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27/09/2016

Une église profanée et incendiée à Fontainebleau !

 

 

 

 

 

 

La chapelle Saint-Joseph est l’un des trois endroits qui ont été incendiés volontairement par les auteurs. (photo Le Parisien/Marine Legrand.)

 

 

L’église Saint-Louis à Fontainebleau a été victime d’un incendie important dimanche dernier. Le sinistre est d’origine criminelle avec trois mises à feu en différents points de l’édifice. Il s’est déclaré vers 7 h 15. Immédiatement, plusieurs véhicules de pompier, avec 19 hommes, sont intervenus.

 


L’incendie a touché la chapelle de Franchard où les flammes ont détruit l’autel du XVIe siècle et la statue de Notre-Dame-de-Franchard du XIVe siècle (classée classée monument historique). Un départ de feu a eu lieu également sur quelques fauteuils du chœur de l’église. Enfin, le sinistre a touché la chapelle Saint-Joseph, où plusieurs statues ont été renversées. Des hosties consacrées ont été jetées sur le sol, l’Enfant-Jésus de la crèche dérobé… : une volonté farouche de profanation.

 

 

En France, ce vieux pays chrétien défiguré par deux siècles de République et de laïcisme, voilà où l’on en est !

 


A écouter les gros médias, on se dit que si un édifice religieux brûle en France, ce devrait être une mosquée ou une synagogue. Eh bien, non, en la ville royale de Fontainebleau, c’est une église qui est incendiée et les politiciens en sont gravement complices.

 

 

PS : autre profanation ce dimanche, en forêt de Fontainebleau cette fois. La Croix de Guise, qui mesure 2 x 1 m, a été renversée et tractée sur deux à trois mètres. Un acte « volontaire » selon la police.

 

 

 

11:34 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

20/09/2016

Un coin de voile levé sur le dernier tabou : le planning familial:

 

 
 

Un seul mot d’ordre règne depuis près de soixante ans dans la classe politique unanime : le planning, on n’y touche pas.
 
 
 
 
 
 

Président de La Fondation Jérôme Lejeune
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
   

 
 
 
      

Les questions de contraception, d’IVG et de sexualité ont brièvement émergé pour la première fois en France dans la campagne des régionales. Depuis toujours, les différents aventuriers qui tentent d’interroger de manière critique les évolutions de société ou de « mettre le respect de la vie humaine au cœur de la politique » sont éconduits sans ménagements par un gardien du temple à la fois connu et méconnu, mais sourcilleux : le planning familial. Qui s’y frotte s’y pique.

 

 

 

Le planning, c’est la loi et les prophètes de la sphère intime. Souvent l’initiateur de réformes hardies avant d’en être lui-même le plus farouche propagandiste, le planning en est surtout le bénéficiaire puisqu’il en vit. Mais un seul mot d’ordre règne depuis près de soixante ans dans la classe politique unanime : le planning, on n’y touche pas, le planning protège la liberté des femmes, c’est le dernier tabou.

 

 

Or, une candidate a osé émettre l’opinion que les subventions du planning de la région PACA pourraient ne pas être maintenues à leur niveau actuel. C’est historique. Immédiatement, le ciel lui est tombé sur la tête. Et pourtant qu’en est-il exactement ? N’a-t-on pas le droit de savoir ?

 

 

Il suffit de se pencher sur une seule association du Planning familial de la région PACA, celle des Bouches du Rhône, pour être convaincu que quelques questions ne sont pas illégitimes. Sur un total de ressources de 1.354.301 € en 2014, cette association a reçu près de 90 % de subventions publiques en provenance de l’État (ARS, DDCS, FNPEIS, DRDFE, FDVA, INPES, CPCAM, CUCS), du Conseil général, du Conseil régional et des communes. On apprend, en outre, que « des financements exceptionnels ont été accordés afin d’éviter des licenciements et une cessation de paiements ». Mais les charges continuent à augmenter. Et on lit que l’équipe du planning de ce département compte 30 salariés dont une troupe de théâtre de 15 comédiens…

Il y a plus grave. Sur le site de l’association figure un soutien explicite aux femmes voulant avorter mais qui ont dépassé le délai légal de 12 semaines de grossesse. Il est précisé que ces femmes ont encore la possibilité de se rendre dans un autre pays d’Europe où la législation est différente et les délais plus longs, comme l’Espagne, l’Angleterre ou les Pays-Bas, voire les États-Unis (où la réputation du Planned Parenthood n’est plus à faire, avec le scandale de la vente d’organes issus d’avortements). Et ce n’est pas assez, il faut aussi leur donner des moyens financiers. En conséquence, le planning sollicite des dons et délivre même des reçus fiscaux pour soutenir un acte qui est illégal. Car, en France, au-delà de la douzième semaine de grossesse, l’IVG est interdite et le médecin qui la pratiquerait s’expose à des sanctions pénales (jusqu’à 5 ans de prison), civiles et administratives. Dès lors, le financement public, direct ou par déduction fiscale, de l’IVG hors délai s’apparente fort à un détournement de fonds publics.

