écrivait en outre Weininger. Au-delà de la dépression signalée, le suicide apparaît alors comme une conséquence nécessaire, ou plutôt comme un devoir pour un individu qui, pénétré de telles idées, parviendrait à la conviction qu’il ne saurait s’élever au génie ou réaliser la moralité en se débarrassant, notamment, de la sexualité. Le caractère « romantique » d’une telle suppression de soi, faute de parvenir à une vie digne et supérieure, ne manque évidemment pas de frapper. On peut être tenté de l’admirer… On s’étonne cependant qu’un chrétien ait pu concevoir une telle pensée ; et l’on se dit que l’atmosphère « décadente » qui présidait au vieil Empire devait y être pour quelque chose…

 

 

Faits ou « types » ?

 

 

La pensée de Weininger apparaît moins « problématique » si on ne l’appréhende pas comme une description tronquée ou déformée de la réalité, perçue à travers des préjugés « sexistes », mais comme constitutive de modèles ou de types « platoniciens » que cette réalité n’incarne que partiellement. Et c’est d’ailleurs ce qu’il déclare formellement : « La seule voie qui conduise à pouvoir étudier, dans sa réalité, toute opposition de sexe est la reconnaissance du fait que l’homme et la femme ne sont concevables que comme types, et que les hommes et les femmes réels, considérés dans tout ce que leur réalité a de déroutant et qui ne cessera de réalimenter toujours les mêmes controverses, ne sont qu’une composition de ces deux types. » Et pour ce qui est des Juifs, il écrivait : « Lorsque je parle du Juif, je ne veux pas parler d’un type d’homme particulier, mais de l’homme en général en tant qu’il participe de l’idée platonicienne de la judéité. » Ayons donc garde de voir dans la définition des principes masculin et du féminin une annonce de la « théorie du genre » visant à effacer leurs frontières… Loin d’être pour Weininger des créations de la seule culture, la « masculin » et le « féminin », même s’ils ne sont pas exclusifs dans un individu, se donnent bien pour des facteurs agissants et non dérivés ou illusoires. Et, sous ce premier rapport, la théorie weiningerienne se donnerait plutôt comme une antidote à ladite théorie… Il reste que la femme « empirique » étant toujours pour l’homme une tentation, sa rédemption – ou « émancipation » véritable – consisterait pour elle à renoncer à séduire… Et il y a là, sous ce second rapport, un vrai problème d’éducation, affirme Weininger : « Il faut enlever à la femme l’éducation de la femme et ENLEVER À LA MÈRE L’ÉDUCATION DE L’HUMANITÉ. Ce serait la première chose à faire pour mettre la femme au service de l’idée d’humanité, qu’elle a jusqu’ici plus que personne empêchée de se réaliser. » En effet, « le dernier moyen de toute pédagogie maternelle est de menacer la fille rebelle de ne pas trouver de mari. » Un programme dont Weininger note cependant qu’il n’a à peu près aucune chance de se réaliser, ce dont tout mâle non kantien aura tout lieu de se féliciter…

 

08:40 Publié dans Culture | Lien permanent | Commentaires (0)

13/06/2017

Chine : un pasteur emprisonné relâché dans le Zhejiang:

 

 

 

 

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Wen Xiaowu, pasteur d’une église domestique de Rui’an (Zhejiang), avait été arrêté par le police le 25 janvier dernier au motif qu’il avait rencontré des diplomates du consulat des États-Unis et des journalistes étrangers. Le surlendemain, il était inculpé de « provocation à des attroupements en vue de troubler l’ordre public » et incarcéré. Il a été libéré le 27 mai après quatre mois d’emprisonnement, mais est, toutefois, assigné à résidence pour une durée de six mois. L’ONG étatsunienne de défense des chrétiens persécutés en Chine communiste, China Aid, estime que sa libération anticipée est due à « la pression constante, déterminée et de haut niveau » subie par les autorités de la part d’organisations internationales.

 

Source : China Aid,

10:36 Publié dans Spirituel | Lien permanent | Commentaires (0)