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11/11/2025

UN JOURNALISTE ANTI-ISLAMISATION :

 

 

 

 

 CONDAMNÉ POUR AVOIR PUBLIÉ DES IMAGES HISTORIQUES

 

 

 

 

 
 
 
 
 
 
Écrivain et journaliste belge francophone
 
Son blog
 
 
 
 

Michael Stürzenberger est un journaliste patriote qui réside à Munich, dans le sud de l’Allemagne, et qui conduit depuis plusieurs années un combat contre l’islamisation de son pays et de l’Europe. Il a organisé, durant de nombreux mois, une récolte de signatures afin d’obtenir la mise sur pied d’un référendum à propos de la construction d’un centre islamique à Munich. Son combat lui a valu de nombreuses persécutions de la part des autorités sociales-démocrates qui dirigent la ville et il a dû subir des attaques de la justice locale.

 

 

 

 

Il a également été le dirigeant du parti politique anti-islamisation Die Freiheit (« La Liberté ») et est un des fondateurs, en juillet 2012, de La Nouvelle Rose blanche, s’inspirant de l’organisation de résistance estudiantine au national-socialisme La Rose blanche. Cette dernière appellation avait été donnée après-guerre à un groupe d’étudiants patriotes ayant distribué, durant la Seconde Guerre mondiale, des pamphlets pacifiques à Munich et dans le sud de l’Allemagne. Parmi les membres de cette organisation figuraient Sophie Scholl, Hans Scholl et Christoph Probst, exécutés à la prison de Munich-Stadelheim le 22 février 1943. Susanne Zeller (décédée en décembre 2012), née Hirzel, ancienne membre de La Rose blanche et amie de Sophie Scholl, comptait parmi les fondateurs de La Nouvelle Rose blanche.

 

 

 

 

Le jeudi 17 mai 2018, Michael Stürzenberger était convoqué devant la justice à Munich pour avoir publié, sur Facebook, une photo montrant les connections ayant existé autrefois entre une partie de l’islam et le national-socialisme. La méthode utilisée afin de le persécuter judiciairement était particulièrement perverse : il lui était reproché le fait que, sur ce document historique, un dignitaire national-socialiste portait un brassard à croix gammée et il était, par conséquent, accusé de diffuser un signe interdit, cela alors que la loi prévoit une exception pour des photos historiques et que la presse du système publie ce genre de document.

 

 

 

 

Le procès s’est déroulé sous haute surveillance. Les personnes désirant y assister ont vu leur carte d’identité être photocopiée et elles ont dû laisser leurs clés, portefeuille et autres objets dans un vestiaire tenu par la police.

 

 

 

Le policier qui avait introduit la plainte contre Michael Stürzenberger était entendu comme témoin. Il s’est exprimé de manière inaudible pour les personnes assistant au procès. Certaines de celles-ci sont intervenues et la juge les a rabrouées. Stürzenberger s’est vu refuser le droit d’utiliser comme moyen de défense la citation de sourates violentes du Coran et de l’ouvrage Le Fascisme islamique d’Hamed Abdel-Samad, alors que ce livre avait été cité dans le texte sur Facebook accompagnant la photo.

 

 

 

 

Curieusement, la juge a lu longuement et en détail une condamnation reçue par Michael Stürzenberger, pour délit d’opinion, à l’étranger, à Graz en Autriche.

 

 

 

 

Le verdict est ensuite tombé : une condamnation à six mois de prison avec sursis et à cent heures de travail social, la juge ajoutant qu’en publiant cette photo, Michael Stürzenberger a diffamé les musulmans.

 

 

 

 

Le député, au Parlement polonais, du parti gouvernemental Droit et Justice (Prawo i Sprawiedliwość) Arkadiusz Mularczyk désire, désormais, amener cette affaire devant le Conseil de l’Europe car elle concerne la liberté d’expression sur le continent. La télévision publique polonaise a évoqué cette affaire alors que les médias du système, en Allemagne, ne l’ont quasi pas abordée.

 

 

 

 

Ayant assisté au procès de Michael Stürzenberger, que je connais depuis plusieurs années, je dois avouer que la manière dont celui-ci s’est déroulé montre que l’État de droit n’existe plus en Allemagne.

