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19/05/2020

Pas d’amalgame entre « salafiste » et « salafiste » !

 

 

 

 

 
 
 
La première décapitation perpétrée sur le sol français à peine annoncée, les républicains , comme à l'accoutumée, ont agité leur gri-gri favori : « Pas d'amalgame ».
 
 

 
 
 
      

L’attentat contre l’usine de gaz, en Isère, et la première décapitation perpétrée sur le sol français à peine annoncés, les républicains de gauche, comme à l’accoutumée, ont agité leur gri-gri favori : « Pas d’amalgame ». Pas d’amalgame entre islam et islamisme, pas d’amalgame entre musulmans modérés et musulmans radicaux, ou, autre variante, entre islam et salafisme. Entre eux, point de socle commun, ni même quelque supposé lien de parenté.

 

Mais, stupeur, ce dimanche 28 juin, présentatrice et journaliste du journal de 19 h d’Antenne Réunion nous en révèlent un nouveau. Alors que Yassin Salhi – qui avait été fiché par les renseignements généraux précisément pour appartenance à la mouvance salafiste, donc en voie de radicalisation terroriste – est en garde à vue, on nous apprend que « le terme salafisme » ne doit pas être confondu avec celui de « djihadisme » ! Stupeur, encore, d’entendre définir le salafisme comme étant « un courant rigoriste de l’islam fondé sur une stricte interprétation du Coran », immédiatement suivi de cette affirmation : « La plupart des salafistes sont pacifistes. » » Mieux : « Les salafistes qui versent dans le djihadisme seraient ceux qui l’étudient le moins et ceux qui sont motivés par un sentiment d’oppression contre les musulmans. »» Ce n’est pas l’avis de Yadh Ben Achour, professeur de droit à l’université de Tunis :

 

L’erreur serait de supposer que ce salafiste est un pauvre hère égaré dans l’histoire de l’islam. Cessons de croire à la théorie de l’aberration qui veut que le salafiste ne représente pas l’islam ou que c’est l’enfant maudit de la famille […] »

 

Alors, on se dit que les médias réunionnais pèchent par naïveté ou par méconnaissance profonde de l’islam. Parce qu’en métropole, ce sont bien les salafistes qui y contrôlent une centaine de mosquées (chiffres de 2010), et une quarantaine d’autres soupçonnées de les rallier.

 

Pourtant, même son de cloche du côté de Saint Priest, à la mosquée fréquentée par Yassin Salhi où, étonnamment, personne ne semble le connaître. Le Monde nous apprend que le salafisme, pour Franck, un chrétien converti, « c’est le contraire du terrorisme, c’est prôner la paix, vivre ensemble, respecter l’autre […] ». « Pour nous, c’est pas des salafistes, ces gens-là », ajoute Belgacem, 60 ans, et assez énervé : « Ce sont ce que les savants appellent “les chiens de l’enfer” […], un salafiste, ça ne tue pas. ». Pas d’amalgame !

 

C’est à y perdre son latin… Djihadiste ou salafiste ? Salafiste modéré ou salafiste radical ? Salafiste pacifique ou non ? Cela va devenir vraiment très compliqué !

 

 

15/05/2020

Article dans « Le Luthérien » Janvier Février 1992 :

 

 

 

 

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   CENTRE D'ETUDES THEOLOGIQUES

              Châtenay-Malabry

 

 

 

 

Ceux qui connaissent l'histoire de notre Eglise savent que les premières générations de ses pasteurs ont été formées à l'étranger. Plus précisément, dans les séminaires du Synode du Missouri aux Etats-Unis. C'était le cas de mon père et de mon beau-père. Mais certains de ces étudiants, partis aux Etats-Unis pour y étudier la théologie, sont restés là-bas pour diverses raisons qui s'expliquent. Pour remédier à cela, mais aussi pour instruire, des hommes qui n'étaient pas en mesure de s'expatrier pendant de longues années, notre Eglise s'est vue encouragée à former elle-même les pasteurs dont elle avait besoin.

