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05/11/2019

UN JOURNALISTE ANTI-ISLAMISATION :

 

 

 

 

CONDAMNÉ POUR AVOIR PUBLIÉ DES IMAGES HISTORIQUES

 

 

 

 

 

 
 
 
 
 
 
Écrivain et journaliste belge francophone
 
Son blog
 
 
 
 

Michael Stürzenberger est un journaliste patriote qui réside à Munich, dans le sud de l’Allemagne, et qui conduit depuis plusieurs années un combat contre l’islamisation de son pays et de l’Europe. Il a organisé, durant de nombreux mois, une récolte de signatures afin d’obtenir la mise sur pied d’un référendum à propos de la construction d’un centre islamique à Munich. Son combat lui a valu de nombreuses persécutions de la part des autorités sociales-démocrates qui dirigent la ville et il a dû subir des attaques de la justice locale.

 

 

 

 

Il a également été le dirigeant du parti politique anti-islamisation Die Freiheit (« La Liberté ») et est un des fondateurs, en juillet 2012, de La Nouvelle Rose blanche, s’inspirant de l’organisation de résistance estudiantine au national-socialisme La Rose blanche. Cette dernière appellation avait été donnée après-guerre à un groupe d’étudiants patriotes ayant distribué, durant la Seconde Guerre mondiale, des pamphlets pacifiques à Munich et dans le sud de l’Allemagne. Parmi les membres de cette organisation figuraient Sophie Scholl, Hans Scholl et Christoph Probst, exécutés à la prison de Munich-Stadelheim le 22 février 1943. Susanne Zeller (décédée en décembre 2012), née Hirzel, ancienne membre de La Rose blanche et amie de Sophie Scholl, comptait parmi les fondateurs de La Nouvelle Rose blanche.

 

 

 

 

Le jeudi 17 mai 2018, Michael Stürzenberger était convoqué devant la justice à Munich pour avoir publié, sur Facebook, une photo montrant les connections ayant existé autrefois entre une partie de l’islam et le national-socialisme. La méthode utilisée afin de le persécuter judiciairement était particulièrement perverse : il lui était reproché le fait que, sur ce document historique, un dignitaire national-socialiste portait un brassard à croix gammée et il était, par conséquent, accusé de diffuser un signe interdit, cela alors que la loi prévoit une exception pour des photos historiques et que la presse du système publie ce genre de document.

 

 

 

 

Le procès s’est déroulé sous haute surveillance. Les personnes désirant y assister ont vu leur carte d’identité être photocopiée et elles ont dû laisser leurs clés, portefeuille et autres objets dans un vestiaire tenu par la police.

 

 

 

 

Le policier qui avait introduit la plainte contre Michael Stürzenberger était entendu comme témoin. Il s’est exprimé de manière inaudible pour les personnes assistant au procès. Certaines de celles-ci sont intervenues et la juge les a rabrouées. Stürzenberger s’est vu refuser le droit d’utiliser comme moyen de défense la citation de sourates violentes du Coran et de l’ouvrage Le Fascisme islamique d’Hamed Abdel-Samad, alors que ce livre avait été cité dans le texte sur Facebook accompagnant la photo.

 

 

 

 

Curieusement, la juge a lu longuement et en détail une condamnation reçue par Michael Stürzenberger, pour délit d’opinion, à l’étranger, à Graz en Autriche.

 

 

 

 

Le verdict est ensuite tombé : une condamnation à six mois de prison avec sursis et à cent heures de travail social, la juge ajoutant qu’en publiant cette photo, Michael Stürzenberger a diffamé les musulmans.

 

 

 

 

Le député, au Parlement polonais, du parti gouvernemental Droit et Justice (Prawo i Sprawiedliwość) Arkadiusz Mularczyk désire, désormais, amener cette affaire devant le Conseil de l’Europe car elle concerne la liberté d’expression sur le continent. La télévision publique polonaise a évoqué cette affaire alors que les médias du système, en Allemagne, ne l’ont quasi pas abordée.

