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24/11/2020

Persécutions antichrétiennes : préparons le Nuremberg du XXIe siècle:

 

 

 

 

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En France, nous en sommes à deux églises vandalisées ou brûlées tous les trois jours en ce mois de mai. Deux églises tous les trois jours !

 

 

 

 
 
 
 
 
 
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En France, nous en sommes à deux églises vandalisées ou brûlées tous les trois jours en ce mois de mai. Deux églises tous les trois jours !

 

 

 

À l’étranger, la christianophobie engendre chaque semaine son lot d’attentats. Ce lundi encore, l’État islamique a commis deux attentats : plus de 100 morts à Tartous et Jableh. Et plus de 40 à Aden. Des meurtres de pauvres gens qui n’ont, le plus souvent, pour seul tort que d’être nés chrétiens ou d’avoir voulu le devenir, et pour unique soutien… personne ! Ou presque. La couardise épiscopale est légendaire. Elle n’a pour rivale que celle des politiques.

 

 

 

Des comptes seront demandés à ceux qui se seront tus durant ces temps. Après la persécution infligée par l’islam et encouragée par les facilités immigrationnistes de Bruxelles viendra l’heure où nous ferons le Yad Vashem et le mémorial des Lucs de demain. Des nouveaux Simon Wiesenthal et des Serge Klarsfeld dresseront les listes des auteurs, des complices, de ceux qui savaient et se seront tus.

 

 

 

 

Que l’on songe aux chrétiens persécutés du Kosovo à l’Inde et du Maroc à Lagos : on tue, on rase les villages ; on prend les femmes et les enfants en esclavage. Tout cela est su. Tout cela est vu. Les vidéos abondent, les innombrables témoignages ne sont pas tenus sous le manteau. Mais rien n’y fait. Aucune déclaration enflammée à l’Assemblée des Nations unies. Ces crimes contre l’humanité-là ne rencontrent aucun écho. Deux des lycéennes esclaves de Boko Haram viennent d’être libérées. Deux contre 200 enlevées en 2014 et 200 autres en 2015 ! Colin Powell ou Barack Obama organisent-ils un plan d’action contre la seule arme de destruction massive « active » dans le monde entier : l’islam ? Oui, l’islam est l’arme génocidaire au nom de laquelle sont commis quotidiennement tant de crimes individuels ou massifs. Nulle Marie-Claude Vaillant-Couturier n’est invitée à témoigner dans un nouveau Nuremberg ; qui, d’ailleurs, n’est même pas convoqué. Craint-on que l’islam soit vainqueur ? Le Saint-Père tonne-t-il de sa voix forte ? Là-haut, Pie XII doit rigoler doucement des procès qu’on lui fit…

 

 

 

 

En France, cet accroissement se passe sans la moindre offuscation du monde politique. Le sujet est sensible ! C’est que l’on perd vite des voix, surtout si l’on accuse des auteurs faisant religion d’un autre culte que chrétien. Les politiques s’en moquent comme de l’an 40 ou 18 ; 2020…

 

 

 

Les sites comme l’Observatoire de la christianophobie sont systématiquement ignorés, quand ils ne sont pas combattus par nos « frères évêques bien-aimés ». Il résulte de ce grand silence qui s’étend sur la France bien des vols et des pillages. Dans une ignorance absolue du phénomène chez 99,99 % des Français. Ai-je dit « ignorance » ? Le mot m’échappait. Je devais dire : inintérêt, omission peccamineuse de la charité.

 

 

 

 

Alors quid ? Les crimes et autres dols commis ne sont ni réparés ni comptabilisés. Catholiques et Français, nous avons la culture du pardon et de l’oubli. Mais quand même ! Que l’on songe à la Vendée massacrée ! Une repentance républicaine à ce sujet ? Pas l’ombre… En ira-t-il de même pour les actes christianophobes d'aujourd’hui ? La République nous hait. Les âmes vides des bourgeois futiles se taisent et refusent de voir une réalité pourtant accessible.

 

 

 

 

L’histoire de la persécution des chrétiens du XXIe siècle doit s’écrire maintenant, en vue d’un prochain jugement. Peut-être le dernier… Les évêques daigneraient-ils relayer ceci aux candidats de 2017 ? À moins qu’ils ne préfèrent rouvrir les catacombes…

 

 

03/11/2020

L’islamisme et/ou la haine de la France s’imposent aux heures de grande écoute à la télévision:

 

 

 

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Salafistes et radicaux sont devenus les ambassadeurs officieux de certains quartiers dits « populaires ». Ces quartiers où l’État n’existe plus.
 
