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10/01/2017

Terrorisme: on ne déclare pas la paix !

 

 

 Face au fondamentalisme islamiste, l’hésitation est fatale.

 

 

 

Mathieu Bock-Côté est sociologue, auteur de La dénationalisation tranquille (Boréal, 2007). L'article "musclé" dont voici des extraits est paru initialement dans Le Journal de Montréal et publié par Causeur :

 

 

 

 

"Les attentats qui ont frappé la Belgique provoquent chez certains d’étranges sentiments : ils se disent las, ils voudraient que cela cesse par enchantement et ils en appellent surtout à la venue sur terre de la Paix, à la manière d’un principe rédempteur venant civiliser les hommes et les empêchant de s’entretuer. Ils voudraient qu’on déclare la Paix à l’humanité, et que chacun, inspiré par ce grand élan du cœur, range ses fusils et ses bombes. Quand une bombe saute dans un métro, ils publient sur les réseaux sociaux des symboles de paix et chantent Imagine ou Give Peace a Chance. Il y a peut-être quelque chose de beau dans cette conviction sincère que l’amour nous sauvera. Il y a aussi peut-être une forme de naïveté aussi exaspérante que paralysante.

 

 

 

La paix n’aura pas lieu

 

 

Car en attendant la parousie, en attendant cette sublime délivrance, ce ne sont pas les déclarations de paix qui sauveront les peuples et les protégeront mais la résolution à faire la guerre à un ennemi intérieur et extérieur, l’islam radical, qui s’est décidé quant à lui à humilier et soumettre la civilisation européenne. Devant le fondamentalisme islamiste, ses militants résolus et ses convertis qui sont manifestement attirés par sa fureur guerrière et sa cruauté revendiquée, il faut d’abord compter sur de bons services de renseignement, sur des policiers aguerris, sur des soldats d’expérience, sur des frontières efficaces et sur une ferme volonté de le combattre. En un mot, il faut avoir les moyens de se défendre, de le combattre et de le vaincre.

 

 

La guerre. Pour bien des Occidentaux, c’est un gros mot. Et répondre par la guerre à la guerre, ce serait apparemment une réponse simpliste. Nos bons esprits progressistes qui n’en finissent plus d’admirer leur propre grandeur d’âme voudraient qu’on se penche plutôt vers les racines profondes de l’hostilité entre les hommes et refusent de comprendre, parce que cela offusquerait leurs principes, que la violence est constitutive de l’histoire humaine. On peut la réguler, la contenir, la civiliser même: on ne pourra jamais l’éradiquer et en venir à bout une fois pour toutes.

 

 

 

Nos bons esprits, en un mot, s’imaginent toujours que la réponse militaire à une agression terroriste est une dérive populiste faite pour alimenter les simples d’esprit. Ils souhaiteraient qu’on parle d’exploitation sociale, de lutte à la pauvreté, de dialogue entre les civilisations. Ils s’imaginent que si chacun s’ouvrait à l’Autre, l’humanité se délivrerait des conflits (sans s’imaginer qu’en connaissant mieux l’autre, il se peut qu’on s’en méfie davantage). Ils veulent se réfugier dans la stratosphère des discours généreux et pacifistes pour éviter d’avoir à sortir leurs canons, leurs fusils et leurs blindés. Ils veulent s’extraire du conflit au nom de la conscience universelle  et surplomber les camps en présence. En d’autres mots, ils veulent fuir le réel qui égratigne leurs principes splendides.

 

 

La violence, en quelque sorte, est un fait anthropologique irréductible, et il est sot de croire qu’un jour, les hommes vivront à ce point d’amour qu’il n’y aura plus entre les groupes humains des conflits à ce point profonds qu’ils puissent dégénérer en conflits armés. La guerre est l’expression politique de la violence.[...]

 

 

Entre le fanatisme des enragés d’Allah et le laxisme mollasson de sociétés occidentales, il y a un contraste fascinant et on ne peut que souhaiter que ces agressions à répétition contre des villes et des pays au cœur de la civilisation européenne réveillent leur instinct civique pour l’instant endormi. L’histoire est une source infinie de méditation et de méditations. Ce n’est pas un drapeau blanc qui a stoppé Hitler mais la ferme résolution des alliés à lui faire la guerre pour le vaincre et éradiquer le nazisme. Ce ne sont pas de belles âmes dissertant sur la paix universelle qui ont empêché l’armée rouge d’occuper l’Europe occidentale mais l’armée américaine qui y avait installé ses bases.

