Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

03/11/2020

L’islamisme et/ou la haine de la France s’imposent aux heures de grande écoute à la télévision:

 

 

 

Sihamedi-Idriss-pr--sident-de-barakacity.jpg

 

 

 

 

 
Salafistes et radicaux sont devenus les ambassadeurs officieux de certains quartiers dits « populaires ». Ces quartiers où l’État n’existe plus.
 
 
 
 
 

 
 
 
      

Si les mal-pensants, selon les normes en vigueur du PAF, font figure de dahus médiatiques, il n’en va pas de même pour les islamistes et les gens qui haïssent la France du plus profond de leur être. Récemment, deux émissions ont fait vivement réagir les internautes. Elles étaient exemplaires, à plus d’un titre, de cette « soumission »qui vient, selon le titre désormais fameux du dernier roman de Michel Houellebecq. Côté pile, une jeune professeur d’anglais, à l’apparence plutôt avenante. Côté face, un homme portant barbe et kami. Les deux faces d’une même pièce : le multiculturalisme qui génère des conflits multiples sur notre territoire.

 

 

Jeudi dernier, le philosophe Alain Finkielkraut était apostrophé par une enseignante lors de l’émission « Des paroles et des actes ». Immédiatement, la jeune femme, appelée Wiam Berhouma, a cherché à en découdre. Elle a d’abord commencé par qualifier le professeur de philosophie de l’École polytechnique de « pseudo-intellectuel », puis a assené avec un sourire carnassier qu’Alain Finkielkraut était un « semeur de haine et de discorde ». La jeune hystérique a terminé son intervention en posant la question suivante : « Monsieur Finkielkraut, êtes-vous conscient de faire mal à la France ? »en se positionnant arbitrairement dans un camp du bien indéfini. Sans jamais argumenter ses propos, Wiam Berhouma a déversé un torrent de haine particulièrement gênant : « Là où votre rôle d’intellectuel était d’éclairer les débats, vous avez, au contraire, obscurci nos pensées, nos esprits, avec tout un tas de théories vaseuses et très approximatives. »

 

David Pujadas a présenté cette jeune femme comme n’étant affiliée à aucun parti ni aucun mouvement associatif. C’était inexact, bien que madame Berhouma s’en soit défendue sur Twitter. Elle est en réalité proche des Indigènes de la République, groupuscule qui ne fait pas mystère de son racisme anti-blanc. Il faut bien avoir en tête que les Indigènes de la République, dont le nom est passablement trompeur, ne sont pas simplement des révisionnistes de l’histoire de France mais bel et bien des négationnistes. Héritiers de Bourdieu et des Black Panthers, ces gens sont le bras armé culturel du lumpenprolétariat issu de l’immigration non assimilée. Ils ont notre histoire en horreur. David Pujadas n’a pas correctement fait son travail de journaliste en omettant de préciser ce fait pourtant capital aux téléspectateurs. Les personnes comme Wiam Berhouma sont choyées par le pouvoir sociétaliste. Elles sont le visage aimable de la France désintégrée, de la France soumise aux intérêts communautaires particuliers d’activistes.

 

 

Dans un registre plus brut de décoffrage, le « musulman normal »Idriss Sihamedi. L’homme, dirigeant de l’association humanitaire islamique BarakaCity, était invité de l’émission « Le Supplément » de dimanche dernier. BarakaCity intervient en Syrie, probablement avec l’aval du Quai d’Orsay. Interrogé sur ses pratiques religieuses, monsieur Sihamedi n’a pas hésité à affirmer ne pas serrer la main des femmes et a tenu un discours très ambigu lorsqu’il lui a été demandé de condamner l’État islamique. Le dirigeant associatif est un thuriféraire du djihad pacifique et propose « une belle alternative »aux jeunes de banlieue désireux de rejoindre l’État islamique.

 

 

« Ce n’est pas qu’on ne condamne pas l’État islamique, c’est qu’on essaye d’avoir une certaine pédagogie pour essayer de discuter avec les jeunes et pour leur faire comprendre qu’on est une alternative qui est bien, qui est pacifique. Ce n’est pas équitable, ce n’est pas juste de poser la question à un musulman comme moi parce que je suis musulman », a ainsi lâché monsieur Sihamedi. Il faut dire que son association a reçu 16 millions d’euros de dons lors des trois dernières années. Peut-être ne souhaitait-il pas fâcher ses généreux, et très mystérieux, donateurs ?

