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10/04/2018

Une étrange épidémie très mortifère:

 

 

 

 

 

 Se répand en Allemagne:

 

 

 

 

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La psychopathie se manifeste essentiellement chez des sujets ayant à un moment ou un autre fréquenté une mosquée…

 

 

 

 

 

 

 
 
 
 
Nouvelliste.
 
 
 
 
 
 

Alors que le monde semble la proie d’une épidémie de psychopathie islamiste sans précédent (déséquilibre psychologique ne touchant que des individus se réclamant de l’islam, ce que ce dernier dément formellement : il s’agit donc d’une pathologie touchant une catégorie humaine inédite, le musulman non islamique), nulle étude épidémiologique ne semble avoir été envisagée, pour l’heure, par les instances mondiales de la santé mentale. Le temps presse cependant, car les victimes de cette psychopathie sont de plus en plus nombreuses à travers le monde, et si cette dernière concerne en priorité des musulmans non islamiques, c’est-à dire des fumeurs non fumeurs, un nombre croissant de « kouffars » en sont les victimes également. Ce qui prouve, selon tous les spécialistes, que l’islam n’est pas en cause en tant que tel : tout être humain est une victime potentielle.

 

 

 

 

Le mécanisme de propagation reste inconnu, la seule certitude épidémiologique étant que la psychopathie se manifeste essentiellement chez des sujets ayant, à un moment ou un autre, fréquenté une mosquée, ce qui est bien entendu radicalement discriminatoire envers ces maisons de paix et d’amour. Pour l’heure, il semble impossible de comprendre pourquoi, sauf très rares exceptions, la source de la psychopathie ne se situe que dans ces bâtisses et non dans des églises, cathédrales ou synagogues, et les spécialistes s’efforcent de découvrir quelles spécificités architecturales pourraient engendrer cette discrimination épidémiologique. Serait-ce dû à la nature des matériaux employés pour leur conception, par exemple les enduits sur les murs ? (Il est à noter également que même des camions n’ayant jamais mis les roues dans une mosquée peuvent être contaminés : d’où leur surnom de « camions fous ». Peut-être transportèrent-ils de ces enduits à un moment ou un autre ?) De même, tout lien avec l’éventuelle nature intrinsèque de l’islam est frénétiquement exclu par le monde politique occidental, ce dernier ne pouvant se résoudre à fournir à quiconque le moyen d’allumer la mèche d’un bâton de dynamite très profondément calé, par ses soins, dans son propre fondement sociétal. L’on se dirige ainsi vers l’hypothèse du complot architectural comme seule explication rationnelle restante de ce scandale discriminatoire islamophobe.

 

 

 

L’actualité immédiate nous offre deux exemples à partir desquels il est encore un peu tôt de prédire un destin de cas d’école… D’abord, samedi, cet « islamiste » originaire des Émirats arabes unis, souffrant « d’instabilité psychologique »« connu comme islamiste mais non comme djihadiste », considéré comme « un cas suspect » avec « des éléments montrant une radicalisation », tuant une personne et en blessant six à Hambourg, aux cris désormais familiers d’Allah est grand (autorités allemandes citées par le JDD). « Simple fait divers ou attaque plus inquiétante ? » Les enquêteurs (qu’Allah les aide) n’ont pu encore le déterminer, précise le JDD. Ah, et puis ce dimanche matin 30 juillet, toujours en Allemagne (Constance), un Irakien de 34 ans, déjà établi en Allemagne, a ouvert le feu dans une discothèque au fusil-mitrailleur, faisant deux morts (dont l’agresseur abattu par la police) et plusieurs blessés. Les autorités affirment qu’il ne s’agit en aucun cas d’un acte terroriste (Source De Telegraaf). Cependant que les vessies des poules aux dents en or massif semblent bel et bien des lanternes.