 

 

 
 
 
 
 

 

 

 

 

09:10 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

17/10/2025

Le WCF, Soros et l’avortement:

 

 

 

 

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Une agence de Soros a inventé une théorie du complot selon laquelle la Maison Blanche de Trump dirigerait le mouvement pro-vie mondial.

 

 

 

 

Le quotidien ukrainien Kyiv Post a reproduit un article publié par le site Open Democracy de George Soros. Il commence sans nuance ainsi : « L’avortement est légal en Ukraine depuis des décennies – mais des groupes soutenus par la Maison Blanche de Trump trompent les femmes vulnérables. »

 

Rien que cette première phrase est une merveille de désinformation ! Tout d’abord, elle « oublie » opportunément de rappeler que l’avortement a été légalisé en Ukraine, comme dans l’ensemble de l’Union soviétique, par le bolchévisme qui a laissé des souvenirs particulièrement sinistres en Ukraine, où l’Holodomor, le génocide par la faim perpétré par Staline et ses sbires, a fait autour de 5 millions de victimes au début des années 1930. Par ailleurs, qui donc trompe les femmes vulnérables ? Les organisations pro-vie qui leur proposent de les aider à garder leur bébé ou le Planning familial qui leur assure que l’avortement est une banale opération sans conséquence ? Enfin, je reste toujours sidéré par le complotisme des anti-complotistes : telle qu’est écrite la phrase, on a l’impression que les organisations pro-vie agissant en Ukraine auraient demandé soit un soutien officiel, soit même un soutien financier à la Maison Blanche. Mais c’est parfaitement farfelu. Que Donald Trump soutienne moralement le mouvement pro-vie est une chose ; que la collaboration des différents groupes pro-vie du monde entier se décide dans le bureau ovale en est une autre – tout à fait différente et tout à fait délirante !

 

La suite de l’article n’est pas beaucoup plus sérieuse. La « journaliste » Tetiana Kozak appelle le Karkhiv Pregnancy Assistance Center, établissement qui est soutenu tout à fait officiellement et publiquement par la belle œuvre Heartbeat International (elle aussi tout à fait officiellement et publiquement pro-vie). Comme de bien entendu, son appel téléphonique est basé sur un mensonge : elle se fait passer pour une étudiante réfugiée, enceinte après un viol, qui songe à l’avortement. Je rappelle que la déontologie journalistique internationale interdit en principe ce genre de pratique. Sauf cas exceptionnel (comme aller filmer des chefs de guerre ou des criminels mafieux), un journaliste doit normalement se présenter comme journaliste pour ses enquêtes. Mais Mme Kozak doit sans doute penser que les pro-vie sont de dangereux criminels !

 

Evidemment, la personne qu’elle a au téléphone lui déconseille l’avortement, lui parle de son bébé, des risques de syndrome post-abortif, etc.

 

La « journaliste » ne parvient pas à trouver d’autre réponse à cela que les suivantes :

 

  1. Rien ne prouve que les risques de cancer du sein augmentent avec l’avortement ;
  2. Le Karkhov Pregnancy Assistance Center est soutenu par de puissants étrangers (notamment la Maison Blanche) ;
  3. Le site web du centre ne précise pas qu’il s’agit d’un groupe religieux.

La belle affaire !

 

Tout d’abord, il n’y a pas besoin d’être religieux pour penser que l’avortement tue un être humain, il suffit d’avoir fait un peu de biologie à l’école.

Par ailleurs, son « raisonnement » sur le cancer du sein est un pur sophisme : ce n’est pas aux pro-vie de prouver la dangerosité de l’avortement, mais au contraire aux pro-mort de montrer qu’il est inoffensif. Et, là, bon courage ! Car rien ne prouve non plus (c’est bien le moins que l’on puisse dire) que l’avortement soit sans risque pour la mère. D’ailleurs, les amis de M. Soros parlent de « principe de précaution » à tout propos pour les animaux ou les végétaux. Êtes-vous choqués que le même « principe de précaution » s’applique quand il s’agit d’êtres humains ?

 

Quant aux soutiens étrangers, j’ai dit que le soutien d’Heartbeat International était public ; si, vraiment, ce centre voulait tromper les femmes en se faisant passer pour un centre du Planning familial alors qu’il s’agit d’un centre pro-vie, croyez-vous que ce soutien serait visible sur internet ? Je ne parle pas du soutien de la Maison Blanche, c’est vraiment trop absurde : je suis bien certain que Donald Trump se réjouit des bébés sauvés à Karkhov, mais pensez-vous qu’il n’a pas assez à faire avec les Etats-Unis ? Au cas où Mme Kozak l’ignorerait, je lui rappelle que le mouvement pro-vie américain a largement de quoi s’occuper aux Etats-Unis où près de 1,3 million d’avortements sont pratiqués chaque année.

