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04/02/2020
Là où il y a islam, islamisme il y a:
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Le constat est pourtant évident : dans tous les attentats commis sur notre Sol, nous ne trouvons pas d’Italien, pas d’Espagnol, pas de Portugais, pas de Suisse, pas de Belge, pas de Grec, pas d’Allemand, pas d’Autrichien, etc... Pas d’Européens donc ! Les auteurs d'attentats en France depuis 20 ans sont tous des musulmans « Français »… de papier par le hasard du « droit du sol » !
Jugez-en par vous-même :
Khaled Kelkal 1995, Boualem Bonsai 1995, Karim Boussa 1995, Abdelkader Bouhadjar 1995, Abdelkader Mameri 1995, Main Ait Ali Belkacem 1995, Nasserine Slimani 1995, Rachid Ramda 1995, Safe Bourada 1995, Mohamed Merah 2012, Abdelkarim Dekhar 2013, Mehdi Nemmouche 2014, Bilal Nzohabonayo 2014, Chérif Kouachi 2015, Said Kouachi 2015, Amedy Coulibaly 2015, Sid Ahmed Ghlam 2015, Yassin Salhi 2015, Ayoub El-Khazzani 2015, Ahmad Al Mohammad 2015, Samy Amimour 2015, Omar Ismaïl Mostefaï 2015, Salah Abdeslam 2015, Brahim Abdeslam 2015, Bilal Hadfi 2015… Édifiant, non ?
Mais attention : « Pas d'amalgame ! », comme le vocifèrent haineusement les milieux politiques et médiatiques… ces extrémistes fanatiques du « vivre ensemble ». Une formule qui, dans les faits, se traduit par « vivre comme eux », comme les « nouveaux arrivants ».
Et pourtant là où il y a islam, islamisme il y a car
:
Si TOUS LES MUSULMANS NE SONT PAS DES TERRORISTES
TOUS LES TERRORISTES SONT DES MUSULMANS !
10:36 Publié dans Choc de civilisations | Lien permanent | Commentaires (0)
03/12/2019
UN JOURNALISTE ANTI-ISLAMISATION :
CONDAMNÉ POUR AVOIR PUBLIÉ DES IMAGES HISTORIQUES:
09:45 Publié dans Choc de civilisations | Lien permanent | Commentaires (0)
05/11/2019
UN JOURNALISTE ANTI-ISLAMISATION :
CONDAMNÉ POUR AVOIR PUBLIÉ DES IMAGES HISTORIQUES
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10:18 Publié dans Choc de civilisations | Lien permanent | Commentaires (0)
29/10/2019
Appel à la décapitation pour deux jeunes belges en short dans le sud marocain:
Pour ces deux jeunes filles belges, le nec plus ultra en matière de vacances d’été était d’aller faire du terrassement sous un soleil de plomb dans le sud du Maroc. Bénévolement bien entendu. La fibre humanitaire les tenaillait. Elles devaient apporter leur contribution au sauvetage du monde, payer de leur personne et éventuellement s’auto-flageller si le travail n’avançait pas assez vite.
Un reportage vidéo consacré aux travaux d’Hercule de ce groupe de « mères Teresa » d’un jour les montrait transpirant dans leur tenue de travail. En short. Jambes apparentes, genoux, cuisses, mollets… Torride ! A la vue de ce spectacle sur son téléviseur, le sang d’un instituteur de 26 ans ne fit qu’un tour. Tant d’impudeur, tant de provocation ne pouvaient rester impunie. Et le marocain outragé de lancer un appel sur Facebook à décapiter les deux dépravées. Curieusement, l’homme n’a pas souhaité sectionner d’abord l’objet du délit, à savoir les jambes…
D’autres réactions virulentes se firent entendre… La shortophobie faisait rage. « Depuis quand les Européens font-ils des travaux en tenue de baignade ? » s’est indigné un député du parti islamique. « Depuis que vous ne les faites pas vous-même » aurait pu répondre le chef de chantier s’il n’avait pas eu peur d’être poursuivi pour islamophobie à son retour en Belgique. Des voix locales confirmaient cette vision de l’affaire. La plupart des commentaires saluaient le dévouement de ces bénévoles « venus faire le boulot à la place des responsables locaux ».