 

 

 

 

La bonne nouvelle nous vient (pour une fois) d’Angleterre, où, selon le Sunday Times, les autorités, craignant un retour massif de guerriers musulmans sur son sol en cas d’effondrement de Daech, vient préventivement de déchoir de leur nationalité 150 de ces tristes sires, de même que leurs épouses. Il n’est jamais trop tard pour bien faire, même si ces questions de nationalité n’empêchent en rien toutes sortes de clandestins et d’illégaux d’aller et venir sur notre pauvre continent et commettre des massacres à l’occasion.

 

 

 

 

 

 
 
 
 
 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

09/03/2018

Le Coran à la lettre:

 

 

     
 
 
Je ne fais que citer le bouquin et j’insiste : n’essayez pas de faire ça chez vous…                     
     
         

Pourquoi les djihadistes de l’EI coupent-ils des têtes?

 

 

La réponse, pour ces intégristes fous furieux qui en font une lecture littérale, se trouve dans la sourate 8 de leur livre saint. C’est simple comme une recette de cuisine.

 

 

Lisez plutôt. Les mécréants, se sont les autres. Le prophète et le messager, c’est leur chef.

 

 

12. Et ton Seigneur révéla aux Anges: «Je suis avec vous: affermissez donc les croyants. Je vais jeter l’effroi dans les cœurs des mécréants. Frappez donc au-dessus des cous et frappez-les sur tous les bouts des doigts.

 

 

13. Ce, parce qu’ils ont désobéi à Allah et à Son messager.» Et quiconque désobéit à Allah et à Son messager… Allah est certainement dur en punition!

 

 

39. Et combattez-les jusqu’à ce qu’il ne subsiste plus d’association, et que la religion soit entièrement à Allah. Puis, s’ils cessent (ils seront pardonnés car) Allah observe bien ce qu’ils œuvrent.

 

 

57. Donc, si tu les maîtrises à la guerre, inflige-leur un châtiment exemplaire de telle sorte que ceux qui sont derrière eux soient effarouchés. Afin qu’ils se souviennent.

 

 

59. Que les mécréants ne pensent pas qu’ils Nous ont échappé. Non, ils ne pourront jamais Nous empêcher.

 

 

60. Et préparez contre eux tout ce que vous pouvez comme force et comme cavalerie équipée, afin d’effrayer l’ennemi d’Allah et le vôtre, et d’autres encore que vous ne connaissez pas en dehors de ceux-ci mais qu’Allah connaît. Et tout ce que vous dépensez dans le sentier d’Allah vous sera remboursé pleinement et vous ne serez point lésés.

 

 

65. Ô Prophète, incite les croyants au combat. S’il se trouve parmi vous vingt endurants, ils vaincront deux cents; et s’il s’en trouve cent, ils vaincront mille mécréants, car ce sont vraiment des gens qui ne comprennent pas.

 

 

67. Un prophète ne devrait pas faire de prisonniers avant d’avoir prévalu [mis les mécréants hors de combat] sur la terre. Vous voulez les biens d’ici-bas, tandis qu’Allah veut l’au-delà. Allah est Puissant et Sage(19).

 

 

Ne voyez pas là une « incitation à la haine raciale », une provocation ou une apologie du crime contre l’humanité ! Je ne fais que citer le bouquin et j’insiste : n’essayez pas de faire ça chez vous…

 

 

 

20/02/2018

Aude : la musulmane profanatrice de l’église de Rennes-le-Château en correctionnelle:

 

 

 

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La musulmane qui avait commis des actes de vandalisme et de profanation – contre le bas-relief de Marie-Madeleine d’un autel – dans l’église Sainte-Marie-Madeleine de Rennes-le-Château le 23 janvier dernier, n’a pas été jugée irresponsable par les psychiatres qui l’ont examinée. Elle se retrouvera donc au tribunal correctionnel le 8 septembre prochain…

 

 

 

Après avoir été examinée par un médecin, la jeune femme est admise à l’hôpital psychiatrique de Limoux (Aude). Elle y a reçu des soins jusqu’en fin de semaine dernière. « Elle a ensuite été placée en garde à vue, puis déférée au parquet, précise le procureur de la République de Carcassonne, Vincent Auger. Il n’y a pas d’abolition de son discernement. Elle sera jugée le 8 septembre prochain pour dégradation d’un effectif [sic pour édifice] affecté au culte. » En attendant, elle a été placée sous contrôle judiciaire, avec interdiction de se rendre sur les lieux où a été commis son forfait.