 

 

Cette « journaliste » confond le soutien moral que toutes les organisations pro-vie du monde entier s’accordent bien volontiers mutuellement et un vaste complot dont le centre serait le bureau ovale. Autant le soutien moral partout dans le monde existe, grandit et se renforce (notamment grâce au travail inlassable du World Congress of Families), autant imaginer le mouvement pro-vie mondial comme monolithique et commandé depuis Washington est idiot. Mais peut-être est-elle pardonnable de confondre car l’argent des progressistes américains coule à flots partout dans le monde pour y répandre l’avortement et le « mariage » gay dont la plupart des pays ne veulent pas.

 

J’aime beaucoup la phrase qui suit le résumé de cette conversation téléphonique : « Une femme en détresse cherchant de l’aide peut ne pas se rendre compte que le Karkhiv center a un programme – ou des amis étrangers si puissants. »

Le sang du lecteur se glace. On devine confusément un réseau clandestin de dangereux terroristes. Euh, en fait non : le programme est de sauver des bébés et Heartbeat International n’est probablement pas aussi puissant que George Soros et, en tout cas, ne cache nullement ses convictions !

 

La suite est de la grande propagande. Mme Kozak s’indigne que le centre ne dépende pas du ministère de la Santé. Peut-être ignore-t-elle qu’il y a dans le monde des pays qui ne sont pas communistes (ou qui ont cessé d’être communistes, comme l’Ukraine). Je devine que cela lui fait beaucoup de peine, mais enfin, sur la planète entière, les congrégations religieuses et la philanthropie privée offrent plus de soins que les Etats.

 

Mais le plus drôle est sans doute ceci : « l’enquête » de Mme Kozak fait partie d’un projet plus vaste d’Open Democracy (dont je rappelle que c’est une fondation financée largement par George Soros, ce qui est sans nul doute un gage d’objectivité scientifique !). Et l’article précise qu’après la publication de cette prétendue « enquête » d’Open Democracy, Hillary Margolis, senior researcher sur les droits des femmes en Europe et en Asie centrale à Human Rights Watch, a trouvé ces résultats « perturbants ». Eh bien, le monde risque de s’arrêter de tourner. On a trouvé une chercheuse qui trouvait ces résultats « perturbants » ! Problème : Mme Margolis travaille pour Human Rights Watch, organisation notoirement gauchiste et – ô suprise ! – largement financée par George Soros. C’est un peu comme si Mme Kozak commentait ses propres « résultats » en disant : qu’est-ce qu’elle est bien mon enquête !

 

Mais venons-en aux attaques contre nous. Car, oui, chers amis lecteurs, dans ce vaste complot pro-vie qui prend sa source à la Maison Blanche, le World Congress of Families, « groupe ultraconservateur » présidé par mon ami Brian Brown, qui est aussi le directeur d’iFamNews, est un maillon essentiel.

 

La preuve ? Brian était voici peu à Kiev pour une réunion du groupe « Valeurs, Dignité, Famille » réunissant des parlementaires ukrainiens de tous les partis, et dirigé par mon autre ami (j’aggrave mon cas !) Oleg Voloshin.

 

Diable, si le mouvement pro-vie en Ukraine est aussi soutenu par des pro-vie ukrainiens, où va le monde ?

 

C’est ainsi que l’on conçoit le journalisme d’investigation chez nos bons amis du clan Soros. Pas étonnant qu’ils s’inquiètent d’être de moins en moins écoutés !

 

Oh, et puis, après tout, on peut bien leur dire… Oui, nous nous réjouissons que, grâce notamment aux rencontres du World Congress of Families, qui permettent à des leaders pro-vie du monde entier de se rencontrer et d’apprendre les uns des autres, la culture de vie progresse dans le monde et, bien sûr, que, tout à fait publiquement et explicitement, nous espérons que, progressivement, dans tous les pays du monde, les femmes pourront accueillir leur bébé pour leur plus grande joie et celle de toute la société. Mais ne le répétez pas : c’est un complot !

