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21/08/2018

ÉGLISES OUTRAGÉES, ÉGLISES BRISÉES, ÉGLISES MARTYRISÉES !

 

 

 

 

NOS ÉGLISES SOUS L’OCCUPATION PROGRESSISTE

 

 

 

 

 
 
 
 
 
 
 
 
Professeur de Lettres
 
 
 
 

Il est un fait que nos églises se vident. Dans bien des paroisses, au fil des ans, les têtes des fidèles deviennent plus chenues, les dos plus voûtés, les démarches moins assurées, les places vacantes plus nombreuses. Les prêtres eux aussi s’essoufflent, et les vocations. Alors, chaque année, des églises sont désacralisées, voire désaffectées, quand on ne les rase pas purement et simplement.

 

 

 

À voir la destinée de certains de ces anciens lieux de culte, on se prend à penser que, tout compte fait, leur destruction eût peut-être été préférable. Témoins, ces trois exemples tout récents :

 

 

 

À Agen, la chapelle du Martrou devrait abriter, à partir du 17 mai 2018, une exposition intitulée « La Transidentité », dans le cadre du « Festival des fiertés » organisé par l’association LGBT locale.

 

 

 

Il y a quelques jours, 20 Minutes admirait la transformation « insolite », par l’« artiste » new-yorkais Asad Raza, du sol de San Paolo Converso, à Milan, « en un court de tennis où tout le monde peut jouer ».

 

 

 

Enfin, Aleteia consacre un article à « une œuvre discutable dans une église qui doit prochainement être désacralisée », l’église de Kuttekoven, à Looz, en Belgique. Intitulée Holy Cow, cette sculpture grandeur nature, placée devant l’autel, représente une vache crucifiée. À ses pieds, un immense réservoir contenant 5.000 litres de lait.

 

 

 

L’église milanaise et la chapelle du Martrou ont été désacralisées, mais apparemment pas désaffectées : elles sont donc toujours sous la responsabilité d’une institution religieuse. C’est d’ailleurs à la paroisse Sainte-Foy, souligne Le Salon beige, qu’il faut s’adresser pour obtenir de plus amples renseignements sur l’événement. Quant à l’église belge, on n’a même pas attendu que le cadavre soit froid pour s’emparer de l’héritage et faire la nique au défunt, puisqu’elle n’est même pas encore désacralisée.

 

 

 


Comment l’Église peut-elle donc se compromettre à ce point ?

 

 

 

 

Le site Internet de la paroisse agenaise présente la chapelle du Martrou comme un « lieu culturel [qui] permet [de] contribuer à la vie culturelle locale en y apportant un caractère particulier dû à son histoire et sa sacralité ». Une sacralité exceptionnelle, en effet, la chapelle du Martrou devant son nom à sa crypte où, dès le Vesiècle, des chrétiens auraient enseveli les corps retrouvés de martyrs agenais du siècle précédent, notamment sainte Foy et saint Caprais. La paroisse devait-elle autoriser en un tel lieu cette exposition LGBT, organisée par une association dont le nom, Ecce Homo, n’est pas loin d’être blasphématoire ?

 

 

 

Que penser de la molle réaction du diocèse belge de Hasselt, qui se contente de se déclarer « surpris par l’exposition » de cette œuvre en expliquant : « Nous pouvons certainement apprécier l’humour. Mais une vache sur une croix cela va un peu trop loin » ? A-t-il cru à la justification inepte de l’« artiste » qui prétend dénoncer le « gaspillage dans notre société » en gâchant 5.000 litres de lait ?

 

 

 

Et, si 20 Minutes voit d’abord dans ce court improvisé une « œuvre d’art interactive […] qui encourage les visiteurs à jouer au tennis », il dévoile quand même « le but de Raza » : « remplir l’espace d’une nouvelle pratique sociale, non de recevoir des messages d’en haut, mais de s’engager dans un échange et un jeu d’égal à égal ». Autrement dit, évacuer de cette église toute transcendance.