 

 

 

 

Source : Midi Libre

 

 

06/02/2018

DJIHADISTES : POUR BRISER LES IDÉES REÇUES…

 

 

 
 
 
 
Ancien officier de Gendarmerie

Diplômé de criminologie et de criminalistique
 
 
 
 
 

 

Une récente étude sur les djihadistes français brise les idées de la bien-pensante.

 

 

 

Dès qu’un attentat a lieu en France – et depuis deux ans ils sont nombreux -, les autorités et les médias lancent de pseudo-analyses qui voient en ces terroristes soit des psychopathes, ou au minimum des personnes dérangées, soit des ignares qui ne comprennent rien aux méandres de la situation internationale, et notamment des conflits du Moyen-Orient, soit de faux musulmans méconnaissant le Coran.

 

 

 

Il en est ainsi d’un rapport publié en 2014 par le Centre de prévention contre les dérives sectaires liées à l’islam, organisme fondé par la chercheuse et anthropologue Dounia Bouzar. Celle-ci, dans le but de lutter contre la radicalisation islamique en France, avait analysé les témoignages de 160 familles. Sa conclusion rejoignait celle de la pensée unique : « L’Internet est le principal mode de radicalisation et le passage par la mosquée n’est plus automatique […] » « L’islam radical peut faire basculer des jeunes sans qu’ils n’aient participé à aucune prière. Certains sont partis ou voulaient partir en Syrie sans qu’aucune pratique religieuse ne soit décelée la veille. »

 

 

 

Or, depuis 2015, nous apprend Russia Today« quatre professeurs et chercheurs du Cesdip (une unité de recherche du CNRS) et l’Inhesj (Institut national des hautes études de la sécurité et de la justice) ont étudié les mécanismes de cette radicalisation violente ».

 

 

 

L’exposé a d’autant plus de valeur que, contrairement à celui de 2014, il prend en compte les intéressés et non les familles. En effet, leurs conclusions ont pour fondement des entretiens réalisés en prison au cours de l’année 2016 auprès d’une vingtaine de personnes condamnées pour terrorisme, dont treize pour des actions djihadistes. Signalons que les supports d’information, à l’exception de Russia Today, n’en ont pas parlé alors que, selon ce journal, l’AFP a bien eu connaissance de l’enquête.

 

 

 

En premier lieu, ils notent dans leur étude qualitative qu’une majorité d’entre eux « a pu connaître des parcours familiaux dysfonctionnels et déstructurés assez marqués (absence du père, placements en foyer, violences subies…) » qui les ont poussés à trouver dans le djihadisme « une forme de rédemption, d’adhésion à une communauté protectrice et unie ».

 

 

 

En second lieu, ils nuancent l’idée qu’ils ne connaîtraient pas la religion, en notant que sans être des « savants », les djihadistes « n’en sont pas moins des croyants fervents profondément investis des textes islamiques auxquels ils se réfèrent », selon la formule de Russia Today.

 

 

 

En troisième lieu, ces jeunes gens ne sont nullement « décérébrés et ignorants des réalités politiques internationales » : « ils ont des connaissances rudimentaires mais suffisantes sur les questions internationales, qu’ils observent à travers leur propre prisme dénonçant un complot contre les musulmans, notamment sunnites », résume le journaliste.

 

 

 

Enfin, leur examen tord le cou à l’idée répandue de jeunes désœuvrés obnubilés par Internet « se bricolant seuls devant leur écran une cause artificielle ». Il faut en finir avec la vision d’un parcours solitaire aboutissant au « sacrifice ». Ils ont constaté, explique Russia Today, que « c’est la confrontation avec l’étranger (réseaux, voyages, récits de combattants étrangers, expériences de terrain) [qui] joue un rôle crucial dans leur radicalisation ». D’ailleurs, les auteurs soulignent que la radicalisation n’est jamais un phénomène solitaire.

