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11/08/2020

L’abbé Guy Pagès menacé de mort !

 

 

 

 

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L’abbé Guy Pagès, bien connu , travaille à faire mieux connaître la vérité de l’islam qu’il expose, notamment, sur son site Islam & Vérité, enfin… quand on peut s’y connecter car au moment de ma consultation le site n’était pas disponible… Curieux. Mais, et la chose est encore plus grave, l’abbé Pagès a reçu hier une menace de mort sur sa page Facebook. Elle provient d’un musulman. Vous verrez ci-dessous la copie d’écran de ce message dont j’ai masqué l’avatar et gommé le nom de l’expéditeur qui ne nous est pas inconnu mais qui ne devrait pas longtemps l’être des services de police car j’ai recommandé à l’abbé de porter plainte pour cette menace de mort lourdement réprimée par le Code pénal : « La menace de commettre un crime ou un délit contre les personnes dont la tentative est punissable est punie de six mois d’emprisonnement et de 7 500 euros d’amende lorsqu’elle est, soit réitérée, soit matérialisée par un écrit, une image ou tout autre objet » (art. 222-17). Sachant que beaucoup de lecteurs apprécie le courage de l’abbé et l’utilité de son travail, je vous suggère de lui adresser un message de sympathie, de soutien ou d’assurance de vos prières.

 

07/08/2020

Entretien avec Jacques Bompard:

 

 

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Les insultes et les anathèmes pleuvent lorsque l’on ne respecte pas le prêt-à-penser !

 

 

   

Jacques Bompard, lors de l’adoption, de la résolution réaffirmant le « droit fondamental à l’IVG en France et en Europe » par l’Assemblée nationale, vous avez fait un discours « discordant » très remarqué. Pourquoi avez-vous tenu à vous exprimer ?

 

 

J’ai tenu à m’exprimer avec modération contre ce que je jugeais être une nouvelle atteinte aux lois naturelles. Il est évident qu’il n’y a absolument plus besoin, en France, de faire le moindre effort pour banaliser l’avortement. En revanche, il faut prendre son souffle au moment d’aller batailler à la tribune : les insultes et les anathèmes pleuvent immédiatement lorsque l’on ne respecte pas le prêt-à-penser.

 

 

Et c’est pour cela que j’ai voulu tenir ma place dans la défense de la vie. Nos adversaires sont à ce point intolérants car ils savent pertinemment que l’IVG est la pierre d’angle de leur « loi du progrès ». Sans elle, plus de marchandisation du corps de la femme et plus de réduction de l’être humain à un matériau exploitable.

 

 

Il faut aussi dire que personne ne peut, en conscience, assumer cette défense de la vie et être absent le jour de ce vote. Ou alors ce n’est plus considérer la politique comme le service de la Cité mais comme du marchandage électoral. Or, la vie est notamment refusée à ces 225.000 fœtus avortés par an.

 

 

J’ajoute enfin que les mêmes qui érigent en droit fondamental la disparition de l’enfant à naître sont très souvent les mêmes qui nous expliquent que l’immigration est une chance pour la France et une occasion pour elle de la vivifier par un sang neuf. Pour mémoire, le nombre d’avortements pratiqués et le nombre d’immigrés légaux arrivant sur le sol français chaque année est sensiblement le même. Ce faisant, je m’interroge sur le législateur qui commet un double crime en faisant disparaître des enfants et dans le même temps pille les forces vives des pays du tiers monde.

 

 

Quelques jours auparavant, quand le projet de loi sur la modulation des allocations familiales en fonction du revenu est passé devant l’Assemblée en seconde lecture, vous avez tenté, avec d’autres députés, de réitérer le « coup du rideau », initié en leur temps par les socialistes. Est-il vrai qu’il s’en est fallu d’une voix pour que cela fonctionne ?

 

 

 

Oui, l’amendement a été voté par 64 députés contre 64 oppositions. Nous étions près du but, c’est-à-dire d’empêcher la représentation nationale de briser l’un des principes fondateurs de notre système de protection sociale. Les familles, comme vos lecteurs le savent, vont pâtir de cette destruction du modèle français qui a longtemps soutenu notre politique nataliste.

