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27/11/2018

Une église protestante attaquée en Uttar Pradesh.

 

 

 

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Le 2 octobre dernier, une soixantaine d’extrémistes hindous de l’Hindi Yuva Shakti Sangathan ont attaqué l’église protestante Saint-Thomas de Varanasi (Uttar Pradesh). Ils ont vandalisé le site, commis des agressions physiques à l’intérieur de l’église et menacé le pasteur de nouvelles violences s’il ne mettait pas fin aux “conversions forcées”. L’accusation de “conversions forcées” portée contre des chrétiens en Inde est de la même eau que celle de “blasphème”’ au Pakistan : des accusations sans substance mais propres à terroriser les chrétiens. L’église Saint-Thomas existe depuis plus de deux siècles et n’a, évidemment, jamais pratiqué de “conversions forcées”…

 

 

Source : AsiaNews

 

20/11/2018

Anéantir le christianisme en Europe :

 

 

 

 Le but de beaucoup de “réfugiés” musulmans

 

 

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Paul – c’est un nom d’emprunt – est un Syrien réfugié en Allemagne avec son épouse, depuis trois ans. Il est psychologue et informaticien qui, à ce dernier titre, a travaillé pour la municipalité d’une grand ville de Syrie. Arrivé en Allemagne, sa connaissance fine de la langue anglaise lui a permis de travailler comme traducteur et interprète auprès du Bundesamt für Migration und Flüchtlinge (BAMF), l’agence fédérale pour la migration et les réfugiés. C’est en anglais qu’il a répondu aux questions du journaliste Giovanni Deriu, dans un entretien qui a été publié dans le Tychis Einblickmagazine libéral-conservateur allemand, le 1er octobre dernier. En voici quelques extraits fort instructifs…

 

 

 

 

La plupart de ces réfugiés ne sont pas venus en Europe en général et en Allemagne en particulier, parce que leurs vies étaient menacées, parce qu’ils étaient supprimés, persécutés, opprimés du fait d’une discrimination raciale ou religieuse : c’est tout le contraire. Ils sont venus ici pour différentes raisons mais pas nécessairement pour rechercher la sécurité et la protection […] Ce n’est un secret pour personne que la plupart des réfugiés sont des musulmans sunnites. Ils font un calcul simple : ils sont convaincus que la situation ici va changer complètement dans deux ou trois décennies, et qu’elle les favorisera […] La première raison [de leur venue en Europe] est clairement religieuse […] Ils sont venus en Allemagne avec la certitude absolue que telle est la volonté de leur dieu, le seul dieu (Allah), le dieu musulman, car ils considèrent que la religion de dieu c’est l’islam, et que toutes les [adeptes des] autres religions sont infidèles et méritent d’être tuées. Ils sont convaincus qu’ils ont le mandat de répandre leur foi, l’islam, en Europe, et d’ouvrir en grand les portes ce qui est à peine nécessaire puisque les portes sont déjà grandes ouvertes. Et au plus haut point, selon leur échelle d’importance, ce sera la prise du Vatican pour voir flotter, sur le dôme de la basilique Saint-Pierre, le drapeau de l’islam, et l’anéantissement tout ce qui rappelle les chrétiens ou le christianisme.

 

 

Source : Tychis Einblick

 

23/10/2018

Peut-on caricaturer Mahomet ? L’islam et la manière…

 

 

 

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Aux Pays-Bas, le cinéaste et député Geert Wilders, leader du Parti de la liberté (nationaliste-souverainiste-populiste) et opposant déclaré à l’islam et l’islamisme, a fait machine arrière. Il renonce à son projet de concours de caricatures de Mahomet lancé en juin dernier et prévu pour le mois de novembre, ce, pour des raisons de sécurité. L’arrestation d’une personne au passeport pakistanais ayant manifesté son intention de s’attaquer au député ou aux bâtiments du Parlement confirme que les menaces proférées n’étaient pas à négliger. Est-ce un recul face à un risque terroriste ? Le risque zéro n’existe pas en matière de terrorisme, mais cette annulation ne sera-t-elle pas perçue comme une capitulation, et donc une victoire de l’islam radical ?

