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12/04/2016

L’islamophobie est-elle un délit ?

 

 

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En France, on a le droit de blâmer tout ou partie d’une religion et il n'existe pas de loi contre le blasphème.

 

Professeur agrégé et écrivain
 
 
 
 
 
 
 
 
  
 
      

En Grande-Bretagne, une association «antiraciste » Hope a, dans un rapport de 130 pages, publié la liste de tous les islamophobes (particuliers ou organisations) du Royaume-Uni, dans le but de les livrer à la vindicte publique. Si on trouve tous les adversaires habituels de l’islam (c’est de bonne guerre de les clouer au pilori), on a rajouté à cette liste les noms de musulmans dont le seul tort était de refuser d’introduire la charia dans la législation britannique et celui d’islamistes (trop) repentis. Une fidèle du Prophète, pratiquante et voilée, a été retirée de la liste au dernier moment. Elle était montrée du doigt à cause de ses positions un peu trop progressistes.

 

 

Examinons les mots : « islamophobe » signifie littéralement « qui a peur de l’islam ». Une partie (majoritaire ?) des Français serait islamophobe car, à cause de quelques déviants, cette religion fait peur à beaucoup, à tort ou à raison.

 

 

Dans le sens qui prévaut actuellement, un islamophobe est quelqu’un qui critique l’islam. Or ce n’est pas absolument puni par la loi. En France, on a le droit de blâmer tout ou partie d’une religion et il n’existe pas de loi contre le blasphème.

 

 

On peut donc se moquer de « l’Immaculée Conception », trouver stupide le dogme de « l’infaillibilité pontificale », déclarer que la cacherout juive est une contrainte archaïque qui n’a plus de raisons d’être, que le jeûne du ramadan est trop lourd à supporter et que voiler les cheveux d’une femme est une coutume ambiguë. On a le droit de le penser, et de le dire à haute voix. Par contre, bien entendu, il est inadmissible de se moquer d’un fidèle à cause de ses croyances ou des rites qu’il respecte.

 

 

Le vrai racisme antimusulman consiste à arracher le voile à une femme dans la rue, à ne pas servir un fidèle de Mahomet dans un magasin, à lui refuser un emploi ou un logement à cause de sa religion. Ce sont des actes graves heureusement sanctionnés par la loi.

 

 

Il est temps de restreindre fortement l’usage du terme d’« islamophobe » car, encore une fois, c’est une opinion qui ne tombe pas sous le coup de la loi. On devrait parler, désormais, d’actes antimusulmans lorsqu’il s’agit de délits.

 

 

Mais l’islamophobie est le cheval de Troie des islamistes (et de leurs alliés gauchistes). Ils veulent faire passer pour raciste ce qui relève de la liberté d’expression et d’appréciation, afin de faire taire toutes les critiques même minimes contre la religion musulmane. Par petites touches, ils veulent créer une jurisprudence qui leur soit favorable.

 

 

Le combat qui vient de s’ouvrir est un combat de longue haleine mais c’est le combat de la liberté contre l’obscurantisme. Et l’exemple anglais prouve que les organisations «antiracistes » sont les pires ennemis de la démocratie.

 

 

10:01 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

05/04/2016

Là où il y a islam, islamisme il y a:

 

 

 

 

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Le constat est pourtant évident : dans tous les attentats commis sur notre Sol, nous ne trouvons pas d’Italien, pas d’Espagnol, pas de Portugais, pas de Suisse, pas de Belge, pas de Grec, pas d’Allemand, pas d’Autrichien, etc... Pas d’Européens donc ! Les auteurs d'attentats en France depuis 20 ans sont tous des musulmans « Français »… de papier par le hasard du « droit du sol » !n

 

 

 

Jugez-en par vous-même :

 

 

Khaled Kelkal 1995, Boualem Bonsai 1995, Karim Boussa 1995, Abdelkader Bouhadjar 1995, Abdelkader Mameri 1995, Main Ait Ali Belkacem 1995, Nasserine Slimani 1995, Rachid Ramda 1995, Safe Bourada 1995, Mohamed Merah 2012, Abdelkarim Dekhar 2013, Mehdi Nemmouche 2014, Bilal Nzohabonayo 2014, Chérif Kouachi 2015, Said Kouachi 2015, Amedy Coulibaly 2015, Sid Ahmed Ghlam 2015, Yassin Salhi 2015, Ayoub El-Khazzani 2015, Ahmad Al Mohammad 2015, Samy Amimour 2015, Omar Ismaïl Mostefaï 2015, Salah Abdeslam 2015, Brahim Abdeslam 2015, Bilal Hadfi 2015… Édifiant, non ?

