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17/08/2021

UN JOURNALISTE ANTI-ISLAMISATION :

 

 

 

 CONDAMNÉ POUR AVOIR PUBLIÉ DES IMAGES HISTORIQUES

 

 

 

 

 
 
 
 
 
 
Écrivain et journaliste belge francophone
 
Son blog
 
 
 
 

Michael Stürzenberger est un journaliste patriote qui réside à Munich, dans le sud de l’Allemagne, et qui conduit depuis plusieurs années un combat contre l’islamisation de son pays et de l’Europe. Il a organisé, durant de nombreux mois, une récolte de signatures afin d’obtenir la mise sur pied d’un référendum à propos de la construction d’un centre islamique à Munich. Son combat lui a valu de nombreuses persécutions de la part des autorités sociales-démocrates qui dirigent la ville et il a dû subir des attaques de la justice locale.

 

 

 

 

Il a également été le dirigeant du parti politique anti-islamisation Die Freiheit (« La Liberté ») et est un des fondateurs, en juillet 2012, de La Nouvelle Rose blanche, s’inspirant de l’organisation de résistance estudiantine au national-socialisme La Rose blanche. Cette dernière appellation avait été donnée après-guerre à un groupe d’étudiants patriotes ayant distribué, durant la Seconde Guerre mondiale, des pamphlets pacifiques à Munich et dans le sud de l’Allemagne. Parmi les membres de cette organisation figuraient Sophie Scholl, Hans Scholl et Christoph Probst, exécutés à la prison de Munich-Stadelheim le 22 février 1943. Susanne Zeller (décédée en décembre 2012), née Hirzel, ancienne membre de La Rose blanche et amie de Sophie Scholl, comptait parmi les fondateurs de La Nouvelle Rose blanche.

 

 

 

 

Le jeudi 17 mai 2018, Michael Stürzenberger était convoqué devant la justice à Munich pour avoir publié, sur Facebook, une photo montrant les connections ayant existé autrefois entre une partie de l’islam et le national-socialisme. La méthode utilisée afin de le persécuter judiciairement était particulièrement perverse : il lui était reproché le fait que, sur ce document historique, un dignitaire national-socialiste portait un brassard à croix gammée et il était, par conséquent, accusé de diffuser un signe interdit, cela alors que la loi prévoit une exception pour des photos historiques et que la presse du système publie ce genre de document.

 

 

 

 

Le procès s’est déroulé sous haute surveillance. Les personnes désirant y assister ont vu leur carte d’identité être photocopiée et elles ont dû laisser leurs clés, portefeuille et autres objets dans un vestiaire tenu par la police.

 

 

 

Le policier qui avait introduit la plainte contre Michael Stürzenberger était entendu comme témoin. Il s’est exprimé de manière inaudible pour les personnes assistant au procès. Certaines de celles-ci sont intervenues et la juge les a rabrouées. Stürzenberger s’est vu refuser le droit d’utiliser comme moyen de défense la citation de sourates violentes du Coran et de l’ouvrage Le Fascisme islamique d’Hamed Abdel-Samad, alors que ce livre avait été cité dans le texte sur Facebook accompagnant la photo.

 

 

 

 

Curieusement, la juge a lu longuement et en détail une condamnation reçue par Michael Stürzenberger, pour délit d’opinion, à l’étranger, à Graz en Autriche.

 

 

 

 

Le verdict est ensuite tombé : une condamnation à six mois de prison avec sursis et à cent heures de travail social, la juge ajoutant qu’en publiant cette photo, Michael Stürzenberger a diffamé les musulmans.

 

 

 

 

Le député, au Parlement polonais, du parti gouvernemental Droit et Justice (Prawo i Sprawiedliwość) Arkadiusz Mularczyk désire, désormais, amener cette affaire devant le Conseil de l’Europe car elle concerne la liberté d’expression sur le continent. La télévision publique polonaise a évoqué cette affaire alors que les médias du système, en Allemagne, ne l’ont quasi pas abordée.

 

 

 

 

Ayant assisté au procès de Michael Stürzenberger, que je connais depuis plusieurs années, je dois avouer que la manière dont celui-ci s’est déroulé montre que l’État de droit n’existe plus en Allemagne.