 

 

 

L’Église, par ses renoncements, voire ses trahisons, continue, hélas, trop souvent à faire le jeu de ce Grand Remplacement multiforme qui nous tue.

 

 

 

 
 
 
 
 

09:34 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

03/08/2018

LOBBY LGBT:

 

 

 

 

MONSIEUR LE PROFESSEUR VEUT QU’ON L’APPELLE MADAME

 

 

 

 

 
 
 
 

 

 

 

 

Encore une guerre picrocholine à cause du tweet d’un quidam devenu viral.

 

 

 

Acte I : Monsieur le professeur de français d’un collège de Savigny-le-Temple entame un processus de changement de genre (pas de sexe, notez bien). Il souhaite s’habiller en femme et être appelé Madame. La principale de ce collège écrit aux parents de ses élèves et leur demande « d’accompagner votre enfant ». Elle promet de laisser sa porte ouverte ainsi que celle de l’infirmière et de l’assistance sociale au cas où il serait nécessaire de dialoguer. Enfin, elle conclut : « Je sais pouvoir compter sur les valeurs de tolérance qui nous rassemble » (sic). Au Parisien, malgré l’incohérence d’un double langage, l’établissement confie s’attendre à des débordements et affiche une volonté de les traiter fermement.

 

 

 

Acte II : un certain Mohamed S. publie, sur Twitter, une copie de cette lettre avec une simple question : « Vous êtes parent d’un élève et vous recevez cette lettre vous réagirez comment ? »Certes, il n’a pas pris le soin de rendre illisibles tous les noms propres de cette lettre et, donc, l’identité du collège, du professeur et du principal est divulguée à la face du monde.

 

 

 

Acte III : Joël Deumier, président de l’association SOS Homophobie, reprend en le citant le tweet de Mohamed S. et le commente ainsi : « Monsieur votre tweet 1. Jette en pâture une personne trans et l’expose aux insultes 2. Viole la vie privée de cette personne en publiant son nom 3. Est irrespectueux et #Transphobe. Nous demandons immédiatement sa suppression à @TwitterFrance. #LGBT »

 

 

 

Quelques remarques : Joël Deumier a raison de reprocher la publication d’un nom sans l’accord de l’intéressé. Mais en citant le tweet incriminé, il jette lui aussi « en pâture » et « expose aux insultes » ce professeur. Il manque aussi de cohérence : le 18 mai, il félicitait Mounir Mahjoubi pour son « coming out » homosexuel dans un tweet. Ce qui serait louable pour un ministre homosexuel deviendrait répréhensible pour un professeur transsexuel ? C’est de la discrimination ! Enfin, en imputant de la transphobie à Mohamed S., Joël Deumier se présente comme juge de l’intentionnalité qui serait incluse dans la question quand il n’est qu’un procureur à la solde des intérêts d’un lobby.

 

 

 

Acte IV : le profil de Mohamed S. sur Twitter n’est plus accessible. Soit qu’il ne veuille pas faire face à la flopée de réactions (oui, son tweet est devenu viral), soit que Twitter ait décidé, au moins temporairement, de fermer son compte.

 

 

 

Acte V : alertée par un député de Charente qui reprend peu ou prou la rhétorique de Joël Deumier, la secrétaire d’État Marlène Schiappa missionne la DILCRAH (Délégation interministérielle à la lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la haine anti-LGBT) pour action et le fait savoir par un tweet.

 

 

 

Trois petits questionnements personnels.

 

 

La décision de changer de genre et de l’imposer à son entourage relèverait dorénavant du seul libre arbitre, mais est-ce bien raisonnable de fouler au pied ainsi l’aspect discrètement structurant de l’état civil sur la société ?

 

 

 

Il y a une grande impéritie de la part du professeur, de sa principale et peut-être de l’Éducation nationale, à effectuer un tel changement sans changer d’établissement entre deux années scolaires. Il y a aussi une grande naïveté à imaginer, à l’heure des réseaux sociaux, qu’un message aussi largement diffusé (tous les parents d’élèves d’un collège) puisse voir sa diffusion limitée par la seule bonne volonté de tous les destinataires. La concomitance de ces deux erreurs interpelle : s’agit-il d’une provocation délibérée ?