 

 

 

Grâce à un don généreux de notre Eglise sœur , le Synode du Missouri, le Centre d'Etudes Théologiques fut construit à Châtenay-Malabry (Hauts-de-Seine) et inauguré en 1955. J'ai eu le privilège d'être parmi les tout premiers étudiants à bénéficier des cours du Professeur Guillaume Wolff. Et cela, dès 1953, des années avant de passer mon baccalauréat. C'étaient des cours du soir donnés à Paris, à intervalles réguliers. Notre professeur, qui exerçait encore un ministère pastoral en Alsace, venait à intervalles réguliers pour des périodes de trois semaines.

 

 

 

J'avais pour compagnons d'études des hommes issus du clergé de l'Eglise Catholique, qui voulaient devenir pasteurs chez nous et suivaient pour cela un recyclage. D'autres étudiants se joignirent au petit groupe ; certains finirent par suivre une orientation différente.

 

 

 

Une fois passé le bac (en option A, après 6 années de latin et 4 de grec), je me rendis régulièrement à Châtenay-Malabry, dans les locaux flambant neufs du C.E.T. On nous encourageait fortement à nous inscrire parallèlement en faculté des lettres ou à l'Ecole Pratique des Hautes Etudes des Sciences Religieuses. Cela garantissait une couverture sociale et permettait de solliciter une bourse et de décrocher un diplôme universitaire.

 

 

 

D'autres étudiants prirent le relais. En nombre restreint, il est vrai, mais assez nombreux pour remplacer l'ancienne génération de pasteurs et même fonder des postes missionnaires dans la région parisienne et ailleurs. A l'heure actuelle, tous les pasteurs en exercice de notre Eglise ont suivi leur formation, totale ou partielle, à Châtenay-Malabry, et tous gardent un souvenir ému et reconnaissant de cet homme humble, discret, mais cultivé et profondément enraciné dans la Bible que fut le fondateur du C.E.T.

 

 

Il partit en retraite et fut remplacé par le soussigné en 1974. Il est fort possible que les études aient changé de style, mais leur contenu est resté fondamentalement le même. Le souci de notre Eglise en effet a été de dispenser un enseignement marqué par la soumission inconditionnelle à l'Ecriture Sainte et la fidélité aux Confessions adoptées par l'Eglise luthérienne au lendemain de la Réforme.

 

 

 

Le soussigné est le seul professeur employé à plein-temps, mais, dans la mesure du possible, secondé par des membres du corps pastoral. C'est dire que la formation dispensée au Centre d'Etudes Théologiques se concentre sur l'essentiel : l'étude des langues anciennes (grec, hébreu, latin), la théologie systématique, l'herméneutique (science et techniques d'interprétation), l'exégèse (commentaire des textes bibliques), l'art de la prédication, la théologie pastorale, la symbolique (étude des Confessions Luthériennes et étude comparée de l'enseignement des Eglises) et, dans la mesure du possible, histoire de l'Eglise, histoire des dogmes et histoire des religions.

 

 

Tous les étudiants sont encouragés à compléter leur formation en faculté, en suivant des cours d'histoire de l'Eglise, de sociologie, de psychologie, de science des communications, etc. Certains d'entre eux ont eu le privilège de faire une ou deux années de théologie, ou un stage, à l'étranger, aux Etats-Unis, en Allemagne ou en Angleterre, une expérience qui leur a permis d'élargir leur horizon et qu'ils ont certainement vécue comme enrichissante.

 

 

 

Le C.E.T. a eu également la possibilité de former au ministère des hommes qui travaillent pour le Seigneur sur d'autres continents. L'un d'eux exerce son ministère en Afrique du Sud, dans deux paroisses d'expression allemande. Deux pasteurs zaïrois mettent au service de l'Eglise Luthérienne au Zaïre l'enseignement reçu à Châtenay-Malabry pendant quatre ans et l'expérience acquise au cours d'un vicariat dans nos paroisses. D'autres travaillent ou ont travaillé aux USA, au Canada ou en Allemagne.