 

 

 
 
 
 
 

02/07/2021

Le Coran à la lettre:

 

 

 

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Je ne fais que citer le bouquin et j’insiste : n’essayez pas de faire ça chez vous… 
                    
     
         

Pourquoi les djihadistes  coupent-ils des têtes?

 

 

 

La réponse, pour ces intégristes fous furieux qui en font une lecture littérale, se trouve dans la sourate 8 de leur livre saint. C’est simple comme une recette de cuisine.

 

 

 

Lisez plutôt. Les mécréants, se sont les autres. Le prophète et le messager, c’est leur chef.

 

 

 

12. Et ton Seigneur révéla aux Anges: «Je suis avec vous: affermissez donc les croyants. Je vais jeter l’effroi dans les cœurs des mécréants. Frappez donc au-dessus des cous et frappez-les sur tous les bouts des doigts.

 

 

 

13. Ce, parce qu’ils ont désobéi à Allah et à Son messager.» Et quiconque désobéit à Allah et à Son messager… Allah est certainement dur en punition!

 

 

 

39. Et combattez-les jusqu’à ce qu’il ne subsiste plus d’association, et que la religion soit entièrement à Allah. Puis, s’ils cessent (ils seront pardonnés car) Allah observe bien ce qu’ils œuvrent.

 

 

57. Donc, si tu les maîtrises à la guerre, inflige-leur un châtiment exemplaire de telle sorte que ceux qui sont derrière eux soient effarouchés. Afin qu’ils se souviennent.

 

 

59. Que les mécréants ne pensent pas qu’ils Nous ont échappé. Non, ils ne pourront jamais Nous empêcher.

 

 

60. Et préparez contre eux tout ce que vous pouvez comme force et comme cavalerie équipée, afin d’effrayer l’ennemi d’Allah et le vôtre, et d’autres encore que vous ne connaissez pas en dehors de ceux-ci mais qu’Allah connaît. Et tout ce que vous dépensez dans le sentier d’Allah vous sera remboursé pleinement et vous ne serez point lésés.

 

 

65. Ô Prophète, incite les croyants au combat. S’il se trouve parmi vous vingt endurants, ils vaincront deux cents; et s’il s’en trouve cent, ils vaincront mille mécréants, car ce sont vraiment des gens qui ne comprennent pas.

 

 

67. Un prophète ne devrait pas faire de prisonniers avant d’avoir prévalu [mis les mécréants hors de combat] sur la terre. Vous voulez les biens d’ici-bas, tandis qu’Allah veut l’au-delà. Allah est Puissant et Sage(19).

 

 

Ne voyez pas là une « incitation à la haine raciale », une provocation ou une apologie du crime contre l’humanité ! Je ne fais que citer le bouquin et j’insiste : n’essayez pas de faire ça chez vous…

 

11/05/2021

Face à l’islam, la France devra réformer sa Constitution:

 

 

 

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Il faut que le préambule de notre loi fondamentale exprime l’identité et les racines chrétiennes de notre pays

 

  

Relance précipitée par M. Hollande d’une « fondation » confiée à M. Chevènement, « concordat » pour M. Cazeneuve, « acte solennel » pour Alain Juppé : la nécessité d’un « contrat » entre l’État et les musulmans français fait maladroitement son chemin chez nos dirigeants d’aujourd’hui et de demain. Mais malheureusement, toujours avec le même amateurisme sur cette question pourtant fondamentale. Et l’on peut aussi craindre qu’elle soit polluée d’arrière-pensées électoralistes.

 

Pourtant, la situation inédite dans laquelle se trouve la France offre une occasion unique pour le pays de se ressaisir, . Un « contrat » exige de préciser qui sont les contractants. Et les Français ont plus que jamais besoin de cette introspection-là, pour sortir de la « sidération » dans laquelle les ont plongés le terrorisme islamiste et les réponses creuses que les élites y ont apportées : « Je suis Charlie », « vivre ensemble », etc.

 

Les Français sentent cette nécessité de se définir et de dire d’où ils viennent et vers quoi ils veulent (et ne veulent pas) aller. Et pour beaucoup, quelles que soient leurs origines et leurs convictions politiques ou religieuses, la relation officielle de la République à son passé, son identité et aux religions est un modèle obsolète, hypocrite et inopérant face aux défis nouveaux, notamment l’apparition d’une communauté musulmane nombreuse, et souvent revendicative.

