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03/12/2019

UN JOURNALISTE ANTI-ISLAMISATION :

 

 

 

CONDAMNÉ POUR AVOIR PUBLIÉ DES IMAGES HISTORIQUES:

 

 

 

 

 
 
 
 
 
 
Écrivain et journaliste belge francophone
 
Son blog
 
 
 
 

Michael Stürzenberger est un journaliste patriote qui réside à Munich, dans le sud de l’Allemagne, et qui conduit depuis plusieurs années un combat contre l’islamisation de son pays et de l’Europe. Il a organisé, durant de nombreux mois, une récolte de signatures afin d’obtenir la mise sur pied d’un référendum à propos de la construction d’un centre islamique à Munich. Son combat lui a valu de nombreuses persécutions de la part des autorités sociales-démocrates qui dirigent la ville et il a dû subir des attaques de la justice locale.

 

 

 

 

Il a également été le dirigeant du parti politique anti-islamisation Die Freiheit (« La Liberté ») et est un des fondateurs, en juillet 2012, de La Nouvelle Rose blanche, s’inspirant de l’organisation de résistance estudiantine au national-socialisme La Rose blanche. Cette dernière appellation avait été donnée après-guerre à un groupe d’étudiants patriotes ayant distribué, durant la Seconde Guerre mondiale, des pamphlets pacifiques à Munich et dans le sud de l’Allemagne. Parmi les membres de cette organisation figuraient Sophie Scholl, Hans Scholl et Christoph Probst, exécutés à la prison de Munich-Stadelheim le 22 février 1943. Susanne Zeller (décédée en décembre 2012), née Hirzel, ancienne membre de La Rose blanche et amie de Sophie Scholl, comptait parmi les fondateurs de La Nouvelle Rose blanche.

 

 

 

 

Le jeudi 17 mai 2018, Michael Stürzenberger était convoqué devant la justice à Munich pour avoir publié, sur Facebook, une photo montrant les connections ayant existé autrefois entre une partie de l’islam et le national-socialisme. La méthode utilisée afin de le persécuter judiciairement était particulièrement perverse : il lui était reproché le fait que, sur ce document historique, un dignitaire national-socialiste portait un brassard à croix gammée et il était, par conséquent, accusé de diffuser un signe interdit, cela alors que la loi prévoit une exception pour des photos historiques et que la presse du système publie ce genre de document.

 

 

 

 

Le procès s’est déroulé sous haute surveillance. Les personnes désirant y assister ont vu leur carte d’identité être photocopiée et elles ont dû laisser leurs clés, portefeuille et autres objets dans un vestiaire tenu par la police.

 

 

 

 

Le policier qui avait introduit la plainte contre Michael Stürzenberger était entendu comme témoin. Il s’est exprimé de manière inaudible pour les personnes assistant au procès. Certaines de celles-ci sont intervenues et la juge les a rabrouées. Stürzenberger s’est vu refuser le droit d’utiliser comme moyen de défense la citation de sourates violentes du Coran et de l’ouvrage Le Fascisme islamique d’Hamed Abdel-Samad, alors que ce livre avait été cité dans le texte sur Facebook accompagnant la photo.

 

 

 

 

Curieusement, la juge a lu longuement et en détail une condamnation reçue par Michael Stürzenberger, pour délit d’opinion, à l’étranger, à Graz en Autriche.

 

 

 

 

Le verdict est ensuite tombé : une condamnation à six mois de prison avec sursis et à cent heures de travail social, la juge ajoutant qu’en publiant cette photo, Michael Stürzenberger a diffamé les musulmans.

 

 

 

 

Le député, au Parlement polonais, du parti gouvernemental Droit et Justice (Prawo i Sprawiedliwość) Arkadiusz Mularczyk désire, désormais, amener cette affaire devant le Conseil de l’Europe car elle concerne la liberté d’expression sur le continent. La télévision publique polonaise a évoqué cette affaire alors que les médias du système, en Allemagne, ne l’ont quasi pas abordée.

 

 

 

 

Ayant assisté au procès de Michael Stürzenberger, que je connais depuis plusieurs années, je dois avouer que la manière dont celui-ci s’est déroulé montre que l’État de droit n’existe plus en Allemagne.