 

 

 

On le voit, ces perspectives vont contre les conclusions assénées par les médias.

 

 

 

Non, les djihadistes ne sont pas des êtres incultes, à moitié cinglés, enrôlés par des sites et gavés de jeux vidéo, mais des musulmans rigoristes ayant suivi les préceptes du Coran. Et c’est là tout le problème que pose l’islam.

 

 

 
 
 
 
 
 

26/12/2017

L’islamisation tranquille de nos campagnes du Perche et d’ailleurs…

 

 

Le Loir-et-Cher est un département essentiellement rural. Peu de grandes villes autres que la Préfecture de Blois, l’ancien fief de Jack Lang, avec ses quartiers sensibles, comme ils disent.

  

 

Des quartiers si riches de valeurs humaines, si proches de l’autre, du différent, surtout le blanc qui a pris l’habitude de fermer sa gueule, et celui de passage pour peu qu’il vienne pour y faire un peu de commerce. De braves gamins vous dis-je, tous adeptes de la  biculture, celle du joint en barrettes, et celle des tombés de camions. De braves « jeunes » de 12 à 28 ans qui se saluent entre eux de manière courtoise, font la bise aux copines dans les caves, laissent les dames passer avec gentillesse, pour peu qu’elles s’appellent Yasmina, Rokhaya, Houria et autres Fatima, et qu’elles circulent avec leurs voiles bien serrés sur le front, pour éviter sans doute qu’un cheveu ne dépasse.

 

 

 

 

 

Il y a aussi sa Sous-Préfecture, la ville de Vendôme, petite ville socialiste de 18 000 habitants, avec son cinéma, sa seule rue piétonne, ses heures d’ouverture de magasins. Surtout, ne pas y aller entre 12h et 14h30. Ses habitants font comme beaucoup d’habitants en Province et dans beaucoup d’autres villes,  ils rentrent déjeuner chez eux.

 

Il y a aussi des villages entre 600 et 2500 habitants qui se transforment peu à peu, en désert. Les plaques de médecins font des vides sur les façades, des pharmacies fermées, des kilomètres à faire en semaine pour trouver un magasin de bricolage, et peu de concurrence. Les prix sont tempérés uniquement par les petites retraites des habitants qui sont restés attachés à leur maison, à cet habitat construit il y a 40 ou 50 ans, celle où ils sont nés, celle d’où ils partaient pour aller travailler dans les usines voisines, là l’abattoir de poulets, celui qui est devenu halal depuis son rachat par un riche marchant arabe qui balance sa production dans le 18eme arrondissement parisien.

 

Ils ont élevé leurs progénitures, puis ils les ont vus partir très vite en internat. A la campagne, il est bien rare de pouvoir garder ses enfants chez soi  jusqu’au BAC, du fait de l’éloignement des écoles primaires, secondaires et des universités, par rapport aux villages environnants.

 

Reste que la vie sociale est riche. Le Vendômois, journal local, est le lien de tous les habitants. Il liste l’ensemble de toutes les brocantes, les vide-greniers, les fêtes de village, les comices, etc. Hélas, il n’échappe pas au politiquement correct. Il remplit aussi sa mission de lobotomisation des Percherons du coin. Ses articles sur la multiculturalité sont patents avec la complicité de certains maires de village. Je pense à Montoire, ville célèbre, qui cherche sans doute à faire oublier la fameuse rencontre en organisant régulièrement, des réunions multiculturelles qui n’ont pas grand-chose à voir avec les danses, et les chants du terroir. Pour cela, il vaut mieux aller au Québec.

 

La vie sociale existe disais-je, et il suffit de circuler de brocantes en vide-greniers, pour constater que les gens se rencontrent, se parlent, rient fort entre eux, échangent des anecdotes piquantes, parfois lourdes aussi, mais toujours sympathiques. Ils viennent en famille, se donnent des nouvelles et j’imagine à les entendre, qu’ils se voient rarement le reste de l’année. Pour moi, tous ces rires, ces blagues à deux balles, ces rencontres conviviales autour de la buvette sont un bain de jouvence. Peu de toilettes pour ces dames, à la bonne franquette, et peu de tenues vestimentaires pour complaire. C’est du brut de décoffrage !