 

 

De même, devant l’islamisme, qui bénéficie à la fois de l’appui d’États étrangers et de réseaux bien implantés dans les grandes villes européennes, et qui peut manifestement frapper n’importe quelle cible, qu’elle soit aussi banale qu’une terrasse de café ou stratégique qu’un aéroport, il faudra apprendre à faire la guerre de notre temps. Devant l’ennemi, il faudra moins pleurer et larmoyer qu’être révolté et en colère. Et d’abord et avant tout, il faudra nommer l’ennemi. Non pas « la religion ». Non pas « le fanatisme ». Mais l’islamisme, qui s’est aujourd’hui juré de casser le monde occidental."

 

 

 

09:20 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

06/01/2017

L’agence SCIENCE PRESSE :

 

 

 Aveuglée par sa religion évolutionniste:

 

 

 

 

 

 

 

L’agence science presse aveuglée par sa religion évolutionniste. J’aimerais apporter quelques commentaires sur l’article « La fin des religions » publié par l’Agence science presse, en commençant par le choix du titre. En effet, l’auteur semble affilier religion et créationnisme malgré le fait que la théorie créationniste ne soit pas enseignée à l’école comme l’a été le catéchisme, et comme l’est aujourd’hui le mythe de l’évolution. L’auteur simule une inversion des rôles, alors que c’est la théorie de l’évolution qui est imposée comme vérité absolue dans nos écoles. C’est donc cette théorie seule qui peut être qualifiée de religion.

 

 

 

L’article mentionne deux études et donne faussement l’impression qu’elles appuieraient l’évolution. La première, une étude statistique sur la distance génétique entre plusieurs représentants d’une espèce de bactérie colonisant l’estomac de l’humain (Helicobacter pylori), ne concerne pas l’évolution mais plutôt la migration des populations humaines sur le globe. D’ailleurs le rapport rédigé à cet effet s’intitule « Traces of Human Migrations in Helicobacter pylori Populations ».

 

 

Voici un extrait de l’article concernant la deuxième étude :

 

 

« … deux variétés, c’est-à-dire deux espèces différentes de levures, Saccharomyces cerevisiae and S. mikatae, ont été ramenées, en laboratoire, à une seule: en l’occurrence, leur ancêtre commun avant que leurs routes ne se séparent. »

 

 

Cette « méthode de preuve » est totalement illogique. Évidemment, les organismes vivants ont des caractéristiques communes parce qu’ils accomplissent des fonctions communes, et c’est le cas des unicellulaires eucaryotes (les levures entres autres). La fonction de base de tout être vivant est la reproduction. Cette fonction implique la reproduction de la membrane, des organites et surtout la réplication de l’information génétique. Les deux levures en question ont en commun au minimum l’information génétique permettant de synthétiser toutes les protéines vitales qui leur permettent de fonctionner et de se reproduire. Pas étonnant qu’en les réduisant on aboutisse à quelque chose de très semblable. L’article de l’Agence Science Presse interprète religieusement cette information génétique commune comme l’information génétique provenant d’un « ancêtre commun ». La science, qui fonctionne tout autrement, nous enseigne qu’il s’agit simplement de similitudes reliées à une similitude dans les fonctions.

 

 

 

D’ailleurs, des études assez récentes ont établi à 100 le nombre théorique de protéines (et donc de gènes) minimales pour qu’un organisme vivant puisse fonctionner et se reproduire3 (on parle ici d’unicellulaire). Par expérimentation sur la bactérie Mycoplasma genitalium, cette limite minimale a été établie à 256 gènes. Cela démontre d’une part qu’il existe une base commune d’information génétique dans le monde vivant. Les enzymes polymérases qui permettent la synthèse de l’ADN sont un exemple de protéines/gènes essentiels et communs à toutes cellules. D’autre part, cette découverte donne tout le crédit scientifique à la théorie créationniste concernant l’origine de la vie. En effet, nous pouvons conclure de façon définitive que la vie n’a jamais pu exister sous une forme simple. Dans sa forme la moins complexe, la vie possèderait au minimum entre 100 et 256 gènes (notez qu’aucun organisme vivant connu ne possède moins de 517 gènes ). Alors, comment peut-on croire qu’une molécule d’ADN de 100 gènes (chaîne de plusieurs dizaines de milliers de bases), une membrane, des molécules d’ARN, des ribosomes ainsi que plusieurs enzymes essentiels pourraient se former et se rejoindre en un lieu X du globe spontanément et interagir parfaitement, et ce sans cause intelligente, mais plutôt par le concours du hasard ! Bref, la confirmation du génome minimal est une preuve irréfutable en faveur de l’origine de la vie par une cause intelligente.