 

 

 
 
 
 
 

 

05/11/2019

UN JOURNALISTE ANTI-ISLAMISATION :

 

 

 

 

CONDAMNÉ POUR AVOIR PUBLIÉ DES IMAGES HISTORIQUES

 

 

 

 

 

 
 
 
 
 
 
Écrivain et journaliste belge francophone
 
Son blog
 
 
 
 

Michael Stürzenberger est un journaliste patriote qui réside à Munich, dans le sud de l’Allemagne, et qui conduit depuis plusieurs années un combat contre l’islamisation de son pays et de l’Europe. Il a organisé, durant de nombreux mois, une récolte de signatures afin d’obtenir la mise sur pied d’un référendum à propos de la construction d’un centre islamique à Munich. Son combat lui a valu de nombreuses persécutions de la part des autorités sociales-démocrates qui dirigent la ville et il a dû subir des attaques de la justice locale.

 

 

 

 

Il a également été le dirigeant du parti politique anti-islamisation Die Freiheit (« La Liberté ») et est un des fondateurs, en juillet 2012, de La Nouvelle Rose blanche, s’inspirant de l’organisation de résistance estudiantine au national-socialisme La Rose blanche. Cette dernière appellation avait été donnée après-guerre à un groupe d’étudiants patriotes ayant distribué, durant la Seconde Guerre mondiale, des pamphlets pacifiques à Munich et dans le sud de l’Allemagne. Parmi les membres de cette organisation figuraient Sophie Scholl, Hans Scholl et Christoph Probst, exécutés à la prison de Munich-Stadelheim le 22 février 1943. Susanne Zeller (décédée en décembre 2012), née Hirzel, ancienne membre de La Rose blanche et amie de Sophie Scholl, comptait parmi les fondateurs de La Nouvelle Rose blanche.

 

 

 

 

Le jeudi 17 mai 2018, Michael Stürzenberger était convoqué devant la justice à Munich pour avoir publié, sur Facebook, une photo montrant les connections ayant existé autrefois entre une partie de l’islam et le national-socialisme. La méthode utilisée afin de le persécuter judiciairement était particulièrement perverse : il lui était reproché le fait que, sur ce document historique, un dignitaire national-socialiste portait un brassard à croix gammée et il était, par conséquent, accusé de diffuser un signe interdit, cela alors que la loi prévoit une exception pour des photos historiques et que la presse du système publie ce genre de document.

 

 

 

 

Le procès s’est déroulé sous haute surveillance. Les personnes désirant y assister ont vu leur carte d’identité être photocopiée et elles ont dû laisser leurs clés, portefeuille et autres objets dans un vestiaire tenu par la police.

 

 

 

 

Le policier qui avait introduit la plainte contre Michael Stürzenberger était entendu comme témoin. Il s’est exprimé de manière inaudible pour les personnes assistant au procès. Certaines de celles-ci sont intervenues et la juge les a rabrouées. Stürzenberger s’est vu refuser le droit d’utiliser comme moyen de défense la citation de sourates violentes du Coran et de l’ouvrage Le Fascisme islamique d’Hamed Abdel-Samad, alors que ce livre avait été cité dans le texte sur Facebook accompagnant la photo.

 

 

 

 

Curieusement, la juge a lu longuement et en détail une condamnation reçue par Michael Stürzenberger, pour délit d’opinion, à l’étranger, à Graz en Autriche.

 

 

 

 

Le verdict est ensuite tombé : une condamnation à six mois de prison avec sursis et à cent heures de travail social, la juge ajoutant qu’en publiant cette photo, Michael Stürzenberger a diffamé les musulmans.

 

 

 

 

Le député, au Parlement polonais, du parti gouvernemental Droit et Justice (Prawo i Sprawiedliwość) Arkadiusz Mularczyk désire, désormais, amener cette affaire devant le Conseil de l’Europe car elle concerne la liberté d’expression sur le continent. La télévision publique polonaise a évoqué cette affaire alors que les médias du système, en Allemagne, ne l’ont quasi pas abordée.

 

 

 

 

Ayant assisté au procès de Michael Stürzenberger, que je connais depuis plusieurs années, je dois avouer que la manière dont celui-ci s’est déroulé montre que l’État de droit n’existe plus en Allemagne.

 

 

 

29/10/2019

Appel à la décapitation pour deux jeunes belges en short dans le sud marocain:

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Pour ces deux jeunes filles belges, le nec plus ultra en matière de vacances d’été était d’aller faire du terrassement sous un soleil de plomb dans le sud du Maroc. Bénévolement bien entendu. La fibre humanitaire les tenaillait. Elles devaient apporter leur contribution au sauvetage du monde, payer de leur personne et éventuellement s’auto-flageller si le travail n’avançait pas assez vite.

