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Identité Luthérienne

Réflexion et partage sur tous les sujets en rapport avec l'identité luthérienne.

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Aux sources du protestantisme intégral

  • Au-delà de la reformation comme phénomène théologique et ecclesial bien connu, avec ses fortes affirmations du "Sola Scriptura" et du "Sola Fide", avec son refus du magistère et de la succession apostolique qui définit l'Eglise comme communion de tous les rachetés par leur foi en Jésus-Christ, tant vivant que mort. Luther, dans le domaine sociétal, contrairement à Calvin, condamne, l'acquisition du capital par l'intermédiaire de prêts, qui ne représentent aucun "travail" réellement effectué. Il dit dans son grand sermon sur l'usure : "tous ceux là, sont des usuriers qui prêtent à leur prochain du vin, du blé, de l'argent ou autre chose, de façon à faire rendre à ces choses un interêt un an après ou passé tel autre temps" c’est une condamnation des procédés économiques du monde moderne. Cette conception spécifiquement Luthérienne se trouve aux sources du protestantisme, il se fonde sur l'appel à la conscience, et à la règlementation des prix par l'autorité publique. Sur ce point il est en parfaite harmonie avec ce qu'a pu dire Thomas d'Aquin sur le sujet. A cet ordre voulu par Dieu appartiennent les "états" au sens juridique du terme, mais aussi les professions, "établies par Dieu". Ces "vocations" (Berufe) servent Dieu, attendues qu'elles "doivent être utiles aux autres". Ce sont là les principes sociaux du Luthéranisme des origines, qui contrairement aux autres courants du protestantisme proposent une conception de la société que l'on peut qualifier de traditionaliste. Pasteur Blanchard, Président d'Identité Luthérienne
  • Par le Pasteur Blanchard

Pasteur J.P Blanchard

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Citation

  • "Pour bien connaître Luther, et son œuvre réformatrice, il faut étudier sa vie entière, ses combats, ses tentations, ses consolations. L’homme est encore plus intéressant que l’homme de parti. Il n’est pas inexact de dire que Luther a été le restaurateur de la liberté pour les derniers siècles, il a courageusement signé de son nom la grande révolution qui légalisa en Europe le droit d’examen. Nous ne pouvons penser, parler,écrire, que cet immense bienfait de l’affranchissement intellectuel ne se renouvelle à chaque instant."
  • Jules Michelet

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07/12/2021

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Confessions de foi luthériennes

 

Le Petit Catechisme de Martin Luther 
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Bible:

 

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Liturgie du Culte Dominical 
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Pastoral
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ou via la page de réponse de l'église où il est le pasteur.
Bonne lecture, et que le Seigneur soit avec vous!
(à jour le 4 Septembre, 2018)
 
 
 

 


Notre site-mère:  www.egliselutherienne.org

 

 
 

 

09:51 Publié dans Apolégétique | Lien permanent | Commentaires (0)

03/12/2021

CRÉATIONNISME :

 

 

 

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En 1993, à Hell Creek (Montana), le Dr Mary Schweitzer, paléontologue américaine, avait constaté la présence de tissus non décomposés sur le squelette d’un Tyrannosaurus Rex. Ce cas, parmi tant d’autres, démontre que les dinosaures n’ont pas disparu il y a 60-70 millions d’années. Cela est impossible, car la Terre n’a que quelque 6 000 ans.

 

 

Jusqu’à la révolution « française », préparée par les criminels maçons, les scientifiques défendaient une Terre de 6 000 ans. Cette périodicité a peu à peu augmenté en centaines de milliers d’années, puis en millions d’années pour atteindre l’évaluation fantasmagorique actuelle de 4,5 milliards d’années. La raison en est simple : le darwinisme implanté en Chine depuis les années 1890 pour préparer les esprits au communisme, a besoin de longues périodicités invérifiables pour dissimuler ses mensonges. Il est à rappeler que ce dogme débile a été exposé par Karl Marx dans une lettre du 18 décembre 1860 adressée à Friedrich Engels. Ce mensonge visant a faire croire que l’homme est le fruit du hasard, contraire aux plans divins, sera bien entendu financé par Rockefeller. Aujourd’hui le Dr Kent Hovind, qui a ridiculisé le chantre du darwinisme Dawkins, a été condamné à sept ans de prison, jusqu’en 2015, pour avoir défendu les théories du créationnisme. Officiellement, il a été accusé de blanchiment d’argent, alors qu’il n’avait que de minces revenus.

 

 

 Pour ma part, mes travaux sur le créationnisme ont été traduit en plusieurs langues, dont en roumain, en 2004, par le Dr Dan Ghita, sous le titre Geocentrism şi creationism : un altfel de révizionism ?

 

 

 Le Dr Harold S. Slusher, géophysicien, établit le calcul suivant : sachant que 14,3 milliards de tonnes de poussières interplanétaire se déposent chaque année sur la Lune, pour 4,5 milliards d’années, nous obtiendrions alors une épaisseur de trois cents à trois cent trente mètres. Or, l’épaisseur de la poussière sur l’astre est de trois à sept centimètres : la Lune aurait donc dix mille ans. Cette évaluation est d’autant plus pertinente que les scientifiques créationnistes et les évolutionnistes pensent de manière unanime que la Lune et la Terre présentent le même âge.

 

 Selon ce scientifique, l’observation du Soleil est également très révélatrice. Son diamètre diminue de 1,5 mètre par heure. À cette vitesse, il y a vingt millions d’années, sa surface aurait heurté celle de la Terre.

 

 

 Le Dr Melvin A. Cook, physicien-chimiste américain déjà nominé pour le prix Nobel, affirme grâce à l’étude du taux d’hélium contenu dans l’atmosphère, si la Terre avait 4,5 milliards d’années, son atmosphère serait saturée en hélium.

 

 

 Les anneaux de Neptune ont des régions épaisses et des régions minces. Cette inégalité signifie qu’ils ne peuvent pas avoir des milliards d’années, puisque les collisions des objets des anneaux finissent par rendre les anneaux très uniformes.

