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16/05/2017

Inde : violences antichrétiennes au Karnataka et au Kerala:

 

 

 

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Evan Mamang Kipgen, un chrétien évangélique de 26 ans, a été assailli le 24 avril par des inconnus à Bangalore, capitale de l’État du Karnataka, alors qu’il quittait le domicile d’un ami où s’était tenue une réunion de prière. Il a été frappé à coups de pied et de poing par des gens dont il n’a pas compris la langue : peut-être s’exprimaient-ils en kannada une langue du sud de l’Inde. Ses cris ont alerté ses amis chrétiens qui ont couru à son secours mettant en fuite les assaillants. Membre de la Thadou Christian Fellowship Church, il a porté plainte.

 

 

Le 26 avril, des membres du groupe hindouiste extrémiste Rashtriya Swayamsevak Sangh ont lapidé la Sharon Fellowship Town Church de Kodungallur, district de Thrissur (Kerala). Le pasteur de cette petite congrégation pentecôtiste, le Révérend Roy Shepherd, a précisé que depuis cinq années les hindouistes multipliaient les provocations et les signes d’impatiences contre cette église. Ses fidèles vivent depuis dans la peur. Il est allé ce matin porté plainte à la police.

 

 

 

Source : AsiaNews,

18/04/2017

Denise Bombardier : « Au nom d’Allah, détruire la culture judéo-chrétienne »

 

 

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Denise Bombardier est une journaliste, essayiste et animatrice de télévision, née à Montréal en 1941, très connue dans la « Belle Province ». Elle vient, dans la rubrique « Opinions » qu’elle tient dans le quotidien québécois Le Journal de Montréal, de publier les réflexions que lui inspire le dernier attentat islamiste commis à Londres, sous le titre « Au nom d’Allah »… Ce n’est pas “politiquement correct”, mais cela mérite d’être lu…

 

Chaque nouvel attentat islamiste provoque dans nos pays occidentaux des réactions diverses, enveloppées d’une ouate de prudence et formulées dans un vocabulaire qui cherche à atténuer la brutalité et l’intolérable barbarie d’un acte meurtrier. « Nous n’avons pas peur », assurent nos dirigeants, obligés de cacher leurs mains tremblantes derrière le dos lorsqu’ils commentent publiquement les tueries des soldats­­ d’Allah.

 

Des médias préfèrent parler de « fous » ou de « malades » afin d’éviter de jeter de l’huile sur le feu et laisser place aux amalgames accablant des musulmans. Or, le vocabulaire psychiatrique fait référence­­ à une maladie mentale expliquant le besoin de tuer, supprimant ainsi­­ la responsabilité pénale de ces criminels­­. Certains veulent laisser entendre­­ que ces terroristes agissent par des pulsions incontrôlables et seraient­­ donc inaptes à être jugés.

 

Or, cette tentative d’écarter le véritable motif de cette guerre, menée au nom d’Allah par des combattants dont l’objectif est de détruire la culture judéo-chrétienne, sert à justifier Daech­­, Al-Qaida, les talibans ou Boko Haram, qui créent la terreur sur tous les continents.

 

Les djihadistes ne se réclament ni du marxisme ni du fascisme. Leur combat n’a pas comme objectif d’abolir les inégalités­­ sociales, l’exploitation politique ou économique. Ils recherchent non pas la paix, mais le cataclysme universel. Ce sont des combattants de la mort. Tuer est un sentiment orgasmique pour eux. Tuer tous ceux qui ne sont pas eux, tous les « infidèles », c’est-à-dire les chrétiens, les juifs, les athées, les bouddhistes, les hindous et les minorités musulmanes hérétiques à leurs yeux, et dont la présence sur terre est une offense­­ à leur Allah à eux.

 

Le terroriste au passé de criminel, radicalisé­­ probablement en prison par un des imams qui sévissent en Angle­terre depuis longtemps, a attendu son heure. Installé dans sa voiture, il s’est engagé sur le pont de Westminster, bourré de touristes, et a foncé dans la foule. Ensuite, armé de couteaux de 12 pouces, il s’est précipité vers un policier en faction devant le parlement, l’a poignardé à mort et a continué sa course vers des gardes armés qui l’ont descendu. Son fantasme religieux de vierges qui l’attendaient au paradis s’est réalisé.

 

 

Cessons de crier haut et fort que nous n’avons pas peur et que la démocratie qui est la nôtre va triompher. D’abord la peur, c’est-à-dire la conscience aiguë du danger, n’est pas que paralysante. Elle peut ajouter à la lucidité. Être sur ses gardes n’est pas un défaut. Lorsque le président Erdogan de Turquie, un musulman­­ “modéré”, déclare que les Européens ne pourront plus marcher dans la rue en sécurité si l’Union européenne poursuit son hostilité à l’endroit de son pays, faut-il hausser les épaules ?

 

Le paradigme pacifiste est chose du passé. Des touristes de neuf pays sont morts ou ont été blessés à Londres. Ils sont originaires de la Corée du Sud aux États-Unis.

 

Au moment où j’écris ces lignes, un djihadiste français vient d’être arrêté à Anvers en Belgique pour avoir tenté de foncer dans la foule avec sa voiture.

 

Que conclure ? Qu’il faut le soigner ?

