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20/01/2015

Retour de l’affaire Piss Christ :

 Placement en détention

 

 

Dans l’affaire Piss Christ, qui date d’il y a presque 4 ans, 4 jeunes gens étaient suspectés d’avoir donné le coup de marteau dans le Piss Christ le 17 avril 2011 à Avignon. La presse locale avait même osé les qualifier de « profanateurs du Piss Christ »…

 

Le Parquet avait engagé une enquête préliminaire qui avait abouti à la garde à vue des quatre garçons, qui avaient tous nié leur participation. A l’issue de leur garde à vue, le parquet d’Avignon leur avait fait notifier une convocation devant le tribunal correctionnel d’Avignon.

 

Devant le tribunal, la Collection Lambert réclamait 400.000 € de dommages-intérêts et frais divers !

 

 

 

 

 

 

 

Le 19 juillet 2012, les avocats (Me Trémolet de Villers, Triomphe, Dassa-Le Deist et Bonneau) ont plaidé devant le tribunal correctionnel d’Avignon et ont fait annuler les poursuites.

Le Procureur avait alors annoncé qu’il allait engager de nouvelles poursuites et un juge d’instruction a été saisi en 2012.

 

 

Or, le 29 décembre 2014, près de 4 ans après les faits, l’un des garçons qui est suspecté d’avoir donné le coup de marteau dans la vitre de protection du Piss Christ, a été mis en examen et immédiatement placé en détention provisoire !

 

 

Un référé-liberté a été déposé dès le lendemain sur le fondement de l’article 187-1 du code de procédure pénale. Le Président de la chambre de l’instruction statuera lui-même le vendredi 23 janvier au plus tard sur cette détention.

 

 
 
 
 
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09:21 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

02/01/2015

MAIS OU MENENT-ILS NOS ENFANTS ?

 

Depuis plus de quarante ans, les politiques de l’enseignement et les politiques urbaines, qui sont en amont et en aval de l’épine dorsale de nos sociétés, sont inspirées par des idéologies fumeuses et utopiques.
 
 

Des apprentis sorciers, souvent sans visages et sans noms, substituent à la saine analyse historique, à la nécessaire observation des faits et à l’incontournable homogénéité de destin, des mécanismes de mise en condition des peuples qui privilégient la valeur incantatoire des mots pour mieux brouiller les héritages et les repères culturels.

 

 

 


L’entreprise de démolition commence à l’école par la mise en place de projets éducatifs d’inspiration totalitaire. A coup de slogans du type « Ecole de la réussite », « Hétérogénéité obligatoire des classes », « Réussite pour tous » « ABCD de l’égalité » etc.…, des politiciens irresponsables ont camouflé, sous l’angélisme des propositions, la rupture radicale avec la transmission de l’héritage culturel de nos sociétés.

 

 

De la dérive de l’école à la sédition des banlieues et des quartiers sensibles

 

 

L’entreprise de démolition s’est concrétisé dans les politiques urbaines qui ont accouché au travers des « Projets de Ville » et des « Intégrations à marche forcée » (par ailleurs grassement subsidiés), un monde kafkaïen et barbare où le vernis des liftings urbanistiques, ronds-points, nouveaux trottoirs, plateaux et pistes cyclables, camoufle mal les zones de non droit (ZUS & ZSP), les mafias, les caïds et la racaille.

 

Alors, il est temps, grand temps, de stigmatiser les politiques malhonnêtes et suicidaires, car la constatation des mêmes effets pervers ne doit pas se solder, comme c’est le cas, par de nouveaux dérapages vers l’abîme, au son de cantiques lénifiants et creux, mais au contraire par un retour aux valeurs saines et aux politiques responsables. Il faut arrêter ce sabotage de l’Enseignement.

 

Soyons clairs, nous combattons les dérives sectaires dans les écoles, car ces projets fabriquent à la chaîne des individus amnésiques, incapables de jugement, et parfaitement soumis aux pouvoirs totalitaires et à la marchandisation mondialiste. Il faut écouter ceux qui, déjà nombreux, préconisent le retour aux filières et méthodes traditionnelles qui seules assureront la mémoire d’un héritage millénaire.