 

Vu l’ampleur de la réforme, qui irait bien au-delà de la question de l’islam de France (ce qui aurait, aussi, l’avantage de ne pas se focaliser sur cette question, tout en la réglant), c’est donc, non pas la loi de 1905, mais bien notre Constitution elle-même qu’il s’agit de réformer, dans un grand élan solennel semblable à celui de 1958, et validé par référendum.

 

Il faut que le préambule de notre loi fondamentale exprime l’identité et les racines chrétiennes de notre pays et la synthèse culturelle que le christianisme réalisa, à partir de la culture gréco-romaine. Il doit aussi mentionner la place historique de la communauté juive, l’une des plus anciennes du monde, et réaffirmer bien sûr la spécificité de la laïcité dans le fonctionnement de l’État. Cet héritage historique enfin inscrit dans la Constitution, l’État aurait pour obligation de le préserver, le perpétuer et d’y faire adhérer tous les Français. Pour ce qui est de l’islam, la Constitution doit rappeler les relations particulières entre la France et le monde arabo-musulman au Maghreb, et tolérer un islam français, seulement dans la mesure où celui-ci reconnaît la prééminence de cet héritage judéo-chrétien dans toutes ses dimensions, et les règles de la laïcité, qu’il aurait pour devoir de promouvoir auprès des croyants.

 

Ce serait sortir par le haut de plusieurs conflits latents qui minent la communauté nationale depuis des décennies et fixer le cadre pour toute législation particulière ultérieure. Car, avant de poser la question du financement des mosquées, peut-être conviendrait-il d’abord de se demander s’il faut les multiplier ? Si nos dirigeants continuent d’avancer sur ces questions sans boussole et en évitant les questions de fond, la défiance du peuple ne fera que s’accroître.

 

Il faudra donc réformer nos lois, mais d’abord notre Constitution, non pas pour favoriser l’implantation de l’islam, mais au contraire pour la circonscrire.

 

Il ne manque plus que les juristes et le candidat courageux pour proposer cette réforme au peuple français.

 

27/04/2021

Portes Ouvertes : la première source de la persécution des chrétiens, c’est l’extrémisme musulman:

 

 

 

 

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Pour Michel Varton, directeur de l’ONG protestante Portes Ouvertes, la source première de la persécution des chrétiens dans le monde, c’est l’extrémisme musulman. C’est ce qu’il pointe dans un entretien accordé à 20 Minutes. En voici des extraits…

 

 

Depuis sept semaines […], nous avons noté douze agressions d’extrémistes islamiques contre des coptes en Égypte. Mais la violence islamique a deux faces. L’une est visible, ce sont les meurtres notamment, les agressions, nous l’appelons le marteau. L’autre est invisible, c’est l’étau, c’est-à-dire une pression quotidienne, très présente, qui pèse sur la population. Les chrétiens sont victimes de nombreuses discriminations. Un travail peut leur être refusé du fait qu’ils ne sont pas musulmans, comme en Égypte. Il leur est plus difficile de trouver un appartement, d’obtenir une promotion, les prix sont plus chers pour eux… Et les musulmans qui souhaitent se convertir sont vus comme des traîtres et risquent la mort […] [Au Nigéria] Il y a une forme de persécution qui régresse un petit peu, celle de Boko Haram. Le gouvernement réagit plus efficacement, le groupe est repoussé vers le nord. Mais le plus grand problème actuellement ce sont les nomades musulmans de l’ethnie peule, qui visent spécifiquement les chrétiens pour leur voler leurs terres et leur bétail. Ce groupe est encore plus radical et dangereux pour les chrétiens que Boko Haram […] Les chrétiens sont visés car ils sont chrétiens, donc mécréants pour Daesh. Avant tous ces groupes extrémistes, les chrétiens étaient tolérés, ils avaient le droit de cohabiter, même s’ils étaient des citoyens de seconde zone. Depuis quelques années, en Afrique et au Moyen-Orient, l’objectif est de les chasser de leurs terres, de les expulser, pour instaurer un califat 100 % musulman.

 

 

Source : 20 Minutes,

 

09/02/2021

Islamo-gauchisme à l’université de Lorraine:

 

 

 

 

 

Faire dialoguer les savoirs, c’est innover. Il faut croire que l’adoption de cette devise moderne par l’université de Lorraine était prémonitoire. La semaine dernière, Le Figaro nous apprenait qu’un enseignant s’est justement permis une innovation : il a tout simplement enseigné le contraire de ce qui était attendu de lui.