 
 
 
 

 
 
 
      

Si les mal-pensants, selon les normes en vigueur du PAF, font figure de dahus médiatiques, il n’en va pas de même pour les islamistes et les gens qui haïssent la France du plus profond de leur être. Récemment, deux émissions ont fait vivement réagir les internautes. Elles étaient exemplaires, à plus d’un titre, de cette « soumission »qui vient, selon le titre désormais fameux du dernier roman de Michel Houellebecq. Côté pile, une jeune professeur d’anglais, à l’apparence plutôt avenante. Côté face, un homme portant barbe et kami. Les deux faces d’une même pièce : le multiculturalisme qui génère des conflits multiples sur notre territoire.

 

 

Jeudi dernier, le philosophe Alain Finkielkraut était apostrophé par une enseignante lors de l’émission « Des paroles et des actes ». Immédiatement, la jeune femme, appelée Wiam Berhouma, a cherché à en découdre. Elle a d’abord commencé par qualifier le professeur de philosophie de l’École polytechnique de « pseudo-intellectuel », puis a assené avec un sourire carnassier qu’Alain Finkielkraut était un « semeur de haine et de discorde ». La jeune hystérique a terminé son intervention en posant la question suivante : « Monsieur Finkielkraut, êtes-vous conscient de faire mal à la France ? »en se positionnant arbitrairement dans un camp du bien indéfini. Sans jamais argumenter ses propos, Wiam Berhouma a déversé un torrent de haine particulièrement gênant : « Là où votre rôle d’intellectuel était d’éclairer les débats, vous avez, au contraire, obscurci nos pensées, nos esprits, avec tout un tas de théories vaseuses et très approximatives. »

 

David Pujadas a présenté cette jeune femme comme n’étant affiliée à aucun parti ni aucun mouvement associatif. C’était inexact, bien que madame Berhouma s’en soit défendue sur Twitter. Elle est en réalité proche des Indigènes de la République, groupuscule qui ne fait pas mystère de son racisme anti-blanc. Il faut bien avoir en tête que les Indigènes de la République, dont le nom est passablement trompeur, ne sont pas simplement des révisionnistes de l’histoire de France mais bel et bien des négationnistes. Héritiers de Bourdieu et des Black Panthers, ces gens sont le bras armé culturel du lumpenprolétariat issu de l’immigration non assimilée. Ils ont notre histoire en horreur. David Pujadas n’a pas correctement fait son travail de journaliste en omettant de préciser ce fait pourtant capital aux téléspectateurs. Les personnes comme Wiam Berhouma sont choyées par le pouvoir sociétaliste. Elles sont le visage aimable de la France désintégrée, de la France soumise aux intérêts communautaires particuliers d’activistes.

 

 

Dans un registre plus brut de décoffrage, le « musulman normal »Idriss Sihamedi. L’homme, dirigeant de l’association humanitaire islamique BarakaCity, était invité de l’émission « Le Supplément » de dimanche dernier. BarakaCity intervient en Syrie, probablement avec l’aval du Quai d’Orsay. Interrogé sur ses pratiques religieuses, monsieur Sihamedi n’a pas hésité à affirmer ne pas serrer la main des femmes et a tenu un discours très ambigu lorsqu’il lui a été demandé de condamner l’État islamique. Le dirigeant associatif est un thuriféraire du djihad pacifique et propose « une belle alternative »aux jeunes de banlieue désireux de rejoindre l’État islamique.

 

 

« Ce n’est pas qu’on ne condamne pas l’État islamique, c’est qu’on essaye d’avoir une certaine pédagogie pour essayer de discuter avec les jeunes et pour leur faire comprendre qu’on est une alternative qui est bien, qui est pacifique. Ce n’est pas équitable, ce n’est pas juste de poser la question à un musulman comme moi parce que je suis musulman », a ainsi lâché monsieur Sihamedi. Il faut dire que son association a reçu 16 millions d’euros de dons lors des trois dernières années. Peut-être ne souhaitait-il pas fâcher ses généreux, et très mystérieux, donateurs ?