 

 

Le Parti socialiste ne fait que suivre là les conseils des mondialistes : briser les exceptions françaises et parier sur le Grand Remplacement pour donner du « dynamisme » à notre pays. Vous le savez, je préfère d’abord défendre les gens d’ici.

 


Le président de l’Assemblée Claude Bartolone envisage de limiter le nombre de questions écrites au gouvernement. Qu’en pensez-vous ?

 

 

Comme le relevait le président de la commission des lois, certains députés, afin de faire grossir leur activité parlementaire, posent la même question écrite pour chaque département. En une question, ils en font cent… Pour ma part, toutes mes questions écrites sont uniques, proposant tantôt une vision critique de l’action politique du gouvernement, tantôt l’éclairage d’un point de droit précis par les ministères. Toutes mes questions sont utiles.

 

 

Cependant, il faut affirmer très clairement que l’Assemblée nationale prouve par son règlement et son mode de fonctionnement que nous ne vivons pas en démocratie. Utilisation abusive du temps programmé, conférence dictatoriale des présidents qui arrangent les ordres du jour, non représentation des élus sans groupes politiques : rien n’est épargné aux électeurs pour brimer leurs choix et limiter l’action du non-inscrit.

 

 

Je suis un adepte des questions écrites ; elles sont l’une des rares niches qui demeuraient encore pour laisser les élus s’exprimer librement. Las, c’était trop de liberté accordée aux opposants au prêt-à-penser et le président de l’Assemblée nationale préfère très certainement les discours convenus qui s’égrènent à la tribune où mes collègues reprennent pour la plupart les fiches issues des partis politiques ou des officines. La fréquentation des bancs de l’Assemblée donne une certitude : jamais le pays réel n’a été moins représenté et servi par nos élites politiques.

 

 

Entretien réalisé par Gabrielle Cluzel

 

 

 

 

09:19 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

04/08/2020

Turquie : 15 pasteurs menacés de mort:

 

 

 

 

 

 

 

Une lectrice (merci Ch. P. !) me signale un article de Portes Ouvertes, l’organisation protestante bien connue au service des chrétiens persécutés et qui édite, chaque année, un très précieux Index mondial de persécution. Ce dont il nous informe est plus que préoccupant… Les actes christianophobes contre les chrétiens ne sont pas rares en Turquie, en particulier mais pas uniquement contre les chrétiens protestants.

 

 

Portes Ouvertes s’inquiète de la sécurité de plusieurs pasteurs protestants qui, depuis le 27 mars, sont harcelés par des messages les menaçant de mort sur leur boîte de courriels, pages Facebook et internet ou téléphones. Le langage et les visuels utilisés par leurs auteurs font penser à l’organisation État islamique. L’un des pasteurs dit avoir reçu des messages par SMS et e-mail le prévenant de sa future décapitation : « Ils nous disent que nous sommes responsables des conversions d’autres musulmans au christianisme, qu’il est désormais trop tard et qu’Allah leur livrera nos têtes ! » D’après l’Association des Chrétiens Protestants de Turquie, les chrétiens sont habitués aux menaces, mais depuis quelques semaines, elles sont devenues plus nombreuses et systématiques. Elles proviennent également d’une même source. En effet, la plupart des messages reçus incluent un extrait de la sourate 33 du Coran qui déclare que « les maudits seront pris et tués impitoyablement où qu’on les trouve ». L’un de ces messages spécifie : « Le temps de votre décapitation est proche,  gloire et louange à Allah ! ». Par ailleurs, une vidéo dont le contenu tente de justifier par des preuves religieuses l’assassinat des apostats a été récemment postée sur Youtube en Turquie. Contrairement à de nombreux autres pays à majorité musulmane, la Turquie permet de changer librement sa religion sur la carte d’identité ou même de ne pas la mentionner. Pourtant la Turquie fait partie des 50 pays où les chrétiens sont le plus persécutés, selon l’Index Mondial de Persécution. Dans ce pays, tous les chrétiens sont touchés par la persécution, aussi bien dans leur vie privée, familiale, sociale, ecclésiale que civile. La persécution s’explique surtout par l’extrémisme islamique et le nationalisme religieux.