 

 

 Le méthane qui est sur Titan, plus grande lune de Saturne, devrait avoir entièrement disparu en seulement 10 000 ans à cause de la dégradation en éthane induite par les ultraviolets. Et, il n’y a pas non plus de quantités d’éthane.

 

 

 Les lunes de Jupiter « volcaniquement actives », comme Io, sont compatibles avec un âge jeune : la mission Galileo a enregistré quatre-vingts volcans actifs. Si Io avait été en éruption plus de 4,5 milliards d’années à même 10 % de son rythme actuel, ses éruptions auraient dépassé 40 fois sa masse totale.

 

 

 Le Dr Russel Humphreys, physicien, observe que la désintégration des comètes est trop rapide, l’eau et les sols marins manquent de vase et de sel, l’inclinaison des couches géologiques est trop forte pour que la Terre et l’univers aient plusieurs milliards d’années. Dans l’article Mercury’s magnetic field is young (Le champ magnétique de Mercure est jeune) de la parution Journal of Creation, il affirme que la présence d’un champ magnétique important autour de Mercure n’est pas compatible avec son âge jeune supposé de milliards d’années. Il ajoute qu’une planète si petite doit s’être suffisamment refroidie pour qu’un noyau liquide soit solidifié, empêchant le mécanisme de dynamo des évolutionnistes. Le Dr Russel Humphreys atteste au sujet de la décroissance du champ magnétique terrestre, que sa décroissance exponentielle est évidente à partir des mesures et est en accord avec la théorie de la décroissance libre depuis la Création. Ce phénomène suggère pour la Terre un âge bien inférieur à 20 000 ans.

 

 

 

10:18 Publié dans Apolégétique | Lien permanent | Commentaires (0)

19/11/2021

John Bunyan (1628-1688):

 

 

 

 

 

 

 

LE RÊVEUR IMMORTEL

par Orlando Boyer

 

 

 

" Dans mon voyage à travers le désert de ce monde, j'arrivai dans un lieu où il y avait une caverne. Je m'y couchai pour prendre un peu de repos, et m'étant endormi, je fis un rêve: je voyais un homme vêtu d'habits sales et déchirés. Il était debout et tournait le dos à sa maison. Dans sa main, il tenait un livre, et ses épaules étaient chargées d'un pesant fardeau. "

 

 

Il y a trois siècles, John Bunyan commençait ainsi son livre, Le voyage du pèlerin. Ceux qui connaissent ses œuvres littéraires peuvent confirmer qu'il est bien " le rêveur immortel qui, même mort, parle encore ". Cependant, bien que des milliers de croyants connaissent Le voyage du Pèlerin, bien peu nombreux sont ceux qui connaissent l'histoire de la' vie dédiée à la .prière de ce courageux prédicateur.

 

 

Bunyan, dans son autobiographie intitulée Grâce abondante pour le premier des Pécheurs, nous apprend que ses parents, bien que très pauvres, réussirent à lui faire apprendre à lire et à écrire. Lui-même se nommait " le premier des pécheurs"; d'autres affirment qu'il eut " beaucoup de chance " bien que non encore croyant. Il épousa une jeune fille dont toute la famille était profondément croyante. Bunyan était rétameur, et comme tous ceux de son métier, très pauvre. De son côté, elle possédait pour tout bien deux livres: Le chemin qui mène au ciel et La pratique de la piété, œuvres que son père lui avait laissées en mourant. Bien que Bunyan ait trouvé dans ces deux livres " quelques points qui l'avaient intéressé ", ce fut lors des cultes qu'il éprouva la conviction d'être sur le chemin de l'enfer.

 

 

Dans les passages suivants tirés de Grâce abondante pour le premier des pécheurs, on découvre comment il lutta par la prière pendant la période de sa conversion:

 

 

"J'eus entre les mains une œuvre des Ranters, livre très apprécié de quelques théologiens. Incapable de juger par moi-même du mérite de ces doctrines, je m'appliquai à prier ainsi: "Ô Seigneur, je ne sais pas faire la différence entre l'erreur et la vérité. Seigneur, ne me laisse pas seul accepter ou refuser cette doctrine en aveugle; si elle vient de Dieu, fais que je ne la repousse pas; si elle est l'œuvre du diable, ne me laisse pas l'accepter;" Dieu soit loué de ce qu'Il m'ait incité à me méfier de ma propre sagesse et de ce qu'Il m'ait gardé des erreurs des Ranters. La Bible me fut très précieuse alors.

 

 

"Pendant tout ce temps où je me sentais condamné aux peines éternelles, je m'étonnais de voir les hommes s'efforcer d'obtenir des biens terrestres, comme s'ils espéraient vivre ici éternellement [...] Si j'avais eu la certitude du salut de mon âme, je me serais senti immensément riche, même si je n'avais eu que des haricots à manger.

 

 

" Je cherchai le Seigneur, priant et pleurant, et du fond de mon âme, je criai: ÔSeigneur, montre-moi, je t'en prie, que tu m'aimes d'un amour éternel. Alors, j'entendis mes paroles me revenir comme un écho: Je t'aime d'un amour éternel. Je me couchai et dormis en paix et, au réveil le lendemain, la même paix inondait mon âme. Le Seigneur m'assura: Je t'aimais quand tu vivais dans le péché; je t'aimais avant, je t'aime maintenant et je t'aimerai toujours.

 

" Un matin, alors que je priais en tremblant, convaincu que je n'obtiendrais pas une Parole de Dieu pour me consoler, il me dit: Ma grâce te suffit.

 

" Mon esprit s'illumina d'une grande clarté, comme si le Seigneur Jésus me regardait du haut du ciel à travers le toit de la maison et qu'il m'avait m'adressé ces paroles. Je rentrai chez moi en pleurant, transporté de joie et empli d'humilité au plus profond de moi.