 

 

 

Mais attention : « Pas d'amalgame ! », comme le vocifèrent haineusement les milieux politiques et médiatiques… ces extrémistes fanatiques du « vivre ensemble ». Une formule qui, dans les faits, se traduit par « vivre comme eux », comme les « nouveaux arrivants ».

 

 

 

Et pourtant là où il y a islam, islamisme il y a car 

 

 

:

 

Si TOUS LES MUSULMANS NE SONT PAS DES TERRORISTES

TOUS LES TERRORISTES SONT DES MUSULMANS !n

 

09:39 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

25/03/2016

Cette fois, ils ont même tenté de racketter les handicapés :

        

 
 
 
 
 

     
 
Alors que le montant de l'aide médicale d'État - pour les clandestins - est de 2 milliard d'euros , ils n'ont rien de trouvé de mieux, ces socialistes, qu'à grappiller lamentablement sur le dos des personnes handicapées !
 
 
 
 

 
 
 
 
      

Eh bien, c’est du propre ! Alors que le montant de l’aide médicale d’État – pour les clandestins – atteindra 2,1 milliard d’euros en 2017, à l’heure où la gauche aux manettes se montre moins désireuse que jamais d’endiguer – ne parlons même pas de stopper – le tsunami migratoire, ils n’ont rien de trouvé de mieux, ces socialistes, qu’à grappiller lamentablement sur le dos des personnes handicapées !

 

 

Rendez-vous compte, elles sont trop riches, elles ont la vie trop belle, ces personnes-là, auxquelles la vie ou la nature a joué un mauvais tour, et que leur handicap empêche de subvenir à leurs besoins. Travailler, s’insérer dans une vie professionnelle, percevoir le fruit de leur labeur, jouir d’un statut social, mais toutes ne demanderaient que ça, si leur corps ou leur tête n’avaient été fracassés sur le mur de la fatalité.

 

 

Pensez donc, c’est qu’ils peuvent en faire, des folies, les handicapés moteurs et les handicapés psychiques, en percevant 807,65 euros par mois ! Même que, des fois – un comble pour nos chers socialistes -, ils arrivent à mettre un petit peu de côté. Même que leur famille, à l’occasion et en prévision du jour où elle ne sera plus là pour s’occuper d’eux, leur met un peu de beurre dans les épinards. Un scandale, pour nos gouvernants, qui prévoient donc de minorer cette allocation par trop dispendieuse en l’amputant des revenus que la personne toucherait de son compte épargne !

 

 

Le but des socialistes ? Aligner l’AAH sur les autres minima sociaux, RSA et minimum vieillesse… La pauvreté pour tous, en somme. Une recette fiscale « illusoire, vexatoire, blessante » (Olivier Faure, PS), « une grave erreur, car c’est une allocation pour compenser le handicap » (Barbara Pompili, EELV), « un racket » (Philippe Vigier, UDI), « un véritable coup de massue antisocial » (Florian Phillipot, FN), c’est dire si l’idée injuste et saugrenue d’imposer des personnes fragilisées a uni toute la classe politique.

 

 

L’AAH coûte cher ? Que dire de l’AME, alors – accordée à des étrangers parfaitement valides entrés illégalement sur le sol français -, créée en 2000 par Bernard Kouchner et Martine Aubry sous le gouvernement Jospin. Passée de 75 millions par an l’année de son instauration à 530 millions en 2009, à 588 en 2011, à 800 millions en 2013, à 1 milliard en 2014 – normal, disait Marisol Touraine, le nombre de bénéficiaires augmentant chaque année -, l’État préfère sacrifier ses handicapés plutôt que s’attaquer à cette formidable pompe aspirante. Pas joli-joli…

 

 

Cependant, face à leur colère, à celle de leurs familles et de leurs représentants, le ministère s’est défendu d’avoir pour objectif « de pénaliser une personne qui aurait quelques centaines d’euros sur son livret A ». Mais à partir de combien d’euros par mois l’État considère-t-il qu’un handicapé est riche ? Enfin, la secrétaire d’État en charge du dossier, Ségolène Neuville, « a décidé de ne pas appliquer la mesure en l’état ».

 

 

Le gouvernement a reculé ? Il faut dire qu’à la veille des élections régionales, se mettre un million d’allocataires à dos, c’est fâcheux.