 

 

 

A côté de l'enseignement proprement dit, le Centre d'Etudes Théologiques s'efforce modestement de pallier une grave carence dans la littérature théologique luthérienne en français, en publiant soit des «Cahiers du Centre d'Etudes», soit des cours ou plans de cours. L'informatique a passé par le C.E.T. et apporte des solutions à des problèmes techniques qui étaient jadis quasiment insurmontables.

 

 

Il est à peu près certain que le C.E.T. devra à l'avenir diversifier son enseignement et former des hommes à différents types de ministères dans l'Eglise. Cet enseignement devra être décentralisé et dispensé avec assez de souplesse pour pouvoir être suivi par des gens exerçant une activité professionnelle ou suivant une formation en faculté. L'Eglise a besoin d'ouvriers aux talents divers, dont la formation ne sera pas nécessairement la même parce que leurs responsabilités ne seront pas identiques.

 

 

 

Vaste programme dont nous devons nous efforcer de clarifier au maximum les éléments. Mais c'est certainement à ces prix-là qu'elle pourra continuer d'accomplir la mission qui est la sienne avec les moyens en hommes et en argent dont elle dispose. Le travail qui se fera à l'avenir au Centre d'Etudes ne sera sans doute pas tout à fait identique à ce qu'il a été dans le passé. Mais ce travail est là. La moisson est grande, et il faut des ouvriers. Aussi nous souhaitons longue vie au C.E.T. 

 

  

 

Professeur Wilbert Kreiss

 

 

PS : Je tiens à la disposition de ceux qui le souhaite l’article en PDF.

 

 

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10:32 Publié dans Biographie | Lien permanent | Commentaires (0)

12/05/2020

Le « vrai islam », c’est « enlever les chrétiennes et détruire les églises » !

 

 

 

 

 

 

 

 

Ce n’est pas moi qui le dit, mais le « grand ayatollah » chiite d’Irak Ahmad al-Husseini al-Baghdadi, meilleur interprète que moi de la doctrine musulmane. C’est ce qui ressort d’un entretien qu’il a accordé à une télévision irakienne et qui a été mis en ligne sur Youtube le 14 avril dernier. Selon la traduction en anglais qu’en a faite Raymond Ibrahim pour Frontpage Mag, voici ce que le « grand ayatollah » a notamment déclaré.

 

 

« Si ce sont des gens du Livre [chrétiens et juifs], nous exigeons d’eux la djizya, et s’ils refusent nous les combattons. Ça c’est s’il est chrétien. Il a trois choix. Soit il se convertit à l’islam ou s’il refuse parce qu’il veut rester chrétien alors il paye la djizya. Mais s’ils continuent à refuser alors nous les combattons : nous enlevons leurs femmes et nous détruisons leurs églises. C’est ça l’islam ! (…) Ce n’est pas l’opinion de Ahmad al-Husseini al-Baghdadi, mais l’opinion des cinq écoles de jurisprudence [quatre sunnites et une chiite] ».

 

 

Source : Frontpage Mag

08/05/2020

Le singe n’est pas le père de l’humanité, Dieu merci, par L. Glauzy

 

 

 

Les évolutionnistes jouent sur les pourcentages pour faire croire que le singe est proche de l’homme. Qu’en est-il exactement ?

 

 

Les évolutionnistes utilisent à vau-l’eau les ressemblances génétiques. Ils en déduisent des liens de parenté, une descendance. Pourtant, de récentes découvertes démentent que l’homme et le singe partagent 99 % de leur code ou patrimoine génétique. Un article de Science Magazine du 29 juin 2007 intitulé « Relative Differences : The Myth of 1 % » (Des différences relatives : le mythe du 1 %) mentionne que cette différence est plus prononcée. Elle ne serait pas de 1 %, mais de 6,4 %. En Suède, le Dr Swante Pääbo surnommé « le pape de l’archéo-génétique » en référence à une étude menée sur l’ADN d’un prince égyptien momifié, dit qu’il n’existe pas aujourd’hui de moyens suffisamment précis pour se prononcer de manière péremptoire sur cette différence.