 

 

" Cependant, un jour, alors que je marchais dans la campagne, la conscience inquiète, soudain ces paroles s'emparèrent de mon âme: Ta justice est dans les cieux. Avec les yeux de l'âme, je crus voir Jésus-Christ assis à la droite de Dieu, et qui se tenait là comme ma justice [...] En outre je vis que ce n'était pas la bonté de mon cœur qui pouvait l'améliorer ou au contraire y porter .préjudice; car ma justice c'est le Christ lui-même, le même hier, aujourd'hui et toujours. Alors les chaînes tombèrent de mes chevilles: je me trouvais libéré de mes angoisses et les tentations qui m'assaillaient perdirent de leur force; je ne craignais plus la sévérité de Dieu et je rentrai chez moi en me réjouissant par la grâce et l'amour de Dieu. Je n'ai pas trouvé dans la Bible la phrase: Ta justice est dans les cieux, mais il y a : Il a été fait pour nous sagesse et aussi justice, sanctification et rédemption (1 Corinthiens 1:30) et je vis que l'autre phrase était vraie.

 

 

" Alors que je méditais ainsi, la phrase suivante des Ecritures pénétra mon esprit avec force: Il nous a sauvés, non pas pour les œuvres de justice que nous avons accomplies, mais par sa miséricorde. Je fus ainsi élevé vers les cieux et je me retrouvai au sein de la grâce et de la miséricorde. Avant, je craignais la mort, mais maintenant, je proclamai: Je désire mourir. La mort devenait pour moi chose désirable. On ne vivait pas vraiment avant de passer dans l'autre vie. Oh, pensais-je, cette vie est à peine un songe en comparaison de l'autre! C'est en cette occasion que l'expression " héritiers de Dieu " se révéla si pleine de signification pour moi que je ne peux l'expliquer en termes terrestres. Héritiers de Dieu! Dieu lui-même est la part des saints. C'est ce que je vis et qui me remplit d'admiration; cependant, je ne peux raconter tout ce que je vis... Christ était un Christ précieux en mon âme, il était ma joie; la paix et le triomphe en Christ étaient si grands que j'eus les plus grandes difficultés à rester couché". .

 

 

Bunyan, dans sa lutte pour se libérer de l'esclavage du péché, ne fermait pas son âme aux êtres désorientés qui ignoraient les horreurs de l'enfer. A ce sujet, il écrivit:

 

 

" Par les Ecritures, je compris que l'Esprit Saint ne veut pas que les hommes enterrent leurs talents et leurs dons, mais au contraire qu'ils les développent [...] Je rends grâce à Dieu de m'avoir donné la capacité d'aimer, d'avoir pitié de l'âme de mon prochain et de m'avoir incité à m'efforcer de prononcer les paroles que Dieu pourrait utiliser afin d'atteindre les consciences et de les réveiller. En ceci le Seigneur a répondu au désir de son serviteur et les gens commencèrent à se montrer émus et angoissés, quand ils comprirent l'horreur de leurs péchés et la nécessité d'accepter Jésus-Christ.

 

 

" Du plus profond de mon cœur, j'ai crié vers Dieu sans répit pour qu'il rende efficace la Parole pour le salut des âmes [...] En fait, j'ai répété au Seigneur que si le sacrifice de ma vie devant tous pouvait servir à les réveiller et à les confirmer dans la vérité, j'accepterais avec joie.

 

 

" Dans l'exercice de mon ministère, mon principal désir était d'aller dans les lieux les plus obscurs du pays [...] Lorsque je prêchais, je ressentais les douleurs mêmes de l'enfantement pour que naissent des enfants à Dieu. S'il n'y avait pas de fruit, je n'accordais aucune importance aux éloges que pouvaient me valoir mes efforts; s'il y avait des fruits, je n'accordais aucune importance à l'opposition rencontrée ",

 

 

Les obstacles que dut affronter Bunyan furent nombreux et variés. Satan, lorsqu'il se vit sérieusement menacé par l'œuvre de ce serviteur de Dieu, commença à dresser des barrières de toutes sortes. Bunyan luttait fidèlement contre la tentation de s'enorgueillir du succès de son ministère, afin de ne pas tomber dans la condamnation du diable. Lorsqu'une fois, un auditeur lui dit qu'il avait prêché un bon sermon, Bunyan lui répondit :" Il n'est pas nécessaire de me le dire, le diable me l'a déjà murmuré à l'oreille avant même que je descende de chaire ".

 

 

Puis l'ennemi des âmes incita les impies à calomnier Bunyan et faire courir des bruits contre lui dans tout le pays afin de le pousser à renoncer à son ministère. On le traita de sorcier, de jésuite, de contrebandier, on affirma qu'il vivait avec une maîtresse, qu'il avait deux épouses et que ses enfants étaient illégitimes.

 

 

Lorsque tous ces stratagèmes du malin pour détourner Bunyan de son ministère glorieux eurent échoué, ses ennemis l'accusèrent de ne pas observer les règles du culte de l'Eglise officielle. Les autorités civiles le condamnèrent à la prison à perpétuité et se refusèrent formellement à révoquer la sentence, malgré tous les efforts des amis de Bunyan et les prières de sa femme; il devait rester prisonnier jusqu'au jour où il prêterait serment de ne plus jamais prêcher.

 

 

Au sujet de son emprisonnement, il nous raconte:

 

 

" Je n'avais jamais autant ressenti la présence de Dieu. à mes côtés à tout instant avant d'être emprisonné […] me fortifiant si tendrement avec telle ou telle parole des Ecritures, à tel point que j'en vins à désirer, si cela était permis, des tribulations plus grandes encore pour recevoir une plus grande consolation.

 

 

" Avant mon incarcération, j'ai prévu ce qui devait m'arriver et deux choses brûlaient dans mon cœur sur la façon dont je pourrais faire face à la mort, si j'en arrivais là. Je fus poussé à prier, à demander à Dieu de me fortifier "à tous égards par sa puissance glorieuse, en sorte que vous soyez toujours et avec joie persévérants et patients. Rendez grâces au Père." Pendant toute l'année qui précéda mon arrestation, je ne priais presque jamais sans que ce verset des Ecritures ne me revienne à l'esprit et sans que je ne comprenne que pour souffrir avec patience et surtout avec joie, il fallait une grande force d'âme.

