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08/04/2014

« Ces criminels qui défendent la pédophilie » par Laurent Glauzy

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« On devient des adultes équilibrés seulement si l’on a eu une enfance heureuse » (Maria Montessori)

Les rapports sexuels avec des mineurs deviendront-ils une pratique normale ? Les défenseurs de la pédophilie prônent cette « unique voie de libération ».

Le 25 avril, Alice Day, marque la journée officieuse de la « prédisposition », des pédophiles qui aiment les petites filles. Cette date ne doit rien au hasard. C’est le 25 avril 1856 que Lewis Carroll, membre de la secte satanique de Théosophie, rencontra une petite fille, Alice Liddell, qui inspira son œuvre Alice au Pays des Merveilles. Alice devint ainsi le symbole, bien malgré elle, de cette journée immonde et ignoble.

Le promoteur de l’évènement est la Nambla (Association nord-américaine pour l’amour entre les hommes et les jeunes garçons). Cette structure de pédophiles homosexuels revendique les droits des militants « pro-pédophiles ».
Implantée aux États-Unis, elle recueille des prosélytes au Canada, aux Pays-Bas et dans beaucoup d’autres pays. L’objectif est l’abolition des limites d’âge en matière de rapports sexuels, et de combattre la criminalisation des adultes qui pratiquent la sexualité avec des mineurs. Ces criminels sans scrupules demandent la relaxe de tous les prisonniers détenus pour ce délit. Les organisations pro-pédophiles, composantes du groupe Ipce (International Pedophile and Child Emancipation), sont par ailleurs impliquées dans des actions illégales de trafic international de pédophilie.

La Nambla fut fondée en 1978 par le Juif David Thorstad. En 1970, il est un activiste politique du mouvement des droits homosexuels aux côtés d’Harry Hays, membre du Communist Party USA. Les deux hommes suscitent l’attention des forces de l’ordre. En 1977, à Boston, la police fait irruption dans un de leurs sièges, et arrête vingt-quatre suspects. Une centaine d’autres personnes furent inculpées les jours suivants pour viol sur des garçons âgés de huit à quinze ans.

En 1995, des agents infiltrent les organisations implantées à San Francisco et New York. Le journaliste Mike Echols réussit à pénétrer ces cercles. En 1991, il publie, dans son livre I Know My First Nameis Steven (Je sais que mon prénom est Steven), les noms, adresses et numéros de téléphone de quatre-vingts membres de Nambla.

En 2000, un couple de Boston, Robert et Barbara Curley, poursuit en justice Nambla pour l’homicide volontaire de leur fils Jeffrey, en octobre 1997. Charles Jaybes et Salvatore Sicari, condamnés pour ce meurtre, avouèrent avoir torturé et mutilé le jeune homme. Le jugement mentionna que « Nambla servait de canal pour un réseau souterrain de pédophiles aux États-Unis, qui utilise les associations et leurs contacts sur Internet pour obtenir et promouvoir l’activité pédophile ».

L’Italie n’est pas non plus épargnée par des politiciens nauséabonds réclamant le « droit des enfants à avoir leur sexualité ». Si le parti radical italien est un des mouvements faisant la promotion de la pédophilie, le communiste Nicola Vendola, président de la région des Pouilles, fondateur du Movimento per la Sinistra (mouvement pour la gauche), déclara en 1985 : « La liberté communiste est le dynamisme. Je suis devenu consciemment homosexuel, pour redevenir hétérosexuel, et pour enfin rechercher une sexualité sans adjectif. Je voudrais que l’on comprenne la sexualité, non en parlant des membres et des organes génitaux. Berlinguer [secrétaire général du PCI, mort en 1984] est quelqu’un qui comprend. Nous avons discuté ensemble de ce sujet. Il répétait tout le temps que l’on a besoin d’aller au fond, que l’on a besoin de parler, de se confesser davantage – non pas avec des prêtres – car il s’agit de se priver du poids de tous les résidus de l’intolérance. Il n’est pas facile d’affronter un thème comme celui de la pédophilie en exemple, c’est-à-dire du droit des enfants à avoir leur propre sexualité, à avoir des rapports entre eux ou avec des adultes » (Republicca du 13/3/1985).

Le 3 mai 2013, lors des débats parlementaires portant sur les projets de loi contre l’homophobie, Luisa Santolini, députée de l’Union démocrate du centre, reprenant les propos du docteur d’origine belge Hubert van Gijseghem, ancien professeur de psychologie à l’université de Montréal, affirma : « L’homosexualité est une orientation sexuelle comme tant d’autres : il y a ceux qui sont gays, hétéros ou pédophiles ». Cette déclaration ne donna lieu à aucune indignation publique.