 

 

 

Le droit au blasphème fait partie de la liberté d’opinion et d’expression et ce n’est plus un délit, même en Alsace-Moselle. La caricature d’un dieu, d’un prophète, d’un saint, d’un religieux relève du blasphème.

 

 

 

Un chrétien peut considérer que Mahomet fait partie de ces faux prophètes annoncés par le Christ lui-même (cf. Matthieu 7, 15-20 ou Matthieu 24, 23-27 : un arbre parmi ceux dont les fruits sont objectivement mauvais). Les emprunts de l’islam au judaïsme et au christianisme n’en font pas un héritier légitime. Le chrétien peut et doit inciter à la défiance envers les fausses doctrines et ceux qui les véhiculent. Mais « son » Dieu laisse le chrétien libre de croire ou ne pas croire que son Verbe s’est incarné, est mort et est ressuscité pour sauver tous les hommes. Cette même liberté d’opinion peut être invoquée par chacun pour ne pas croire qu’une once de prophétisme authentique inspirait Mahomet ou, au contraire, qu’il était le porteur du message divin le plus abouti. Ou encore qu’aucune transcendance ne saurait être justifiée.

 

 

 

Le citoyen peut, quant à lui, exprimer des doutes sérieux et légitimes envers l’islam et sa compatibilité avec un régime occidental se voulant démocratique et fondé sur un substrat culturel chrétien (même si des laïcards obtus nient cette filiation). Imputer à l’islam un caractère théocratique et totalitaire relève, là encore, de l’opinion, et des faits tangibles constatés dans de nombreux pays musulmans viennent la corroborer.

 

 

 

 

Bien sûr, dès lors que ces opinions s’expriment publiquement, des musulmans s’insurgent et brandissent l’anathème d’islamophobie. Ils sont soutenus par les chantres de la bien-pensance et les officines à l’antiracisme sélectif. Depuis que René Girard a démontré l’innocence du bouc émissaire, les stratégies victimaires se révèlent payantes.

 

 

 

 

Interrogeons-nous : est-ce que d’une caricature de Mahomet surgira l’apostasie d’un seul musulman, qu’il s’agisse d’une conversion à une autre religion ou non ? Est-ce qu’elle le convaincra définitivement de rejeter les aspects les plus totalitaires de l’islam pour le rendre a minimacompatible avec nos sociétés ? Non, bien évidement. Il ne s’agit, ici, que de provocation gratuite, d’exacerber des tensions qui sont déjà fortes, de craquer une allumette dans une poudrière, bref, de jeter du napalm sur le feu. Qu’ils surjouent l’indignation ou pas, les musulmans sincères peuvent être légitimement blessés par des caricatures, comme je le suis souvent par certaines horreurs antichrétiennes ou cléricales.

 

 

 

 

C’est, bien évidement, par la raison qu’un musulman devient démocrate, c’est par la grâce et la raison des chrétiens qu’il se convertit au christianisme. La désuétude des caricatures objectivement blessantes par renoncement des artistes et des éditeurs pour faire place aux discours de vérité et de raison, voilà qui révolutionnerait le petit monde du bruit et de la fureur médiatiques.

 

 

 
 
 

 

 

 

18/09/2018

Encore deux églises protestantes fermées en Algérie:

 

 

 

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Le scénario est toujours le même. Des policiers arrivent sans prévenir pour informer que par ordre du préfet l’église est fermée. Ils ne donnent aucune explication et posent les scellés… Le scénario s’est mécaniquement reproduit le week-end passé pour deux églises protestantes de Kabylie. À Ait-Mellikeche (proche de la ville de Bejaia), la police a fermé, vendredi 7 septembre, une église créée en 2005, forte de 200 fidèles et membre de l’Église protestante d’Algérie(EPA). Le samedi 8 septembre, c’est une toute jeune église qui regroupe une soixantaine de fidèles, qui a été fermée à Maatkas, à une vingtaine de km de Tizi-Ouzou. Elle n’est pas affiliée à l’EPA. La répression des chrétiens en Algérie ne faiblit donc pas depuis le début de l’année .