 

 

 

En conclusion, en plus de ne pas appuyer l’évolution, ces deux études sont loin de réfuter la théorie créationniste. L’évolution dans sa définition fondamentale établit que les organismes vivants ont la capacité d’acquérir de l’information génétique additionnelle (via des mutations aléatoires) produisant de nouvelles structures morphologiques (semble-t-il que la grenouille pourrait vraiment se transformer en prince …). Or, aucune des deux études n’affiche d’arguments en ce sens. Le créationnisme pour sa part établit que l’information génétique est l’œuvre d’une cause intelligente. Il est possible que cette information soit inactivée ou modifiée par des mutations génétiques (expliquant possiblement le parasitisme), mais jamais on n’observera l’augmentation de la quantité d’information génétique d’un organisme par mutation de telle sorte qu’une bactérie passerait de 500 gènes à 510 gènes et possèderait ainsi 10 protéines/fonctions nouvelles s’intégrant au reste de l’organisme. En conséquence, l’article de l’Agence Science Presse ne démontre aucune réfutation à la théorie créationniste mais donne plutôt une interprétation religieuse de phénomènes autrement expliqués par la biologie cellulaire ainsi qu’une aversion émotive et démesurée envers les créationnistes.

 

 

 

 

03/01/2017

La présence islamiste chez nous signe l’échec du sans-frontiérisme:

 

 

                                

 

 

Rongée par le communautarisme, la France n’est plus une nation unitaire.

 

Juriste



 
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« Cette guerre sera longue », déclarait François Hollande le 22 mars. Il disait très exactement la même chose après les attentats du 13 novembre. Pour une fois, le Président ne varie pas. Il a d’ailleurs raison. Nous n’en sommes qu’aux prémices du conflit. La première partie de son raisonnement est donc valable. Que manque-t-il donc à François Hollande pour être à la hauteur des enjeux ? Une volonté stratégique appuyée par des tactiques adaptées. Une stratégie bien pensée doit répondre à un objectif politico-militaire conditionné à la réalité. François Hollande et, avant lui, Nicolas Sarkozy n’ont pas su prendre en compte la réalité dans toute sa complexité.

 


 
Le thème de la restauration des frontières, principalement porté par le Front national, concentre aujourd’hui tous les commentateurs de la vie politique. Oui, il faut restaurer les frontières extra-européennes et rétablir les contrôles aux frontières intra-européennes. La disparition de Schengen sera prochainement actée. Une étape indispensable qui ne saurait pourtant suffire à résoudre intégralement les problématiques posées aux nations occidentales. Si les débat s’attardent souvent sur le retour des frontières traditionnelles, méticuleusement dissoutes par l’idéologie mondialiste, partant du postulat erroné de la fin de l’Histoire, la question des « nouvelles frontières », que l’on pourrait qualifier d’« intimes », n’est jamais discutée. Elle est cependant cruciale, voire centrale.

 


 
En 2005, dépassée par l’ampleur des émeutes des quartiers, pudiquement définis comme « populaires », la classe politique a renoncé à appliquer les lois nationales sur des pans entiers du territoire. Les Zones de non-France ont remplacé les Zones d’éducation prioritaire. L’État a décidé d’officialiser l’existence d’une France hors la France. Nicolas Sarkozy a drastiquement diminué les effectifs de police ; estimait-il qu’il valait mieux qu’ils soient suppléés par une police communautaire autogérée ? Les imams sont devenus les fondés de pouvoir des maires. Gages de stabilité, les religieux sont respectés et écoutés, contrairement aux représentants officiels de l’État.

 


 
Rongée par le communautarisme, la France n’est plus une nation unitaire. Hypocrisie suprême, nos dirigeants continuent à essayer de nous faire croire que la République française ne fait qu’une. Pire : qu’elle est entièrement française. Ce n’est plus le cas. Michel Sapin a eu raison de dénoncer le communautarisme islamiste qui a gangrené la Belgique. Mais pourquoi n’applique-t-il pas son raisonnement à la France ? Des Molenbeek existent dans toutes les grandes agglomérations françaises. En conséquence, il est devenu de plus en plus difficile de distinguer ce qui relève de la politique intérieure de ce qui relève de la politique extérieure. L’État islamique ne répond pas aux critères géopolitiques habituels, il est chez lui en Syrie comme en Europe.

 

 

 

L’islamisme prospère sur nos renoncements : politique d’immigration suicidaire, abandon de l’État, discrimination dite positive, laxisme judiciaire. D’autres difficultés se sont greffées avec le temps. La présence islamiste s’est renforcée et s’est structurée. Business communautaires, cinquième colonne dans certaines institutions (aéroports, police ou armée) et voyoucratie en sont les piliers. Le djihadisme n’est que la crise de croissance de l’islam politique en Europe, son enfant turbulent et impatient. Problème en soi issu d’un problème plus large, la présence de l’islam politique en Europe est la conséquence la plus visible de l’échec de l’utopie sans-frontiériste.

