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20/05/2014

Képler 186f et les mensonges cabalistiques de l’astronomie, par Laurent Glauzy

 

  

 

 

« Le 17 avril, la Nasa annonçait avec grand bruit la découverte d’une exoplanète (planète en dehors de notre système solaire), baptisée Képler 186f, pouvant accueillir la vie. L’agence gouvernementale responsable du programme spatial des États-Unis entend par ce genre de spéculations et de mensonges habituer nos mentalités à une possibilité extraterrestre dans le cadre de la préparation de la venue de l’Antéchrist qui s’opérera par de faux miracles. (Pour dire les choses directement et sans ambages !)

 

Toutes ces vérités sont solidement étayées dans mon livre Extraterrestres, les messagers du New Age, expliquant entre autres pourquoi les Illuminati et en particulier les Rockefeller ont financé dans les années 1980 Mme Galbraith, l’épouse de l’ambassadeur US à Paris pour répertorier les scientifiques faisant des recherches sur l’énergie des soucoupes volantes.

 

L’extrait ci-dessous, tiré du chapitre Les exoplanètes, une moisson trompeuse, expose l’impossibilité et les arguments cachés pour lesquels la « science » ne peut absolument pas parler d’exoplanète.

 

Il est étayé sur les explications de scientifiques créationnistes (mettant Dieu au centre de la Création) britanniques et américains. C’est cette même science entre les mains des satanistes et des Francs-maçons des Brights qui le 25 décembre (!) 2003, envoyait Beagle 2 (Beagle, nom du bateau qui amena de Darwin au Galápagos) pour chercher des indices de vie sur Mars. Mais, la sonde se perdit mystérieusement et le projet échoua.

 

Comme le laisse très clairement entendre la Bible, la Terre est un miracle de la Création ne tenant qu’à un fil, et les seuls extraterrestres existant sont les anges les démons ; et rien de plus !

 

Les exoplanètes : une moisson trompeuse

 

Le 6 octobre 1995, la presse présente la découverte de la première planète extrasolaire, 51 Peg b. Deux Suisses, Michael Mayor, professeur au département d’astronomie de l’université de Genève et Didier Queloz, astronome à l’observatoire de la même ville, ont en effet annoncé l’observation d’une masse orbitant autour de l’étoile 51 Pegasi, dans la constellation de Pégase. Malgré des calculs très affinés, les scientifiques estiment très généreusement le diamètre de l’exoplanète entre la moitié et le double de celui de Jupiter.

 

Pendant les huit prochaines années, cent sept exoplanètes auraient été localisées. En 2007, elles seraient plus de deux cents. En juillet 2008, on en recenserait trois cent sept qui, comme Gliese 581 c, seraient enfouies dans un nuage de poussières obstruant toute étude minutieuse. L’opacité de ces poussières peut y être cent mille fois supérieure à notre système solaire. Cet environnement nébuleux est composé de gaz et de poussières. Il explique en partie l’invisibilité des exoplanètes. On y attribue aussi le processus de formation des étoiles, bien que celui-ci soit inconnu. A cela, s’ajoute l’imprécision des deux principales méthodes de détection : la méthode par vitesse radiale s’appuie sur les perturbations que l’exoplanète provoquerait sur le mouvement de l’étoile ; tandis que la méthode de transit consiste à étudier l’orbite de l’exoplanète quand elle passe entre son étoile et la Terre. Tout ceci reste très théorique, car les exoplanètes n’émettent guère de lumière par elles-mêmes. Elles ne sont visibles que par réflexion de l’éclat de l’étoile qui les inonde de luminosité.

 

Il n’est donc pas fortuit que ces récentes découvertes se trouvent assombries par une nuée de contradictions, d’incohérences et de fausses publications. Ainsi, contrairement à toutes les affirmations, tout commence en 1992 par une fausse alerte, où la variation des émissions radio d’un trou noir n’est pas provoquée par la présence d’une exoplanète, mais par le propre mouvement orbital de notre planète !

