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06/06/2017

Portes Ouvertes : la première source de la persécution des chrétiens, c’est l’extrémisme musulman:

 

 

 

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Pour Michel Varton, directeur de l’ONG protestante Portes Ouvertes, la source première de la persécution des chrétiens dans le monde, c’est l’extrémisme musulman. C’est ce qu’il pointe dans un entretien accordé à 20 Minutes. En voici des extraits…

 

 

Depuis sept semaines […], nous avons noté douze agressions d’extrémistes islamiques contre des coptes en Égypte. Mais la violence islamique a deux faces. L’une est visible, ce sont les meurtres notamment, les agressions, nous l’appelons le marteau. L’autre est invisible, c’est l’étau, c’est-à-dire une pression quotidienne, très présente, qui pèse sur la population. Les chrétiens sont victimes de nombreuses discriminations. Un travail peut leur être refusé du fait qu’ils ne sont pas musulmans, comme en Égypte. Il leur est plus difficile de trouver un appartement, d’obtenir une promotion, les prix sont plus chers pour eux… Et les musulmans qui souhaitent se convertir sont vus comme des traîtres et risquent la mort […] [Au Nigéria] Il y a une forme de persécution qui régresse un petit peu, celle de Boko Haram. Le gouvernement réagit plus efficacement, le groupe est repoussé vers le nord. Mais le plus grand problème actuellement ce sont les nomades musulmans de l’ethnie peule, qui visent spécifiquement les chrétiens pour leur voler leurs terres et leur bétail. Ce groupe est encore plus radical et dangereux pour les chrétiens que Boko Haram […] Les chrétiens sont visés car ils sont chrétiens, donc mécréants pour Daesh. Avant tous ces groupes extrémistes, les chrétiens étaient tolérés, ils avaient le droit de cohabiter, même s’ils étaient des citoyens de seconde zone. Depuis quelques années, en Afrique et au Moyen-Orient, l’objectif est de les chasser de leurs terres, de les expulser, pour instaurer un califat 100 % musulman.

 

 

Source : 20 Minutes,

23/05/2017

Belgique l’imam et son fils exécrant les chrétiens, interpellés à Verviers:

 

 

 

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Encore Verviers ! Quelques développements sur des haineux, antichrétiens de père en fils…

 

 

 

 

Le fils de l’imam Shayh Alami, qui est apparu dans une vidéo tournée dans le centre de Verviers   et lançant un appel au meurtre de chrétiens, a été à nouveau interpellé ce lundi [22 mai] dans le cadre du dossier concernant cette vidéo, et placé pour trois mois en IPPJ (Institution publique de protection de la jeunesse) à Braine-le-Château en régime éducatif fermé. L’adolescent avait été remis en liberté après avoir été interpellé dimanche [21 mai] avec son père et sa mère. Il a été déféré ce lundi devant un juge de la jeunesse qui a décidé le placement. Shayh Alami, son épouse et leur fils, avaient été interpellés dimanche soir aux alentours de 17 h […] Le fils de l’imam, présent au domicile familial ce lundi, a accepté de répondre aux questions de notre journaliste à Dison. Il a déclaré que les policiers lui ont pris son téléphone portable, « ils m’ont dit qu’ils pomperont les données, et vérifieront s’il y a des preuves comme quoi je voulais partir ou faire un attentat ici. » Il a évoqué des regrets par rapport à la manière dont la vidéo a été interprétée. On l’aurait mal compris car il aurait utilisé certains mots au lieu d’autres, « je ne parlais pas des chrétiens mais du régime de Bachar (al-Assad, NDLR). C’était pas par moi-même, c’était du par cœur » a-t-il précisé. Il a également expliqué qu’il avait fréquenté des personnes qui sont parties aujourd’hui en Syrie, mais qu’actuellement, il en connaît beaucoup moins […] Le dossier du père, qui est sous le coup d’un arrêté d’expulsion et celui de l’adolescent qui tenait des propos haineux envers les chrétiens seront donc gérés de manière distincte. « S’il y a des faits répressibles concernant pour le père, c’est le parquet fédéral qui en sera saisi et pour l’arrêté d’expulsion, c’est le ministère de l’Intérieur qui est compétent », conclut Christine Wilwerth […] Si l’affaire de cette vidéo a fait tant de bruit, c’est parce que l’imam est bien connu à Verviers pour ses prêches radicaux. De nationalités marocaine et néerlandaise, Shayh Alami est, depuis un an, sous le coup d’un arrêté d’expulsion du territoire, une procédure qui n’a jamais abouti. L’imam a fait appel et lui et sa famille n’ont jamais quitté le sol belge. En ce moment, c’est donc le fils de cet imam qui inquiète les autorités. Sur sa vidéo, il appelle Allah au meurtre de chrétiens […].

 

 

Source : RTBF,

16/05/2017

Inde : violences antichrétiennes au Karnataka et au Kerala:

 

 

 

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Evan Mamang Kipgen, un chrétien évangélique de 26 ans, a été assailli le 24 avril par des inconnus à Bangalore, capitale de l’État du Karnataka, alors qu’il quittait le domicile d’un ami où s’était tenue une réunion de prière. Il a été frappé à coups de pied et de poing par des gens dont il n’a pas compris la langue : peut-être s’exprimaient-ils en kannada une langue du sud de l’Inde. Ses cris ont alerté ses amis chrétiens qui ont couru à son secours mettant en fuite les assaillants. Membre de la Thadou Christian Fellowship Church, il a porté plainte.

