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17/05/2016

Le « vrai islam », c’est « enlever les chrétiennes et détruire les églises » !

 

 

 

 

 

 

Ce n’est pas moi qui le dit, mais le « grand ayatollah » chiite d’Irak Ahmad al-Husseini al-Baghdadi, meilleur interprète que moi de la doctrine musulmane. C’est ce qui ressort d’un entretien qu’il a accordé à une télévision irakienne et qui a été mis en ligne sur Youtube le 14 avril dernier. Selon la traduction en anglais qu’en a faite Raymond Ibrahim pour Frontpage Mag, voici ce que le « grand ayatollah » a notamment déclaré.

 

 

« Si ce sont des gens du Livre [chrétiens et juifs], nous exigeons d’eux la djizya, et s’ils refusent nous les combattons. Ça c’est s’il est chrétien. Il a trois choix. Soit il se convertit à l’islam ou s’il refuse parce qu’il veut rester chrétien alors il paye la djizya. Mais s’ils continuent à refuser alors nous les combattons : nous enlevons leurs femmes et nous détruisons leurs églises. C’est ça l’islam ! (…) Ce n’est pas l’opinion de Ahmad al-Husseini al-Baghdadi, mais l’opinion des cinq écoles de jurisprudence [quatre sunnites et une chiite] ».

 

 

Source : Frontpage Mag

 

10/05/2016

Arrêtons de trouver des excuses aux djihadistes:

 

 

 

 

Et si l’explication de ce terrorisme était plutôt à chercher du côté de la perversité, ce "goût pour le mal", cette "recherche du mal" ?
 
 
 
 
 

 
 
 
 
      

Le petit prince voulait qu’on lui dessine un mouton ; la société du spectacle de l’information veut, quant à elle, expliquer le djihad.

 

 

Certes, l’humble amateur d’Histoire que je suis se félicite que la raison l’emporte sur l’émotion, cet inhibiteur de pensée. Mais – car il y a un mais – l’Histoire, sauf erreur de ma part, demande un certain recul pour être convenablement appréhendée. Or, de recul il n’est point sur ces plateaux de spécialistes dégoulinant d’une démagogie qu’aucun détachant ne saurait ravoir !

Dernière perle en date, l’émission de Taddeï qui, avec une exemplaire obscénité, eu égard aux morts à peine enterrés du 13 novembre 2015, s’interrogeait ainsi : « Expliquer, c’est excuser ? » Question louable si, dans son ensemble, elle était traitée avec honnêteté et pudeur. Car, ici comme ailleurs, et à quelques rares exceptions près, nous avons été abreuvés d’explications socioculturelles sur les motivations des terroristes ayant sévi avec une remarquable efficacité sur le sol français au cours de l’année 2015. Explications souvent oiseuses et maquillées en bouche de la vérité !

 

 

Ce déterminisme zolien, considérant que la pauvreté et la différence culturelle sont les causes de la conséquence, serait juste ridicule s’il n’était pas tragique. À ce compte-là, la France aurait dû brûler mille fois, elle qui a si souvent accueilli de fort modestes personnes venues d’ailleurs.

 

 

Et les victimes, cette poussière qu’on cache volontiers sous le tapis pour ne pas déranger ces diatribes spécialistes et politiciennes, qu’en est-il ? Elles sont sommées de parler dans le sens du vent consensuel, et gare à quiconque serait pris d’une rage rétrospective ! La censure – effective, n’en déplaise aux aveuglés – veille ; comme elle veille à juguler les voix dissonantes qui s’immiscent dans ce concert d’hypocrites. Le ministre de la Culture a ainsi privé Valeurs actuelles de subventions car (je cite) « pour bénéficier de ces fonds, un titre ne doit pas avoir été condamné pour racisme, antisémitisme, incitation à la haine raciale ou à la violence lors des cinq dernières années » (source : Marianne). Quelle belle et limpide démocratie avons-nous là !

Et si l’explication de ce terrorisme était plutôt à chercher du côté de la perversité, ce « goût pour le mal », cette « recherche du mal » (Le Robert) ? Perversité peut-être favorisée par une incitation sacrée à la haine.

 

 

De mon côté, je ne vois ni révolte ni cri de désespoir dans l’extermination gratuite de son prochain, même s’il est vrai qu’il ne s’agit pas de prochain mais de mécréant !