 

 

" La seconde considération fut dans le passage suivant: Et nous regardions comme certain notre arrêt de mort, afin de ne pas placer notre confiance en nous-mêmes, mais de la placer en Dieu, qui ressuscite les morts. Grâce à ce verset je compris que si j'en arrivais à souffrir comme je le devais, premièrement je devais condamner à mort tout ce qui appartenait à notre vie, considérant ma femme, mes enfants, ma santé, les plaisirs, tout, enfin, comme morts pour moi et moi pour eux.

 

 

"Je résolus, comme dit Paul, de ne pas regarder les choses qui se voient, mais celles qui ne se voient pas; parce que les choses qui se voient sont temporelles alors que celles qui ne se voient pas sont éternelles. Et. je compris que si je m'étais préparé seulement à la prison, je pourrais à l'improviste être appelé aussi à être fouetté ou attaché au pilori. De même si je m'attendais seulement à ces châtiments, je ne supporterais pas celui de l'exil. La meilleure façon de supporter les souffrances était d'avoir confiance en Dieu, pour ce qui était du monde à venir, et pour celui-ci, il fallait considérer le tombeau comme ma demeure, dresser ma couche dans les ténèbres et dire à la décomposition: c'est toi mon père et à la vermine: Ma mère et ma sœur (Job 17:13-14).

 

 

" Cependant, en dépit de ce réconfort, j'étais un homme en proie à la faiblesse. La séparation d'avec ma femme et nos enfants, je la ressentais parfois en prison comme si ma chair était arrachée de mes os, ceci non seulement parce que je pensais aux épreuves et aux malheurs que subissaient ces êtres qui m'étaient chers, particulièrement ma fille aveugle. Pauvre fille, comme ton existence en ce monde est triste! Tu seras maltraitée; tu demanderas l'aumône, tu souffriras de la faim, du froid, du dénuement et autres malheurs! Oh, les souffrances de ma petite aveugle me déchiraient le cœur en lambeaux!

 

 

"Je méditais également beaucoup sur l'horreur de l'enfer pour ceux qui craignaient la croix au point de se refuser à rendre gloire à Christ et de nier ses paroles et sa loi devant les fils des hommes. Mais je pensais encore plus à la gloire que le Christ prépare pour ceux qui avec amour, foi et patience rendent témoignage pour lui. Le souvenir de ces choses contribuait à diminuer la tristesse que je ressentais lorsque je pensais aux êtres chers qui souffraient à cause de mon témoignage pour Christ. "

 

 

Mais toutes les horreurs de la prison ne suffirent pas à ébranler le courage de John Bunyan. Lorsqu'on lui offrit la liberté en échange de l'engagement de ne plus jamais prêcher, il répondit: "Si je sortais aujourd'hui de prison, demain je prêcherais de nouveau l'Evangile avec le secours de Dieu ".

 

 

A ceux qui pensent qu'en fin de compte, John Bunyan n'était qu'un fanatique, nous conseillons de lire et de méditer les œuvres qu'il nous légua: Eclaircissements sur quelques vérités évangéliques, La prière, le voyage du pèlerin, Grâce abondante pour le premier des Pécheurs et beaucoup d'autres pas encore traduites en français.

 

 

John Bunyan passa plus de douze ans en prison. Il est facile de dire que ce furent douze longues années, mais il est difficile d'imaginer ce que cela signifie vraiment; il passa plus du cinquième de sa vie en prison, alors qu'il était dans la force de l'âge. Ce fut un Quaker du nom de Whitehead qui obtint sa libération. Une fois libre, il alla prêcher à Bedford, à Londres et dans de nombreuses autres villes. Il finit par devenir si populaire qu'on le surnomma " Evêque Bunyan ". Il poursuivit son ministère fidèlement jusqu'à l'âge de soixante ans, lorsqu'il fut victime de la fièvre et mourut. Des dizaines de milliers de personnes se rendent encore sur sa tombe.

 

 

 

Comment expliquer le succès de John Bunyan? Orateur, écrivain, prédicateur, moniteur d'école du dimanche ou père de famille, chacun peut tirer grand profit de l'étude du style et des mérites des œuvres de Bunyan, en dépit du fait que celui-ci ne fut qu'un simple ferblantier sans aucune instruction.

 

 

Mais comment peut-on expliquer la réussite merveilleuse de Bunyan? Comment un homme inculte pouvait-il prêcher comme il le faisait et écrire dans un style susceptible d'intéresser les enfants comme les adultes, les rois comme les pauvres, les savants comme les profanes? La seule explication est que c'était un homme en communion constante avec Dieu. Bien que son corps était retenu en prison, son âme était libre. Car c'est dans une cellule que John Bunyan eut les visions décrites dans ses livres; des visions beaucoup plus réelles que ses persécuteurs et que les murs qui l'entouraient. Ses ennemis ont disparu depuis longtemps et ces murs sont tombés en ruines, mais les écrits de Bunyan continuent à apporter lumière et joie à toutes les générations partout sur la terre.

 

 

Ce qui suit montre la lutte que Bunyan soutenait avec Dieu lorsqu'il priait: " Il y a dans la prière un moment où il faut mettre à découvert la personnalité, ouvrir son cœur devant Dieu, épancher son âme affectueusement en demandes, soupirs et gémissements : Seigneur, dit David, tous mes désirs sont devant toi, et mes soupirs ne te sont pas cachés (Psaume 38:10). Et encore: Mon âme a soif de Dieu, du Dieu vivant; quand irai-je et paraîtrai-je devant la face de Dieu? Je me souviens avec effusion de cœur " (Psaume 42:3,5).

 

 

En une autre occasion, il écrivit: " Parfois les meilleures prières consistent plus en soupirs qu'en paroles, et ces paroles ne sont rien d'autre que la simple représentation du cœur, la vie et l'esprit de ces prières ".

 

 

Comment il insistait et importunait Dieu dans ses prières, se voit clairement dans le paragraphe suivant: " Je te le dis: continue à frapper, à pleurer, à gémir et à supplier; s'il ne se lève pas pour s'occuper de toi parce que tu es son ami, au moins, en raison de ton insistance, il se lèvera pour te donner ce dont tu as besoin ".