 

 

 

Un reportage vidéo consacré aux travaux d’Hercule de ce groupe de « mères Teresa » d’un jour les montrait transpirant dans leur tenue de travail. En short. Jambes apparentes, genoux, cuisses, mollets… Torride ! A la vue de ce spectacle sur son téléviseur, le sang d’un instituteur de 26 ans ne fit qu’un tour. Tant d’impudeur, tant de provocation ne pouvaient rester impunie. Et le marocain outragé de lancer un appel sur Facebook à décapiter les deux dépravées. Curieusement, l’homme n’a pas souhaité sectionner d’abord l’objet du délit, à savoir les jambes…

 



D’autres réactions virulentes se firent entendre… La shortophobie faisait rage. « Depuis quand les Européens font-ils des travaux en tenue de baignade ? » s’est indigné un député du parti islamique. « Depuis que vous ne les faites pas vous-même » aurait pu répondre le chef de chantier s’il n’avait pas eu peur d’être poursuivi pour islamophobie à son retour en Belgique. Des voix locales confirmaient cette vision de l’affaire. La plupart des commentaires saluaient le dévouement de ces bénévoles « venus faire le boulot à la place des responsables locaux ».

 

 

Selon l’article consacré au sujet dans les pages du Figaro, le lanceur de fatwa qui demandait la tête des jeunes belges a été arrêté et devrait être poursuivi pour « incitation à des actes terroristes ». Lors du reportage, l’une des protagonistes de cet « attentat à la pudeur » involontaire ne tarissait pas d’éloges pour ce pays où elle terrasse joyeusement : « les gens sont très gentils et amicaux, j’adore le Maroc ! » Les deux jeunes scandinaves décapitées pour de bon en décembre 2018 dans cette même zone du Maroc n’avaient pas eu le temps d’exprimer tant d’enthousiasme… La conscience de ce groupe belge, des dangers encourus dans la région, semble elle aussi un peu short…

 

 

 

 

11/06/2019

Une religieuse franco-espagnole égorgée en Centrafrique : pour une fois, il y a eu plus qu’un entrefilet…

 

 

 

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Elle s’appelait Inès Nieves Sancho. Pourquoi évoquer cette religieuse franco-espagnole de 77 ans égorgée en Centrafrique ? On le sait, les chrétiens persécutés n’intéressent qu’assez peu. D’ailleurs il y en a trop, comment suivre ? Plus de 4.300 d’entre eux ont été tués en 2018, selon l’ONG Portes ouvertes. Autant dire que, de façon purement arithmétique, s’il fallait rendre justice à chacun d’entre eux, c’est plus de 11 fois par jour qu’il faudrait en parler… Alors, le plus souvent, les médias jettent l’info dans un entrefilet, frêle esquif tout pauvret sur l’océan du Net.

 

 

Cette fois, c’est sans doute la sauvagerie du meurtre qui a poussé la plupart des grands médias à aller au-delà du paragraphe réglementaire : la religieuse a été sortie de sa chambre, emmenée dans l’atelier où elle apprenait aux jeunes filles à coudre, et décapitée – selon le Vatican – ou égorgée – selon son évêque. Pour Le Parisien, elle aurait été victime d’un « crime ésotérique », des criminels du coin étant à la recherche de « cheveux de Blanc » pour leurs rituels censés attirer la chance.

 

 

À 77 ans, elle aurait pu finir tranquillement sa vie dans sa communauté des Filles de Jésus, à Lavaur, dans le Tarn. Elle avait choisi de retourner en Afrique.

 

 

Le meurtre de dix catholiques au Burkina Faso, deux jours après la libération des otages français, est, en revanche, passé presque totalement inaperçu. L’abbé D. Siméon Yampo, avec cinq de ses fidèles, a été tué par des terroristes islamistes dans son église paroissiale de Dablo. Une sorte de père Hamel version burkinabée. Sur la photo que son évêque a fait circuler en annonçant la tragique nouvelle, on le voit tout sourire, arborant sur sa chemise, en médaillon, une photo de Charles de Foucauld. On ne porte pas en vain le prénom du vieillard Siméon : « Et nunc dimittis ». « Et maintenant, je peux partir. » Sauf qu’il était, lui, dans la force de l’âge.

 

 

Le lendemain, quatre autres catholiques étaient encore assassinés lors d’une procession à Zimtenga, dans le nord du pays : « La [statue de la] Vierge était sortie pour faire le tour de la paroisse. […] Presque à l’entrée du village de Singa, un groupe de terroristes a intercepté le cortège. Ils ont tué 4 fidèles et brûlé la statue », raconte un responsable de la communication de la cathédrale de Ouagadougou.

