Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

11/10/2016

Chrétiens protestants en Turquie : entre « angoisse et détresse »

 

 

 

58607028.png

 

 

 

 

Un rapport de la Protestant Churches Association a signalé les nombreuses violations des droits de l’homme dont la très petite communauté protestante de Turquie (entre 6 000 et 7 000 fidèles) a été la victime en 2015. Selon les propres paroles de Ihsan Ozbek, responsable de cette communauté, les protestants de Turquie vivent aujourd’hui « dans l’angoisse et dans la détresse ». Ils ont connu, en 2015, toute une série d’agressions physiques et verbales, d’obstructions à la tenue de leur culte. Aucune de leurs plaintes n’a eu de suite devant les tribunaux. Le rapport signale de nombreux incidents : affiche musulmane apposée sur une église protestante à Balikesir, obscénités et menaces proférées dans l’Agape Church de Samsun, insultes et coups portés au pasteur de la Batikent Church d’Ankara, coups de feu contre le pasteur de la Torbali Baptist Church dans la province de Smyrne… Rien qu’en août dernier, pas moins de 15 églises et 20 pasteurs ont reçu par courriels des messages menaçants. On signale encore des refus des autorités d’utiliser des anciennes églises désaffectées ou d’en construire…

 

 

 

 

Source : Al Monitor,

23/08/2016

« Le djihad est un délit ». Ah, bon !

 

 

     
 
Cazeneuve nous apprend qu’il vient de fermer trois mosquées et une salle de prière, pour radicalisation. On est ébouriffés devant l’audace de ces mesures : trois fermetures sur 2200 mosquées, soit 0,14 % des lieux de culte musulman.
 
 
 
 

Docteur en droit, écrivain, compositeur
 
 
 
 
 
 
 
 
 

 
 
 
      

Aujourd’hui, il y en a un qui doit se sentir un peu bébête. On raconte des trucs, on laisse des gens de son ministère papoter avec des journalistes, et puis, vlan, l’imbécillité d’un jour vous revient en pleine figure, lourdement chargée de soupçons et d’interrogations glauques.

 

 

 

Tenez, prenez Cazeneuve. Un bouquin sorti en 2014 contenait un chapitre sur le djihad avec des bluettes du genre : « les musulmans doivent installer toutes sortes d’usines d’armement pour fabriquer tous genres d’armes », ou « les musulmans doivent se perfectionner dans l’art militaire défensif et offensif pour se défendre ou attaquer au moment opportun », ou encore « le musulman qui renie sa religion, on le somme de revenir à l’Islam ; s’il refuse, il sera passible de la peine de mort ». Interrogés par Metronews à l’époque, les services du ministère de l’Intérieur ont pondu cette phrase sublime : « Ce n’est pas un délit de prôner le djihad » et n’ont, donc, pas retiré ce brûlot de la vente. Le ministre, en ne réagissant pas, a approuvé selon l’adage « Qui ne dit mot, consent ».

 

 

 

Eb bien ! 150 morts plus tard, c’est un délit. Cazeneuve nous apprend qu’il vient de fermer trois mosquées et une salle de prière, pour radicalisation. On est ébouriffés devant l’audace de ces mesures : trois fermetures sur 2200 mosquées, soit 0,14 % des lieux de culte musulman. Dans le filet, en prime, une école coranique clandestine. Et Manuel Valls, se caricaturant, monte sur ses grands chameaux : « il n’y a pas de place pour les ennemis de la République ». Ah, bon ? Il avait dit pareil le 8 janvier.

 

 

 

Une question me taraude : tout cela, est-ce l’islam ou n’est-ce pas l’islam ? Des mosquées, des écoles coraniques, c’est bien l’islam, non ? Ce n’est pas Disney World ! Pourquoi nous serine-t-on que les excès, les radicalisations, les massacres « n’ont rien à voir avec l’islam » ? Pourquoi nous inocule-t-on de larges doses de « padamalgam » ?

