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02/02/2018

PMA-GPA:

 

 

 

 

 

PMA ET GPA, BEAUCOUP PLUS QUE DE SIMPLES TECHNIQUES PROCRÉATRICES

 

 

 

 

 
 
 
Médecin

Médecin urgentiste et généraliste

 
 
 
 
 
 

Fin juin, le Comité consultatif national d’éthique s’est prononcé pour l’ouverture de la procréation médicalement assistée (PMA) aux couples de femmes et aux femmes célibataires.

 

 

 

Plus récemment, Agnès Buzyn, ministre de la Santé, a déclaré que la société française était maintenant prête à cette modification de la législation qui, jusqu’à présent, réserve la PMA aux couples hétérosexuels ayant des difficultés de fécondation.

 

 

Un récent sondage de l’IFOP pour le quotidien La Croix nous informe que six Français sur dix sont d’accord pour élargir la PMA aux femmes seules ou au couples d’homosexuelles ; le même pourcentage serait d’accord pour légaliser, en France, la gestation pour autrui (GPA).

 

 

Cette très rapide modification de l’opinion publique incite à se poser quelques questions sur le choix du panel interrogé et sur la rédaction des questions, qu’il faudrait sans doute faire précéder d’un questionnaire sur la connaissance des problèmes soulevés par la PMA et la GPA. Car ces procédures ne sont pas que de simples techniques médicales, elles préfigurent un monde formaté et codifié pour répondre au désir de l’individu dont l’intérêt passe avant celui de la société.

 

 

 

Certes, on peut envisager une société différente, sorte d’amalgame façonné par les désirs de chacun et sans direction commune, mais alors il faut en informer l’opinion publique, lui proposer un nouveau choix de société et répondre de manière claire aux questions soulevées par l’application de ces techniques.

 

 

 

On peut être pour ou contre le fait que des femmes préfèrent être engrossées par une pipette de sperme plutôt que de manière naturelle, mais le sujet ne se résume pas qu’à cette façon d’envisager la conception, il fait aussi intervenir les problèmes posés par ce type de technique aux enfants qui en sont issus.

 

 

 

 

Arthur et Audrey Kermalvezen, issus d’une PMA, militent depuis longtemps pour connaître l’identité de leur donneur, ce que la législation, jusqu’à présent, ne leur permet pas d’obtenir. C’est pourquoi ils ont voulu attirer l’attention des pouvoirs publics sur ce sujet alors que s’ouvrent les états généraux de la bioéthique. Grâce à des recherches génétiques, ils ont pu remonter jusqu’à leur père biologique car, disent-ils, « nous avons besoin de pouvoir mettre un visage sur le donneur, cela revient à humaniser le mode de conception dont nous sommes issus ». Car c’est bien de l’humain qu’il est question, et pas uniquement de techniques, contrairement à ce que veulent nous faire croire ceux qui ne veulent que satisfaire leur ego.

 

 

 

Pour l’instant, il n’est question que de la PMA mais, au nom de l’égalité entre les sexes, la GPA ne manquera pas d’être réclamée rapidement par la suite, comme le faisait fort justement remarquer, en 2013, Édouard Philippe avant d’être nommé Premier ministre.

 

 

 

La GPA devra, elle aussi, faire l’objet d’un débat car, en plus des questions que l’enfant pourra se poser sur son origine et sur celle de sa mère porteuse, avec laquelle, on le sait maintenant, il aura, pendant neuf mois, échangé beaucoup plus que de l’oxygène et des nutriments, se pose la légitimité morale des conditions d’un contrat qui relève ni plus ni moins que de l’esclavagisme moderne.

 

 

 

Espérons que le débat ne se cantonnera pas à quelques chapelles d’initiés ou à quelques salons de causerie mondaine car, contrairement à ce qu’ont pu dire certains, par ignorance, défi, ou imbécillité, louer ses bras ou son utérus, ce n’est pas du tout la même chose.

 

 

 
 
 
 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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09/01/2018

Tous les chemins mènent au gay mariage:

 

 

 

 

 
 
 
 
 

Le mariage homosexuel fait encore parler de lui en la personne du nouveau ministre de l’Action et des Comptes publics, Gérald Darmanin, un autre évadé des Républicains.

 

 

 

Tandis qu’en 2013, celui qui faisait campagne pour devenir maire de Tourcoing s’opposait audit mariage gay, sa nomination à la tête d’un ministère a excité la colère de certains, dont celle de Caroline De Haas – une féministe à géométrie variable qui propose d’élargir les trottoirs dans tel quartier de Paris où il est préférable de ne pas être une femme, et encore moins un homosexuel, d’ailleurs ! –, qui s’est insurgée en ces termes : « Manifestement, l’homophobie n’est pas une ligne jaune pour Emmanuel Macron. » Tout comme la christianophobie n’en est pas une pour vous et vos affidés, Madame !