 

 

 

 

Ayant assisté au procès de Michael Stürzenberger, que je connais depuis plusieurs années, je dois avouer que la manière dont celui-ci s’est déroulé montre que l’État de droit n’existe plus en Allemagne.

 

 

 

01/11/2019

Histoire de la Church of the Lutheran Confession (2).

 

 

 

 

 

 

 

 

 


Les membres du CLC sont désireux de témoigner des vérités qu'avaient été affirmé par la Conférence synodale, à l’époque ou celle-ci été resté fidèle à la vérité des doctrines de l'Écriture et des Confessions de foi luthériennes, que l'on trouve dans le Livre de Concorde de 1580;  le nom du synode qui a été choisi par référence: Église de la confession luthérienne.

 

 

 


Ce désir est aussi attesté par la CLC par l'adoption de la Déclaration de 1932 comme étant l'un des écrits confessionnels le plus important de sa constitution. Ainsi le CLC affirme: «Dans notre enseignement et  prédications nous croyons à l’entière vérité de la Bible, les Ecritures canoniques de l'Ancien et du Nouveau Testament. Nous considérons ce Livre des livres comme la Parole de Dieu, verbalement inspiré et totalement sans erreur comme écrit par de saints hommes de Dieu. Nous considérons que notre mission d'être est de communiquer les mots et le message de ce livre à ceux qui vont les entendre; et nous ne connaissons pas d'autre source divine de la vraie doctrine et de l'instruction dans la voie du salut et dans la vie agréable à Dieu ".

 

 

 


 "Nous rejetons donc comme un sacrilège destructeur tous les efforts par lesquels l'intelligence ou la science de l'homme servirait à modifier ou mettre de côté une seule parole inspirée. Nous déplorons que ce répande l’apostasie  qui réduit la Bible à un document contenant des erreurs humaines et des mythes ".

 

 

 

 

 

 

 

 
 

29/10/2019

Appel à la décapitation pour deux jeunes belges en short dans le sud marocain:

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Pour ces deux jeunes filles belges, le nec plus ultra en matière de vacances d’été était d’aller faire du terrassement sous un soleil de plomb dans le sud du Maroc. Bénévolement bien entendu. La fibre humanitaire les tenaillait. Elles devaient apporter leur contribution au sauvetage du monde, payer de leur personne et éventuellement s’auto-flageller si le travail n’avançait pas assez vite.

 

 

 

Un reportage vidéo consacré aux travaux d’Hercule de ce groupe de « mères Teresa » d’un jour les montrait transpirant dans leur tenue de travail. En short. Jambes apparentes, genoux, cuisses, mollets… Torride ! A la vue de ce spectacle sur son téléviseur, le sang d’un instituteur de 26 ans ne fit qu’un tour. Tant d’impudeur, tant de provocation ne pouvaient rester impunie. Et le marocain outragé de lancer un appel sur Facebook à décapiter les deux dépravées. Curieusement, l’homme n’a pas souhaité sectionner d’abord l’objet du délit, à savoir les jambes…

 



D’autres réactions virulentes se firent entendre… La shortophobie faisait rage. « Depuis quand les Européens font-ils des travaux en tenue de baignade ? » s’est indigné un député du parti islamique. « Depuis que vous ne les faites pas vous-même » aurait pu répondre le chef de chantier s’il n’avait pas eu peur d’être poursuivi pour islamophobie à son retour en Belgique. Des voix locales confirmaient cette vision de l’affaire. La plupart des commentaires saluaient le dévouement de ces bénévoles « venus faire le boulot à la place des responsables locaux ».

