10/06/2025
THÉORIE DU GENRE :
NOS ENFANTS PLUS MENACÉS QUE JAMAIS
Faire mine de reculer pour mieux sauter, telle est la tactique adoptée par Najat BelKacem , ministre de l’éducation, pour généraliser, sous un autre nom, ces ABCD de l’égalité, expérimentés par son prédécesseur et visant à inculquer la théorie du genre aux enfants des écoles maternelles et primaires.
En créant et en étendant du primaire au secondaire son « plan d’action pour l’égalité entre les filles et les garçons à l’école », le ministre répond donc aux injonctions des LGBT, qui, manifestement, co-gèrent désormais l’éducation nationale avec les syndicats d’enseignants et de parents, tous lobbies qui n’ont surjoué l’indignation devant la prétendue reculade sur les ABCD que pour mieux aider le ministre à endormir les opposants à ce funeste projet. Du reste, Najat BelKacem a vendu la mèche : ce plan sera encore plus « ambitieux » que les ABCD... Les parents sont prévenus !
Les professeurs des écoles seront formés à combattre les « préjugés » ou « stéréotypes » sexistes (et notés en conséquence ?) et une « mallette pédagogique [sic] » les aidera à convaincre leurs élèves, âgés de 2 à 11 ans !, que leur « genre » ne doit pas leur être dicté par des parents castrateurs — auxquels, du reste, il serait préférable de retirer la charge d’éduquer leurs enfants, comme le souhaitait Vincent Peillon... — ...mais par des intervenants LGBT ?
En effet, la Commission nationale consultative des droits de l’homme (émanation de Matignon), le 27 juin, comme par hasard la veille de la « marche des fiertés » et trois jours avant la décision publique du ministre, a invité celui-ci à intensifier la lutte contre les « LGBTphobies » en milieu scolaire, notamment en y renforçant les interventions des LGBT.
Nos enfants sont plus menacés que jamais !
François Marcilhac
09:29 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)
13/05/2025
THÉORIE DU GENRE :
NOS ENFANTS PLUS MENACÉS QUE JAMAIS
Faire mine de reculer pour mieux sauter, telle est la tactique adoptée par Najat BelKacem , ministre de l’éducation, pour généraliser, sous un autre nom, ces ABCD de l’égalité, expérimentés par son prédécesseur et visant à inculquer la théorie du genre aux enfants des écoles maternelles et primaires.
En créant et en étendant du primaire au secondaire son « plan d’action pour l’égalité entre les filles et les garçons à l’école », le ministre répond donc aux injonctions des LGBT, qui, manifestement, co-gèrent désormais l’éducation nationale avec les syndicats d’enseignants et de parents, tous lobbies qui n’ont surjoué l’indignation devant la prétendue reculade sur les ABCD que pour mieux aider le ministre à endormir les opposants à ce funeste projet. Du reste, Najat BelKacem a vendu la mèche : ce plan sera encore plus « ambitieux » que les ABCD... Les parents sont prévenus !
Les professeurs des écoles seront formés à combattre les « préjugés » ou « stéréotypes » sexistes (et notés en conséquence ?) et une « mallette pédagogique [sic] » les aidera à convaincre leurs élèves, âgés de 2 à 11 ans !, que leur « genre » ne doit pas leur être dicté par des parents castrateurs — auxquels, du reste, il serait préférable de retirer la charge d’éduquer leurs enfants, comme le souhaitait Vincent Peillon... — ...mais par des intervenants LGBT ?
En effet, la Commission nationale consultative des droits de l’homme (émanation de Matignon), le 27 juin, comme par hasard la veille de la « marche des fiertés » et trois jours avant la décision publique du ministre, a invité celui-ci à intensifier la lutte contre les « LGBTphobies » en milieu scolaire, notamment en y renforçant les interventions des LGBT.
Nos enfants sont plus menacés que jamais !
François Marcilhac
09:14 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)
03/09/2024
THÉORIE DU GENRE :
NOS ENFANTS PLUS MENACÉS QUE JAMAIS
Faire mine de reculer pour mieux sauter, telle est la tactique adoptée par Najat BelKacem , ministre de l’éducation, pour généraliser, sous un autre nom, ces ABCD de l’égalité, expérimentés par son prédécesseur et visant à inculquer la théorie du genre aux enfants des écoles maternelles et primaires.