 

 

Indiscutablement, le caractère extraordinaire de la vie de Bunyan avait sa source dans sa profonde connaissance des Saintes Ecritures qu'il aimait tant et dans ses prières persévérantes à Dieu qu'il adorait. Si quelqu'un se demande si Bunyan a fait la volonté de Dieu pendant les douze longues années qu'il a passées dans la prison de Bedford, il doit reconnaître que ce serviteur du Christ, en écrivant Le voyage du pèlerin en prison, a prêché un sermon qui, près de trois siècles après, se lit toujours en cent quarante langues. C'est le plus fort tirage après la Bible. Sans un tel dévouement à Dieu, il n'aurait pas été possible d'atteindre le résultat incommensurable et durable de ce sermon prêché par un ferblantier pénétré de la grâce de Dieu.

 

 

Références: Les Héros de la Foi, Orlando Boyer - Editions VIDA

 

 

 

 

 
 
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13/11/2021

Les béatitudes au fil des jours:

 

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Bienheureux  ceux qui savent rire d’eux même ils n’ont pas fini de s’amuser !

 

Bienheureux ceux qui savent se taire et écouter ils apprendrons des choses nouvelles !

 

Bienheureux ceux qui savent distinguer une montagne d’une taupinière il leur sera épargné bien des tracas !

 

Bienheureux ceux qui sont assez intelligents pour ne pas se prendre au sérieux, ils seront appréciés de leur entourage.

 

Bienheureux ceux qui savent regarder sérieusement les petites choses et paisiblement les choses sérieuses ils iront loin dans la vie.

 

Bienheureux ceux qui savent admirer un sourire et oublier une grimace, leur route sera ensoleillé.

 

Bienheureux ceux qui pensent avant d’agir et qui prient avant de penser, ils éviteront bien des bêtises.

 

Bienheureux surtout, vous qui savez reconnaître le Seigneur en tous ceux que vous rencontrez, vous avez trouvé la vraie lumière, vous avez trouvez le véritable Seigneur.

 

 

 

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02/11/2021

L’évolution, le plus extraordinaire conte de fées jamais raconté:

 

 

Joseph Mastropaolo, Ph.D.

 

 

 

 

 

L’évolution prétend être une science, mais elle nous leurre, car aucune de ses expérimentations n’a eu de succès. Il s’agit d’une religion occulte parce que, comme le mysticisme, l’astrologie ou l’alchimie, on ne la retrouve nulle part dans l’univers. La loi respectée par l’univers est plutôt la dévolution, car chaque être vivant et non vivant se désintègre. Tout comme le hasard, le temps fait toujours des ravages, il ne construit pas. Comme le hasard, le temps détruit les créatures les plus complexes, les êtres vivants, tout comme il détruit les plus simples, les êtres non vivants. Tout comme le hasard, le temps entraîne toutes choses vivantes vers la mort, faisant pourrir les plantes et putréfiant les animaux, suivant un processus de désintégration des molécules les plus complexes, qui réduit les molécules à leurs plus simples éléments constitutifs. Le temps et le hasard ne bâtissent jamais la vie, qui est la forme d’énergie la plus complexe. Ils ne contribuent pas non plus à la diversifier ni à la complexifier. Le temps et le hasard font toujours diminuer la quantité d’énergie disponible, ils contribuent toujours à la désintégration de l’énergie et de la masse de l’univers. Universellement, ils font dégénérer la masse et l’énergie. Natura semper scalas descendet, la nature décroît toujours.

 

 

L’une des manières de vérifier l’évolution est d’examiner ses définitions. La première définition de l’évolution est celle d’un changement qui survient avec le temps. « Pour la simple raison que ces changements ont été observés à répétition, l’évolution de ce type est un fait. » (Affiliation Scientifique Américaine, 1996). Cependant, selon l’observation commune, chaque individu de la biosphère vieillit et meurt. Une fois morts, les organismes pourrissent ou se putréfient en de simples éléments non-vivants. Individuellement, les êtres vivants se désagrègent. Les formes de vie telles que les populations régressent également. D’éléments vivants, elles passent à l’extinction permanente. Encore une fois, on observe une dévolution, et non une évolution. L’univers non vivant se désintègre également (Humphreys 1978). La première définition de l’évolution s’oppose aux billions d’observations conséquentes relevées par des milliards de personnes sur une période de plusieurs milliers d’années. L’univers entier, vivant comme non vivant, se désintègre. Le seul fait observable est la dévolution.

 

 

La deuxième définition de l’évolution est la descendance commune. Cette « vision que toutes (ou presque toutes) les formes de vie, actuelles ou éteintes, sont unies par un ancêtre commun : une théorie traitant de l’histoire de la vie… l’observation sensée qui veut que tout rejeton doit avoir des parents a incité plusieurs scientifiques à traiter la généralisation de la race commune comme si c’était un fait » (Affiliation Scientifique Américaine 1996). Cependant, selon nos observations, les individus vieillissent et meurent dans la même espèce que celle dans laquelle ils sont nés. Les individus se reproduisent également selon leur espèce.

 

 

Les formes de vie des populations démontrent des caractéristiques variables, comme la taille, le poids, la couleur et la vitesse de déplacement, mais chacun se multiplie selon son espèce. Les chiens, par exemple, peuvent être décrits selon leur taille ou d’autres caractéristiques propres aux chiens. Certains chiens comme le grand danois peuvent être jusqu’à six fois plus gros que les chihuahuas, mais ces deux races sont néanmoins des chiens. Il est admis que toute diversité au niveau des parents et du rejeton dans l’ensemble de la faune et de la flore demeure dans l’espèce. Aucun chihuahua n’a donné naissance à un chat, et aucun grand danois n’a donné naissance à un poulain. Les formes de vie ne se transforment pas. Les formes de vie au niveau des individus et des populations tendent vers l’extinction et n’évoluent jamais. La deuxième définition de l’évolution s’oppose également aux billions d’observations conséquentes de milliards de personnes sur une période de plusieurs milliers d’années. Encore-là, la dévolution est le seul fait observé.