 

Trois ans plus tard, et de manière tout aussi discrète, l’on reviendra également sur l’existence de planètes orbitant entre autres autour des étoiles de Bernard, de 61 Cygni et Vb8b. C’est sur ces cas d’erreurs appelant à beaucoup de circonspection que Donald B. DeYoung, Docteur en Physique ne craignant nullement les condamnations de la science prend le contre-pied de la nouvelle vogue des exoplanètes, souvent mâtinée de romantisme et d’« avancées technologiques ». Étant donné les difficultés que pose par exemple l’observation de Pluton, il ne comprend pas que l’on soit capable de se prononcer sur les caractéristiques d’exoplanètes (masse, température, orbite), cinq cent mille fois plus éloignées de la Terre que cette dernière planète du système solaire.

 

Aussi, dans l’article New Stars, New Planets ?, à travers une argumentation pertinente, D. B. DeYoung revisite la question des exoplanètes à travers la célèbre 51 Peg b, 70 Virginis et 47 Ursae Majoris b :

51 Pegasi située à quarante-cinq années-lumière, dissimulerait une planète très différente de la Terre. Les émissions radio enregistrées sur les télescopes électroniques indiqueraient la présence d’un satellite cent quatre-vingt-dix fois plus lourd que notre planète et dont la position par rapport à 51 Pegasi serait de 0,05 Unité astronomique (U.A.). Cette unité correspond à la distance moyenne entre la Terre et le Soleil, soit environ cent cinquante millions de kilomètres. On pense que la surface de 51 Peg b excèderait 1 300 °C. La présence d’un tel satellite accomplissant une révolution complète de quatre jours autour de 51 Pegasi, pose plusieurs défis. Les astronomes ont longtemps affirmé que cette exoplanète serait le résultat d’un amalgame de plusieurs débris de planètes provenant initialement d’un disque entourant 51 Pegasi. Wayne R. Pencer contredit cette supposition dans l’article The Existence and Origin of Extrasolar Planets (L’existence et l’origine des planètes extrasolaires). Selon ce physicien diplômé de la Wichita State University, le disque estimé à plusieurs millions d’années se serait dissipé avant la formation du centre de l’exoplanète.

 

Il reste donc peu crédible que ce mécanisme ait pu se concrétiser à une distance si proche de l’étoile, sans que l’exoplanète ne soit avalée. De plus, dans ses premiers instants appelés stade « T. Tauri », l’étoile aurait été cent fois plus volumineuse, émettant donc de puissantes radiations.

 

L’annonce d’une planète extrasolaire 70 Virginis b effectuant sa révolution autour de 70 Virginis dans la constellation de la Vierge, marque l’aboutissement d’observations minutieuses menées pendant sept ans ! Deux mille cinq cents fois plus lourde que la Terre, soit plus de quarante fois la masse de Jupiter, sa distance de 70 Virginis serait de 0,5 U.A. Malgré sa température élevée et la recherche vaine d’une hypothétique trace d’eau, des scientifiques se plaisent à imaginer que la nouvelle planète abriterait une forme de vie. L’hebdomadaire américain Time utilise ces hypothèses pour affirmer dans un sous-titre « choc » mais mensonger : « Des astronomes ont détecté de l’eau sur des planètes autour d’autres étoiles ». [Nous remarquons qu’avec Képler les affabulateurs de la Nasa n’en sont pas à leur premier coup d’essai.] Il est à noter que la gravité et peut-être la pression atmosphérique surdimensionnées d’une telle exoplanète empêcheraient le développement de toute forme de vie. Malgré tous ces tâtonnements, on établit que l’exoplanète 70 Virginis b aurait une ou plusieurs lunes qui influenceraient une orbite décrite comme très elliptique.

 

L’étoile 47 Ursae Majoris serait une naine jaune localisée dans la constellation de la Grande ourse. Ses oscillations seraient dues à l’orbite d’une exoplanète mille fois plus lourde que la Terre, 47 Ursae Majoris b, une géante gazeuse éloignée de deux U.A. de 47 Ursae Majoris. Bien que la distance des planètes au Soleil ne soit pas un critère définitif (la température de Vénus est de 500 °C, tandis que celle de Mercure, deux fois plus près du Soleil, est de 125 °C), au regard de sa position, on en conclut que la surface de l’exoplanète avoisine –100 °C.