 

 

 

Mais tout est bien qui finit bien, puisque Gérald Darmanin a fait acte de contrition en déclarant au Point :

 

 

 

« Oui, je le ferai. Je le ferai d’autant plus que je regrette ce tweet [« Si je suis Maire de #Tourcoing, je ne célébrerai pas personnellement de mariages entre 2 hommes et 2 femmes »] qui était malvenu et dont je peux comprendre qu’il ait pu blesser. Le manque d’expérience pousse parfois à dire des bêtises. Je considère que la droite a fait l’erreur de ne pas instituer un contrat d’union civile quand elle était au pouvoir. C’était pourtant dans notre projet de 2007. Mon mandat de maire m’a fait évoluer sur ce sujet. J’ai appris la complexité de la vie et à manier avec prudence les certitudes.

 

 

 

Sincérité ou goût prononcé pour les dorures du pouvoir, je ne saurais le dire. Pour ma part, je trouvais plus de vérité dans cet autre tweet de Gérald Darmanin : « #mariage homosexuel et #adoption par les homosexuels, faut-il tout accepter sous prétexte que “la société évolue” ? » Une société qu’on ne laisse en fait pas évoluer librement mais que l’on force à aller dans un sens plutôt qu’un autre.

 

 

 

Voici, à ce propos, une anecdote qui révèle à quel point tout est bon pour orienter insidieusement les opinions de la jeunesse. Récemment, j’ai accompagné un adolescent au cinéma pour voir Alien: Covenant – ce dont je me serais volontiers passé, étant donné la médiocrité de ce film, loin du premier et génial opus de 1979 ! Eh bien, même dans cette superproduction américaine, un couple de virils aventuriers homosexuels de l’espace était parvenu à s’incruster. Presque partout – jusque dans la récente adaptation d’un dessin animé des studios Disney, La Belle et la Bête -, l’homosexualité s’invite. Trop, c’est trop ! Ce matraquage confine au harcèlement, à croire que l’adhésion à la doxa LGBT va devenir la condition sine qua non pour produire un film à l’avenir – ou devenir ministre !

 

 

 

Quant à l’accusation d’homophobie infligée à tous les séditieux, elle est aussi simpliste que souvent fausse, tout en ne prenant pas en compte son pendant : l’hétérophobie pavlovienne de certains fidèles de la congrégation LGBT, dont je me garderai bien de donner les noms par crainte d’un coûteux procès en sorcellerie !

 
 
 
 
 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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19/12/2017

Aude : une musulmane vandalise une église à Rennes-le-Château:

 

 

 

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Il s’agit de l’église Sainte-Marie-Madeleine. La presse régionale a amplement évoqué les actes de vandalisme doublé de profanation – l’autel ayant été vandalisé aussi – mais avec des approximations : le bénitier (qui a aussi été endommagé) n’est pas « surmonté » par cette effigie d’un démon, mais au contraire posé sur ses épaules… Le « manteau noir » qui la revêtait était vraisemblablement une abaya. Quant à la « cape blanche » qu’elle a ensuite jeté sur ses épaules, c’est sa couleur – ou plutôt l’absence de couleur, car le blanc n’est pas une couleur… – qui a du sens puisque le blanc est symbole de pureté en islam : les défunts mahométans sont toujours enseveli dans un linceul blanc. Allez savoir si, dans l’esprit de cette femme, cette cape blanche n’a pas été imaginée comme une sorte de linceul pour le cas où elle aurait été abattue sur place. Intéressant aussi de noter que la vandale révèle que son mari est « là-bas », c’est-à-dire en Syrie. Y mène-t-il le djihad ? Ce n’est pas, contrairement, à ce que dit le maire de Rennes-le-Château, un attentat contre la « République française », mais un acte de haine contre les chrétiens, les “croisés”, commis dans l’un de leurs lieux de culte…