 

 

13:59 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

07/10/2025

Persécutions antichrétiennes : préparons le Nuremberg du XXIe siècle:

 

 

 

 

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En France, nous en sommes à deux églises vandalisées ou brûlées tous les trois jours en ce mois de mai. Deux églises tous les trois jours !

 

 

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En France, nous en sommes à deux églises vandalisées ou brûlées tous les trois jours en ce mois de mai. Deux églises tous les trois jours !

 

 

À l’étranger, la christianophobie engendre chaque semaine son lot d’attentats. Ce lundi encore, l’État islamique a commis deux attentats : plus de 100 morts à Tartous et Jableh. Et plus de 40 à Aden. Des meurtres de pauvres gens qui n’ont, le plus souvent, pour seul tort que d’être nés chrétiens ou d’avoir voulu le devenir, et pour unique soutien… personne ! Ou presque. La couardise épiscopale est légendaire. Elle n’a pour rivale que celle des politiques.

 

 

Des comptes seront demandés à ceux qui se seront tus durant ces temps. Après la persécution infligée par l’islam et encouragée par les facilités immigrationnistes de Bruxelles viendra l’heure où nous ferons le Yad Vashem et le mémorial des Lucs de demain. Des nouveaux Simon Wiesenthal et des Serge Klarsfeld dresseront les listes des auteurs, des complices, de ceux qui savaient et se seront tus.

 

 

Que l’on songe aux chrétiens persécutés du Kosovo à l’Inde et du Maroc à Lagos : on tue, on rase les villages ; on prend les femmes et les enfants en esclavage. Tout cela est su. Tout cela est vu. Les vidéos abondent, les innombrables témoignages ne sont pas tenus sous le manteau. Mais rien n’y fait. Aucune déclaration enflammée à l’Assemblée des Nations unies. Ces crimes contre l’humanité-là ne rencontrent aucun écho. Deux des lycéennes esclaves de Boko Haram viennent d’être libérées. Deux contre 200 enlevées en 2017 et 200 autres en 2018 ! Colin Powell ou Barack Obama organisent-ils un plan d’action contre la seule arme de destruction massive « active » dans le monde entier : l’islam ? Oui, l’islam est l’arme génocidaire au nom de laquelle sont commis quotidiennement tant de crimes individuels ou massifs. Nulle Marie-Claude Vaillant-Couturier n’est invitée à témoigner dans un nouveau Nuremberg ; qui, d’ailleurs, n’est même pas convoqué. Craint-on que l’islam soit vainqueur ? Le Saint-Père tonne-t-il de sa voix forte ? Là-haut, Pie XII doit rigoler doucement des procès qu’on lui fit…

 

 

En France, cet accroissement se passe sans la moindre offuscation du monde politique. Le sujet est sensible ! C’est que l’on perd vite des voix, surtout si l’on accuse des auteurs faisant religion d’un autre culte que chrétien. Les politiques s’en moquent comme de l’an 40 ou 18 ; 2020…

 

 

Les sites comme l’Observatoire de la christianophobie sont systématiquement ignorés, quand ils ne sont pas combattus par nos « frères évêques bien-aimés ». Il résulte de ce grand silence qui s’étend sur la France bien des vols et des pillages. Dans une ignorance absolue du phénomène chez 99,99 % des Français. Ai-je dit « ignorance » ? Le mot m’échappait. Je devais dire : inintérêt, omission peccamineuse de la charité.

 

 

08:54 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (1)

08/08/2025

LA QUESTION HOMOSEXUELLE:

 

 

 

 

 

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Au regard du débat ouvert par l'Eglise Protestante unie, pour la défense de la famille tel que l'Eglise Chrétienne depuis les origines la enseignée, en tant que Pasteur Luthérien conservateur (traditionaliste), je ne peux que réaffirmer mon opposition à l'homosexualité et au mariage gay. En cela, je ne fais que donner ma position, dans le respect de toutes les opinions. Je ne prétends imposer la mienne à qui que ce soit. Comment justifier ma démarche, si ce n'est en m'appuyant sur la Bible (libre à chacun de penser ce qu'il veut à ce sujet), pour les Ecritures Saintes l'homosexualité n'est pas une affaire privée, mais un péché, un affront à Dieu, qui a demandé à Adam et Eve de "se multiplier" et de "remplir la terre(Genèse 1.28).