Revenant à mon petit prince, je me dis que « l’essentiel est invisible pour les yeux » de tous les spécialistes.

 

 

03/05/2016

Ouganda : un évangélisateur victime du dialogue islamo-chrétien

 

 

 

 

 

Le cadavre de Samson Nfunyeku a été retrouvé aux petites heures du 23 mars tout près de son domicile situé dans le village de Kalampete (district de Kibuku). Sa tête portait des traces de nombreuses blessures et des marques à son cou ont convaincu la police qu’il avait été étranglé. Samson Nfunyeku, un laïc chrétien de 59 ans, s’était acquis une réputation de brillant évangélisateur en participant à des controverses théologiques organisées par la Church of Uganda, à laquelle il appartenait, et d’autres églises avec des savants musulmans, au Tirinyi Trading Center. Il en était résulté de nombreuses conversions mais aussi des menaces de responsables musulmans qui ne voulaient plus qu’il participe à de tels débats. « Voici quatre mois, raconte un ancien Sheikh musulman converti au christianisme, Samson et d’autres eurent un débat très vif avec des savants musulmans qui s’était mal terminé pour ces derniers qui avaient averti que de tels débats n’étaient pas bons pour les musulmans ». Pourtant, un nouveau débat fut organisé le 22 mars au Tirinyi Trading Center, auquel participa Samson Nfunyeku. Un débat de trop, semble-t-il, puisque qu’il fut assassiné quelques heures après cette dernière controverse…

 

 

Source : Voice of the Persecuted,

 

19/04/2016

Génocide des chrétiens d’Orient : l’appel d’une philosophe allemande

 

 

 

 

 

 

Sophia Kuby est une philosophe allemande, co-fondatrice de l’ONG European Dignity Watch à Bruxelles elle travaille aujourd’hui pour ADF International, autre ONG bruxelloise au service de la défense de la vie, de la famille et de la liberté religieuse. Elle a fait paraître, le 26 février dans le journal de l’Église catholique allemande, un appel intitulé Den Genozid stoppen (pour arrêter le génocide), qui a été traduit hier par nos confrères d’Aleteia. Voici cette traduction (légèrement remaniée).

 

 

« Le prétendu État Islamique [EIIL] tue, viole, torture, et réduit en esclavage toujours plus de monde en Syrie et en Irak : la communauté internationale voit cela et continue à rester passive. Nous vivons aujourd’hui un exode historique de toutes les minorités du Proche-Orient et pourtant l’action tarde à prendre corps : “Réveillez vous !” », s’est exclamé le père Bazi d’Erbil, en Irak, la semaine dernière quand il était devant le Parlement européen.

 

 

Il faut reconnaître que là-bas et ailleurs des actes commencent à émerger : le 27 janvier les 47 États membres du Conseil de l’Europe ont reconnu que les monstruosités commises par L’EIIL constituaient un génocide. Peu de temps après, une résolution a été prise au Parlement européen et qui dit les choses de manière suffisamment claire : les chrétiens, les Yézidis et les autres minorités ethniques et religieuses sont persécutés de manière systématique. Ce qui se traduit par un nom que l’immense majorité des parlementaires a reconnu : c’est un génocide, c’est-à-dire l’extermination d’un peuple, qui a lieu en Orient.

 

 

« Génocide » : il s’agit du concept le plus puissant qu’offre le droit international pour évoquer ce genre de meurtres de masses systématisés. On ne parlait jusqu’alors que de crimes contre l’humanité et d’épuration ethnique : des concepts proches mais pas aussi vastes et englobants que le terme génocide, qui inclut toutes ces dimensions dans l’horreur. Que ce soit au Rwanda ou au Kosovo, c’est le fait de nommer le génocide en tant que tel qui avait permis à la communauté internationale de s’entendre pour agir : « Les mots comptes ! », s’est exclamé le député suédois à l’origine de la résolution, Lars Adaktusson, devant l’assemblée plénière.

 

 

Ce sujet est maintenant abordé de manière brûlante à la chambre des Lords en Grande-Bretagne. De nombreux Lords ont écrit la semaine dernière un appel enflammé à leur Premier Ministre, pour faire en sorte qu’il agisse au niveau de l’ONU afin de mettre un terme à ce massacre abominable. Le Congrès américain a lui aussi adopté une résolution de la sorte et fin décembre Hilary Clinton évoquait le génocide chrétien qui a lieu en Syrie et en Irak.