 

 

Le 26 avril, des membres du groupe hindouiste extrémiste Rashtriya Swayamsevak Sangh ont lapidé la Sharon Fellowship Town Church de Kodungallur, district de Thrissur (Kerala). Le pasteur de cette petite congrégation pentecôtiste, le Révérend Roy Shepherd, a précisé que depuis cinq années les hindouistes multipliaient les provocations et les signes d’impatiences contre cette église. Ses fidèles vivent depuis dans la peur. Il est allé ce matin porté plainte à la police.

 

 

 

Source : AsiaNews,

18/04/2017

Denise Bombardier : « Au nom d’Allah, détruire la culture judéo-chrétienne »

 

 

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Denise Bombardier est une journaliste, essayiste et animatrice de télévision, née à Montréal en 1941, très connue dans la « Belle Province ». Elle vient, dans la rubrique « Opinions » qu’elle tient dans le quotidien québécois Le Journal de Montréal, de publier les réflexions que lui inspire le dernier attentat islamiste commis à Londres, sous le titre « Au nom d’Allah »… Ce n’est pas “politiquement correct”, mais cela mérite d’être lu…

 

Chaque nouvel attentat islamiste provoque dans nos pays occidentaux des réactions diverses, enveloppées d’une ouate de prudence et formulées dans un vocabulaire qui cherche à atténuer la brutalité et l’intolérable barbarie d’un acte meurtrier. « Nous n’avons pas peur », assurent nos dirigeants, obligés de cacher leurs mains tremblantes derrière le dos lorsqu’ils commentent publiquement les tueries des soldats­­ d’Allah.

 

Des médias préfèrent parler de « fous » ou de « malades » afin d’éviter de jeter de l’huile sur le feu et laisser place aux amalgames accablant des musulmans. Or, le vocabulaire psychiatrique fait référence­­ à une maladie mentale expliquant le besoin de tuer, supprimant ainsi­­ la responsabilité pénale de ces criminels­­. Certains veulent laisser entendre­­ que ces terroristes agissent par des pulsions incontrôlables et seraient­­ donc inaptes à être jugés.

 

Or, cette tentative d’écarter le véritable motif de cette guerre, menée au nom d’Allah par des combattants dont l’objectif est de détruire la culture judéo-chrétienne, sert à justifier Daech­­, Al-Qaida, les talibans ou Boko Haram, qui créent la terreur sur tous les continents.

 

Les djihadistes ne se réclament ni du marxisme ni du fascisme. Leur combat n’a pas comme objectif d’abolir les inégalités­­ sociales, l’exploitation politique ou économique. Ils recherchent non pas la paix, mais le cataclysme universel. Ce sont des combattants de la mort. Tuer est un sentiment orgasmique pour eux. Tuer tous ceux qui ne sont pas eux, tous les « infidèles », c’est-à-dire les chrétiens, les juifs, les athées, les bouddhistes, les hindous et les minorités musulmanes hérétiques à leurs yeux, et dont la présence sur terre est une offense­­ à leur Allah à eux.

 

Le terroriste au passé de criminel, radicalisé­­ probablement en prison par un des imams qui sévissent en Angle­terre depuis longtemps, a attendu son heure. Installé dans sa voiture, il s’est engagé sur le pont de Westminster, bourré de touristes, et a foncé dans la foule. Ensuite, armé de couteaux de 12 pouces, il s’est précipité vers un policier en faction devant le parlement, l’a poignardé à mort et a continué sa course vers des gardes armés qui l’ont descendu. Son fantasme religieux de vierges qui l’attendaient au paradis s’est réalisé.

 

 

Cessons de crier haut et fort que nous n’avons pas peur et que la démocratie qui est la nôtre va triompher. D’abord la peur, c’est-à-dire la conscience aiguë du danger, n’est pas que paralysante. Elle peut ajouter à la lucidité. Être sur ses gardes n’est pas un défaut. Lorsque le président Erdogan de Turquie, un musulman­­ “modéré”, déclare que les Européens ne pourront plus marcher dans la rue en sécurité si l’Union européenne poursuit son hostilité à l’endroit de son pays, faut-il hausser les épaules ?

 

Le paradigme pacifiste est chose du passé. Des touristes de neuf pays sont morts ou ont été blessés à Londres. Ils sont originaires de la Corée du Sud aux États-Unis.

 

Au moment où j’écris ces lignes, un djihadiste français vient d’être arrêté à Anvers en Belgique pour avoir tenté de foncer dans la foule avec sa voiture.

 

Que conclure ? Qu’il faut le soigner ?

 

Source : Le Journal de Montréal

04/04/2017

Nigéria : un pasteur assassiné par des musulmans peuls:

 

 

 

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lAors qu’il travaillait dans sa ferme à Obi (État de Nasarawa) avec un compagnon le 30 mars dernier, le pasteur Zakariya Joseph Kurah de la Evangelical Church Winning All (Evangelical Church of West Africa-ECWA), a été attaqué par deux musulmans peuls. Le pasteur a tenté de fuir pour se cacher mais il a été rattrapé par ses assaillants et tué à coups de machettes. Il a été inhumé hier, mardi 3 avril, dans sa ville natale de Zonkwa (État de Kaduna). Ses deux assassins n’ont pas été retrouvés. Les attaques de musulmans peuls contre des chrétiens sont quasiment quotidiennes au Nigéria.

 

 

 

Source : Morning Star News,