17/06/2022
HOMMAGE AU PROFESSEUR KREISS.
Lors d'un séjour en Amérique, Freud avait affirmé à Jung qu'il avait délivré le monde de son rêve, toute proportion gardée et bien que la comparaison puisse paraître osée, il en est de même pour moi avec le professeur Kreiss : dégoûté du libéralisme de l'Eglise Réformée de France, j'avais cru trouver chez les Evangéliques la réponse à mes questions. Il est vrai que leur fidélité aux Ecritures Saintes est remarquable, mais leur indigence théologique n'arrivait pas à assouvir ma soif.
à travers l'œuvre du Professeur Kreiss qui combla ce manque, j'ai longtemps vu en lui un génie, mais comme j'ai pu me le dire à mon meilleur ami : "en tout cas, il est certainement le plus grand théologien Orthodoxe du Luthéranisme de langue française."
Ma dette envers lui est immense. Mon seul regret est que la politique ait gâté notre amitié.
Homme qui a toujours porté à gauche, comme la majorité des Pasteurs du synode, il n'a pas supporté mes sympathies pour le Front National. J'espère que le temps finira par apaiser les choses, de toute façon mon cher Wilbert, mon estime et mon admiration pour toi restent intactes.
Pasteur Blanchard
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14/06/2022
LOBBY HOMOSEXUALISTE...
Quelle influence ?
« Le rendez-vous, autour d’un verre, a été fixé dans un banal hôtel 4 étoiles du XIe arrondissement, près de la place de la République. Tous les deux mois s’y réunissent de 50 à 80 jeunes gens, pour la plupart des garçons, tous homosexuels et anciens élèves de grandes écoles. Ils travaillent à Thales, à L’Oréal, dans l’industrie ou dans la banque d’affaires, et viennent ici se détendre et parler « business ».
A l’initiative de ces rencontres, Vincent Viollain, 32 ans, cofondateur de Babel 31, agence de communication digitale spécialisée dans le marketing communautaire. A HEC, il a dirigé l’association LGBT (lesbiennes, gays, bisexuels et trans) de l’école, In and Outside, puis a fait partie de celle de Sciences-Po Paris, Plug n’Play. Il a contribué à relancer un réseau inter-grandes écoles avec ESCaPe (ESCP-EAP), Divercity (Essec), Binet XY (Ecole Polytechnique), Homônerie (ENS-Ulm)… Investi dans Le Refuge, association de soutien à de jeunes homosexuels rejetés par leur famille, il est également vice-président de GayLib, le principal mouvement homo de droite, affilié à l’UDI. [...]
Challenges n’accrédite pas l’existence d’un prétendu lobby tout-puissant. Nous constatons seulement qu’ils font partie des réseaux qui progressent le plus. [...]
La direction du Front national serait « infiltrée », les gays constitueraient un réseau occulte dans les cabinets ministériels et, au ministère de la Culture ou au Quai d’Orsay, ils s’échangeraient les postes et les faveurs.
[...] En privé, des « homos de pouvoir » avouent pratiquer la préférence communautaire. « Toutes choses égales par ailleurs, je donnerais plus volontiers un coup de pouce à un homo qu’à un hétéro« , dit l’un d’eux. [...] »
Selon Challenges, pas franchement classé à droite.
08:59 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)
10/06/2022
30 mai 1431 : mort Jeanne d’Arc ; son cœur resté intact miraculeusement, après le bûcher:
D’après les témoignages le cœur de la sainte fut l’objet d’un miracle : dans l’impossibilité de le consumer, le bourreau l’a jeté dans la Seine.
Concernant sa mort et ce fait, voici la déposition de frère Isambard de la Pierre, dominicain ayant assisté aux événements :
« A son dernier jour, Jeanne se confessa et communia. La sentence ecclésiastique fut ensuite prononcée. Ayant assisté à tout le dénouement du procès, j’ai bien et clairement vu qu’il n’y ut pas de sentence portée par le juge séculier. Celui-ci était à son siège, mais il ne formula pas de conclusion. L’attente avait été longue. A la fin du sermon, les gens du roi d’Angleterre emmenèrent Jeanne et la livrèrent au bourreau pour être brûlée. Le juge se borna à dire au bourreau, sans autre sentence : « Fais ton office ! »
Frère Martin Ladvenu et moi suivîmes Jeanne et restâmes avec elle jusqu’aux derniers moments. Sa fin fut admirable tant elle montra grande contrition et belle repentance. Elle disait des paroles si piteuses, dévotes et chrétiennes que la multitude des assistants pleurait à chaudes larmes. Le cardinal d’Angleterre et plusieurs autres Anglais ne purent se tenir de pleurer ; l’évêque de Beauvais, même lui, versa quelques pleurs.
Comme j’étais près d’elle, la pauvre pucelle me supplia humblement d’aller à l’église prochaine et de lui apporter la croix pour la tenir élevée tout droit devant ses yeux jusqu’au pas de la mort, afin que la croix où Dieu pendit, fût, elle vivante, continuellement devant sa vue.