 

 

 

Le fonds de commerce victimaire du lobby LGBT tourne à plein régime et fait feu de tout bois, avec la complaisance des politiques et des médias. René Girard avait raison de dire que le bouc émissaire est innocent, mais sommes-nous armés d’assez de discernement pour distinguer les vraies victimes de ceux qui adoptent une posture ?

 

 

 

 
 
 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

08:55 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

17/07/2018

Le monde du jeu en ébullition :

 

 

 Un jeu 100 % LGBT…

 

 

 

 

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Ce jeu vous fait plonger dans le quotidien d’un homme qui vient d’arriver dans un quartier avec sa fille de 18 ans, et qui cherche à « conquérir des hommes de son voisinage ».

 

 

 

 

 

 
 
 
 
 
 
 
 
 

D’après le glorieux journal Le Monde, la communauté des joueurs (de jeux vidéo) sur Internet serait en ébullition avec l’apparition d’un nouveau jeu : « Dream Daddy ».

 

 

 

Ce jeu vous fait plonger dans le quotidien d’un homme qui vient d’arriver dans un quartier avec sa fille de 18 ans, et qui cherche à « conquérir des hommes de son voisinage ». Bien loin de se faire casser la gueule par un père de famille de six enfants catholique traditionaliste nauséabond, notre petit papa en manque d’affection virile se retrouve dans un quartier où des partenaires pullulent. D’ailleurs, la litanie des potentiels est rigolote.

 

 

 

 

On commence par Joseph (pas le papa de Jésus, bande d’odieux fascistes), qui est un « BCBG blond bodybuildé » et qui reste un cliché comme on n’en fait plus aujourd’hui. Vient ensuite mon préféré, Brian (prononcer « braillanne »), qui est passionné de corgis avec « des airs de bûcheron rondouillet » : imaginez la reine d’Angleterre avec la chemise à carreau du bûcheron canadien, la carrure d’un pilier du XV de France et vous aurez une assez bonne idée du bonhomme. Passons, maintenant, à Mat, qui est un vendeur de café hipster. Quand je vous disais cliché… Pour des gens qui sont censés combattre les préjugés ! Enfin, je vous présente Robert (prononcer « robert »), qui est un « bad boy » ténébreux qui « va droit au but » (Sébastien Patoche avec sa chanson « On va la foutre au fond » est à peine moins vulgaire).

 

 

 

 

Dans ce petit monde merveilleux, rempli de gens aussi attachants qu’un bûcheron éleveur de corgis, la principale activité est de parler avec ses voisins autour d’un barbecue, autour d’un verre ou même dans le cadre du train-train quotidien. Toujours d’après le glorieux journal cité plus haut, le jeu propose des dialogues « drôles et tendres » entre le père et ses amants. Mais aussi avec ses filles, avec qui la relation peut être complexe. Évidemment, à 18 ans, Nabilla découvre la vie, et l’inconstance de ses passions. Justin vient de la quitter, mais elle pense être amoureuse de Kevin, mais il y a aussi Stéphane, qui lui fait de l’œil, et il est si beau en slip de bain. Sans oublier Enzo, qui sait si bien jouer « Wonderwall » à la guitare, et le regard envoûtant de Cristina, sa correspondante espagnole pour qui elle sent une attirance étrange… La vie de lycéenne, quoi !

 

 

 

Bon, je dois vous avouer, cher lecteur, que j’ai légèrement improvisé sur la vie de sa sotte de fille, mais vu la qualité du scénario du jeu, je me dis que ma version de l’histoire pour elle n’est pas si inconcevable que cela.