 

Face à lui,,la ministre de la (ré)éducation nationale, n’a pas osé s’opposer vigoureusement, se déclarant tout juste « gênée ». Eh oui, monsieur Sihamedi n’est pas d’« extrême droite ». Il appartient normalement au « camp du bien ». On avait connu Najat Vallaud-Belkacem moins timide sur les questions de genre ou de discrimination positive. Le cahier des charges de Terra Nova l’obligeait à respecter le pacte non écrit signé avec les clientèles électorales communautaires. Salafistes et radicaux sont, en effet, devenus les ambassadeurs officieux de certains quartiers dits « populaires ». Ces quartiers où l’État n’existe plus, ces quartiers qui ne sont français que sur le strict plan de la géographie physique. Éteignez vos téléviseurs.

 

 

 

30/10/2020

Nice, pas d’amalgame, mais …

 

 

 

 

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.. bientôt la guerre de libération nationale ?

 

 

Suite à l’attentat dans la basilique de Nice, l’ancien Premier ministre de Malaisie, Mahathir Mohamad vient de déclarer que les musulmans avaient « le droit de tuer des millions de Français ».

Autrement dit, l’injonction « pas d’amalgame » ne s’adresse qu’aux Français… Les musulmans, eux, ne se gênent pas pour le faire. Ainsi, celui qui a agi à Nice, faisait bien, lui, l’amalgame entre d’innocentes grenouilles de bénitier et les journalistes de Charlie Hebdo défendus par Macron.

 


Le terroriste de Nice est un migrant tunisien récemment arrivé en France en passant par Lampedusa

Ce sont ainsi tous les Français qui sont menacés, pas seulement ceux qui font des caricatures, pas seulement ceux qui les montrent dans leur classe, pas seulement les laïcards, non, tous, même les catholiques dont le Pape est pourtant de plus en plus compréhensif avec les musulmans (sic !).

 

Peut-on d’ailleurs reprocher leur attitude aux musulmans? Lorsque Charlie fait des caricatures sur le prophète, est-ce qu’il n’amalgame pas l’ensemble des musulmans ? Est-on sûr, d’autre part, que Charlie ne fait pas ces caricatures « au nom de tous les Français » ?

 

Alors, combien de temps va-t-on pouvoir maintenir cette fiction du « pas d’amalgame » pour tenter de conjurer la guerre civile ? Aller hop, si c’est comme ça, on confine tout le monde, c’est plus sûr.

 

Du confit de multiculturalisme, vous en reprendrez bien un peu ?

 

23/10/2020

Pas d’amalgame entre « salafiste » et « salafiste » !

 

 

 

La seconde décapitation perpétrée sur le sol français , les républicains de gauche, comme à l'accoutumée, ont agité leur gri-gri favori : « Pas d'amalgame ».
 
 

 
 
 
      

L’attentat contre l’usine de gaz, en Isère, et la première décapitation perpétrée sur le sol français à peine annoncés, les républicains de gauche, comme à l’accoutumée, ont agité leur gri-gri favori : « Pas d’amalgame ». Pas d’amalgame entre islam et islamisme, pas d’amalgame entre musulmans modérés et musulmans radicaux, ou, autre variante, entre islam et salafisme. Entre eux, point de socle commun, ni même quelque supposé lien de parenté.

 

Mais, stupeur,  présentatrice et journaliste du journal de 19 h d’Antenne Réunion nous en révèlent un nouveau. Alors que Yassin Salhi – qui avait été fiché par les renseignements généraux précisément pour appartenance à la mouvance salafiste, donc en voie de radicalisation terroriste – est en garde à vue, on nous apprend que « le terme salafisme » ne doit pas être confondu avec celui de « djihadisme » ! Stupeur, encore, d’entendre définir le salafisme comme étant « un courant rigoriste de l’islam fondé sur une stricte interprétation du Coran », immédiatement suivi de cette affirmation : « La plupart des salafistes sont pacifistes. » » Mieux : « Les salafistes qui versent dans le djihadisme seraient ceux qui l’étudient le moins et ceux qui sont motivés par un sentiment d’oppression contre les musulmans. »» Ce n’est pas l’avis de Yadh Ben Achour, professeur de droit à l’université de Tunis :

 

L’erreur serait de supposer que ce salafiste est un pauvre hère égaré dans l’histoire de l’islam. Cessons de croire à la théorie de l’aberration qui veut que le salafiste ne représente pas l’islam ou que c’est l’enfant maudit de la famille […] »

 

Alors, on se dit que les médias réunionnais pèchent par naïveté ou par méconnaissance profonde de l’islam. Parce qu’en métropole, ce sont bien les salafistes qui y contrôlent une centaine de mosquées (chiffres de 2010), et une quarantaine d’autres soupçonnées de les rallier.