 

 

L’islam, comme toute autre religion ou idéologie, se laisse-t-il découper en tranches ? Peut-on en prendre un peu, beaucoup, passionnément, pas du tout, au gré des humeurs de chacun ? Peut-on avaler ce qui plaît et refuser ce qui déplaît ? Pour quiconque a lu le coran, c’est inepte de penser cela. De grâce, que l’on arrête de prendre les gens pour des demeurés. Non, les musulmans ne sont pas les premières victimes du djihad. Oui, la doctrine du coran et la pratique des États musulmans sont incompatibles avec les normes de la démocratie. Non, on ne réglera pas les problèmes des banlieues par la faiblesse. Oui, prôner le djihad tombe sous le coup des lois pénales existantes. Non, le communautarisme n’a rien à faire en France si l’on veut continuer d’être un peuple libre. Oui, refuser d’appliquer la loi pour éviter les tensions, c’est refuser de gouverner et prendre le peuple en otage.

 

 

Gens du gouvernement, à force de mentir, par calcul, par faiblesse ou par ignorance, vous avez ce que vous méritez : un dés

aveu massif du peuple que vous êtes chargés de conduire. Bravo ! Peut-être qu’une petite dissolution courageuse arrangerait tout cela ?

 

 

16/08/2016

Israël : une nouvelle provocation du rabbin extrémiste Bentzi Gopstein.

 

 

 

 

 

 

 

Le rabbin Bentzi Gopstein ne devrait pas être un inconnu pour les lecteurs … Ce provocateur irresponsable s’était déjà signalé à notre attention en août dernier. Il vient de récidiver en décembre, entraînant une réaction vive de l’Assemblée des Ordinaires catholiques de Terre Sainte (AOCTS) que voici.

 

 

« Les chrétiens sont des vampires buveurs de sang », « Noël n’a pas sa place en Terre Sainte » : les dernières déclarations du rabbin Gopstein, leader du mouvement extrémiste anti-assimilation Lehava, ne sont guère passées inaperçues. Dans un article publié il y a quelques jours sur le site harédi Kooker, et repris par le quotidien israélien Haaretz, Bentzi Gopstein se fait fort de dénoncer la présence chrétienne en Terre Sainte, l’accusant de nourrir des velléités prosélytes à l’égard des juifs, avant d’asséner : « Noël n’a pas sa place en Terre Sainte. Expulsons les vampires avant qu’ils ne s’abreuvent encore une fois de notre sang ». Des propos qui ont aussitôt suscité l’indignation de toute la communauté chrétienne, surtout des chefs catholiques de Terre Sainte, dont voici le communiqué :

 

 

« C’est avec consternation que l’Assemblée des Ordinaires Catholiques de Terre Sainte a pris connaissance des déclarations injurieuses et absolument inadmissibles du rabbin Betnzi Gopstein. Nous commémorons cette année le cinquantième anniversaire de Nostra Aetate, déclaration sur les relations entre l’Église catholique et les religions non chrétiennes, au premier rang desquelles, le judaïsme. Ce texte historique, fruit du Concile Vatican II, a posé les bases d’un dialogue nécessaire et désormais solide entre juifs et chrétiens, sous le sceau du respect, de la fraternité et de la sincérité. Nous, Ordinaires Catholiques de Terre Sainte, croyons en ce dialogue, en son importance, et en sa viabilité, et condamnons avec fermeté les propos irresponsables du rabbin Gopstein ; ils sont un outrage à ce même dialogue et aux valeurs qui y sont rattachées. Il y a quatre mois, nous avions porté plainte contre Bentzi Gopstein, sans que cette action ait été suivie d’effet. Nous lançons donc de nouveau un appel pressant aux autorités israéliennes : ces tentatives d’intimidation et ces provocations, récurrentes, représentent un réel danger pour la coexistence pacifique dans ce pays. Vous vous devez de les dénoncer avec vigueur, et de prendre les mesures qui s’imposent dans l’intérêt même de tous les citoyens. Les chrétiens appartiennent à cette Terre Sainte, et y célébreront Noël avec joie, comme ils l’ont toujours fait ».