 

 

Source : Portes Ouvertes

31/07/2020

L’islamisme et/ou la haine de la France s’imposent aux heures de grande écoute à la télévision:

 

 

 

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Salafistes et radicaux sont devenus les ambassadeurs officieux de certains quartiers dits « populaires ». Ces quartiers où l’État n’existe plus.
 
 
 
 
 

 
 
 
      

Si les mal-pensants, selon les normes en vigueur du PAF, font figure de dahus médiatiques, il n’en va pas de même pour les islamistes et les gens qui haïssent la France du plus profond de leur être. Récemment, deux émissions ont fait vivement réagir les internautes. Elles étaient exemplaires, à plus d’un titre, de cette « soumission »qui vient, selon le titre désormais fameux du dernier roman de Michel Houellebecq. Côté pile, une jeune professeur d’anglais, à l’apparence plutôt avenante. Côté face, un homme portant barbe et kami. Les deux faces d’une même pièce : le multiculturalisme qui génère des conflits multiples sur notre territoire.

 

 

Jeudi dernier, le philosophe Alain Finkielkraut était apostrophé par une enseignante lors de l’émission « Des paroles et des actes ». Immédiatement, la jeune femme, appelée Wiam Berhouma, a cherché à en découdre. Elle a d’abord commencé par qualifier le professeur de philosophie de l’École polytechnique de « pseudo-intellectuel », puis a assené avec un sourire carnassier qu’Alain Finkielkraut était un « semeur de haine et de discorde ». La jeune hystérique a terminé son intervention en posant la question suivante : « Monsieur Finkielkraut, êtes-vous conscient de faire mal à la France ? »en se positionnant arbitrairement dans un camp du bien indéfini. Sans jamais argumenter ses propos, Wiam Berhouma a déversé un torrent de haine particulièrement gênant : « Là où votre rôle d’intellectuel était d’éclairer les débats, vous avez, au contraire, obscurci nos pensées, nos esprits, avec tout un tas de théories vaseuses et très approximatives. »

 

 

David Pujadas a présenté cette jeune femme comme n’étant affiliée à aucun parti ni aucun mouvement associatif. C’était inexact, bien que madame Berhouma s’en soit défendue sur Twitter. Elle est en réalité proche des Indigènes de la République, groupuscule qui ne fait pas mystère de son racisme anti-blanc. Il faut bien avoir en tête que les Indigènes de la République, dont le nom est passablement trompeur, ne sont pas simplement des révisionnistes de l’histoire de France mais bel et bien des négationnistes. Héritiers de Bourdieu et des Black Panthers, ces gens sont le bras armé culturel du lumpenprolétariat issu de l’immigration non assimilée. Ils ont notre histoire en horreur. David Pujadas n’a pas correctement fait son travail de journaliste en omettant de préciser ce fait pourtant capital aux téléspectateurs. Les personnes comme Wiam Berhouma sont choyées par le pouvoir sociétaliste. Elles sont le visage aimable de la France désintégrée, de la France soumise aux intérêts communautaires particuliers d’activistes.

 

 

Dans un registre plus brut de décoffrage, le « musulman normal »Idriss Sihamedi. L’homme, dirigeant de l’association humanitaire islamique BarakaCity, était invité de l’émission « Le Supplément » de dimanche dernier. BarakaCity intervient en Syrie, probablement avec l’aval du Quai d’Orsay. Interrogé sur ses pratiques religieuses, monsieur Sihamedi n’a pas hésité à affirmer ne pas serrer la main des femmes et a tenu un discours très ambigu lorsqu’il lui a été demandé de condamner l’État islamique. Le dirigeant associatif est un thuriféraire du djihad pacifique et propose « une belle alternative »aux jeunes de banlieue désireux de rejoindre l’État islamique.