 

 

Selon l’article consacré au sujet dans les pages du Figaro, le lanceur de fatwa qui demandait la tête des jeunes belges a été arrêté et devrait être poursuivi pour « incitation à des actes terroristes ». Lors du reportage, l’une des protagonistes de cet « attentat à la pudeur » involontaire ne tarissait pas d’éloges pour ce pays où elle terrasse joyeusement : « les gens sont très gentils et amicaux, j’adore le Maroc ! » Les deux jeunes scandinaves décapitées pour de bon en décembre 2018 dans cette même zone du Maroc n’avaient pas eu le temps d’exprimer tant d’enthousiasme… La conscience de ce groupe belge, des dangers encourus dans la région, semble elle aussi un peu short…

 

 

 

 

25/10/2019

CRÉATIONNISME :

 

 

 

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En 1993, à Hell Creek (Montana), le Dr Mary Schweitzer, paléontologue américaine, avait constaté la présence de tissus non décomposés sur le squelette d’un Tyrannosaurus Rex. Ce cas, parmi tant d’autres, démontre que les dinosaures n’ont pas disparu il y a 60-70 millions d’années. Cela est impossible, car la Terre n’a que quelque 6 000 ans.

 

 

Jusqu’à la révolution « française », préparée par les criminels maçons, les scientifiques défendaient une Terre de 6 000 ans. Cette périodicité a peu à peu augmenté en centaines de milliers d’années, puis en millions d’années pour atteindre l’évaluation fantasmagorique actuelle de 4,5 milliards d’années. La raison en est simple : le darwinisme implanté en Chine depuis les années 1890 pour préparer les esprits au communisme, a besoin de longues périodicités invérifiables pour dissimuler ses mensonges. Il est à rappeler que ce dogme débile a été exposé par Karl Marx dans une lettre du 18 décembre 1860 adressée à Friedrich Engels. Ce mensonge visant a faire croire que l’homme est le fruit du hasard, contraire aux plans divins, sera bien entendu financé par Rockefeller. Aujourd’hui le Dr Kent Hovind, qui a ridiculisé le chantre du darwinisme Dawkins, a été condamné à sept ans de prison, jusqu’en 2015, pour avoir défendu les théories du créationnisme. Officiellement, il a été accusé de blanchiment d’argent, alors qu’il n’avait que de minces revenus.

 

 

 Pour ma part, mes travaux sur le créationnisme ont été traduit en plusieurs langues, dont en roumain, en 2004, par le Dr Dan Ghita, sous le titre Geocentrism şi creationism : un altfel de révizionism ?

 

 

 Le Dr Harold S. Slusher, géophysicien, établit le calcul suivant : sachant que 14,3 milliards de tonnes de poussières interplanétaire se déposent chaque année sur la Lune, pour 4,5 milliards d’années, nous obtiendrions alors une épaisseur de trois cents à trois cent trente mètres. Or, l’épaisseur de la poussière sur l’astre est de trois à sept centimètres : la Lune aurait donc dix mille ans. Cette évaluation est d’autant plus pertinente que les scientifiques créationnistes et les évolutionnistes pensent de manière unanime que la Lune et la Terre présentent le même âge.

 

 Selon ce scientifique, l’observation du Soleil est également très révélatrice. Son diamètre diminue de 1,5 mètre par heure. À cette vitesse, il y a vingt millions d’années, sa surface aurait heurté celle de la Terre.

 

 

 Le Dr Melvin A. Cook, physicien-chimiste américain déjà nominé pour le prix Nobel, affirme grâce à l’étude du taux d’hélium contenu dans l’atmosphère, si la Terre avait 4,5 milliards d’années, son atmosphère serait saturée en hélium.

 

 

 Les anneaux de Neptune ont des régions épaisses et des régions minces. Cette inégalité signifie qu’ils ne peuvent pas avoir des milliards d’années, puisque les collisions des objets des anneaux finissent par rendre les anneaux très uniformes.

 

 

 Le méthane qui est sur Titan, plus grande lune de Saturne, devrait avoir entièrement disparu en seulement 10 000 ans à cause de la dégradation en éthane induite par les ultraviolets. Et, il n’y a pas non plus de quantités d’éthane.

 

 

 Les lunes de Jupiter « volcaniquement actives », comme Io, sont compatibles avec un âge jeune : la mission Galileo a enregistré quatre-vingts volcans actifs. Si Io avait été en éruption plus de 4,5 milliards d’années à même 10 % de son rythme actuel, ses éruptions auraient dépassé 40 fois sa masse totale.