Selon l’article consacré au sujet dans les pages du Figaro, le lanceur de fatwa qui demandait la tête des jeunes belges a été arrêté et devrait être poursuivi pour « incitation à des actes terroristes ». Lors du reportage, l’une des protagonistes de cet « attentat à la pudeur » involontaire ne tarissait pas d’éloges pour ce pays où elle terrasse joyeusement : « les gens sont très gentils et amicaux, j’adore le Maroc ! » Les deux jeunes scandinaves décapitées pour de bon en décembre 2018 dans cette même zone du Maroc n’avaient pas eu le temps d’exprimer tant d’enthousiasme… La conscience de ce groupe belge, des dangers encourus dans la région, semble elle aussi un peu short…
09:23 Publié dans Choc de civilisations | Lien permanent | Commentaires (0)
11/06/2019
Une religieuse franco-espagnole égorgée en Centrafrique : pour une fois, il y a eu plus qu’un entrefilet…
Elle s’appelait Inès Nieves Sancho. Pourquoi évoquer cette religieuse franco-espagnole de 77 ans égorgée en Centrafrique ? On le sait, les chrétiens persécutés n’intéressent qu’assez peu. D’ailleurs il y en a trop, comment suivre ? Plus de 4.300 d’entre eux ont été tués en 2018, selon l’ONG Portes ouvertes. Autant dire que, de façon purement arithmétique, s’il fallait rendre justice à chacun d’entre eux, c’est plus de 11 fois par jour qu’il faudrait en parler… Alors, le plus souvent, les médias jettent l’info dans un entrefilet, frêle esquif tout pauvret sur l’océan du Net.
Cette fois, c’est sans doute la sauvagerie du meurtre qui a poussé la plupart des grands médias à aller au-delà du paragraphe réglementaire : la religieuse a été sortie de sa chambre, emmenée dans l’atelier où elle apprenait aux jeunes filles à coudre, et décapitée – selon le Vatican – ou égorgée – selon son évêque. Pour Le Parisien, elle aurait été victime d’un « crime ésotérique », des criminels du coin étant à la recherche de « cheveux de Blanc » pour leurs rituels censés attirer la chance.
À 77 ans, elle aurait pu finir tranquillement sa vie dans sa communauté des Filles de Jésus, à Lavaur, dans le Tarn. Elle avait choisi de retourner en Afrique.
Le meurtre de dix catholiques au Burkina Faso, deux jours après la libération des otages français, est, en revanche, passé presque totalement inaperçu. L’abbé D. Siméon Yampo, avec cinq de ses fidèles, a été tué par des terroristes islamistes dans son église paroissiale de Dablo. Une sorte de père Hamel version burkinabée. Sur la photo que son évêque a fait circuler en annonçant la tragique nouvelle, on le voit tout sourire, arborant sur sa chemise, en médaillon, une photo de Charles de Foucauld. On ne porte pas en vain le prénom du vieillard Siméon : « Et nunc dimittis ». « Et maintenant, je peux partir. » Sauf qu’il était, lui, dans la force de l’âge.
Le lendemain, quatre autres catholiques étaient encore assassinés lors d’une procession à Zimtenga, dans le nord du pays : « La [statue de la] Vierge était sortie pour faire le tour de la paroisse. […] Presque à l’entrée du village de Singa, un groupe de terroristes a intercepté le cortège. Ils ont tué 4 fidèles et brûlé la statue », raconte un responsable de la communication de la cathédrale de Ouagadougou.
En France, ces jours-ci – cela revient d’ailleurs, au fil des polémiques, avec une régularité de métronome -, il est de bon ton de regarder les catholiques comme des illuminés, des cinglés, des dérangés, parce qu’ils ont eu l’outrecuidance d’un peu trop sortir de leur sacristie pour monter au créneau contre l’euthanasie, attachés à leur « combat pour la vie » comme des moules à leur rocher.
On pourrait au moins leur faire la grâce de reconnaître que s’ils aiment la vie, ils sont aussi, encore et toujours, capables de donner la leur pour leur foi et leur prochain. |
09:29 Publié dans Choc de civilisations | Lien permanent | Commentaires (0)