 

 

 Dans la parution bibliste Creation update, les défenseurs du créationnisme avancent que cette ressemblance s’explique parce que nous vivons sur la même planète et que nous avons le même Créateur. Ils soulignent avec perspicacité que les évolutionnistes occultent une information majeure : l’ADN de l’homme est à 66 % identique à celui des choux !

 

 De plus, l’homme compte vingt-trois paires de chromosomes. Ils sont constitués d’ADN. L’ADN total du génome humain comporte près de trois milliards de bases. Les bases sont désignées par les lettres A, T, G, C. Les combinaisons des bases correspondent à des instructions formant un être vivant. Cela signifie par exemple qu’un écart de 2 % correspond à soixante millions de bases contenant des informations différentes.

 

 

 L’homme n’a donc rien a voir avec le singe comme le démontre l’absence totale de chaînons manquants. Il est à répéter que la science a maintes fois monté des faux comme l’homme de Nebraska, l’homme de Piltdown, l’homme de Java et Lucy, mélangeant des os d’homme et de singe.

 

 

 « La science moderne est la science du démon » (Padre Pio, dont le corps est intact)

 

05/05/2020

Abbé Pagès : « L’islam n’a pas d’autre raison d’être que de persécuter à mort l’Église »

 

 

 

 

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« Invité surprise » du colloque Orient-Occident : libertés en péril, organisé à Paris  par l’Association internationale Solidarité Copte Europe (AISCE), que dirige notre ami Sobhy Gress, l’abbé Guy Pagès a prononcé une courte mais excellente intervention dans laquelle il n’y a décidément rien à jeter. Mais ce sont, sans doute, des paroles rudes : « Cette parole est rude ! Qui peut l’entendre ? » (Jn 6, 60). Je pense que les lecteurs de L’Obs le peuvent. Les voici…

 

 

Merci aux associations Solidarité Copte et SOS Chrétiens d’Orient [et puis à l’Aide à l’Église en Détresse] pour leur dévouement au service de nos frères chrétiens persécutés, par l’islam, dans leurs propres pays, parce qu’ils sont chrétiens.

 

 

L’islam en effet n’a pas d’autre raison d’être que de persécuter à mort l’Église pour lui ravir sa place et prétendre ainsi assumer à sa place la mission de salut du monde que Jésus lui a confiée (Mc 16, 16). Mais qui peut oser parler APRÈS la Vérité (Jn 14, 6 ; Coran 6, 73 ; 16, 40), sinon l’Imposteur ? Qui peut venir APRÈS le Christ, sinon l’Antichrist ? Qui peut venir APRÈS Jésus, sinon Mahomet ? Alors qu’au prix de Son sacrifice (Ep 2, 14-16), le Messie a détruit le mur de la haine entre les Juifs et les non Juifs (Ga 3, 27-28), en sorte que désormais à l’image de Dieu qui est Un, nous pouvons tous ne faire plus qu’un, voilà que l’islam vient détruire l’œuvre du Christ en divisant à nouveau l’humanité entre musulmans et non musulmans : « Entre nous et vous, c’est l’inimitié et la haine à jamais jusqu’à ce que vous croyez en Allah, seul ! (Coran 60, 4) ».

 

 

En islam, la liberté est une ennemie, parce qu’elle détourne de l’obéissance au Coran où tout est censé  consigné de ce que l’homme doit savoir (Coran 6, 153 ; 7, 3). Le mot arabe bid‘ah signifie à la fois « innovation » et « hérésie », en sorte qu’assimilée au plus grand des péchés, elle est passible de mort. C’est ainsi que l’islam se confond avec la destruction de toute vie humaine digne de ce nom, dans son projet de ramener l’homme à son état originel, au point zéro de son histoire, là où se trouve le véritable islam. Mais qu’y avait-il au point zéro de l’Histoire, sinon… rien ?!