 

 

La troisième définition de l’évolution est la sélection naturelle; « cette théorie (qui se base sur les variations génétiques telles que la mutation) a été le mécanisme primaire des changements biologiques décrits dans la première et la deuxième définition. » (dans sa version originale, l’Affiliation Scientifique Américaine 1996 insiste sur cet élément). Comme nous l’avons observé précédemment, la première et la deuxième définition sont des définitions de dévolution et non d’évolution.

 

 

 

 

 

Aussi, comme il a été suggéré ci-haut, les grands danois donnent naissance à des grands danois et ont des chiots qui grandissent autant que les grands danois, et les chihuahuas donnent naissance à des chihuahuas qui atteignent seulement le 1/6 de la taille des grands danois. Les êtres humains ne deviennent pas des primates et vice versa, les dinosaures ne deviennent pas des oiseaux non plus, et vice versa. La sélection naturelle ne s’applique nullement au procédé de reproduction confinant chaque forme de vie à la diversité de son espèce. Tout comme le vieillissement observé depuis le commencement de l’histoire, cette reproduction se dirige inévitablement vers l’extinction permanente. Aucun individu ne vit pour toujours, et il en est de même pour les populations. Dans le cas des individus et des populations, la tendance est toujours l’extinction, jamais l’évolution.

 

 

Attardons-nous maintenant à considérer si les variations génétiques, comme la mutation, pourraient d’une quelconque façon mitiger l’intuition qui nous dit que l’évolution est impossible. Les évolutionnistes désirent nous faire croire que les mutations vont entraîner l’apparition de nouvelles et meilleures formes de vie qui résulteront en plusieurs espèces de plantes et d’animaux. Ils disent observer une diversification, et une progression vers des formes de vie supérieures et plus complexes.

 

 

Afin de clarifier ce raisonnement, nous allons nous prêter à une expérience mentale. Imaginons que nous mettions dans le désordre le total des pièces de la fusée Delta qui a mis un satellite de communication en orbite autour de la Terre. Imaginez-vous que vous vous nouez un foulard sur les yeux, et que vous tournez environ dix fois sur vous même et que vous prenez au hasard, un morceau de la fusée. Il s’agirait alors de faire muter la pièce. S’il s’agit d’un circuit, coupez une connexion, ou branchez-la à l’endroit où vous avez déposé votre main. S’il s’agit d’une pièce métallique, tordez-la, coupez-la, remplacez-la ou bien, laissez-la simplement de côté. Assemblez les pièces de la fusée et essayez-la. Répétez le processus. Si la fusée parvient à mener le satellite à une meilleure orbite, alors les mutations auront amélioré la fusée. Si, à cause des mutations, le satellite de communication est devenu un satellite de navigation orbitale, alors les mutations auront entraîné la diversité. Si les mutations ont produit un véhicule pour l’exploration humaine sur Mars avec un mécanisme de retour sécuritaire, alors les mutations auront produit une forme de fusée plus performante. Si la fusée n’arrive pas à décoller ou encore qu’elle explose, les mutations auront accéléré son extinction.

 

 

Évidemment, cette dernière supposition est la plus probable, car les mutations doivent obéir aux lois de la physique et des mathématiques qui exigent la dévolution dans cette situation, et non l’évolution. Considérons à présent les mutations humaines.

 

 

Les mutations humaines ont été cataloguées depuis 1966 et sont rapportées médicalement en tant qu’affections génétiques humaines (McKusick 1998). Si l’évolution était vraie, alors nous devrions observer une décroissance futur des affections génétiques. Selon la première définition de l’évolution, le changement se démontre avec le temps, et selon la troisième, par la sélection naturelle. Au lieu de cela, ce que nous observons est l’augmentation exponentielle d’affections génétiques, ce qui s’oppose précisément à la théorie de l’évolution, et confirme la dévolution menant à l’extinction permanente. Ainsi, je vous ai présenté les données réelles prouvant que la dévolution est la seule théorie pouvant être considérée comme un fait, et que l’évolution, n’est qu’un mythe que Aximander a créé il y a 2 500 ans (Durant, 1939) et que Darwin a mis à la page il y a 140 ans (Darwin, 1859).

 

 

L’évolution désire faire croire au monde entier que les éléments chimiques de l’océan des temps anciens se sont simplement combinés par le hasard afin de former le premier acide aminé nécessaire à la vie. L’histoire continue et les 19 acides aminés nécessaires à la vie se sont également formés près du premier par hasard. Ensuite, en dépit des lois de la chimie et du hasard, on nous dit de croire que les formes d’acides aminés gauchers seulement se sont d’une quelconque manière sélectionnés parmi leurs jumeaux droitiers.

 

 

Nous devons ensuite croire que ces acides aminés s’étant dissociés par eux-mêmes se sont attachés seulement aux liaisons peptides dans des séquences exactes afin de prendre les configurations première, secondaire, tertiaire puis quaternaire nécessaires à chacune des myriades de protéines configurées de façon unique et servant de matériel brut pour la construction des milliers de mécanismes complexes d’une cellule vivante.

 

 

 

Notons premièrement qu’une oeuvre de science-fiction exige moins de crédulité de notre part et que deuxièmement, même si toutes les protéines nécessaires à ces mécanismes s’étaient si miraculeusement assemblées, elles ne pourraient nullement produire une cellule vivante sans les éléments suivants : l’ADN, l’ARNm, les organelles, les systèmes d’énergie, les enzymes, une membrane extraordinaire, une architecture interne extrêmement complexe et de nombreux autres éléments à propos desquels on ne connaît à peu près rien (Behe 1996, Denton 1986, Holum 1998). Donc, nous admettons que l’évolution simulée d’une seule des composantes brutes de la protéine sous-estime grandement la probabilité de l’évolution d’une cellule vivante. Afin de percevoir l’évolution avec davantage de clarté, penchons-nous maintenant sur la probabilité d’évolution d’une molécule d’une petite protéine que l’on retrouve chez les plantes et les animaux. Une fois cela fait, nous pouvons multiplier ce nombre par le nombre de protéines que l’on retrouve dans la plus infime cellule vivante. Ce calcul nous permettra d’estimer la probabilité d’évolution du matériel brut de la protéine. Il s’agit de l’étape initiale pour estimer la probabilité d’évolution de la première cellule vivante de l’environnement décrit dans les manuels de biologie par des expressions telles que : «la vie a pris forme dans les anciennes mers» (Johnson 1998) et «cette soupe organique originale» (Miller and Levine 1998).