De pareilles spéculations prolifèrent comme s’il s’agissait dès à présent de planter le décor d’une vie extraterrestre et pourquoi pas de visiteurs de l’espace. Les exoplanètes gazeuses ont précédé les exoplanètes telluriques. Dans ce brouhaha infernal où les dessins d’artistes se substituent à l’absence de toute preuve formelle, nous pouvons déjà nous demander quelles seront les prochaines affirmations de l’astronomie ?

 

Des astronomes plus prudents préfèrent interpréter les oscillations communément accordées aux exoplanètes par la présence de naines brunes. Présentant une masse intermédiaire entre les planètes et les étoiles, la quantité de deutérium (composition très proche de l’atome d’hydrogène) de ces astres est insuffisante pour déclencher toute fusion nucléaire de la matière. Cette hypothèse s’avère plus réaliste. Elle montre que le néologisme d’exoplanète est employé sans modération. A ce propos, Ron Bernitt, journaliste en astronomie, s’étonne dans l’article Extrasolar Planets Suggest Our Solar System Is Unique And Young (Les exoplanètes suggèrent la singularité et la jeunesse de notre système solaire) que les caractéristiques des exoplanètes soient si différentes des géantes gazeuses du système solaire, auxquelles on les compare. L’ellipse de ces dernières est cependant située à une distance respectable du soleil supérieure à trois U.A., au contraire de 75 % des exoplanètes qui orbitent à proximité de leur étoile.

 

Marsha Freeman, géophysicienne, reconnaît dans la revue 21st Century Science & Technology l’imprudence des astronomes à transposer leurs connaissances du système solaire dans d’autres réalités et régions de la Voie lactée qui s’opposent à la formation des planètes du système solaire. D’après elle, les scientifiques ont affirmé à tort que les autres systèmes solaires pouvaient être conformes, au moins pour les paramètres de base, au nôtre. Ce constat est aussi partagé par le Frankfurter Allgemeine Zeitung. En mars 2008, dans ses pages scientifiques, le célèbre quotidien allemand écrit : « Les autres mondes planétaires qui auraient ressemblé au nôtre paraissent de plus en plus rares », etdéfend l’unicité de notre système solaire.Ce qui remet bien entendu en cause le schéma universel du Big Bang.

 

A l’évidence, la multiplication des exoplanètes dénonce une certaine incompréhension de l’univers et la subjectivité d’une science de plus en plus échafaudée à coup de dogmes et de couvertures de magazines. »

 Laurent Glauzy,

auteur de :
Les géants et l’Atlantide
Témoins de Jéhovah, les missionnaires de Satan
Illuminati. « De l’industrie du Rock à Walt Disney : les arcanes du satanisme ».
Karl Lueger, le maire rebelle de la Vienne impériale
Atlas de géopolitique révisée, tome II
Atlas de géopolitique révisée, tome I
Chine, l’empire de la barbarie
Extra-terrestres, les messagers du New-Age

09:41 Publié dans Science | Lien permanent | Commentaires (0)

28/03/2014

Pourquoi l'Evolution n'a-t-elle jamais été démontrée ?(2)

 

Créationisme 2.jpg

 

Dominique Tassot

 

L'origine des animaux, je remarque qu'il n'y en a aucun marchant,

volant ou rampant, dont la mer ne renferme des espèces

 

semblables ou approchantes, et dont le passage d'un de ces

 

éléments à l'autre ne soit possible, probable, même soutenu d'un

 

grand nombre d'exemples2." Ainsi les poissons d'eau douce "ont

 

reçu dans leur figure, comme dans leur goût, quelque

 

changement3" lorsqu'ils ont peuplé les rivières. Ainsi des poissons

 

ailés, tombés dans des roseaux, ont pu se métamorphoser :

 

"Tandis qu'ils trouvèrent dans les roseaux et les herbages

 

dans lesquels ils étaient tombés, quelques aliments pour se

 

soutenir, les tuyaux de leur nageoires séparés les uns des autres

 

se prolongèrent et se revêtirent de barbes ; ou pour parler plus

 

juste, les membranes qui auparavant les avaient tenu collés les

 

uns aux autres, se métamorphosèrent. La barbe formée de ces

 

pellicules déjetées s'allongea elle-même ; la peau de ces animaux

 

se revêtit insensiblement d'un duvet de la même couleur dont elle

 

était peinte, et ce duvet grandit. Les petits ailerons qu'ils avaient

 

sous le ventre, et qui, comme leurs nageoires, les avaient aidés à

 

se promener dans la mer, devinrent des pieds, et leur servirent à

 

marcher sur la terre. Il se fit encore d'autres petits changements

 

dans leur figure. Le bec et le col des uns s'allongèrent ; ceux des

 

autres se raccourcirent : il en fut de même du reste du corps.