 

 

Malheureusement, l’Occident, qui a lui aussi rejeté la foi chrétienne, est en train de perdre la liberté qu’il avait par elle reçue, selon cette Parole de Jésus : « Si vous gardez Ma parole, vous connaîtrez la Vérité, et la Vérité vous libérera. (Jn 8, 32) ». Islam et laïcisme, bien qu’apparemment opposés, conduisent pourtant pareillement l’homme à l’esclavage, aussi vrai que l’idéal de l’islam est d’être l’esclave d’Allah, un dieu aussi irrationnel que cruel, et que le laïcisme, niant la vérité objective, lui préfère l’opinion, qui rend l’homme esclave de son ignorance et de son orgueil. L’alliance des deux que l’on ne voit que trop bien à l’œuvre au Moyen-Orient, est chez nous très bien exprimée par cette célèbre phrase de Roland Ries, sénateur et maire de Strasbourg : « Nous servons dans les cantines de la viande hallal par respect de la diversité, mais pas de poisson le vendredi par respect de la laïcité. »… Au nom de la lutte contre le terrorisme, non seulement nos libertés sont peu à peu sacrifiées, mais l’islam est officiellement défendu, promu et financé ! L’islam modéré bien sûr ! Celui qui n’a pas le même Allah, ni le même Mahomet ni le même Coran que le non modéré ! Celui qui se pose toujours la question de savoir s’il faut modérément tuer les apostats ou les tuer modérément… Le seul fait de parler d’islam modéré n’est-il pas suffisamment explicite pour dire que l’islam en soi ne l’est pas ?

Le constat de cette complicité qui se noue chaque jour un peu plus sous les auspices du dieu Argent, doit conduire les chrétiens à rendre un témoignage chaque jour plus fort à la Vérité. Jésus a dit n’être né et n’être venu en ce monde QUE pour ceci : rendre témoignage à la Vérité (Jn 18, 37). Le témoignage rendu à la Vérité détruit l’empire de Satan, père du mensonge et homicide dès le commencement (Jn 8, 44), comme le soleil levant chasse les ténèbres de la nuit. Aussi, pour l’amour de Jésus et de nos frères martyrisés, cessons de mentir au sujet de l’islam en répétant le discours qu’il veut entendre et que nous impose le politiquement correct ! Cessons de vouloir croire que l’islam est une religion, ce qu’il n’est pas, aussi vrai qu’il ne relie pas à Dieu, trop grand pour jamais s’associer à une créature ― Suprême blasphème ! ― et qu’il n’y a qu’un seul Dieu, un seul Messie et Sauveur, une seule foi, un seul baptême, une seule Église ! Cessons d’avoir peur et d’oublier que nous avons la vie éternelle (1 Jn 5, 13) ! Nos martyrs savent qu’il n’y a pas de plus grande gloire que de donner sa vie pour l’amour de Jésus. Le croyons-nous aussi ? « Ne craignez rien de ceux qui tuent le corps et après cela ne peuvent plus rien faire, craignez Satan qui après avoir tué le corps peut aussi jeter l’âme en Enfer ! (Lc 12, 4) » !

 

 

La sauvegarde de ce qui nous reste de liberté, mais aussi le salut de nos âmes, de nos enfants, et des musulmans, implique la disparition de l’islam. Chacun doit être capable de rendre témoignage à la vérité auprès des musulmans qu’il rencontre et dont beaucoup n’attendent que cela… A cette fin, j’ai publié ce livre : « Interroger l’islam, 1501 questions à poser aux musulmans », de sorte que sans les agresser, mais en les invitant simplement à réfléchir, en leur posant des questions, nous aidions les musulmans à se libérer de l’esclavage du mensonge et à devenir eux-mêmes libres de la liberté des enfants de Dieu !

 

 

Que la Mère de l’Église, « terrible comme une armée rangée en bataille » (Ct 6, 3-9), nous aide, dans ce grand combat, à prendre chacun notre part de souffrances, en bon soldat du Christ Jésus (2 Tm 2, 3) !

 

Source : Islam & Vérité,