 

 

 

 

« Ce jeu s’adresse à un public qui trouve mignon de voir deux papas barbus qui se draguent ! » Autrement dit, pas vous… ni moi d’ailleurs ! De toute manière, il va falloir s’habituer : je viens de m’apercevoir que Lancelot du Lac était devenu noir du jour au lendemain dans une série et que mon cher ami Porthos du Vallon avait, lui aussi, pour des raisons de quotas idiots, changé de couleur avec une histoire abracadabrantesque de fils illégitime entre un seigneur et une esclave noire…

 

 

 

 

Bonne Mère !

 
 
 
 
 
 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

09:09 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

26/06/2018

VIEILLESSE, MALADIE, SOLITUDE :

 

 

 

 

 

 

 UN TRIO INFERNAL

 

 

 
 
 
 
 
 
Médecin

Médecin urgentiste et généraliste
 
 
 
 
 
 
 

En octobre 2015 près de Grenoble, un homme âgé a tué sa femme qui souffrait de la maladie d’Alzheimer. Il a été jugé par la cour d’assises de l’Isère la semaine dernière et condamné à cinq ans de prison avec sursis. Quelques années plus tôt dans le Tarn, un homme de 85 ans avait tué sa femme de deux balles dans la tête car il ne supportait plus leur quotidien. Son épouse souffrait d’une maladie d’Alzheimer et d’un syndrome de Parkinson.

 

 

 

 

On pourrait citer d’autres cas identiques, tous drames de la solitude, de la vieillesse, et de la maladie.

 

 

 

 

Les journalistes nous font remarquer que ces gens ne bénéficiaient pas d’aides à domicile qui auraient peut-être pu éviter ces drames. Bien sûr, vu de l’extérieur, on peut raisonner ainsi, penser que les services sociaux ont été déficients et que s’ils avaient été plus efficaces, on aurait pu éviter de telles issues. Mais pour une personne âgée, accepter une aide à domicile, c’est aussi faire entrer dans son intimité un élément extérieur, positif sur le plan de l’organisation domestique, mais qui l’oblige à constater qu’elle ne pourra plus vivre comme auparavant.

 

 

 

 

Changement facilement envisageable si l’avenir peut être porteur d’espoir, mais lorsqu’il se résume à l’attente de la mort, parfois considérée comme une délivrance, il est bien difficile d’accepter de faire ce constat. Alors, on vit dans le déni d’une situation qu’inconsciemment on refuse, avec le souvenir des jours heureux dont les lambeaux permettent de rendre tolérable un quotidien devenu trop difficile à assumer.

 

 

 

Et puis sans doute un jour la réalité apparaît sans fard, sans le maquillage des habitudes et des souvenirs, elle devient invivable et c’est le drame.

 

 

 

 

Comment éviter d’en arriver à de telles extrémités pour échapper à un quotidien devenu invivable ? Il n’y a, hélas, pas de recette miracle.

 

 

 

Les services sociaux sont généralement efficaces et peuvent permettre une prise en charge à domicile rendant le quotidien vivable pour l’entourage, à condition d’accepter cette aide !

 

 

 

 

Et lorsque l’état de la maladie sera plus avancé, que le malade ne reconnaîtra plus ses proches, qu’il sera sujet aux fugues et qu’il sera incapable de vivre sans surveillance, le maintien à domicile deviendra impossible. Il faudra alors envisager un placement dans un centre spécialisé, ce qui n’est malheureusement pas à la portée des plus modestes, les obligeant parfois à vendre le peu de biens qu’ils avaient pu acquérir au cours d’une vie de travail pour faire face à cette dépense ; dépossession qui ne fera qu’aggraver le sentiment de solitude de celui qui par chance (?) a échappé à la maladie.

 

 

 

La double peine, en quelque sorte.