 

 

L'épisode de Sodome et Gomorrhe montre que Dieu considère l'homosexualité comme un péché si grave qu'il en détruisit ces villes (Genèse 19.1-29). A quoi fait écho "Tu ne coucheras pas avec un homme comme on couche avec une femme. C'est une horrible pratique.(Lévitique 18.22). L'apôtre Paul ajoute "ni les débauchés, ni les dépravés, ni les homosexuels n'hériteront du royaume de Dieu(1 Corinthiens 6.9-10).

 

 

Les psychologues Elisabeth Moberly et Joseph Nicolosi contestent l'argument selon lequel le comportement homosexuel est déterminé par des facteurs biologiques et génétiques. Pour eux, l'homosexualité est le résultat d'une "sur-identification" à la mère, due à l'absence physique ou morale du père, dans les relations parents/enfants vécues dans la petite enfance. Le lesbianisme résulterait principalement d'abus sexuels ou de l'incapacité d'une mère à jouer son rôle. Ces psychologues vont jusqu'à affirmer que l'homosexualité peut se guérir par un programme de thérapie réparatrice.

 

 

Ces hypothèses sont à vérifier. En les exposant, je n'ai voulu que donner un point de vue, dans ce grand enjeu moral et national.

 

Pasteur  Blanchard

 

 

 

 

 

09:22 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

01/07/2025

Le féminisme:

 

 

 

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 Une idéologie dépassée !

 

 

 

A l’occasion de la journée de la femme, le collectif des Antigones (mouvement qui "propose un regard féminin pour sortir de l’impasse et considère que la féminité est une arme") publie une tribune dans ’Valeurs actuelles", dans laquelle il met en garde contre la « société kleenex ».

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Les combats des femmes d’aujourd’hui ne peuvent être ceux des féministes d’hier : les Antigones entendent sortir de l’impasse idéologique du féminisme conventionnel, système mensonger qui détourne les femmes des enjeux réels de notre société. Notre féminité retrouvée et assumée sera notre arme pour construire le monde de demain !

 

 

 

Sortir de l’impasse féministe est une nécessité et une urgence. Le féminisme conventionnel, dont les mots d’ordre n’ont pas changé depuis les années 1950, est une idéologie dépassée incapable de faire face aux enjeux réels de notre temps. Le féminisme d’autrefois était une force de révolte et de contestation contre des normes aberrantes : nous saluons celles qui ont lutté pour rendre leur dignité sociale aux femmes, en les sortant de l’impasse du XIXe siècle bourgeois. Mais les institutions féministes étant devenues des tentacules étatiques prônant la liberté du producteur-consommateur, il est temps de les dépasser. Pour commencer, abandonnons les combats illusoires.

 

 

Refuser les combats illusoires

 

 

Les féministes conventionnelles combattent encore et toujours un patriarcat imaginaire, orientant la société vers des débats contre-productifs, sinon dangereux.

Le débat est-il vraiment celui de la parité dans les conseils d’administration ? Ne serait-ce pas plutôt celui d’une redéfinition de notre système économique basé sur l’exploitation illimitée de nos ressources naturelles et humaines ?

 

 

Le débat est-il vraiment celui de la taxe tampon ? Ne serait-ce pas plutôt le moment de nous affranchir de la culture du jetable ? Les tampons sont toxiques et à usage unique, une coupe menstruelle se garde dix ans. Quant à la pilule, le débat est-il vraiment celui de la libre disposition de son corps ? Ne s’agirait-il pas plutôt de se reconnecter à son corps, d’apprendre à maîtriser soi-même sa fécondité pour se libérer de cette castration chimique ?

 

 

Le débat est-il vraiment celui du partage du temps dans le congé parental ? Ne serait-ce pas plutôt celui de la redéfinition de la place de la famille dans la société ?

Le combat est-il vraiment celui du Madame ou du Mademoiselle quand des femmes sont agressées dans les rues de Cologne ? Le combat est-il vraiment celui de l’ « égalité réelle » quand 80% des travailleurs du dimanche dans les zones touristiques sont des femmes à temps partiel ?

 

 

Nous pourrions écrire un livre sur ces faux sujets sur lesquels s’escriment les féministes actuelles ! Ce féminisme déconnecté du réel n’a aucune réponse à apporter aux Françaises. [.....]

 

 

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