 

Il faut abandonner les mots d’ordre des quarante dernières années. Non, l’immigration n’est pas une chance pour nos pays ; non, l’intégration ne fonctionne pas pour des masses qui ne partagent aucun de nos principes culturels ; non, l’antiracisme ne facilite pas l’intégration, il génère au contraire un racisme à rebours et l’ostracisme de nos identités ; non, l’Etat providence et l’assistanat ne règlent aucunement tous les problèmes économiques et sociaux, ils les enracinent durablement.

 

Il faut expurger la morale de la culpabilité et avoir le courage de dire :

 

HALTE AUX DELIRES !

 

Pieter KERSTENS.

 

10:06 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

30/12/2014

MARIAGE GAY:

 Défections dans l’Église luthérienne en Finlande

 

 

 

 

À la suite de la validation, vendredi dernier, par la Parlement finlandais d’une initiative citoyenne autorisant le « mariage » homosexuel, étape préalable au vote d’une loi définitive, de nombreux fidèles de l’Église luthérienne, qui regroupe 75% des finlandais, ont quitté cette Église. Le site internet consacré aux démarches de retrait de cette institution a enregistré près de dix mille requêtes depuis vendredi, dont près de 5 200 pour la seule journée de dimanche.

 

 

Les débats sur cette initiative ont révélé une fracture au sein même de l’Église luthérienne dans ce pays. En effet, l’archevêque Kari Mäkinen déclarait vendredi se « réjouir du fond de (son) cœur » du résultat du vote, tandis que le même jour, un autre haut dirigeant de l’Église luthérienne affirmait que le vote « n’a pas changé l’idée (ecclésiastique) de mariage », qui demeure une union entre une femme et un homme.

 

 

 

10:34 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

19/12/2014

Entretien avec Jacques Bompard:

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Les insultes et les anathèmes pleuvent lorsque l’on ne respecte pas le prêt-à-penser !

 

   

Jacques Bompard, lors de l’adoption, de la résolution réaffirmant le « droit fondamental à l’IVG en France et en Europe » par l’Assemblée nationale, vous avez fait un discours « discordant » très remarqué. Pourquoi avez-vous tenu à vous exprimer ?

 

 

J’ai tenu à m’exprimer avec modération contre ce que je jugeais être une nouvelle atteinte aux lois naturelles. Il est évident qu’il n’y a absolument plus besoin, en France, de faire le moindre effort pour banaliser l’avortement. En revanche, il faut prendre son souffle au moment d’aller batailler à la tribune : les insultes et les anathèmes pleuvent immédiatement lorsque l’on ne respecte pas le prêt-à-penser.

 

Et c’est pour cela que j’ai voulu tenir ma place dans la défense de la vie. Nos adversaires sont à ce point intolérants car ils savent pertinemment que l’IVG est la pierre d’angle de leur « loi du progrès ». Sans elle, plus de marchandisation du corps de la femme et plus de réduction de l’être humain à un matériau exploitable.

 

Il faut aussi dire que personne ne peut, en conscience, assumer cette défense de la vie et être absent le jour de ce vote. Ou alors ce n’est plus considérer la politique comme le service de la Cité mais comme du marchandage électoral. Or, la vie est notamment refusée à ces 225.000 fœtus avortés par an.

 

J’ajoute enfin que les mêmes qui érigent en droit fondamental la disparition de l’enfant à naître sont très souvent les mêmes qui nous expliquent que l’immigration est une chance pour la France et une occasion pour elle de la vivifier par un sang neuf. Pour mémoire, le nombre d’avortements pratiqués et le nombre d’immigrés légaux arrivant sur le sol français chaque année est sensiblement le même. Ce faisant, je m’interroge sur le législateur qui commet un double crime en faisant disparaître des enfants et dans le même temps pille les forces vives des pays du tiers monde.