 

Face à lui,,la ministre de la (ré)éducation nationale, n’a pas osé s’opposer vigoureusement, se déclarant tout juste « gênée ». Eh oui, monsieur Sihamedi n’est pas d’« extrême droite ». Il appartient normalement au « camp du bien ». On avait connu Najat Vallaud-Belkacem moins timide sur les questions de genre ou de discrimination positive. Le cahier des charges de Terra Nova l’obligeait à respecter le pacte non écrit signé avec les clientèles électorales communautaires. Salafistes et radicaux sont, en effet, devenus les ambassadeurs officieux de certains quartiers dits « populaires ». Ces quartiers où l’État n’existe plus, ces quartiers qui ne sont français que sur le strict plan de la géographie physique. Éteignez vos téléviseurs.

 

 

 

30/10/2020

Nice, pas d’amalgame, mais …

 

 

 

 

Nice-attentat-2020.jpg

 

 

.. bientôt la guerre de libération nationale ?

 

 

Suite à l’attentat dans la basilique de Nice, l’ancien Premier ministre de Malaisie, Mahathir Mohamad vient de déclarer que les musulmans avaient « le droit de tuer des millions de Français ».

Autrement dit, l’injonction « pas d’amalgame » ne s’adresse qu’aux Français… Les musulmans, eux, ne se gênent pas pour le faire. Ainsi, celui qui a agi à Nice, faisait bien, lui, l’amalgame entre d’innocentes grenouilles de bénitier et les journalistes de Charlie Hebdo défendus par Macron.

 


Le terroriste de Nice est un migrant tunisien récemment arrivé en France en passant par Lampedusa

Ce sont ainsi tous les Français qui sont menacés, pas seulement ceux qui font des caricatures, pas seulement ceux qui les montrent dans leur classe, pas seulement les laïcards, non, tous, même les catholiques dont le Pape est pourtant de plus en plus compréhensif avec les musulmans (sic !).

 

Peut-on d’ailleurs reprocher leur attitude aux musulmans? Lorsque Charlie fait des caricatures sur le prophète, est-ce qu’il n’amalgame pas l’ensemble des musulmans ? Est-on sûr, d’autre part, que Charlie ne fait pas ces caricatures « au nom de tous les Français » ?

 

Alors, combien de temps va-t-on pouvoir maintenir cette fiction du « pas d’amalgame » pour tenter de conjurer la guerre civile ? Aller hop, si c’est comme ça, on confine tout le monde, c’est plus sûr.

 

Du confit de multiculturalisme, vous en reprendrez bien un peu ?

 

27/10/2020

Charité bien ordonnée devrait commencer par la France:

 

 

 

 

France.jpg

 

         

Malgré la perte de ma foi, je ne crois pas qu’il me faille oublier les bonnes leçons que son enseignement m’a données. Je subodore que je ne dois pas être le seul à faire cette confession.

 


Bien que je me situe loin des choses de l’Église, je garde l’idée que la civilisation française est le produit de deux mille ans d’une histoire établie sur les valeurs dont la chrétienté l’a dotée.

 

Sans doute ne suis-je pas, non plus, solitaire dans cette proclamation.

 

 

Cela est aussi évident que chacun de nos villages est construit autour d’une église. Cette conviction conceptuelle me laisse croire que « charité bien ordonnée commence par soi-même ».

 

Cela est une idée chère aux chrétiens qui devrait l’être à tous.

 

Elle ne signifie pas que, si une douceur devait subsister, celle-ci devrait être accordée, par priorité, à la faveur de mon palais, mais, simple et pragmatique, que pour bien aimer (bien aider) les autres, il faut commencer par s’aimer soi-même. Il me paraît que cette vérité est, lentement, remplacée par l’amour de l’autre au détriment de soi. Il n’est que de considérer les excès qui touchent à l’accueil des immigrants et les conséquences néfastes de cet afflux massif.

 

 

Ce déterminisme souligne l’action irréfléchie des « politiques » répondant à l’inspiration confuse de certains, à moins qu’il ne s’agisse, plus pernicieusement, du contraire.