C’était bien une vraie et bonne chrétienne. Au milieu des flammes, elle ne s’interrompit pas de confesser à haute voix le saint nom de Jésus, implorant et invoquant l’aide des saints du paradis. En même temps elle disait qu’elle n’était ni hérétique, ni schismatique comme le portait l’écriteau. Elle m’avait prié de descendre avec la croix, une fois le feu allumé, et de la lui faire voir toujours. Ainsi je fis.
A sa fin, inclinant la tête et rendant l’esprit, Jeanne prononça encore avec force le nom de Jésus. Ainsi signifiait-elle qu’elle était fervente en la foi de Dieu, comme nous lisons que le firent saint Ignace d’Antioche et plusieurs autres martyrs. Les assistants pleuraient.
Un soldat anglais qui la haïssait mortellement avait juré qu’il mettrait de sa propre main un fagot au bûcher de Jeanne. Il le fit. Mais à ce moment, qui était celui où Jeanne expirait, il l’entendit crier le nom de Jésus. Il demeura terrifié et comme foudroyé. Ses camarades l’emmenèrent dans une taverne près du Vieux-Marché pour le ragaillardir en le faisant boire. L’après-midi, le même Anglais confessa en ma présence à un frère prêcheur de son pays, qui me répéta ses paroles, qu’il avait gravement erré, qu’il se repentait bien de ce qu’il avait fait contre Jeanne, qu’il la réputait maintenant bonne et brave pucelle ; car au moment où elle rendait l’esprit dans les flammes il avait pensé voir sortir une colombe blanche volant du côté de la France.
Le même jour, l’après-midi, peu de temps après l’exécution, le bourreau vint au couvent des frères prêcheurs trouver frère Martin Ladvenu et moi. Il était tout frappé et ému d’une merveilleuse repentance et angoissante contrition. Dans son désespoir il redoutait de ne jamais obtenir de Dieu indulgence et pardon pour ce qu’il avait fait à cette sainte femme : « Je crains fort d’être, damné, nous disait-il, car j’ai brûlé une sainte ».
Ce même bourreau disait et affirmait que nonobstant l’huile, le soufre et le charbon qu’il avait appliqués contre les entrailles et le coeur de Jeanne, il n’avait pu venir à bout de consumer et réduire en cendres ni les entrailles ni le coeur. Il en était très perplexe, comme d’un miracle évident. »
Et cet extrait de la déposition de Jean Massieu, huissier :
« Accompagnée de frère Martin, Jeanne fut conduite et liée, et jusqu’au dernier moment elle continua les louanges et lamentations dévotes envers Dieu, saint Michel, sainte Catherine et tous les saints.
En mourant, elle cria à haute voix : Jésus !
Je tiens de Jean Fleury, clerc et greffier du bailli, qu’au rapport du bourreau, le corps étant réduit en cendres, le coeur de Jeanne était resté intact et plein de sang.
On donna ordre au bourreau de recueillir tout ce qui restait de Jeanne et de le jeter à la Seine, il le fit. »
08:28 Publié dans Histoire | Lien permanent | Commentaires (0)
07/06/2022
Le singe n’est pas le père de l’humanité, Dieu merci, par L. Glauzy
Les évolutionnistes jouent sur les pourcentages pour faire croire que le singe est proche de l’homme. Qu’en est-il exactement ?
Les évolutionnistes utilisent à vau-l’eau les ressemblances génétiques. Ils en déduisent des liens de parenté, une descendance. Pourtant, de récentes découvertes démentent que l’homme et le singe partagent 99 % de leur code ou patrimoine génétique. Un article de Science Magazine du 29 juin 2007 intitulé « Relative Differences : The Myth of 1 % » (Des différences relatives : le mythe du 1 %) mentionne que cette différence est plus prononcée. Elle ne serait pas de 1 %, mais de 6,4 %. En Suède, le Dr Swante Pääbo surnommé « le pape de l’archéo-génétique » en référence à une étude menée sur l’ADN d’un prince égyptien momifié, dit qu’il n’existe pas aujourd’hui de moyens suffisamment précis pour se prononcer de manière péremptoire sur cette différence.
Dans la parution bibliste Creation update, les défenseurs du créationnisme avancent que cette ressemblance s’explique parce que nous vivons sur la même planète et que nous avons le même Créateur. Ils soulignent avec perspicacité que les évolutionnistes occultent une information majeure : l’ADN de l’homme est à 66 % identique à celui des choux !
De plus, l’homme compte vingt-trois paires de chromosomes. Ils sont constitués d’ADN. L’ADN total du génome humain comporte près de trois milliards de bases. Les bases sont désignées par les lettres A, T, G, C. Les combinaisons des bases correspondent à des instructions formant un être vivant. Cela signifie par exemple qu’un écart de 2 % correspond à soixante millions de bases contenant des informations différentes.
L’homme n’a donc rien a voir avec le singe comme le démontre l’absence totale de chaînons manquants. Il est à répéter que la science a maintes fois monté des faux comme l’homme de Nebraska, l’homme de Piltdown, l’homme de Java et Lucy, mélangeant des os d’homme et de singe.
« La science moderne est la science du démon » (Padre Pio, dont le corps est intact)
09:03 Publié dans Science | Lien permanent | Commentaires (0)
03/06/2022
Qui était CI Scofield?
Question: "Qui était CI Scofield?"
Pasteur Blanchard
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08:54 Publié dans Apolégétique | Lien permanent | Commentaires (0)