 

 

« Ce n’est pas qu’on ne condamne pas l’État islamique, c’est qu’on essaye d’avoir une certaine pédagogie pour essayer de discuter avec les jeunes et pour leur faire comprendre qu’on est une alternative qui est bien, qui est pacifique. Ce n’est pas équitable, ce n’est pas juste de poser la question à un musulman comme moi parce que je suis musulman », a ainsi lâché monsieur Sihamedi. Il faut dire que son association a reçu 16 millions d’euros de dons lors des trois dernières années. Peut-être ne souhaitait-il pas fâcher ses généreux, et très mystérieux, donateurs ?

 

 

Face à lui, la ministre de la (ré)éducation nationale, n’a pas osé s’opposer vigoureusement, se déclarant tout juste « gênée ». Eh oui, monsieur Sihamedi n’est pas d’« extrême droite ». Il appartient normalement au « camp du bien ». On avait connu Najat Vallaud-Belkacem moins timide sur les questions de genre ou de discrimination positive. Le cahier des charges de Terra Nova l’obligeait à respecter le pacte non écrit signé avec les clientèles électorales communautaires. Salafistes et radicaux sont, en effet, devenus les ambassadeurs officieux de certains quartiers dits « populaires ». Ces quartiers où l’État n’existe plus, ces quartiers qui ne sont français que sur le strict plan de la géographie physique. Éteignez vos téléviseurs.

 

 

 

28/07/2020

Avant de mourir, le jeune Pakistanais brûlé vif parce que chrétien a pardonné à ses bourreaux

 

 

 

 

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Le jeune Pakistanais Nauman Masih a succombé à ses blessures, mercredi, à l’hôpital Mayo de Lahore, au Pakistan où il était soigné depuis le 10 février après avoir été aspergé d’essence et transformé en torche vivante par des jeunes musulmans. Inconnus de lui, les jeunes qui se rendaient à la mosquée l’avaient croisé en chemin. Dès qu’ils s’étaient rendu compte que l’adolescent – 15 ans – était chrétien, ils l’avaient raillé, frappé et poursuivi avant de le brûler. Avant de mourir, Nauman a pardonné à ses bourreaux…

 

 

Les assaillants s’étaient enfuis aussitôt après avoir allumé l’essence dont ils ont aspergé Nauman, qui a continué de courir avant de se jeter sur un tas de sable, dont des passants chrétiens se sont servis pour éteindre les flammes. Les mêmes passants ont appelé les secours alors que Nauman venaient de perdre connaissance.

 

 

L’hôpital Mayo de Lahore n’a pas d’unité de soins pour les grands brûlés mais il a été impossible de transférer Nauman Masih dans un autre établissement  ; il a survécu cinq jours, conscient, supportant « courageusement » la douleur, a signalé le British Pakistani Christian Association. Cette association d’aide aux chrétiens souligne que le jeune adolescent a parlé du « pardon » pour ses agresseurs : « Il est mort en martyr et sans doute est-il aujourd’hui avec le Seigneur », souligne son communiqué, demandant des prières pour la famille de Nauman qui a « vécu cinq jours d’angoisse extrême, pour qu’elle obtienne un peu de justice ».

 

 

Plus de 2.000 personnes ont assisté aux funérailles de Nauman Mahih qui se sont déroulées au début de l’après-midi, mercredi, en l’église catholique de Saint-Ignace de Shera Kot.

 

 

Des chrétiens pakistanais soulignent que l’agression meurtrière pourrait bien constituer une forme de représailles après qu’une foule chrétienne a lynché deux hommes musulmans soupçonnés d’avoir participé à un double attentat antichrétien à Youhanabad qui avait tué quinze personnes et fait 70 blessés lors d’attaques à la bombe contre deux églises. Les leaders chrétiens avaient fermement dénoncé les lynchages.

 

 

De nombreux défenseurs des chrétiens au Pakistan, en proie à des persécutions très violentes, soulignent que les lynchages ont été rapidement suivis par l’arrestation et l’incarcération d’une centaine de chrétiens, alors que les attaques contre les chrétiens suscitent des réponses beaucoup moins énergiques de la part des autorités.Une enquête policière contre X a été ouverte dans le cas de Nauman Masih.

 

 

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