 

Cette méprise est à droite : Alain Juppé assure que l’immigration serait une chance pour notre pays (marquant un changement avec les idées qui furent les siennes). Elle est à gauche : François Hollande veut attribuer le droit de vote aux étrangers.

 

 

Chacun sait bien que « quand il y en a pour 2, il ne peut y en avoir pour 10 », donc, « quand il n’y en a pas assez pour 60 millions, il ne saurait y en avoir suffisamment pour 200.000 de plus chaque année ». Cela paraît juste évident, faut-il encore le dire et en tenir compte.

 

Il est insoutenable de s’obliger à des artifices grossiers pour faciliter ce changement. L’appel répété à la laïcité n’a pour but que de mettre sur un plan d’égalité les pratiques ici millénaires et celles d’une croyance venue d’ailleurs où la réciprocité est bannie. Notre comportement accort reçoit-il l’effet d’une reconnaissance ? La conduite des minorités visibles exogènes répond sans ambiguïté : Non.

 

La posture suicidaire de nos compatriotes, au regard de ce problème, provient d’une volonté de repentance, elle-même d’un sentiment de culpabilité, injuste. Que se reproche-t-on qui nous oblige à tant d’abnégation et d’oubli de soi ?

 

Il y a la colonisation, dont nulle démonstration n’a apporté la preuve de l’unicité supposée du préjudice comparé aux multiples apports.

 

Il y a la pratique esclavagiste qui n’est ni notre invention, ni notre apanage, tellement partagée.

 

Il y a l’Holocauste, le crime nazi dont il serait inique d’étendre l’opprobre sur tous.

 

Ainsi, devons-nous baisser la tête et renier ce que nous sommes ? Ce fatalisme prétendrait nous priver de notre identité et fouler nos valeurs ?

 

09:56 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

23/10/2020

Pas d’amalgame entre « salafiste » et « salafiste » !

 

 

 

La seconde décapitation perpétrée sur le sol français , les républicains de gauche, comme à l'accoutumée, ont agité leur gri-gri favori : « Pas d'amalgame ».
 
 

 
 
 
      

L’attentat contre l’usine de gaz, en Isère, et la première décapitation perpétrée sur le sol français à peine annoncés, les républicains de gauche, comme à l’accoutumée, ont agité leur gri-gri favori : « Pas d’amalgame ». Pas d’amalgame entre islam et islamisme, pas d’amalgame entre musulmans modérés et musulmans radicaux, ou, autre variante, entre islam et salafisme. Entre eux, point de socle commun, ni même quelque supposé lien de parenté.

 

Mais, stupeur,  présentatrice et journaliste du journal de 19 h d’Antenne Réunion nous en révèlent un nouveau. Alors que Yassin Salhi – qui avait été fiché par les renseignements généraux précisément pour appartenance à la mouvance salafiste, donc en voie de radicalisation terroriste – est en garde à vue, on nous apprend que « le terme salafisme » ne doit pas être confondu avec celui de « djihadisme » ! Stupeur, encore, d’entendre définir le salafisme comme étant « un courant rigoriste de l’islam fondé sur une stricte interprétation du Coran », immédiatement suivi de cette affirmation : « La plupart des salafistes sont pacifistes. » » Mieux : « Les salafistes qui versent dans le djihadisme seraient ceux qui l’étudient le moins et ceux qui sont motivés par un sentiment d’oppression contre les musulmans. »» Ce n’est pas l’avis de Yadh Ben Achour, professeur de droit à l’université de Tunis :

 

L’erreur serait de supposer que ce salafiste est un pauvre hère égaré dans l’histoire de l’islam. Cessons de croire à la théorie de l’aberration qui veut que le salafiste ne représente pas l’islam ou que c’est l’enfant maudit de la famille […] »

 

Alors, on se dit que les médias réunionnais pèchent par naïveté ou par méconnaissance profonde de l’islam. Parce qu’en métropole, ce sont bien les salafistes qui y contrôlent une centaine de mosquées (chiffres de 2010), et une quarantaine d’autres soupçonnées de les rallier.