 

 

 

 

 

Si un calcul de probabilité est fait sur la construction évolutive de la molécule d’une protéine, alors les principes de la physique, de la chimie, des mathématiques, de la théorie informative, de la théorie du code, de la géométrie stéréographique et de la biologie moléculaire doivent être employés. Tous les acides aminés essentiels doivent être correctement disposés, et cela avec les formes gauchères seulement et avec les liaisons peptides seulement, et la disposition doit donner une permissivité aux substituts qui ne détruisent pas l’utilité biologique. Selon ces données, la probabilité de faire évoluer une seule molécule d’iso-1-cytochrome c était évaluée à 2,3 fois un trillion vigintillion à 1 contre le fait que cela se produise. Un trillion vigintillion se compose de 75 zéros. L’auteur de cette étude a conclu en disant : « L’origine de la vie survenue par hasard dans une soupe primitive est impossible en probabilités de la même manière qu’une machine en mouvement perpétuel est impossible en probabilités. » (Yockey 1992) Afin de donner un aperçu supplémentaire, l’auteur a permis une mutation à chaque seconde à partir du commencement du temps cosmique jusqu’à maintenant et il a trouvé que cette molécule unique serait à seulement 43 % de son achèvement. Cela est désastreux pour l’évolution, parce qu’il ne reste aucun temps pour l’achèvement de cette molécule, aucun temps pour l’évolution des autres 60 000 protéines nécessaires à l’existence du matériel brut de la protéine d’une seule cellule vivante minime (Denton 1986, Morowitz 1966), et aucun temps pour construire la biosphère entière et son écologie. Afin d’avoir la chance d’être vraie, l’évolution ne nécessiterait pas seulement 15 milliards (15 x 109) d’années depuis le commencement de l’univers ou même 15 x 1022 d’années pour une seule molécule d’une seule protéine. L’évolution aurait besoin de 15 x 10^~* années, 15 suivi d’un nombre quasi infini de zéros. Évidemment, l’esprit évolutionniste plonge dans une terre de miracles presque infinis.

 

 

Cependant, s’il y avait du temps, alors la probabilité s’élèverait à plus de 104 478 296 à 1 contre l’évolution des 60 000 protéines nécessaires pour la plus petite cellule vivante. Avancer qu’aucun être humain rationnel ne croirait une chose aussi impossible est l’un des plus grands euphémismes de toute l’histoire. Mais, soyons patient, et laissons la science identifier les critères de l’impossible.

 

 

La réflexion se poursuit. Estimez le nombre de secondes qui nous séparent du commencement du temps cosmique, et pour prendre une bonne mesure, multipliez cela par un chiffre approximatif de 10 millions. Il n’y a certainement pas eu plus que 1025 secondes depuis le commencement des temps. À présent, tentons de découvrir si une seconde et quelques poussières peut être convertie en quelque chose de plus précis. Cette donnée est 1045 fractions par seconde. Si ces deux nombres sont multipliés, le produit est l’estimation du nombre total de possibilités, soit 1070, pour quelque chose qui doit s’être produit au début des temps.

 

 

Maintenant, estimons combien d’agents peuvent exister dans l’univers afin que quelque chose se produise. Ne considérons pas les agents aussi importants que les humains, mais plutôt des agents aussi petits qu’une particule fondamentale telle qu’un électron. Ce nombre a été estimé à 1080 pour l’univers entier. Si nous multiplions le nombre d’agents possibles, 1080, par le nombre d’opportunités possibles, 1070, alors le produit est 10150 opportunités pour tous les agents possibles depuis le commencement du temps cosmique jusqu’à présent afin de permettre que quelque chose se produise. Si la probabilité est plus grande que 10150 à 1 contre le fait que quoi que ce soit se produise, alors cela ne pourrait pas s’être produit, c’est scientifiquement impossible (Dembski 1998). Si la probabilité d’évolution d’une molécule de protéine est d’approximativement 1075 à 1 contre cela, alors, il est clair que l’obtention de deux molécules de protéine par l’évolution est impossible. La cellule vivante la plus petite a besoin de 60 000 protéines et la probabilité de les obtenir par l’évolution est (2,3 x 1075) 60 000 = 104,478, 296 à 1 contre cela (Yockey 1992, Mastopaolo 1999). En d’autres mots, la croyance selon laquelle « la vie est apparue dans les anciens océans » est plus que 104 478 146 (1 suivi de 4 478 146 zéros) fois plus improbable que le critère scientifique de l’impossible. Pour cette discussion, définissons comme un zillion, le chiffre 1 suivi par plus de 4 millions de zéros. Maintenant, nous pouvons dire que cette déclaration : « la vie est apparue dans les océans anciens » (Johnson 1998) et que cette expression « une soupe organique originale » (Miller et Levine 1998) est plus d’un zillion de fois plus improbable que la définition scientifique de l’impossible.

 

Ou encore, nous pouvons dire que l’évolution est plus improbable que plus d’un zillion de machines en mouvement perpétuel . Des extrêmes d’impossible semblables font davantage fonctionner l’imagination que n’importe quel conte de fées. Et cette évolution grotesque, impossible au-delà de l’imagination, on la retrouve partout, faisant ses grimaces dans les écoles publiques, dans les universités et dans tous les médias du monde.

 

 

Considérons comme impossible le cas de la Fée Bleue ayant donné vie à la marionnette Pinocchio, puis l’ayant par la suite transformé en petit garçon à partir de cet esprit, alors que la marionnette reposait dans un coin de l’atelier de Gepetto (Collodi 1883). Donnons à la Fée Bleue une probabilité scientifique de 10150 à 1 contre la déclaration qu’elle n’ait jamais existé depuis le commencement du temps cosmique. Elle est seulement une fée et son existence est définitivement impossible.