 

 

 

Source : World Watch Monitor

11/09/2018

CONDAMNÉ:

 

 

 

POUR AVOIR PUBLIÉ DES IMAGES HISTORIQUES

 

 

 

 

 

 
 
 
 
 
 
Écrivain et journaliste belge francophone
 
Son blog
 
 
 
 
 

Michael Stürzenberger est un journaliste patriote qui réside à Munich, dans le sud de l’Allemagne, et qui conduit depuis plusieurs années un combat contre l’islamisation de son pays et de l’Europe. Il a organisé, durant de nombreux mois, une récolte de signatures afin d’obtenir la mise sur pied d’un référendum à propos de la construction d’un centre islamique à Munich. Son combat lui a valu de nombreuses persécutions de la part des autorités sociales-démocrates qui dirigent la ville et il a dû subir des attaques de la justice locale.

 

 

 

 

Il a également été le dirigeant du parti politique anti-islamisation Die Freiheit (« La Liberté ») et est un des fondateurs, en juillet 2012, de La Nouvelle Rose blanche, s’inspirant de l’organisation de résistance estudiantine au national-socialisme La Rose blanche. Cette dernière appellation avait été donnée après-guerre à un groupe d’étudiants patriotes ayant distribué, durant la Seconde Guerre mondiale, des pamphlets pacifiques à Munich et dans le sud de l’Allemagne. Parmi les membres de cette organisation figuraient Sophie Scholl, Hans Scholl et Christoph Probst, exécutés à la prison de Munich-Stadelheim le 22 février 1943. Susanne Zeller (décédée en décembre 2012), née Hirzel, ancienne membre de La Rose blanche et amie de Sophie Scholl, comptait parmi les fondateurs de La Nouvelle Rose blanche.

 

 

 

 

Le jeudi 17 mai 2018, Michael Stürzenberger était convoqué devant la justice à Munich pour avoir publié, sur Facebook, une photo montrant les connections ayant existé autrefois entre une partie de l’islam et le national-socialisme. La méthode utilisée afin de le persécuter judiciairement était particulièrement perverse : il lui était reproché le fait que, sur ce document historique, un dignitaire national-socialiste portait un brassard à croix gammée et il était, par conséquent, accusé de diffuser un signe interdit, cela alors que la loi prévoit une exception pour des photos historiques et que la presse du système publie ce genre de document.

 

 

 

 

Le procès s’est déroulé sous haute surveillance. Les personnes désirant y assister ont vu leur carte d’identité être photocopiée et elles ont dû laisser leurs clés, portefeuille et autres objets dans un vestiaire tenu par la police.

 

 

 

 

Le policier qui avait introduit la plainte contre Michael Stürzenberger était entendu comme témoin. Il s’est exprimé de manière inaudible pour les personnes assistant au procès. Certaines de celles-ci sont intervenues et la juge les a rabrouées. Stürzenberger s’est vu refuser le droit d’utiliser comme moyen de défense la citation de sourates violentes du Coran et de l’ouvrage Le Fascisme islamique d’Hamed Abdel-Samad, alors que ce livre avait été cité dans le texte sur Facebook accompagnant la photo.

 

 

 

 

Curieusement, la juge a lu longuement et en détail une condamnation reçue par Michael Stürzenberger, pour délit d’opinion, à l’étranger, à Graz en Autriche.

 

 

 

 

Le verdict est ensuite tombé : une condamnation à six mois de prison avec sursis et à cent heures de travail social, la juge ajoutant qu’en publiant cette photo, Michael Stürzenberger a diffamé les musulmans.

 

 

 

 

Le député, au Parlement polonais, du parti gouvernemental Droit et Justice (Prawo i Sprawiedliwość) Arkadiusz Mularczyk désire, désormais, amener cette affaire devant le Conseil de l’Europe car elle concerne la liberté d’expression sur le continent. La télévision publique polonaise a évoqué cette affaire alors que les médias du système, en Allemagne, ne l’ont quasi pas abordée.

 

 

 

 

Ayant assisté au procès de Michael Stürzenberger, que je connais depuis plusieurs années, je dois avouer que la manière dont celui-ci s’est déroulé montre que l’État de droit n’existe plus en Allemagne.