 

 

 

 

Deux mois après les attentats de Charlie Hebdo, Manuel Valls – qui n’était pas encore candidat à la mairie de Barcelone – avait encouragé les diplômes universitaires portant sur l’enseignement de la laïcité. Regrettant que les imams soient formés à l’étranger, il déclarait : « Il faut des aumôniers et des imams français, francophones, qui apprennent le français, qui aiment la France et qui adhèrent à ses valeurs. »

 

 

 

Le diplôme universitaire « Religions, laïcité et inclusion sociale » de l’université de Lorraine, créé il y a à peine un an, devait justement répondre à cet objectif. C’est quelque peu raté puisqu’un professeur de droit de la laïcité en a profité pour prétendre que la loi de 2004 sur l’interdiction du port du voile dans les établissements scolaires était une dérive islamophobe de la loi de 1905.

 

 

 

Le Figaro nous apprend, ainsi, que ce professeur affirmait, dans son plan de cours, que la prétention de cette loi à lutter contre la soumission des filles visait, en fait, à détourner la laïcité afin de s’en servir pour « humilie[r] les musulmans, et plus largement les “racisés” ». Et il y affirme que l’islamophobie serait « une nouvelle légitimité pour le racisme et le ressentiment anti-arabe »(qui fait, ici, l’amalgame entre islam et arabe ?).

 

 

 

On pourrait plaider la liberté académique si, encore, son cours avait pour but d’aborder de manière critique la législation. Mais son enseignement devait justement produire tout sauf un esprit critique. L’objectif affiché par Manuel Valls était bien d’enseigner la laïcité telle qu’elle est, non de la remettre en question en développant le sentiment victimaire chez les imams.

 

 

 

Depuis la semaine dernière, on parle de dérive. On nous assure que cet enseignant sera remplacé. Malheureusement, je suis certaine que cela se reproduira. Le problème est plus profond qu’une simple dérive individuelle.

 

 

 

La devise choisie par l’université de Lorraine en est un signe. Certes, elle n’est pas fausse, mais elle illustre bien le dévoiement actuel de l’enseignement qui vante la multidisciplinarité et qui oublie que, pour pouvoir faire dialoguer les savoirs, il faut déjà les maîtriser.

 

 

 

L’université ne répond désormais plus à sa vocation. Elle fait même l’inverse. Alors que l’université de Bologne, plus vieille université d’Europe et première institution à utiliser le terme latin d’universitas, avait pour prétention d’énoncer la norme – elle avait pour devise Petrus ubique pater legum Bononia mater (Pierre est partout le père des lois, Bologne en est la mère) -, les universitaires d’aujourd’hui, adeptes du courant constructiviste, se targuent de déconstruire toutes les normes.

 

 

 

À commencer par la langue. La plaquette du diplôme universitaire en question est, par exemple, rédigée en langage inclusif. On apprend, par exemple, que la formation s’adresse à « tout.e citoyen.ne intéressé.e ». Bref, de quoi aider les imams étrangers à apprendre le français.

 

 

 

 

Alors qu’à la suite de Bologne, toutes les universités auront la prétention d’être des Alma Mater (mère nourricière), l’on vante désormais les séminaires de type anglo-saxon où, à l’opposé des cours magistraux, c’est l’étudiant qui fait le cours par des exposés, des travaux de groupe, des échanges…

 

 

 

 

Au niveau européen, on appelle processus de Bologne une initiative des gouvernements européens conduisant, depuis une vingtaine d’années, à harmoniser les systèmes universitaires. Une des conséquences de ce processus consiste, justement, dans l’abandon de la transmission de savoirs pour le développement de compétences.

 

 

 

 

Ce processus de Bologne a vu le jour à la suite, notamment, de la déclaration de la Sorbonne, université elle aussi très ancienne. Dans Soumission, œuvre de fiction de Michel Houellebecq, c’est en 2022 que les islamistes prennent le contrôle de ce même lieu. En 2018, en remettant en cause la laïcité dans un cours visant, justement, à la promouvoir auprès d’imams, on aura déjà fait un grand pas dans l’irréel.