 

Pourtant, même son de cloche du côté de Saint Priest, à la mosquée fréquentée par Yassin Salhi où, étonnamment, personne ne semble le connaître. Le Monde nous apprend que le salafisme, pour Franck, un chrétien converti, « c’est le contraire du terrorisme, c’est prôner la paix, vivre ensemble, respecter l’autre […] ». « Pour nous, c’est pas des salafistes, ces gens-là », ajoute Belgacem, 60 ans, et assez énervé : « Ce sont ce que les savants appellent “les chiens de l’enfer” […], un salafiste, ça ne tue pas. ». Pas d’amalgame !

 

C’est à y perdre son latin… Djihadiste ou salafiste ? Salafiste modéré ou salafiste radical ? Salafiste pacifique ou non ? Cela va devenir vraiment très compliqué !

 

 

 

 

08/09/2020

Face à l’islam, la France devra réformer sa Constitution:

 

 

 

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Il faut que le préambule de notre loi fondamentale exprime l’identité et les racines chrétiennes de notre pays

 

 

 
 
 
 
  

Relance précipitée par M. Hollande d’une « fondation » confiée à M. Chevènement, « concordat » pour M. Cazeneuve, « acte solennel » pour Alain Juppé : la nécessité d’un « contrat » entre l’État et les musulmans français fait maladroitement son chemin chez nos dirigeants d’aujourd’hui et de demain. Mais malheureusement, toujours avec le même amateurisme sur cette question pourtant fondamentale. Et l’on peut aussi craindre qu’elle soit polluée d’arrière-pensées électoralistes.

 

Pourtant, la situation inédite dans laquelle se trouve la France offre une occasion unique pour le pays de se ressaisir, . Un « contrat » exige de préciser qui sont les contractants. Et les Français ont plus que jamais besoin de cette introspection-là, pour sortir de la « sidération » dans laquelle les ont plongés le terrorisme islamiste et les réponses creuses que les élites y ont apportées : « Je suis Charlie », « vivre ensemble », etc.

 

Les Français sentent cette nécessité de se définir et de dire d’où ils viennent et vers quoi ils veulent (et ne veulent pas) aller. Et pour beaucoup, quelles que soient leurs origines et leurs convictions politiques ou religieuses, la relation officielle de la République à son passé, son identité et aux religions est un modèle obsolète, hypocrite et inopérant face aux défis nouveaux, notamment l’apparition d’une communauté musulmane nombreuse, et souvent revendicative.

 

Vu l’ampleur de la réforme, qui irait bien au-delà de la question de l’islam de France (ce qui aurait, aussi, l’avantage de ne pas se focaliser sur cette question, tout en la réglant), c’est donc, non pas la loi de 1905, mais bien notre Constitution elle-même qu’il s’agit de réformer, dans un grand élan solennel semblable à celui de 1958, et validé par référendum.

 

Il faut que le préambule de notre loi fondamentale exprime l’identité et les racines chrétiennes de notre pays et la synthèse culturelle que le christianisme réalisa, à partir de la culture gréco-romaine. Il doit aussi mentionner la place historique de la communauté juive, l’une des plus anciennes du monde, et réaffirmer bien sûr la spécificité de la laïcité dans le fonctionnement de l’État. Cet héritage historique enfin inscrit dans la Constitution, l’État aurait pour obligation de le préserver, le perpétuer et d’y faire adhérer tous les Français. Pour ce qui est de l’islam, la Constitution doit rappeler les relations particulières entre la France et le monde arabo-musulman au Maghreb, et tolérer un islam français, seulement dans la mesure où celui-ci reconnaît la prééminence de cet héritage judéo-chrétien dans toutes ses dimensions, et les règles de la laïcité, qu’il aurait pour devoir de promouvoir auprès des croyants.

 

Ce serait sortir par le haut de plusieurs conflits latents qui minent la communauté nationale depuis des décennies et fixer le cadre pour toute législation particulière ultérieure. Car, avant de poser la question du financement des mosquées, peut-être conviendrait-il d’abord de se demander s’il faut les multiplier ? Si nos dirigeants continuent d’avancer sur ces questions sans boussole et en évitant les questions de fond, la défiance du peuple ne fera que s’accroître.

 

Il faudra donc réformer nos lois, mais d’abord notre Constitution, non pas pour favoriser l’implantation de l’islam, mais au contraire pour la circonscrire.

 

Il ne manque plus que les juristes et le candidat courageux pour proposer cette réforme au peuple français.