 

 

À présent, visualisons cette définition de l’impossible en convertissant chaque unité de probabilité du 10150 en Fée Bleue. De cette manière, nous pourrions asseoir une Fée Bleue sur chaque particule élémentaire, un électron, par exemple, dans l’univers entier. Ceci installerait 1080 fées bleues.

 

 

 

Maintenant, jouons au jeu enfantin de la chaise musicale aussi rapidement qu’il est possible de le faire, en commençant au début du temps cosmique. Alors que chaque particule élémentaire agissant telle une chaise est reprise à 1045 fois par seconde pour les 1025 secondes depuis le commencement du temps, nous retrouvons aujourd’hui 1070 fées attendant patiemment leur tour pour jouer. Si nous convertissons en fées le reste de la probabilité d’évolution du matériel brut de la protéine seulement, et cela pour une cellule seulement, un agent de ce qui est nécessaire à la formation d’une cellule, soit 104 478 146, nous aurons plus d’un zillion de Fées Bleues attendant leur tour pour jouer aux chaises musicales cosmiques. En attendant, il y aurait 104 478 066 d’entre elles attroupées sur chaque particule élémentaire de l’univers. Chaque feuille, chaque grain de sable, chaque goutte d’eau des océans et des nuages, le soleil, les planètes et chaque étoile de chaque galaxie serait d’un bleu solide à l’intérieur et à l’extérieur. L’on peut voir clairement que l’évolution est, de loin le plus grand conte de fées jamais raconté. L’évolution est plus d’un zillion de fois plus hallucinante en tant que conte de fées que le fait d’enseigner aux étudiants en biologie que la Fée Bleue a créé la première cellule vivante avec la touche de sa baguette magique.

 

 

 

 

 

 

Ou bien, exposons la chose ainsi : Afin de rendre la biologie un zillion de fois plus vraie et scientifique, enseignez que toutes les formes de vie ont été générées par une intelligence suprême, il y a des années lumière de cela, une intelligence dépassant la sagesse humaine, et non la Fée Bleue. Et si les dictateurs de l’évolution persistent dans leur tyrannie globale, alors laissez-nous enseigner la théorie des chaises musicales cosmiques à l’école. Si les étudiants doivent subir un lavage de cerveau avec le plus grand conte de fées jamais raconté au lieu de la biologie, le moins que l’on puisse faire est de leur offrir un peu d’amusement!

 

 

Joseph A. Mastropaolo détient un baccalauréat en kinésiologie du collège Brooklyn, une maîtrise en kinésiologie de l’université de l’Illinois et un doctorat. également en kinésiologie, de l’université de l’Iowa. Il a aussi étudié l’électrocardiographie et la biophysique de la circulation à la Faculté de médecine de l’université de Chicago. M. Mastropaolo est Fellow du Council on Epidemiology et détient un brevet d’invention en conditionnement d’équipage pour les missions spatiales habitées de façon prolongée.

 

 

Références

 

 

Affiliation Scientifique Américaine. 1996. « L’histoire d’un succès de commission scolaire  » dossier de l’Affiliation Scientifique Américaine. lettre de nouvelles ASA, volume 38 no 1, Janvier/Février.

 

 

Behe, Michael J, 1996.  » La boite noire de Darwin : le défi biochimique lancé à l’évolution  » New York, Touchstone, pp 262-268

 

 

Collodi, Carlo (Carlo Lorezini), 1883, « Le aventure di Pinocchio » Firenze : Felice Paggi Librario- Editore

 

 

La fée aux cheveux turquoise anima la marionnette de bois Pinocchio de l’esprit d’un garçon. Puis, elle transforma cet esprit en un garçon humain spontanément généré. La marionnette abandonnée dans un coin est redevenue inanimée sans la trace du rôle que la fée jouait dans les abiogenèses du garçon. Les parallèles entre les abiogenèses (la structure et génération fonctionnelles spontanées presque infinies de créer la vie à partir d’éléments non-vivants) et les monogénismes (les presque infinies diversités et complexités progressives générées spontanément ) de l’évolution sont frappants. Anaximander, Darwin et Lorenzini ont suivi le même mythe et chacun d’eux en a fait un charmant conte de fées pour la philosophie antireligieuse, pour l’amoralité posant en tant que science et pour les récits de chevet occulte que l’on lit aux enfants, et cela, respectivement.

 

 

Darwin, Charles. 1859. L’origine des espèces, chapitre V, Les lois de la variation.

 

 

Dembski, William A 1998. The design inference : éliminer le hasard au travers des petites probabilités. Presse de l’université de Cambridge p 209

 

 

Durant, Will 1939. L’histoire de la civilisation, la vie de la Grèce. New York : Simon & Schuster, p 138

 

 

Denton, Michael. 1986. l’évolution : une théorie en crise. Bethesda, MarylandL Adler & Adler, p 263.

 

 

Holum, John R. 1998 Fondements de la chimie générale, organique et biologique New York : John Wiley & Sons, pp 480-493, 568-597, 668-701

 

 

Humphreys, D. R. 1978 Utiliser la deuxième loi plus effectivement. Creation research Society

Quaterly 14 :209-210

 

 

Johnson, G. B. 1998. Biologie, vie visualisée. Austin, New York, Orlando,

 

 

Chicago, Atlanta, San Fransisco, Boston, Dallas, Toronto, London : Holt & Reinhart and Winston, p 195

 

 

Mastropaolo, Joseph. 1999. Evolution is biologically impossible. Acts and Facts 28(11): I-iv, Impact #317 http://www.icr.org/pubs/imp/imp-317.htm

 

 

McKusick, V. A. 1998. L’héritage mendelien de l’homme : un catalogue de gènes humains et de défectuosités génétiques. Baltimore, Presse de l’université John Hopkins, vol. 1 xiii-xviii

Miller, Kenneth R. , Joseph Levine. 1998. Biologie. Upper Saddle River, New Jersey : Prentice Hall, p. 346

 

 

Morowitz, H.J. 1966. La taille minimum des cellules in Principes de l’organisation bimoléculaire , éd. G.E.W. Wostenholme and M. O’Connor, London : J.A. Churchill, p 446-459

 

 

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