 

 

Multipliez ces constats par soixante-quinze associations pour avoir une idée de ce que représente le planning à l’échelle nationale : un mouvement qui traite de façon militante dans les écoles, les collèges, les lycées, les universités, etc. non seulement de la contraception et de l’avortement, mais aussi de la bioéthique, de l’homosexualité, du sida, de la laïcité, du féminisme, du genre et des migrants…

 

 

Voir Les Républicains s’approprier ce militantisme d’extrême gauche, fossoyeur de toute reconstruction de la société sur ses fondamentaux, balaye les illusions qu’on peut avoir sur ce parti.

Voir une classe politique quasi unanime faire de l’immoralité un argument électoral pour battre une candidate de 26 ans qui cherche à dissiper le mensonge a quelque chose de crépusculaire.

Voir cette jeune femme se battre seule contre des barbons évoque l’épisode de « Suzanne et les vieillards » qui, rappelons-le, se termine par la condamnation des vieillards.

On peut se réjouir qu’un coin du voile ait été levé sur le dernier tabou par la représentante d’une génération qui survivra aux barbons.

 

 

 

 

09:41 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

12/08/2016

La révocation de l'édit de Nantes et la liberté d'expression:

 

 

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J'ai vu à la télévision une émission où un groupe de jeunes reprenait les chemins conduisant les Huguenots vers leur exil, par refus de renier leur foi. Le Pasteur qui les accompagnait n'a pu s'empêcher de faire le parallèle avec la situation des sans papiers.

 

 

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La chose m'est parue piquante, quand on connaît l'attitude des instances du protestantisme vis à vis de tout ce qui est fondamentaliste, et aussi en ce qui concerne toute conviction de droite nationale. Il n'y a pas de mots anathématisants assez forts, qui ont pour effet de rejeter, marginaliser, bannir les mal pensant. En caricaturant, il vaut mieux être musulman sans papier, que Français membre du Front National. Doit-on gommer chez Luther ces sermons sur l'usure et la finance apatride, doit-on nier son islamophobie radicale. Nous pouvons affirmer que l'honneur du Pasteur Boegner fut d'avoir tout fait pour sauver des enfants juifs, sans pour autant parler de sa tache indélébile, de n'avoir en tant que Président de la Fédération Protestante protesté sur les assassinats du Pasteur Vesper et de son épouse, enlevés de leur presbytère, amenés dans la garrigue pour être tués d'une balle dans le dos, sans aucune forme de procès, leur seul crime étant d'être Maréchalistes. Oecolampade avait dit à Calvin qu'en brûlant Servet, on n’éradiquait pas une idée mais on assassinait un homme, comme l'a dit Jean Ferrat, faut-il pleurer faut-il en rire je n'ai pas le cœur à le dire.


  
                                  Pasteur Blanchard

 

 

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10:01 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

05/07/2016

Toulouse : une exposition de propagande homosexualiste « vandalisée » par des chrétiens:

 

 

C’est agréable de constater qu’il existe encore un peu de bon sens et de pudeur dans notre pays. Il ne faut rien lâcher et continuer partout ou le bourrage de crâne LGBT sévit.

 

 

Trouvé sur le Figaro : Dans la nuit du 10 au 11 mai, les photographies de l’artiste Olivier Ciappa issues du projet Couples de la République ont été recouvertes d’injures et déchirées. Les auteurs de ces actes de vandalisme ont expliqué «ne pas vouloir la promotion de ce style de vie».

 

 

 

L’artiste Olivier Ciappa se dit «particulièrement inquiet». Dans la nuit de mardi au mercredi, son exposition Couples de la République mettant en scène de nombreuses familles monoparentales, homosexuelles ou en situation de handicap incarnées par des célébrités, Elie Semoun, Mélanie Laurent, Eva Longoria et Jenifer notamment, a été vandalisée dans le centre-ville de Toulouse.

 

 

 

 

 

 

Une grande partie des soixante photos exposées ont ainsi été taguées par des inscriptions à caractère homophobe et déchirées.