 

Cependant la conformité de la première figure subsiste dans le

 

total ; et elle est et sera toujours aisée à reconnaître.4"

 

A ceux qui objecteraient l'invraisemblance de cette

 

métamorphose, Maillet répond que "la transformation d'un ver à

 

soie ou d'une chenille en un papillon serait mille fois plus difficile

 

à croire que celle des poissons en oiseaux, si cette métamorphose

 

ne se faisait chaque jour à nos yeux.5" Enfin, il suffit d'une

 

mutation pour donner le jour à une nouvelle espèce, et dans la

 

longue suite des temps, qui pourrait exclure cette possibilité ?...

 

"La semence de ces mêmes poissons portée dans les marais peut

 

aussi avoir donné lieu à cette première transmigration de

 

l'espèce, du séjour de la mer en celui de la Terre.

 

2 Maillet, Telliamed (1748), rééd. Paris, Fayard, 1984, p.248.

 

3 Ibid. p.249

 

4 Ibid. p.252

 

5 Ibid. p.253

 

Le Cep n°4. 3eme trimestre 1998

 

 

10:10 Publié dans Science | Lien permanent | Commentaires (0)

21/03/2014

Pourquoi l'Evolution n'a-t-elle jamais été démontrée ?(1)

Créationisme 1.jpg

 

 

Dominique Tassot

 

 

Résumé : On croit souvent que l'évolutionnisme est issu des travaux de

 

savants naturalistes, Lamarck et Darwin, contraints par les faits à admettre

 

cette théorie. L'histoire des idées nous montre l'inverse : la thèse était

 

entièrement définie par les philosophes quand Lamarck dormait encore dans

 

son berceau. On comprend ainsi pourquoi elle est indémontrée et le restera .

 

Les faits ne se démontrent pas : ils se constatent. Or on n'a jamais constaté

 

l'apparition d'un organe nouveau chez une lignée dont les ascendants en

 

étaient dépourvus.

 

L'idée d'une origine des êtres vivants par "évolution" à partir

 

du non-vivant, puis par "métamorphoses" successives, est fort

 

ancienne Dans le De Natura Rerum, Lucrèce, poète et

 

philosophe latin du Ier siècle avant Jésus-Christ, écrivait : "La

 

terre mérite bien le titre de mère car c'est de la terre que

 

proviennent toutes les créatures. Du reste, même encore de nos

 

jours, on voit sortir de terre de nombreux animaux engendrés par

 

les pluies et le chaleur du soleil" (Livre V, 795-8). "D'elle-même

 

la terre a créé la race humaine et produit pour ainsi dire à date

 

fixée toutes les espèces animales" (V, 823)1.

 

Au 6ème siècle avant Jésus-Christ, le philosophe grec

 

Anaximandre voyait l'homme sortir de la mer, par métamorphose

 

du poisson, et Benoît de Maillet reprendra cette idée au début du

 

dix-huitième siècle, bien avant Lamarck ou Darwin. L'ancien

 

consul de France en Egypte, sous l'anagramme de "Telliamed",

 

imagine les entretiens d'un "philosophe indien" (donc dégagé de

 

tout "préjugé" biblique) avec un "missionnaire français".

 

Colligeant de nombreuses observations de géographie physique et

 

de sciences naturelles, il avait énoncé dès 1735 l'idée d'une lente

 

"diminution de la mer", amenant la "terrestrisation" progressive

 

des espèces vivantes. Quant aux espèces actuelles, il lui paraissait

 

qu'elles provenaient, par adaptation, d'anciennes espèces marines

 

assez semblables : "Pour en venir à présent à ce qui regarde

 

1 Lucrèce, De la Nature, trad. A Ernout, Paris, Les Belles Lettres, 1924.

 

Le Cep n°4. 3eme trimestre 1998

 

 

 

10:05 Publié dans Science | Lien permanent | Commentaires (0)

25/02/2013

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