 

 

 

 

 

 

 
 

 

 

10:20 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

30/12/2016

Communiqué :

 

 

Lutheran Hour ministries.jpg

 

 

Dans le cadre du ministère de l’heure luthérienne (LHM) - au Canada a été annoncé la publication de deux nouveaux titres en langue française et une série de livrets populaire .

 

 

 

 

1/Les Raisons  de Croire («les motifs de la foi»)

 

 

2/Se  libérer des Chaînes de la culpabilité («de la prison de la culpabilité»).

 


En plus d'offrir régulièrement des l’avènement du Carême des ouvrages de dévotion en français, la Ligue des laïcs luthériens du Canada(LLL Canada) a supervisé la traduction d'un certain nombre de brochures populaires de laLHM de l'anglais  au français. Les autres titres traduits en français comprennent :Faire face au cancer («Faire face au cancer») La prière: quand les mots manquent vie spirituelle intérieure ("prière quand vous ne savez pas quoi dire»).

 

 


Les livrets  sont disponibles à télécharger gratuitement sur le site de LLL Canada àlll.ca/booklets /french/.Alternately, vous pouvez commander des copies papier des brochures en appelant 1-800-555-6236. Suivez LLL-Canada sur Facebook àwww.facebook .com/ Lutheran Laymens League Canada.

 

 

 

 

 

10:15 Publié dans Spirituel | Lien permanent | Commentaires (0)

27/12/2016

La radicalisation touche à présent la police:

 

                                       

 

 

 

Pour un tiers, ces policiers sont des femmes : elles affichent des signes extérieurs de religiosité, comme le voile.

 

Ecrivain
 
 
  
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Une note confidentielle, rédigée fin décembre 2015 par la Direction de la sécurité de proximité de l’agglomération, vient d’être révélée par Le Parisien. Elle a dénombré 17 cas de transgression du principe de laïcité entre 2012 et 2015, avec une accélération dès 2014 au sein de la police parisienne, forte de plus de 27.000 policiers et agents de surveillance.

 

 

Les incidents portaient surtout sur l’exercice de la religion musulmane au sein des commissariats, notamment sur les prières quotidiennes (cinq prières chaque jour).

 

La préfecture de police a décidé de recenser, désormais, chaque semaine ces comportements contraires à la laïcité et qui ne peuvent que porter préjudice au bon fonctionnement des forces de l’ordre : refus de protéger une synagogue, chants religieux en patrouille, refus de participer à la minute de silence, etc.

 

 

De ces constatations, il résulte donc que des fonctionnaires (policiers) armés se radicalisent.

 

 

Il s’agit là d’un nombre – limité, certes – de policiers qui se dirigent vers un fondamentalisme musulman.

 

 

Pour un tiers, ces policiers sont des femmes : elles affichent des signes extérieurs de religiosité, comme le voile.

 

 

Il a même été relevé une incitation à commettre des attentats et un appel au meurtre sur Facebook, qui a conduit son auteur devant la justice (quelle a été la sanction ou la condamnation ?).

 

Les dérapages les plus importants se produisent sur les réseaux sociaux.

 

 

Quatre de ces affaires de radicalisation conduisent vers des convertis à l’islam.

 

 

Ces cas recensés concernent des fonctionnaires assez jeunes, entrés comme agent de sécurité au début des années 2000 et qui ont réussi le concours interne.

 

 

Ils ne concernent que des gardiens de la paix ou des brigadiers et, jusqu’à présent, aucun cas n’a été relevé dans les échelons supérieurs.

 

 

Ces policiers savent qu’ils s’exposent à des sanctions et, à terme, à des exclusions.

 

 

Cela semble extrêmement grave et plus que préoccupant car ces policiers ont accès aux fichiers des personnes recherchées (terroristes) et aux renseignements communiqués par les services officiels.

 

 

La chaîne anglaise d’informations Sky News vient d’annoncer la remise de documents indiquant les noms de 22.000 djihadistes, dont certains non identifiés, se trouvant encore en Europe occidentale et, peut-être, en France.

 

 

Nous espérons que les services du ministère de l’Intérieur prennent très au sérieux ces radicalisations qui sont excessivement dangereuses car, si l’on en croit les services concernés, elles sont susceptibles de se poursuivre au cours des prochains mois. Il serait judicieux que la transparence existe également sur les cas de radicalisation dans la gendarmerie nationale et dans l’armée.

 

 

 

 

 

 

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