Hier matin [17 décembre] vers 9 h, une jeune femme d’une vingtaine d’années, seule, habillée d’un manteau noir, se présente à l’office de tourisme de Rennes-le-Château pour demander les horaires d’ouverture de l’église. Elle avait, disait-elle, l’intention de la visiter. L’employée du site lui indique les horaires. La visiteuse décide alors de boire un café puis de déambuler dans les ruelles. Vers 11 h 15, elle demande à un restaurateur de se laver les mains. Quelques minutes plus tard, elle réapparaît habillée d’une longue cape blanche, d’un voile sur la tête et d’un masque style vénitien sur le visage […] Devant des touristes surpris, la jeune femme se réfugie dans la grotte dite de la Vierge, à proximité de l’église, et téléphone longuement en arabe, puis rentre tranquillement dans l’église, sort une hache et se met à frapper sur le célèbre bénitier surmonté [sic] par la représentation d’Asmodée. Elle décapite le fameux diable rouge, lui coupe le bras et pose un coran à ses côtés, puis lacère le bas-relief de l’autel de Marie-Madeleine, devant des visiteurs ébahis. Ces derniers donnent l’alerte, le maire, Alexandre Painco, intervient. Il constate les faits et appelle la gendarmerie. Face à la jeune femme étonnamment calme, il lui demande pourquoi elle a commis ces actes. Elle répond posément : «  pendant qu’en Syrie l’Occident bombarde et tue des enfants. Vous êtes tous des mécréants ! Mon mari est là-bas ». Rapidement sur place, les gendarmes interpellent la jeune femme sans aucune résistance. Un périmètre de sécurité est établi dans le village, et une équipe de déminage arrivée dans l’après-midi se met à l’œuvre. Le maire n’en revient toujours pas : « Cette femme était déterminée et son geste prémédité. Elle a choisi ce jour, ce lieu précis, pour qu’il ait un impact médiatique important et ainsi porter atteinte à la République française. »

 

Source : La Dépêche, 18 décembre; L’Indépendant, 18 décembre(repris par Midi Libre, 18 décembre) [Merci M. K., A. V., F. P., C. D. et N. D. pour ce signalement]

 

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28/11/2017

Questions sur ces embryons conçus in vitro spécialement pour la recherche:

 

 

 

 

 

 

 
 
 
 
 
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Les tentations scientifiques face aux embryons humains sont fortes, et les perspectives s’ouvrent à vive allure dans le domaine de la génétique. Récemment, une équipe de scientifiques chinois a procédé aux premières modifications génétiques sur des zygotes humains viables, embryons conçus in vitro spécialement à destination de la recherche. Ces modifications ouvrent de grandes perspectives, aussi bien thérapeutiques que transgéniques, et c’est bien toute la difficulté de ces avancées.

 

 

 

À juste titre, une journaliste américaine de Vice, Ankita Rao, publie dans la foulée un article dans lequel elle soulève l’enjeu fort de prendre part à ce débat d’experts. Les conséquences génétiques et éthiques sont indubitablement énormes. Suite à la publication, ce mois-ci, de l’étude chinoise, le fait de pouvoir procéder à la modification de l’ADN humain a tout d’un scénario de science-fiction. Pourtant, les perspectives sont désormais réelles de pouvoir, un jour, compter parmi nous des humains génétiquement modifiés. Si les perspectives thérapeutiques peuvent apparaître enthousiasmantes (mais sont-elles sans risques ?), on mesure mal aujourd’hui les conséquences irréversibles d’un tel bouleversement, conscients pour autant qu’il peut y en avoir, comme on le constate d’ores et déjà dans le domaine de la culture végétale.

 

 

La question, loin d’être anodine, pourrait venir percuter notre quotidien.

 

 

Pour éviter la gueule de bois, comment rechigner à s’intéresser à la question et à tenter de canaliser décemment cette évolution ? Si la manipulation de la génétique peut produire du mieux, c’est bien évidemment qu’elle peut produire du pire, ce champ d’expérimentation étant bien plus vaste. Alors qu’aujourd’hui, manipuler des embryons humains dédiés à la recherche puis s’en débarrasser ne choque plus personne, on voit mal comment le scientifique seul pourrait s’imposer des garde-fous aux dérives les plus élémentaires. Si le politique s’essaye à encadrer cela, il ne saurait être efficace que si chacun de nous mesure pleinement ce dont il s’agit, y met son grain de sel et exige la responsabilité énorme que cela implique. La modification génétique n’impactera non pas quelques êtres modifiés (et, de plein fouet, leur existence) mais potentiellement l’ADN de toute une descendance.

 

 

 

Pleinement envisagées, les perspectives donnent le tournis. Plus encore face à une technologie peu coûteuse et facilement réalisable, ce qui semble être le cas. La recherche scientifique endosse déjà sa part préoccupante, mais de telles manipulations pourraient aussi être utilisées pour nuire à des individus, voire à des catégories de populations. Notre nature humaine, perpétuellement en quête de « l’homme nouveau », hésiterait-elle un jour à purifier génétiquement celles et ceux qui ne correspondraient pas tout à fait à ses critères ? C’est, en tout cas, aujourd’hui envisageable très sérieusement, avec le poids de toute l’inquiétude qui peut en découler.

 

 

 

Sans surprise, certains accuseront de porter atteinte à la recherche scientifique. Mais puisqu’un homme, nouveau ou non, ça s’empêche, il serait bon d’orienter ce qui anime la science, comme le reste, au service du bien commun. Aujourd’hui, rien ne permet d’établir avec certitude que ce sera bel et bien le cas.