La petite Croatie est également touchée par ce torrent d’immondices. En janvier 2013, le gouvernement de Centre-gauche, financé dans cette initiative par la Soros Foundation, a imposé l’introduction dans les programmes scolaires d’un module sur la sexualité rédigé par des pédophiles.

Laurent Glauzy

Laurent Glauzy est l’auteur de :
Témoins de Jéhovah, les missionnaires de Satan
Illuminati. « De l’industrie du Rock à Walt Disney : les arcanes du satanisme ».
Karl Lueger, le maire rebelle de la Vienne impériale
Atlas de géopolitique révisée, tome I
Atlas de géopolitique révisée, tome II
Chine, l’empire de la barbarie
Extra-terrestres, les messagers du New-Age
Le mystère de la race des géants

 
 
 

 

 

 

09:47 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

25/03/2014

Poutine et la défense des valeurs chrétiennes…

 

 
 
 
 

Voici un fort intéressant extrait d’un discours du président russe Vladimir Poutine, prononcé le 19 septembre 2013 lors du Forum de Valdaï en Russie. Nous sommes loin, mais alors très loin, de l’apostasie “tranquille” d’un Jacques Chirac ou d’un François Hollande

 

 

« Un autre défi important pour l’identité de la Russie est lié aux évènements qui ont lieu dans le monde. Cela concerne les politiques étrangères et les valeurs morales.

Nous pouvons voir comment beaucoup de pays euro-atlantiques sont en train de rejeter leurs racines, dont les valeurs chrétiennes qui constituent la base de la civilisation occidentale. Ils sont en train de renier les principes moraux et leur identité traditionnelle : nationale, culturelle, religieuse et même sexuelle. Ils mettent en place des politiques qui mettent à égalité des familles nombreuses avec des familles homoparentales, la foi en Dieu est égale à la foi en Satan.

 

 

Cet excès de politiquement correct a conduit à ce que des personnes parlent sérieusement d’enregistrer des partis politiques dont l’objectif est de promouvoir la pédophilie.

Dans beaucoup de pays européens les gens sont embarrassés de parler de leur religion. Les jours de fête sont abolis ou appelés différemment : leur essence est cachée, tout comme leur fondement moral. Et les gens essaient agressivement d’exporter ce modèle à travers le monde.

 

 

Je suis convaincu que cela ouvre un chemin direct à la dégradation et au primitivisme, aboutissant à une profonde crise démographique et morale. Quoi d’autre que la perte de la capacité à se reproduire pourrait être le meilleur témoignage de cette crise morale ? Aujourd’hui presque toutes les nations développées ne sont plus capables de se reproduire par elles-mêmes, même avec l’aide des flux migratoires.

 

 

Sans les valeurs présentes dans la chrétienté et dans les autres religions du monde, sans les standards moraux qui se sont formés durant des millénaires, les gens perdront inévitablement leur dignité humaine.

 

 

Nous considérons cela naturel et juste de défendre ces valeurs. On doit respecter le droit de chaque minorité à être différente, mais les droits de la majorité ne doivent pas être remis en question. »

 

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09:39 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

18/03/2014

Quand les "sentinelles de l'invisible" poussent leur coup de gueule

 

Entretien avec Anne Brassié et Stéphanie Bignon, auteur de Cessez de nous libérer. Petit traité pour les femmes actuelles. Avec une préface (très belle) d'Yves Meaudre. Via Romana. 12€.

Pourquoi ne voulez vous pas, Anne Brassié et Stéphanie Bignon, comme les autres, être libérées ?

 

 

 

Parce que cette libération est un énorme mensonge et un asservissement déguisé. La main qui met en mouvement le berceau met en mouvement le monde, disait Gertrud Von Lefort. Certains veulent asservir ce pouvoir immense, en l'asservissant à l'économique, on fait de la femme un agent économique, ce qui n'est pas sa vocation première. C'est pour cela que le principe de parité est irréalisable. La vocation de la femme, c'est le don gratuit, celui de donner la vie, de mettre au monde l'enfant, de l'élever, l'éduquer et lui donner tout l'amour dont il a besoin. C'est aussi défendre la vie.  Marie Noël le disait très joliment, ce n'est pas un travail vite fait que d'aimer » !

 

 

Une étude américaine vient de chiffrer le travail d'une femme à la maison, cela donne 72 h. L'horaire syndical est largement dépassé !

Malheureusement la condition féminine dépend de l'économie actuelle qui voit les pères recevoir des salaires de plus en plus limités pour régler des loyers en augmentation régulière... Les mères sont donc obligées de rapporter un second salaire.