 

 

Un consensus international semble enfin intervenir, lentement et bien tard, mais absolument nécessaire. Le patriarche catholique chaldéen de Babylone, Louis Sako, appelait début février le président du Parlement européen Martin Schulz dans une lettre ouverte à faire « tout ce qu’[il peut] pour arrêter ce génocide avant qu’il soit achevé ». Prions pour que la communauté internationale s’engage rapidement et véritablement dans cette direction et que se rapproche le terme de ces massacres.

 

 

Source : Aleteia,

 

 

15/03/2016

Islam de France : vous y comprenez quelque-chose ? Moi non plus:

 

 

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Les sorties de route spirituelles se suivent et se ressemblent, et la France n’est pas en reste, où se dresse contre « l’amalgame » un rempart d’imbéciles au cuir autrement épais et imbuvable.
 
 
 

 
 
 
      

Il n’aura pas échappé à monsieur Cazeneuve que, si problème d’« évangélisation » il y a dans nos prisons, et que si « prôner le djihad n’est pas un crime », cette étrange religion monothéiste semble multiplier les « musulmans n’ayant rien à voir avec l’islam », comme d’autres religions les pains. On les reconnaît au trouble obsessionnel compulsif qu’ils manifestent à l’égard d’une fameuse arme de guerre russe, et au sang gisant dans leur sillage un peu partout dans le monde : voir la rubrique des « chiens d’infidèles écrasés ».

 

 

Les sorties de route spirituelles se suivent et se ressemblent, et la France n’est pas en reste, où se dresse contre « l’amalgame » un rempart d’imbéciles au cuir autrement épais et imbuvable. Ainsi aura-t-il fallu 130 morts et 300 blessés dans une salle de concert parisienne, transformée pour l’occasion en abattoir, pour qu’un Manuel Valls faussement ballot s’exclame au milieu des habitants d’Évry : « vous vous rendez compte, à Brest ?!! » (Figaro, 28 novembre) Dans les pas de la fachosphère islamophobe, il se référait bien sûr à l’imam de Brest Rachid Abou Houdeyfa, contant à de petits Français la sagesse des préceptes islamiques concernant la musique, et la transformation en singe ou en porc guettant le contrevenant. « Il faut le mettre dans un asile psychiatrique ! » éructe Tarek Oubru, recteur de la mosquée de Bordeaux sur les ondes de France-Inter. « Propos inadmissibles ! », tance le Conseil français du culte musulman au cours d’une réunion à Brest, à laquelle assiste… un Rachid Abou Houdeyfa taquin et en pleine takiya, « regrettant amèrement » certains de ses propos :  « tout le monde fait des erreurs dans la vie ». Sacré farceur ! Il vient d’inventer « l’auto-stage de dé-radicalisation instantanée » sous nos yeux ébahis, après avoir raconté les mêmes bobards aux adultes pendant des années : tout est sur YouTube !

 

 

Ces temps-ci j’ai l’humeur flâneuse et glaneuse, surfeuse même, et par exemple, je tombe sur ce site : islamweb.net. « Islamweb », dit-il, « est caractérisé par la grande diversité, la modération et la fiabilité des informations qu’il véhicule, ce qui fait de lui un point culminant et un pont incontournable dans le monde du web ». Soit. Comme je suis curieux, j’effectue une petite recherche concernant la musique et tombe là dessus. Question : « Comment expliquer à un non musulman que la musique est illicite ? » Réponse (extrait) : « Ceci dit nous  ajouterons qu’il semblerait que la sagesse derrière l’interdiction de la musique soit le fait que cette dernière ait une grande influence sur la corruption du coeur et le détourne de ce qui est bon pour lui comme l’évocation d’Allah (…) Les maux causés par la musique sont tels que cela suffit pour l’interdire totalement« . En mettant dans la balance ces propos, ceux du CFCM et de Tarek Oubru, tout citoyen à peu près censé conclura que l’islam ressemble singulièrement à un vaste bazar. À défaut de pouvoir vraiment cerner les contours de cet « islam de France », le citoyen sensé l’appellera donc « le bazar de France ». Bazar sur lequel nos pauvres politiques semblent avoir parié notre avenir : impair passe et manque, et qui vivra verra. Ah mince, encore perdu ! Zut, encore une « commémo » aux Invalides.