 

 

 Le Dr Russel Humphreys, physicien, observe que la désintégration des comètes est trop rapide, l’eau et les sols marins manquent de vase et de sel, l’inclinaison des couches géologiques est trop forte pour que la Terre et l’univers aient plusieurs milliards d’années. Dans l’article Mercury’s magnetic field is young (Le champ magnétique de Mercure est jeune) de la parution Journal of Creation, il affirme que la présence d’un champ magnétique important autour de Mercure n’est pas compatible avec son âge jeune supposé de milliards d’années. Il ajoute qu’une planète si petite doit s’être suffisamment refroidie pour qu’un noyau liquide soit solidifié, empêchant le mécanisme de dynamo des évolutionnistes. Le Dr Russel Humphreys atteste au sujet de la décroissance du champ magnétique terrestre, que sa décroissance exponentielle est évidente à partir des mesures et est en accord avec la théorie de la décroissance libre depuis la Création. Ce phénomène suggère pour la Terre un âge bien inférieur à 20 000 ans.

 

 

 

22/10/2019

Entre drague et mode : ces accommodements avec le ciel….....

 

 

 



 

 

En politique, c’est de la drague. Dans le monde, une mode. On affiche son catholicisme mais on est pour la PMGPA bénie à Saint-Roch. On reconnaît la filiation des droits de l’homme et du Décalogue mais on précise bien que le Christ n’a jamais « défendu » quoi que ce soit. Choisissez tout ! disent, au choix, Thérèse de Lisieux et Nathalie Loiseau.

 

 

Il est bien porté d’être catholique et gay pratiquant. Là où il y a de la gêne, il n’y a pas de plaisir : telle est la version corrigée de l’émulation entre loi et grâce située au cœur de la foi. On cite saint Jean où l’amour coule à flots. Tout le monde appelle le Christ par son prénom. Avec « la maman du ciel », on est paré pour l’éternité. C’est pourquoi on est catholique mais on « ne pratique pas ». Car, c’est connu, on attendait l’Esprit saint et on a eu l’Église. On ne voit plus pourquoi le Christ est mort. Il ne devait pas savoir y faire puisque à peine sa vie publique commencée, on veut le tuer – et on y arrive. Heureusement que rien n’est à prendre à la lettre dans les Évangiles, que tout est symbolique : depuis le fouet des vendeurs du Temple jusqu’à la résurrection. Et, si on y regarde de près, le péché est une invention des Pères de l’Église.

 

 

Sûr que, quand on est un chaud lapin, mieux vaut ne pas entrer dans les ordres. Mais, là encore, les bons apôtres, soucieux de sa survie, font assaut de zèle pour notre Église. Les prêtres, des hommes comme tout le monde, devraient pouvoir se marier. Idée cocasse, quand on compte le nombre déclinant de mariages ou celui, exponentiel, des divorces. Faut-il rappeler que personne n’oblige à entrer dans les ordres ? Et qu’on peut même en sortir. En revanche, on ne songe guère aux milliers de chrétiens persécutés dans le monde ni aux églises vandalisées sur notre terre de France.

 

 

Il faut rendre à César ce qui est à César. À Dieu ce qui est à Dieu. Hegel ou pas, le christianisme, c’est le contraire du en même temps. La religion n’a pas à être à la remorque de la société ni à courir après elle. « Les accommodements avec le ciel, » comme dit Tartuffe, sont toujours criminels. Fréquenter Thérèse d’Avila, saint Augustin et François de Sales, esprits robustes et plumes impeccables, serait souvent préférable à la pastorale. Car, depuis que, dans l’Église, c’est Love Story, le sel de la terre perd de sa saveur.

 

 

 

Au Grand Siècle, on distinguait le monde et la retraite. Chacun devrait connaître les trois ordres pascaliens afin de ne pas sauter inconsidérément de l’ordre des corps à celui des esprits, voire de la charité. La lecture des Provinciales s’imposerait pour la saveur de la casuistique et la beauté de la langue. Un philosophe contemporain disait, il y a peu, au journal Le Point, qu’on parle de Dieu comme parleraient d’un pommard des gens qui ne boivent que du Coca-Cola.

 
 

09:23 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)