 

Pourtant, même son de cloche du côté de Saint Priest, à la mosquée fréquentée par Yassin Salhi où, étonnamment, personne ne semble le connaître. Le Monde nous apprend que le salafisme, pour Franck, un chrétien converti, « c’est le contraire du terrorisme, c’est prôner la paix, vivre ensemble, respecter l’autre […] ». « Pour nous, c’est pas des salafistes, ces gens-là », ajoute Belgacem, 60 ans, et assez énervé : « Ce sont ce que les savants appellent “les chiens de l’enfer” […], un salafiste, ça ne tue pas. ». Pas d’amalgame !

 

C’est à y perdre son latin… Djihadiste ou salafiste ? Salafiste modéré ou salafiste radical ? Salafiste pacifique ou non ? Cela va devenir vraiment très compliqué !

 

 

 

 

20/10/2020

De Gilles de Rais à Jeffrey Epstein : le pouvoir, cet aphrodisiaque suprême:

 

 

 

execution_gilles_de_rais.png

 

 

 

 

Au Moyen Âge, les grands prédateurs sexuels parcouraient la campagne à cheval. Aujourd’hui, leurs descendants spirituels sillonnent le monde à bord de leur jet privé. Les modi operandichangent, l’idée générale reste.

 

 

 

Certes, Jeffrey Epstein ne tuait pas ses victimes après les avoir abusées sexuellement, comme le célèbre Gilles de Rais, cette figure inspiratrice, dit-on, de Barbe Bleue, et compagnon de Jeanne d’Arc. Ce grand seigneur, issu de la puissante et noble maison de Montmorency-Laval, termina pendu au bout d’une corde, le 26 octobre 1440, à Nantes, après avoir été jugé par les tribunaux canonique et séculier. Il avait été reconnu coupable de « crime et vice contre nature avec des enfants de l’un et de l’autre sexe selon la pratique sodomite ». La cour ecclésiastique lui imputa au moins 140 crimes, si l’on en croit le livre de Georges Bataille (1897-1962), Le Procès de Gilles de Rais (1959).

 

 

Le monde est un village et il y a longtemps que l’église n’y a plus sa place au milieu, mais il y a toujours quelque part, un peu à l’écart, un château. Les nouveaux seigneurs, qui n’empestent plus la sueur des longues chevauchées sur leur noble destrier, peuvent, à l’abri des vues indiscrètes et vulgaires, y faire leurs petites affaires. Les modi operandi changent, disions-nous. Voire, finalement. Gilles de Rais utilisaient les services de deux rabatteurs, Henriet et Poitou, qui finirent, comme leur maître, au bout d’une corde. Aujourd’hui, époque plus sophistiquée, on parle d’une société de mannequinat dans laquelle Epstein aurait investi jusqu’à deux millions de dollars, si l’on en croit Marie Claire. Société, toujours selon le magazine féminin, qui serait « accusée d’avoir utilisé sa position pour fournir des visas à des jeunes filles mineures et permettre leur exploitation à travers le globe pour satisfaire les “besoins particuliers” d’Epstein et alimenter son trafic sexuel ».

 

 

C’est bien ça : le monde est un village. Et un village où le confort moderne a été installé. Un village aussi grand que les idées sont larges dans ce beau petit monde. Plus d’Henriet et de Poitou, vils manants de basse extraction qu’on imagine l’œil torve et le front bas, allant patauger dans les cours de fermes boueuses. Mais de très chics sociétés de mannequinat où l’on y parle sans doute trois langues sur une moquette impeccable dans des costumes et des tailleurs des meilleures marques.

 

 

Gilles de Rais se pensait sans doute un haut et puissant seigneur, ayant pouvoir de vie et de mort sur tout ce qui bougeait sur ses terres. Le pouvoir ! Sur le cours du monde, sur les hommes, sur les femmes… Pouvoir de la terre et du nom, autrefois. Pouvoir de l’argent aujourd’hui. En 1976, Henry Kissinger, qui ne pensait qu’au cours du monde, déclarait au Guardian que le « pouvoir est l’aphrodisiaque suprême ». Rien ne change, sauf que le pouvoir n’est peut-être plus là où l’on pense qu’il est.

 

 

execution_gilles_de_rais.png

 

 

 

10:41 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)