 

 

 

Sur place, c’est un passant, Frédéric Reverdy, qui a découvert les dégradations aux alentours de minuit avant de tomber nez à nez sur les auteurs de ces actes de vandalisme. «C’était un groupe de six jeunes âgés de 18 à 20 ans. Ils se revendiquaient catholiques et disaient être ‘contre la promotion de ce mode de vie’, tout en affirmant avoir eux-mêmes un ami homosexuel», nous raconte ce Toulousain.

 

 

«Leur seule réponse, la violence»

 

 

Dès le samedi 7 mai au matin, le jeune homme a alors prévenu l’artiste, porté plainte et alerté la municipalité. En réponse, la mairie de Toulouse a annoncé qu’elle dévoilerait à nouveau d’ici au 9 mai les photos originales tout en laissant en exergue les clichés dégradés.

 

 

 

 

 

 

Pour Olivier Ciappa, qui a déjà été victime de pratiques similaires lors d’une précédente exposition il y a deux ans, la culture ne peut être que la réponse. «Les gens savent que, quand on a des convictions intenses, il n’y a rien de plus fort que l’art. Eux ont pour seule réponse, la violence», martèle-t-il.

 

 

L’ex-ministre de la Santé Roseline Bachelot, avait elle aussi participé à ce projet. Elle a réagi sur Twitter en partageant un message: «À Toulouse, l’expo d’Olivier Ciappa saccagée par des ultras homophobes incultes: honte à eux».

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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14/06/2016

Le féminisme:

 

 Une idéologie dépassée !

 

 

 

A l’occasion de la journée de la femme, le collectif des Antigones (mouvement qui "propose un regard féminin pour sortir de l’impasse et considère que la féminité est une arme") publie une tribune dans ’Valeurs actuelles", dans laquelle il met en garde contre la « société kleenex ».

 

 

 

 

 

Photo © Antigones/DR

 

 

 

Les combats des femmes d’aujourd’hui ne peuvent être ceux des féministes d’hier : les Antigones entendent sortir de l’impasse idéologique du féminisme conventionnel, système mensonger qui détourne les femmes des enjeux réels de notre société. Notre féminité retrouvée et assumée sera notre arme pour construire le monde de demain !

 

 

 

Sortir de l’impasse féministe est une nécessité et une urgence. Le féminisme conventionnel, dont les mots d’ordre n’ont pas changé depuis les années 1950, est une idéologie dépassée incapable de faire face aux enjeux réels de notre temps. Le féminisme d’autrefois était une force de révolte et de contestation contre des normes aberrantes : nous saluons celles qui ont lutté pour rendre leur dignité sociale aux femmes, en les sortant de l’impasse du XIXe siècle bourgeois. Mais les institutions féministes étant devenues des tentacules étatiques prônant la liberté du producteur-consommateur, il est temps de les dépasser. Pour commencer, abandonnons les combats illusoires.

 

 

Refuser les combats illusoires

 

 

Les féministes conventionnelles combattent encore et toujours un patriarcat imaginaire, orientant la société vers des débats contre-productifs, sinon dangereux.

Le débat est-il vraiment celui de la parité dans les conseils d’administration ? Ne serait-ce pas plutôt celui d’une redéfinition de notre système économique basé sur l’exploitation illimitée de nos ressources naturelles et humaines ?

 

 

Le débat est-il vraiment celui de la taxe tampon ? Ne serait-ce pas plutôt le moment de nous affranchir de la culture du jetable ? Les tampons sont toxiques et à usage unique, une coupe menstruelle se garde dix ans. Quant à la pilule, le débat est-il vraiment celui de la libre disposition de son corps ? Ne s’agirait-il pas plutôt de se reconnecter à son corps, d’apprendre à maîtriser soi-même sa fécondité pour se libérer de cette castration chimique ?

 

 

Le débat est-il vraiment celui du partage du temps dans le congé parental ? Ne serait-ce pas plutôt celui de la redéfinition de la place de la famille dans la société ?

Le combat est-il vraiment celui du Madame ou du Mademoiselle quand des femmes sont agressées dans les rues de Cologne ? Le combat est-il vraiment celui de l’ « égalité réelle » quand 80% des travailleurs du dimanche dans les zones touristiques sont des femmes à temps partiel ?

 

 

Nous pourrions écrire un livre sur ces faux sujets sur lesquels s’escriment les féministes actuelles ! Ce féminisme déconnecté du réel n’a aucune réponse à apporter aux Françaises. [.....]

02:14 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)