 

 

En France, ces jours-ci – cela revient d’ailleurs, au fil des polémiques, avec une régularité de métronome -, il est de bon ton de regarder les catholiques comme des illuminés, des cinglés, des dérangés, parce qu’ils ont eu l’outrecuidance d’un peu trop sortir de leur sacristie pour monter au créneau contre l’euthanasie, attachés à leur « combat pour la vie » comme des moules à leur rocher.

 

 

On pourrait au moins leur faire la grâce de reconnaître que s’ils aiment la vie, ils sont aussi, encore et toujours, capables de donner la leur pour leur foi et leur prochain.

 
 

21/05/2019

Comment les juges européens introduisent subrepticement le « droit à la charia »

 

 

 

 

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En Grèce, des règles de la charia pouvaient déjà s’appliquer : les traités de Sèvres (1920) et de Lausanne (1923), après la reconquête de la Thrace occidentale, prévoyaient que les minorités musulmanes continueraient à vivre selon leurs propres usages, notamment en matière de mariage, divorce et succession. Un arrêt de la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) vient de relancer le débat en imposant la condition du consentement : un progrès contre l’obscurantisme ou une concession à la loi islamique ?

 

 

On peut s’étonner que, depuis près d’un siècle, un pays, devenu entre-temps membre de l’Union européenne, accepte cette loi pour une petite partie de sa population. Admettons que ce soit l’héritage de l’Histoire. De fait, les décisions religieuses doivent être soumises aux tribunaux ordinaires pour vérifier leur constitutionnalité, mais cela n’empêche pas de pratiquer la charia dans de nombreux domaines. De même, si le gouvernement grec a adopté, début 2018, une loi pour conditionner la charia à l’accord de toutes les parties, le décret d’application n’a toujours pas été signé.

 

 

Voici quelques années, une femme grecque de la minorité musulmane s’était trouvée dépossédée des trois quarts de son héritage au profit des sœurs de son époux, bien que ce dernier eût déposé un testament devant notaire pour léguer tous ses biens à sa conjointe. Les sœurs dudit mari avaient réclamé leur part, en vertu de la tradition islamique. En première instance, puis en appel, la Justice donna raison à la veuve, mais la Cour de cassation cassa l’arrêt. Le tribunal fit donc appliquer la loi… islamique, conformément aux anciens traités.

 

 

Saisie par la veuve, la CEDH a récemment condamné cette application forcée de la charia. Mais elle ne condamne pas la charia elle-même, bien que, jusqu’à présent, elle l’ait toujours estimée incompatible avec les valeurs de la démocratie et des droits de l’homme. Une telle décision peut-elle être considérée comme une victoire du droit commun ? N’est-ce pas plutôt une victoire de la charia qui, fût-elle soumise au volontariat, n’est pas remise en cause dans son principe ?

 

 

Finalement, la Cour européenne émet un jugement ambigu, qui ne semble pas dénué d’arrière-pensées : ne voulant fâcher personne, elle fait un choix qui satisfasse à la fois la liberté de chacun et le communautarisme. Les usages musulmans peuvent être suivis, tant qu’ils ne contreviennent pas à la volonté des intéressés. Comme si le consentement, s’il n’est pas éclairé et réfléchi, suffit à garantir la liberté. Cet arrêt, en sous-entendant que la charia n’est plus contraire aux droits de l’homme, dès lors qu’il y a consentement, lui donne une certaine légitimité.

 

 

C’est ainsi que des conceptions islamiques du droit sont officialisées en Europe. Cet exemple montre combien il est plus facile de glisser sur la pente des concessions à l’islam que d’y résister. En oubliant que l’islam et la charia sont intimement liés, on donne la possibilité à l’islam politique de se développer dans les pays occidentaux. Un peu, puis toujours plus. Pourquoi interdire le port du voile intégral, la construction de minarets ou les prières de rue quand des édiles commencent par céder aux revendications communautaires, accordent, par exemple, des heures spécifiques de piscine aux femmes ? Quand on admet la pratique de l’abattage rituel, s’il n’est pas subrepticement imposé ?

 

 

Sous prétexte de se rendre universelle, l’Europe a renoncé à mentionner la « civilisation chrétienne » comme fondement du projet européen. Sous prétexte d’égalité, elle a mis sur le même plan toutes les religions. Elle vient d’introduire, maintenant, la charia par consentement mutuel. Après les droits de l’homme, va-t-on instaurer « le droit à la charia » ?