 

Source : Le Journal de Montréal

04/04/2017

Nigéria : un pasteur assassiné par des musulmans peuls:

 

 

 

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lAors qu’il travaillait dans sa ferme à Obi (État de Nasarawa) avec un compagnon le 30 mars dernier, le pasteur Zakariya Joseph Kurah de la Evangelical Church Winning All (Evangelical Church of West Africa-ECWA), a été attaqué par deux musulmans peuls. Le pasteur a tenté de fuir pour se cacher mais il a été rattrapé par ses assaillants et tué à coups de machettes. Il a été inhumé hier, mardi 3 avril, dans sa ville natale de Zonkwa (État de Kaduna). Ses deux assassins n’ont pas été retrouvés. Les attaques de musulmans peuls contre des chrétiens sont quasiment quotidiennes au Nigéria.

 

 

 

Source : Morning Star News,

11/10/2016

Chrétiens protestants en Turquie : entre « angoisse et détresse »

 

 

 

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Un rapport de la Protestant Churches Association a signalé les nombreuses violations des droits de l’homme dont la très petite communauté protestante de Turquie (entre 6 000 et 7 000 fidèles) a été la victime en 2015. Selon les propres paroles de Ihsan Ozbek, responsable de cette communauté, les protestants de Turquie vivent aujourd’hui « dans l’angoisse et dans la détresse ». Ils ont connu, en 2015, toute une série d’agressions physiques et verbales, d’obstructions à la tenue de leur culte. Aucune de leurs plaintes n’a eu de suite devant les tribunaux. Le rapport signale de nombreux incidents : affiche musulmane apposée sur une église protestante à Balikesir, obscénités et menaces proférées dans l’Agape Church de Samsun, insultes et coups portés au pasteur de la Batikent Church d’Ankara, coups de feu contre le pasteur de la Torbali Baptist Church dans la province de Smyrne… Rien qu’en août dernier, pas moins de 15 églises et 20 pasteurs ont reçu par courriels des messages menaçants. On signale encore des refus des autorités d’utiliser des anciennes églises désaffectées ou d’en construire…

 

 

 

 

Source : Al Monitor,

23/08/2016

« Le djihad est un délit ». Ah, bon !

 

 

     
 
Cazeneuve nous apprend qu’il vient de fermer trois mosquées et une salle de prière, pour radicalisation. On est ébouriffés devant l’audace de ces mesures : trois fermetures sur 2200 mosquées, soit 0,14 % des lieux de culte musulman.
 
 
 
 

Docteur en droit, écrivain, compositeur
 
 
 
 
 
 
 
 
 

 
 
 
      

Aujourd’hui, il y en a un qui doit se sentir un peu bébête. On raconte des trucs, on laisse des gens de son ministère papoter avec des journalistes, et puis, vlan, l’imbécillité d’un jour vous revient en pleine figure, lourdement chargée de soupçons et d’interrogations glauques.

 

 

 

Tenez, prenez Cazeneuve. Un bouquin sorti en 2014 contenait un chapitre sur le djihad avec des bluettes du genre : « les musulmans doivent installer toutes sortes d’usines d’armement pour fabriquer tous genres d’armes », ou « les musulmans doivent se perfectionner dans l’art militaire défensif et offensif pour se défendre ou attaquer au moment opportun », ou encore « le musulman qui renie sa religion, on le somme de revenir à l’Islam ; s’il refuse, il sera passible de la peine de mort ». Interrogés par Metronews à l’époque, les services du ministère de l’Intérieur ont pondu cette phrase sublime : « Ce n’est pas un délit de prôner le djihad » et n’ont, donc, pas retiré ce brûlot de la vente. Le ministre, en ne réagissant pas, a approuvé selon l’adage « Qui ne dit mot, consent ».

 

 

 

Eb bien ! 150 morts plus tard, c’est un délit. Cazeneuve nous apprend qu’il vient de fermer trois mosquées et une salle de prière, pour radicalisation. On est ébouriffés devant l’audace de ces mesures : trois fermetures sur 2200 mosquées, soit 0,14 % des lieux de culte musulman. Dans le filet, en prime, une école coranique clandestine. Et Manuel Valls, se caricaturant, monte sur ses grands chameaux : « il n’y a pas de place pour les ennemis de la République ». Ah, bon ? Il avait dit pareil le 8 janvier.

 

 

 

Une question me taraude : tout cela, est-ce l’islam ou n’est-ce pas l’islam ? Des mosquées, des écoles coraniques, c’est bien l’islam, non ? Ce n’est pas Disney World ! Pourquoi nous serine-t-on que les excès, les radicalisations, les massacres « n’ont rien à voir avec l’islam » ? Pourquoi nous inocule-t-on de larges doses de « padamalgam » ?

 

 

L’islam, comme toute autre religion ou idéologie, se laisse-t-il découper en tranches ? Peut-on en prendre un peu, beaucoup, passionnément, pas du tout, au gré des humeurs de chacun ? Peut-on avaler ce qui plaît et refuser ce qui déplaît ? Pour quiconque a lu le coran, c’est inepte de penser cela. De grâce, que l’on arrête de prendre les gens pour des demeurés. Non, les musulmans ne sont pas les premières victimes du djihad. Oui, la doctrine du coran et la pratique des États musulmans sont incompatibles avec les normes de la démocratie. Non, on ne réglera pas les problèmes des banlieues par la faiblesse. Oui, prôner le djihad tombe sous le coup des lois pénales existantes. Non, le communautarisme n’a rien à faire en France si l’on veut continuer d’être un peuple libre. Oui, refuser d’appliquer la loi pour éviter les tensions, c’est refuser de gouverner et prendre le peuple en otage.

 

 

Gens du gouvernement, à force de mentir, par calcul, par faiblesse ou par ignorance, vous avez ce que vous méritez : un dés

aveu massif du peuple que vous êtes chargés de conduire. Bravo ! Peut-être qu’une petite dissolution courageuse arrangerait tout cela ?