 

Quelques jours auparavant, quand le projet de loi sur la modulation des allocations familiales en fonction du revenu est passé devant l’Assemblée en seconde lecture, vous avez tenté, avec d’autres députés, de réitérer le « coup du rideau », initié en leur temps par les socialistes. Est-il vrai qu’il s’en est fallu d’une voix pour que cela fonctionne ?

 

 

 

Oui, l’amendement a été voté par 64 députés contre 64 oppositions. Nous étions près du but, c’est-à-dire d’empêcher la représentation nationale de briser l’un des principes fondateurs de notre système de protection sociale. Les familles, comme vos lecteurs le savent, vont pâtir de cette destruction du modèle français qui a longtemps soutenu notre politique nataliste.

 

Le Parti socialiste ne fait que suivre là les conseils des mondialistes : briser les exceptions françaises et parier sur le Grand Remplacement pour donner du « dynamisme » à notre pays. Vous le savez, je préfère d’abord défendre les gens d’ici.

 


Le président de l’Assemblée Claude Bartolone envisage de limiter le nombre de questions écrites au gouvernement. Qu’en pensez-vous ?

 

 

Comme le relevait le président de la commission des lois, certains députés, afin de faire grossir leur activité parlementaire, posent la même question écrite pour chaque département. En une question, ils en font cent… Pour ma part, toutes mes questions écrites sont uniques, proposant tantôt une vision critique de l’action politique du gouvernement, tantôt l’éclairage d’un point de droit précis par les ministères. Toutes mes questions sont utiles.

 

Cependant, il faut affirmer très clairement que l’Assemblée nationale prouve par son règlement et son mode de fonctionnement que nous ne vivons pas en démocratie. Utilisation abusive du temps programmé, conférence dictatoriale des présidents qui arrangent les ordres du jour, non représentation des élus sans groupes politiques : rien n’est épargné aux électeurs pour brimer leurs choix et limiter l’action du non-inscrit.

 

Je suis un adepte des questions écrites ; elles sont l’une des rares niches qui demeuraient encore pour laisser les élus s’exprimer librement. Las, c’était trop de liberté accordée aux opposants au prêt-à-penser et le président de l’Assemblée nationale préfère très certainement les discours convenus qui s’égrènent à la tribune où mes collègues reprennent pour la plupart les fiches issues des partis politiques ou des officines. La fréquentation des bancs de l’Assemblée donne une certitude : jamais le pays réel n’a été moins représenté et servi par nos élites politiques.

 

 

Entretien réalisé par Gabrielle Cluzel

 

 

 

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09/12/2014

« Le Refuge » agrémenté par le gouvernement pour aller dans les écoles:

Après avoir déguisé les ABCD de l’égalité afin de faire taire les familles engagées dans les « Journées de Retrait de l’école », le gouvernement poursuit sa propagande homosexualiste dans les écoles et lycées au motif de la « lutte contre l’homophobie ».

 Cette fois-ci, ce sont les membres du Refuge qui en profitent : à l’issue de deux années de procédures, le ministre de l’Education Nationale Benoît Hamon vient de leur octroyé l’agrément national des associations éducatives complémentaires de l’enseignement public.  

 

 

 

L’association de « lutte contre l’homophobie et la transphobie » pourra donc désormais étendre ses actions de sensibilisation en milieu scolaire, ce qu’elle faisait déjà depuis 2010 sans la reconnaissance du ministère. En 2013 l’association était déjà intervenue dans 15000 établissements soit 400 de plus que l’année précédente.

 

 

 

Son directeur, Frédéric Gal confie que son but est d’augmenter le nombre d’interventions mais également de développer d’autres activités : « Nous aimerions par exemple lancer un projet avec le ministère dans les quartiers en difficulté, où la question de la sexualité – même pas celle de l’homosexualité – est encore un tabou. Le deuxième objectif, c’est la formation des enseignants et des travailleurs sociaux : quand des jeunes vont mal, c’est vers eux qu’ils se tournent, il faut donc les rendre à l’aise sur ce sujet et leur donner des clés pour qu’ils puissent répondre à leurs interrogations. Et surtout, démystifier et banaliser l’homosexualité 

 

10:42 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)