 

 

09:04 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

08/03/2016

Manuels scolaires : Vallaud-Belkacem veut supprimer les contes traditionnels

 

 

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Najat Vallaud-Belkacem, la piètre ministre de l’Éducation Nationale, a publié un communiqué  qu’elle entendait traquer les stéréotypes de genre jusque dans les manuels scolaires. Ainsi les nouveaux programmes (CP jusqu’à la 3ème) « sont une occasion importante pour améliorer les manuels et ainsi prévenir les discriminations de stéréotypes qui alimentent les inégalités entre les élèves. ».

 

 

La sinistre s’appuie sur une « étude » du centre Hubertine Auclert (association féministe militante) pour partir en guerre contre les contes traditionnels tel que Le Petit Chaperon rouge ou Cendrillon.

 


Selon les harpies féministes « de nombreux contes issus de la culture populaire » sont « truffés de représentations sexistes, ils ont valeur d’autorité littéraire et cantonnent le plus souvent les personnages féminins à des rôles stéréotypés. »

 

 

Le rapport en profite pour attaquer la représentation du couple homme-femme et réclament des « modèles familiaux diversifiés » dans les manuels scolaires pour enfants de 5 ans…

 

 

09:44 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

26/02/2016

Royaume-Uni : deux sœurs organisent une fête pour payer le suicide de leur mère:

 

 

 

L’affichette de la macabre soirée

 

 

 "Mourir dans la dignité », disent-ils. Cette histoire tristement exemplaire montre à quel point la logique des marchands de la « mort choisie » est à l’exact inverse de cette promesse infernale. Au Royaume-Uni, deux sœurs âgées de 40 et 29 ans ont décidé d’organiser une fête pour récolter suffisamment de fonds pour payer le voyage aller de leur mère, Jackie Baker, 59 ans, en Suisse, afin d’y obtenir un suicide assisté dans une clinique Dignitas. Drag-queen et serveurs « playboy » sont au programme.

 

 

Tara O’Reilly, coiffeuse, et Rose Baker, sa petite sœur, disent s’être résolues « la mort dans l’âme » à organiser cette fête dans un pub gallois avec l’espoir de récolter 8.000 livres (plus de 10.000 euros) afin de payer la prestation « Dignitas » pour leur mère – une forte somme qui dépasse évidemment le prix du billet d’avion, même pour une personne handicapée, et en dit long sur le caractère lucratif des affaires de la société suisse de suicide assisté.

 

 

Une fête avec drag-queen et playboys pour attirer les donateurs en vue de faciliter un suicide « Dignitas » en Suisse

 

 

 

La soirée aura lieu ce vendredi dans un pub très populaire de Llanelli, au Pays de Galles. Réservée aux dames – « Ladies Only » –, elle promet la participation d’une « artiste drag » (un travesti, donc) et de serveurs « playboy » pour tenir le buffet froid (ça tombe bien) inclus dans le prix de 15 £ par personne.

 

 

Jackie Baker est tombée malade en février dernier, victime d’une maladie neuromotrice. « Prisonnière » de son fauteuil roulant, elle a vu sa santé se détériorer très rapidement : cette photographe amateur passionnée ne peut même plus soulever son appareil photo et elle éprouver déjà des difficultés à parler. Mais elle n’est pas mourante…

 

 

Ses filles ont eu du mal à accepter que Jackie veuille mettre un terme à ses jours mais elles se sont laissé convaincre. Leur grand-mère avait été emportée par la même maladie à 62 ans. Elles ont « le cœur brisé » de voir leur mère, « esprit libre et créatif », confinée dans un fauteuil de handicapé, dépendante des tiers pour l’ensemble de ses soins. Elles se sont rendues à l’évidence : sa situation ne s’améliorera pas et sa maladie s’annonce pénible.

 

 

Deux sœurs veulent lever 8000 £ pour aider leur mère à mourir alors que le suicide assisté est interdit au Royaume-Uni

 

 

« Si c’était moi je prendrais le même chemin. Nous voulons que maman ait un bon départ », explique Rose Baker.

 

 

Tous les ingrédients de la culture de mort y sont : le refus de la souffrance, la mobilisation populaire pour faire approuver l’inacceptable et rendre chacun complice, l’idée de l’autonomie absolue de la personne, le contournement des lois et la publicité pour les faire évoluer, le clin d’œil à la licence sexuelle – et l’assurance que tout cela est fait « par amour ».

 

 

25 % des clients de Dignitas sont aujourd’hui des Britanniques, alors que le Royaume-Uni continue de pénaliser le suicide assisté qui encourt la peine maximale de l’emprisonnement à vie. Mais dans la pratique, les clients de Dignitas et ceux qui les aident à se rendre en suite ne font pas l’objet de poursuites.

 

 

Anne Dolhein pour Reinformation.tv

09:35 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)