 

Ces trois dernières années, nous avons pu observer l’arrivée de familles bourgeoises venues de la région parisienne, profitant des faibles coûts des maisons à vendre, pour s’installer, venir manger bio, et respirer le bon air. Impossible de les louper ! Mais, ils jouent le jeu et partagent la convivialité ambiante. Après tout, c’est le plus important. Les Percherons ne sont pas dupes. Il faudra des années avant que ces nouveaux arrivants s’intègrent. La différence des niveaux de vie est flagrante. Ceci expliquant cela !

 

Cette année, ce sont les voilées qui viennent de débarquer dans les marchés, les brocantes, les vide-greniers. Voilées des pieds à la tête. Certaine toute en noir. (Source)

 

Elles sont à part. Se vivent à part. Elles circulent en étant (semble-t-il) indifférentes à l’entourage qui les regardent avec curiosité, mais sans agressivité aucune.

 

C’est la deuxième fois que je vois ces « créatures » exposer leurs « différences », démontrer leur message de femmes soumises à leurs maris, et à leur dieu. Elles prennent leur temps, poussent des landaus avec des enfants. Elles empilent par-dessus, leurs achats divers et variés.

 

Déjà deux fois en quelques mois et je reste choqué devant cette représentation que je croyais impossible, il y a encore peu, dans ces villages.

 

Ce lundi 7 août, ce fut ma troisième rencontre avec une voilée vendant des chaussures sur un marché à Mondoubleau. Elle était seule cette voilée, parmi les vendeurs de salade, de carottes, de pommes fruits, et des vendeurs de poulets de ferme et de lapins. La paysannerie dans toute sa beauté, entachée par cette horrible démonstration ignoble de la soumission de la femme. Là aussi, j’avais l’impression d’être bien seul. Chacun allait à ses occupations, ignorant cet état de fait, et poursuivait les achats en s’échangeant moult amabilités en passant.

 

Est-ce eux qui finalement avaient raison, ou moi qui montrais des signes d’énervements manifestes.

 

Il n’en reste pas moins que l’islamisation se poursuit tranquillement dans nos campagnes et que la femme est bien le fer de lance de celle-ci. Je pense à ces femmes faisant du « sein nu » sur une plage de la Baule. Ce n’étaient pas des voilées qui se permirent d’émettre une opinion islamiste. Elles se firent envoyer balader par des femmes attachées à leurs droits. Elles revinrent avec leurs maris.

 

Cette technique d’imposition de la charia est connue. Je pense que cette technique se met en place dans nos villages, et qu’elle va poser un problème majeur dans les années futures.

 

Le risque est que cette engeance s’impose dans un tissu vieillissant, où les adultes refusent de s’investir dans la vie politique, ou il faut que les habitants supplient pour avoir un candidat à la mairie du village. Que la jeunesse ne songe qu’à rejoindre les villes, les métropoles. Demain, avec la volonté d’installer des « clandestins » dans nos campagnes, et par le jeu du regroupement familial, nous risquons bien de perdre la saveur de nos campagnes, de nos terroirs, de nos productions, et les églises de nos villages. Je doute que les bobos parisiens, lessivés par la propagande d’état, ne réagissent vraiment.

 

Ce commentaire lu sur Salon Beige doit nous alerter: Ils sont en train de s’implanter systématiquement dans nos campagnes et dans nos villes petites et moyennes pour y jouir tranquillement de leurs diverses allocations – que nous leur payons – et se préparer à nous assaillir aussitôt qu’ils jugeront que le succès est promis à leurs entreprise (…) c’est ce que l’on appelle la trahison du peuple par ses représentants – je ne fais d’ailleurs que dénoncer une évidence.

 

Gérard Brazon