 

 

Le chef de file du mouvement Lehava n’en est pas à sa première provocation. En juillet dernier, il n’avait pas hésité à affirmer que la loi juive préconisait de détruire l’idolâtrie en terre d’Israël, et qu’en conséquence, les églises et les mosquées pouvaient être incendiées. Ces propos, tenus dans un contexte marqué par une suite d’actes de vandalisme contre des édifices chrétiens, avaient alors conduit l’AOCTS à porter plainte contre le rabbin Gopstein pour incitation à la haine. Dimanche 28 mai, des activistes du groupe Lehava avaient même manifesté devant le YMCA [Young Men’s Christian Association] de Jérusalem contre la tenue d’un marché de Noël, dénonçant le « meurtre d’âmes juives », et demandant aux chrétiens de quitter la Terre Sainte.

 

 

Source : Patriarcat latin de Jérusalem,

02/08/2016

Matamore : tueur de Maures:

 

 

Matamore tueur de Maures.jpg

 

 

Pourquoi des fleurs cachent-elles les têtes coupées des Maures ? Repentance ?...

 

 

D

ans le dictionnaire, la définition courante d’un matamore est : « Faux héros, mythomane parlant de ses exploits imaginaires ». La définition historique est tout autre : « vient de MATA : tuer et  MOROS : Maures. » Donc, « Tueur de Maures ».n

 

 

 

Dans la cathédrale de Compostelle vous pouvez admirer une statue de Saint-Jacques Matamore (« Je suis chevalier du Christ, secourant les chrétiens, je marche à la tête des armées chrétiennes contre les Sarrasins »… Livre des Miracles de Saint-Jacques) brandissant son épée et se tenant fièrement sur un cheval en train de cabrer.

 

 

Une composition fleurie posée aux pieds de la statue accueille les pèlerins et les visiteurs déambulant dans cette magnifique cathédrale.

Mais, car il y a un mais, ces fleurs sont destinées avant tout à cacher le socle de la statue à la vue des visiteurs. Sans ce rideau de fleurs, nous devrions voir le cheval piétinant des Maures !!!n

 

26/07/2016

Tueries islamiques : l’obscène déni de réalité d’un universitaire musulman:

 

 

hatem-bazian.png

 

 

 

 

Les tueries de Paris et de Seine-Saint-Denis – 130 morts – ont été commises par des musulmans et préparées de longue main. La tuerie de San Bernardino (Californie) – 14 morts lors d’une fête de Noël – a été commise par des musulmans et préparées de longue main. Ce sont des faits. Mais le déni de réalité en a atteint plus d’un. L’American Thinker en signalait hier de nombreux cas aux États-Unis. L’un a particulièrement retenu mon attention.

 

 

Le professeur Hatem Bazian, docteur en philosophie et en études islamiques de la University of California Berkeley (UC Berkeley) où il enseigne comme maître-assistant et en dirige le Islamophobia Research & Documentation Project, co-fondateur et professeur du Zaytuna College de Berkeley (Californie), un universitaire tout ce qu’il y a de mieux estampillé, a publié le 5 décembre le tweet suivant :

 

 

« L’islamophobie en Amérique et en Europe a atteint un sommet, et dans la société civile les discours sont remplis du venin raciste envers les musulmans. »

 

 

 

 

C’est au mieux un déni de réalité pour des motifs idéologique, philosophique ou… psychologique. Au pis une maladroite tentative de renversement de la preuve : la raison de ces tueries, ce n’est pas l’islam, c’est l’islamophobie ! C’est en tout cas parfaitement obscène.

 

 

 

 

Source : American Thinker,