 

 

L'horreur économique selon l'expression d'une journaliste aura aussi  pour conséquence l'euthanasie de plus en plus de vieillards qui coûtent trop cher à la société. Mère Térésa ne recevait pas de salaire pour assister les mourants.

Nous ne voulons pas être libérée de cette charge, celle de défendre la vie depuis la conception jusqu'à la dernière seconde.

 

 

Quel est le fil rouge du livre ?

 

Montrer que, dans le même temps Dieu est chassé de la sphère publique pour être enfermé dans la sphère privée et que la femme subit le sort inverse : elle est sortie de force de son foyer pour être jetée dans le monde, tout cela au prétexte de tous nous libérer ! Les conséquences visibles en sont une société blessée qui anéantit le véritable génie féminin. Les femmes l'ont si bien compris que les mères sont descendues dans la rue pour manifester leur colère.

 

Qu'avez vous appris en entreprenant ce livre ?

 

A notre grande surprise, tous les organismes étatiques comme le Planning Familial, en France ou les organismes internationaux, l'ONU,  l'UNESCO ou l'OMS imposent des programmes mortifères, limitations des naissances et  avortements, et développement de la théorie du genre. Comme tous les apprentis sorciers, le monde soi disant meilleur qu'ils veulent promouvoir débouchent sur un monde où l'on tue les petites filles. Des villages entiers indiens et chinois se retrouvent sans femmes après des programmes contraceptifs.

 

Nous avons appris aussi que l'asservissement sexuel de la femme n'avait jamais cessé, bien au contraire. La sexualité débridée exige une femme libérée des contraintes de la maternité, la femme objet. « On asservit les peuples plus facilement avec la pornographie qu'avec les miradors » nous a prévenus Soljenitsyne. Le but de Judith Bultler est révolutionnaire. Son livre s'appelle: « Trouble dans le genre. Pour un féminisme de la subversion. » Pervertir la femme c'est désaxer la société tout entière, la maternité et la paternité, l'autorité et bien sûr le sacré puisque la femme est co créatrice. C'est elle qui relie notre monde au ciel et qui transmet la foi.

 

Comment résister ?

 

Il faut se réapproprier son identité, sa vie et redevenir chrétien. Les femmes sont «  les sentinelles de l'invisible » disait Jean Paul II  et nous le rappelle Paul Evdokimov, dans un beau livre intitulée, La femme et le salut du monde, elles doivent s'opposer aux forces destructrices: « Aujourd'hui, face au matérialisme, à la sécularisation, face à la pornographie et à la drogue, face à tous les éléments de décomposition démoniaque, de violence et de guerre, c'est la femme qui est prédestinée à dire non pour arrêter l'homme au bord de l'abîme et lui montrer sa vraie vocation des mystères de Dieu. »

 

Michel Janva

 

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11/03/2014

Comment sont nés les 40 Days for Life

 

Le numéro de mars de L'Homme Nouveau propose un entretien avec David Bereit, fondateur du mouvement américain : 40 Days for Life. Extraits :

 

"[...] Margaret [son épouse] me raconta beaucoup d’histoires sur des jeunes adultes de Corpus Christi (Texas). Tous les samedis, leurs familles se rendaient devant des cliniques d’avortement pour y prier en compagnie de centaines d’autres chrétiens. Au bout de quelques années, ils virent ces cliniques fermer les unes après les autres pour ne plus jamais rouvrir. J’ai alors commencé à prendre conscience que l’on pouvait faire quelque chose pour contribuer à résoudre le problème de l’avortement et là était mon devoir. Mais ce qui a vraiment poussé ma décision, c’est quand j’ai appris que Planned Parenthood, la plus grande chaîne d’avortoirs aux États-Unis, allait ouvrir sa première clinique d’avortement dans la ville où j’habitais : College Station. C’est cette information qui m’a poussé à m’impliquer activement dans le sauvetage de vies, à aider à changer les cœurs et les esprits, et à travailler pour mettre un terme à l’injustice que constitue l’avortement dans notre société.

 

Pourquoi et quand avez-vous décidé de lancer les 40 Days for Life ?

 