 
 

 

 

 

 

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19/06/2018

UN JOURNALISTE ANTI-ISLAMISATION :

 

 

 CONDAMNÉ POUR AVOIR PUBLIÉ DES IMAGES HISTORIQUES

 

 

 

 

 
 
 
 
 
 
Écrivain et journaliste belge francophone
 
Son blog
 
 
 
 

Michael Stürzenberger est un journaliste patriote qui réside à Munich, dans le sud de l’Allemagne, et qui conduit depuis plusieurs années un combat contre l’islamisation de son pays et de l’Europe. Il a organisé, durant de nombreux mois, une récolte de signatures afin d’obtenir la mise sur pied d’un référendum à propos de la construction d’un centre islamique à Munich. Son combat lui a valu de nombreuses persécutions de la part des autorités sociales-démocrates qui dirigent la ville et il a dû subir des attaques de la justice locale.

 

 

 

 

Il a également été le dirigeant du parti politique anti-islamisation Die Freiheit (« La Liberté ») et est un des fondateurs, en juillet 2012, de La Nouvelle Rose blanche, s’inspirant de l’organisation de résistance estudiantine au national-socialisme La Rose blanche. Cette dernière appellation avait été donnée après-guerre à un groupe d’étudiants patriotes ayant distribué, durant la Seconde Guerre mondiale, des pamphlets pacifiques à Munich et dans le sud de l’Allemagne. Parmi les membres de cette organisation figuraient Sophie Scholl, Hans Scholl et Christoph Probst, exécutés à la prison de Munich-Stadelheim le 22 février 1943. Susanne Zeller (décédée en décembre 2012), née Hirzel, ancienne membre de La Rose blanche et amie de Sophie Scholl, comptait parmi les fondateurs de La Nouvelle Rose blanche.

 

 

 

 

Le jeudi 17 mai 2018, Michael Stürzenberger était convoqué devant la justice à Munich pour avoir publié, sur Facebook, une photo montrant les connections ayant existé autrefois entre une partie de l’islam et le national-socialisme. La méthode utilisée afin de le persécuter judiciairement était particulièrement perverse : il lui était reproché le fait que, sur ce document historique, un dignitaire national-socialiste portait un brassard à croix gammée et il était, par conséquent, accusé de diffuser un signe interdit, cela alors que la loi prévoit une exception pour des photos historiques et que la presse du système publie ce genre de document.

 

 

 

 

Le procès s’est déroulé sous haute surveillance. Les personnes désirant y assister ont vu leur carte d’identité être photocopiée et elles ont dû laisser leurs clés, portefeuille et autres objets dans un vestiaire tenu par la police.

 

 

 

 

Le policier qui avait introduit la plainte contre Michael Stürzenberger était entendu comme témoin. Il s’est exprimé de manière inaudible pour les personnes assistant au procès. Certaines de celles-ci sont intervenues et la juge les a rabrouées. Stürzenberger s’est vu refuser le droit d’utiliser comme moyen de défense la citation de sourates violentes du Coran et de l’ouvrage Le Fascisme islamique d’Hamed Abdel-Samad, alors que ce livre avait été cité dans le texte sur Facebook accompagnant la photo.

 

 

 

 

Curieusement, la juge a lu longuement et en détail une condamnation reçue par Michael Stürzenberger, pour délit d’opinion, à l’étranger, à Graz en Autriche.

 

 

 

 

Le verdict est ensuite tombé : une condamnation à six mois de prison avec sursis et à cent heures de travail social, la juge ajoutant qu’en publiant cette photo, Michael Stürzenberger a diffamé les musulmans.

 

 

 

 

Le député, au Parlement polonais, du parti gouvernemental Droit et Justice (Prawo i Sprawiedliwość) Arkadiusz Mularczyk désire, désormais, amener cette affaire devant le Conseil de l’Europe car elle concerne la liberté d’expression sur le continent. La télévision publique polonaise a évoqué cette affaire alors que les médias du système, en Allemagne, ne l’ont quasi pas abordée.

 

 

 

 

Ayant assisté au procès de Michael Stürzenberger, que je connais depuis plusieurs années, je dois avouer que la manière dont celui-ci s’est déroulé montre que l’État de droit n’existe plus en Allemagne.

 

 

 
 
 
 
 

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