En créant et en étendant du primaire au secondaire son « plan d’action pour l’égalité entre les filles et les garçons à l’école », le ministre répond donc aux injonctions des LGBT, qui, manifestement, co-gèrent désormais l’éducation nationale avec les syndicats d’enseignants et de parents, tous lobbies qui n’ont surjoué l’indignation devant la prétendue reculade sur les ABCD que pour mieux aider le ministre à endormir les opposants à ce funeste projet. Du reste, Najat BelKacem a vendu la mèche : ce plan sera encore plus « ambitieux » que les ABCD... Les parents sont prévenus !
Les professeurs des écoles seront formés à combattre les « préjugés » ou « stéréotypes » sexistes (et notés en conséquence ?) et une « mallette pédagogique [sic] » les aidera à convaincre leurs élèves, âgés de 2 à 11 ans !, que leur « genre » ne doit pas leur être dicté par des parents castrateurs — auxquels, du reste, il serait préférable de retirer la charge d’éduquer leurs enfants, comme le souhaitait Vincent Peillon... — ...mais par des intervenants LGBT ?
En effet, la Commission nationale consultative des droits de l’homme (émanation de Matignon), le 27 juin, comme par hasard la veille de la « marche des fiertés » et trois jours avant la décision publique du ministre, a invité celui-ci à intensifier la lutte contre les « LGBTphobies » en milieu scolaire, notamment en y renforçant les interventions des LGBT.
Nos enfants sont plus menacés que jamais !
François Marcilhac
09:23 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)
23/08/2024
Christianisme contre capitalisme ? : L'économie selon Jésus-Christ:
de Falk van Gaver
Le propos est littéralement décapant
09:11 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)
02/08/2024
Pas d’amalgame entre « salafiste » et « salafiste » !

L’attentat contre l’usine de gaz, en Isère, et la première décapitation perpétrée sur le sol français à peine annoncés, les républicains de gauche, comme à l’accoutumée, ont agité leur gri-gri favori : « Pas d’amalgame ». Pas d’amalgame entre islam et islamisme, pas d’amalgame entre musulmans modérés et musulmans radicaux, ou, autre variante, entre islam et salafisme. Entre eux, point de socle commun, ni même quelque supposé lien de parenté.
Mais, stupeur, ce dimanche 28 juin, présentatrice et journaliste du journal de 19 h d’Antenne Réunion nous en révèlent un nouveau. Alors que Yassin Salhi – qui avait été fiché par les renseignements généraux précisément pour appartenance à la mouvance salafiste, donc en voie de radicalisation terroriste – est en garde à vue, on nous apprend que « le terme salafisme » ne doit pas être confondu avec celui de « djihadisme » ! Stupeur, encore, d’entendre définir le salafisme comme étant « un courant rigoriste de l’islam fondé sur une stricte interprétation du Coran », immédiatement suivi de cette affirmation : « La plupart des salafistes sont pacifistes. » » Mieux : « Les salafistes qui versent dans le djihadisme seraient ceux qui l’étudient le moins et ceux qui sont motivés par un sentiment d’oppression contre les musulmans. »» Ce n’est pas l’avis de Yadh Ben Achour, professeur de droit à l’université de Tunis :
L’erreur serait de supposer que ce salafiste est un pauvre hère égaré dans l’histoire de l’islam. Cessons de croire à la théorie de l’aberration qui veut que le salafiste ne représente pas l’islam ou que c’est l’enfant maudit de la famille […] »
Alors, on se dit que les médias réunionnais pèchent par naïveté ou par méconnaissance profonde de l’islam. Parce qu’en métropole, ce sont bien les salafistes qui y contrôlent une centaine de mosquées (chiffres de 2010), et une quarantaine d’autres soupçonnées de les rallier.
Pourtant, même son de cloche du côté de Saint Priest, à la mosquée fréquentée par Yassin Salhi où, étonnamment, personne ne semble le connaître. Le Monde nous apprend que le salafisme, pour Franck, un chrétien converti, « c’est le contraire du terrorisme, c’est prôner la paix, vivre ensemble, respecter l’autre […] ». « Pour nous, c’est pas des salafistes, ces gens-là », ajoute Belgacem, 60 ans, et assez énervé : « Ce sont ce que les savants appellent “les chiens de l’enfer” […], un salafiste, ça ne tue pas. ». Pas d’amalgame !
C’est à y perdre son latin… Djihadiste ou salafiste ? Salafiste modéré ou salafiste radical ? Salafiste pacifique ou non ? Cela va devenir vraiment très compliqué !
09:35 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)