Après plusieurs années d’efforts pro-vie à College Station, nous avons constaté que rien ne marchait aussi efficacement que nous l’avions espéré et que le nombre d’avortements continuait à grimper. Quatre membres de notre petit groupe se réunirent un jour de l’été 2004 autour d’une table dans notre local pro-vie, et nous décidâmes de prier pendant une heure, car nous reconnaissions que si mettre un terme à l’avortement était humainement impossible, à Dieu tout est possible. Pendant notre prière, la première chose que Dieu mit dans nos cœurs fut cette période de quarante jours, une période que Dieu utilise, tout au long de l’histoire biblique, pour mettre en évidence la transformation dans le monde. Les trois choses que nous décidâmes furent : 1. Prière et jeûne pour obtenir la fin de l’avortement, en reconnaissant qu’avec Dieu, tout est possible. 2. Organisation de vigiles pacifiques de prière ininterrompue, 24 h sur 24, devant des cliniques d’avortement pour témoigner de l’injustice qui s’y déroulaient, et offrir de l’espérance et de l’aide aux mères risquant de prendre la pire décision de leur vie. 3. Une approche communautaire, en diffusant le message pro-vie aux membres de nos communautés, en faisant du porte à porte, en prenant la parole dans les églises et les écoles et en nous impliquant dans les médias. Ces trois actions – prière et jeûne, vigiles pacifiques et approche communautaire – constituèrent la structure des 40 Days for Life. Deux semaines après cette heure de prière, nous lancions la première campagne des 40 Days for Life. Plus d’un millier de personnes s’y engagèrent localement. Cette année-là, le taux des avortements diminua de 28 % dans notre communauté.

 

[...] En démarrant les 40 Days for Life, nous pensions qu’une douzaine voire une quinzaine de villes participeraient de manière coordonnée à cet effort national. Or, lors de cette première campagne, ce furent 89 villes de 33 États différents qui se mobilisèrent ! Désormais, ce sont des centaines de villes et de nombreux pays qui participent aux campagnes des 40 Days for Life. [...] Plus de 600 000 volontaires ont participé à nos campagnes et nos informations confirment que 8 245 enfants à naître ont été in extremis sauvés de l’avortement à cause de tous ces gens priant devant des cliniques d’avortement, dont 44 ont définitivement fermé leurs portes, tandis que 88 employés d’avortoir touchés au cœur ont quitté l’industrie de l’avortement. [...]

 

 

Le mouvement pro-vie doit être mondial dans son étendue et sa convergence. L’avortement est la cause numéro un de mortalité dans le monde, il tue plus de vies que les maladies cardiovasculaires, le cancer, le sida, la faim ou toute autre cause. Pour combattre cette crise, nous devons mener cette lutte ensemble, nous devons nous mobiliser indépendamment des divisions entre nations, langues ou cultures, nous devons tous travailler ensemble pour faire admettre que la vie d’un enfant est sacrée aux yeux de Dieu et mérite d’être protégée. [...]"

 

Michel Janva

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04/03/2014

Le concept de genre recouvre une certaine vision du monde - c'est-à-dire, une théorie

Normalien, agrégé de philosophie et maire adjoint (sans étiquette) de Versailles, François-Xavier Bellamy décrypte sur Figarovox l'idéologie de la rumeur :

 

"La théorie du genre existe-t-elle? A partir de cette question si vivement discutée aujourd'hui, il me semble utile de tenter une réponse - et de formuler une remarque.

Partons de ce qui est certain: le concept de genre existe bel et bien. Apparu dans la littérature universitaire il y a une quarantaine d'années, il s'est déployé dans des directions variées, au point qu'il est aujourd'hui utilisé dans des champs aussi éloignés que la sociologie, la littérature, l'économie ou les politiques publiques.

 

Quel est le sens de ce concept? Il sert à ceux qui l'emploient de critère d'interprétation pour décrypter la vie sociale et les relations humaines, à partir d'une idée essentielle: les différences entre hommes et femmes ne sont pas liées à une altérité naturelle, mais produites par une construction culturelle, tout entière organisée pour consolider la domination d'un sexe par l'autre.

Ainsi explicité, le concept de genre recouvre bien une certaine vision du monde - c'est-à-dire, au sens étymologique du terme, une théorie. [...]

 

Les défenseurs de ce concept, qui l'emploient massivement aujourd'hui (on ne compte pas les séminaires, colloques, cours, publications dédiées à des études liées au genre dans tous les domaines de la recherche) nient avec véhémence qu'une quelconque «théorie» soit cachée derrière ce concept. Mais cette dénégation n'a tout simplement aucun sens. [...]

Il est tout à fait permis de penser qu'il n'y a entre l'homme et la femme aucune différence de nature, de défendre cette conception par la recherche, et même, pourquoi pas, de la promouvoir par l'action politique. C'est ce que fait par exemple Caroline de Haas, ancienne conseillère de Najat Vallaud-Belkacem, à qui j'ai pu répondre dans une tribune parue dans Le Monde. Le débat démocratique suppose des visions et des projets assumés loyalement.

 

Il est en revanche proprement scandaleux d'empêcher le dialogue, d'interdire la critique, en cachant la réalité des intentions que l'on poursuit.

 

[...] Si le gouvernement se refuse aujourd'hui à assumer cette politique, c'est qu'il sait qu'elle serait très largement rejetée."

 

Michel Janva

09:21 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)