 

 

   

 
 

 

 

 

 

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14/11/2017

LE PROGRÈS DE LA SOLITUDE JUSQUE DANS… LA MORT:

 

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

De nos jours, chez nous, on compte plusieurs millions de célibataires, plus encore de personnes communiquant via les réseaux sociaux mais qui en sont paradoxalement devenues incapables dans la vraie vie, comme si les Français avaient perdu ce fameux fil d’Ariane dont on nous rebat pourtant les oreilles : le lien social. Et, au passage, le communautarisme, qui clive à outrance, n’y a pas peu contribué.

 
 

Cet isolement ne se contente pas des vivants, il s’attaque aussi aux morts. Des femmes et des hommes meurent ainsi seuls. Certains, par leur comportement sur Terre, l’ont sans doute mérité. Toutefois, ce n’est pas le cas de la grande majorité, qui paye le prix – fort ! – d’une société individualiste, idolâtrant la réussite et la consommation.

 

 

Dieu merci, il existe encore des âmes bien nées pour accompagner ces défunts dans leur dernière demeure, tel Claude, bénévole du collectif Les Morts de la rue, devant la tombe d’une anonyme sans importance car en dehors du jeu cynique et cruel de la mondialisation, dont notre Président est devenu le principal héraut : « “Nous sommes là afin qu’il soit clair, aux yeux de tous, que votre vie a eu un vrai sens et que vous êtes digne d’être saluée pour tout ce qu’elle a apporté aux autres”, dit Claude devant la tombe de Yolaine, 84 ans. Il lit avec une voix grave le texte qu’il a préparé et un poème. La cérémonie est brève mais solennelle. Une heure auparavant, il voyait la dépouille mortelle de Yolaine dans la chambre mortuaire où elle se trouvait avant sa mise en bière. Il ne l’a jamais connue, et pourtant, il a souhaité lui rendre hommage » (Le Figaro). Un geste de charité authentiquement chrétienne s’il en est.

 

 

 

Selon Nicolas Clément, président du collectif Les Morts de la rue, « on est autour de 500 décès par an ». Il ajoute : « Selon une étude de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (INSERM), il pourrait y avoir entre 2.700 et 2.800 décès de sans domicile fixe par an » (Le Figaro).

 

 

Combien sont-ils, ces exilés dans un monde qui ne les voit pas ? Un monde qui préfère investir dans une assurance-conscience multiculturelle et aller secourir des déshérités hors de nos frontières et nos us et coutumes, bien plus médiatiquement rentables que ces vieux et ces sans-abri qui dérangent parfois notre tranquillité lorsqu’ils meurent en trop grand nombre : voir la canicule de 2003 qui fit environ 20.000 morts rien qu’en France. Des morts dont beaucoup, j’en suis convaincu, auraient pu être évités si notre société de l’égoïsme et de l’égocentrisme avait pris le temps de les regarder quand ils étaient vivants.

 

 

 

Parmi ces fantômes du monde moderne, il y a les très vulnérables SDF, à l’espérance de vie réduite, qui meurent en nombre et auxquels on n’a pas été en mesure de trouver des logements, miraculeusement apparus pour les migrants. Charité désordonnée, en somme.

 

 

 

 

Selon Nicolas Clément, président du collectif Les Morts de la rue, « on est autour de 500 décès par an ». Il ajoute : « Selon une étude de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (INSERM), il pourrait y avoir entre 2.700 et 2.800 décès de sans domicile fixe par an » (Le Figaro).

 

 

 

Combien sont-ils, ces exilés dans un monde qui ne les voit pas ? Un monde qui préfère investir dans une assurance-conscience multiculturelle et aller secourir des déshérités hors de nos frontières et nos us et coutumes, bien plus médiatiquement rentables que ces vieux et ces sans-abri qui dérangent parfois notre tranquillité lorsqu’ils meurent en trop grand nombre : voir la canicule de 2003 qui fit environ 20.000 morts rien qu’en France. Des morts dont beaucoup, j’en suis convaincu, auraient pu être évités si notre société de l’égoïsme et de l’égocentrisme avait pris le temps de les regarder quand ils étaient vivants.

 

 

 

 

 De nos jours, chez nous, on compte plusieurs millions de célibataires, plus encore de personnes communiquant via les réseaux sociaux mais qui en sont paradoxalement devenues incapables dans la vraie vie, comme si les Français avaient perdu ce fameux fil d’Ariane dont on nous rebat pourtant les oreilles : le lien social. Et, au passage, le communautarisme, qui clive à outrance, n’y a pas peu contribué.

 

 

 

Il ne nous reste plus qu’à invoquer la deuxième vertu théologale – l’espérance – et croire que la vie de ces oubliés est à présent meilleure.

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

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