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19/12/2017

Aude : une musulmane vandalise une église à Rennes-le-Château:

 

 

 

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Il s’agit de l’église Sainte-Marie-Madeleine. La presse régionale a amplement évoqué les actes de vandalisme doublé de profanation – l’autel ayant été vandalisé aussi – mais avec des approximations : le bénitier (qui a aussi été endommagé) n’est pas « surmonté » par cette effigie d’un démon, mais au contraire posé sur ses épaules… Le « manteau noir » qui la revêtait était vraisemblablement une abaya. Quant à la « cape blanche » qu’elle a ensuite jeté sur ses épaules, c’est sa couleur – ou plutôt l’absence de couleur, car le blanc n’est pas une couleur… – qui a du sens puisque le blanc est symbole de pureté en islam : les défunts mahométans sont toujours enseveli dans un linceul blanc. Allez savoir si, dans l’esprit de cette femme, cette cape blanche n’a pas été imaginée comme une sorte de linceul pour le cas où elle aurait été abattue sur place. Intéressant aussi de noter que la vandale révèle que son mari est « là-bas », c’est-à-dire en Syrie. Y mène-t-il le djihad ? Ce n’est pas, contrairement, à ce que dit le maire de Rennes-le-Château, un attentat contre la « République française », mais un acte de haine contre les chrétiens, les “croisés”, commis dans l’un de leurs lieux de culte…

Hier matin [17 décembre] vers 9 h, une jeune femme d’une vingtaine d’années, seule, habillée d’un manteau noir, se présente à l’office de tourisme de Rennes-le-Château pour demander les horaires d’ouverture de l’église. Elle avait, disait-elle, l’intention de la visiter. L’employée du site lui indique les horaires. La visiteuse décide alors de boire un café puis de déambuler dans les ruelles. Vers 11 h 15, elle demande à un restaurateur de se laver les mains. Quelques minutes plus tard, elle réapparaît habillée d’une longue cape blanche, d’un voile sur la tête et d’un masque style vénitien sur le visage […] Devant des touristes surpris, la jeune femme se réfugie dans la grotte dite de la Vierge, à proximité de l’église, et téléphone longuement en arabe, puis rentre tranquillement dans l’église, sort une hache et se met à frapper sur le célèbre bénitier surmonté [sic] par la représentation d’Asmodée. Elle décapite le fameux diable rouge, lui coupe le bras et pose un coran à ses côtés, puis lacère le bas-relief de l’autel de Marie-Madeleine, devant des visiteurs ébahis. Ces derniers donnent l’alerte, le maire, Alexandre Painco, intervient. Il constate les faits et appelle la gendarmerie. Face à la jeune femme étonnamment calme, il lui demande pourquoi elle a commis ces actes. Elle répond posément : «  pendant qu’en Syrie l’Occident bombarde et tue des enfants. Vous êtes tous des mécréants ! Mon mari est là-bas ». Rapidement sur place, les gendarmes interpellent la jeune femme sans aucune résistance. Un périmètre de sécurité est établi dans le village, et une équipe de déminage arrivée dans l’après-midi se met à l’œuvre. Le maire n’en revient toujours pas : « Cette femme était déterminée et son geste prémédité. Elle a choisi ce jour, ce lieu précis, pour qu’il ait un impact médiatique important et ainsi porter atteinte à la République française. »

 

Source : La Dépêche, 18 décembre; L’Indépendant, 18 décembre(repris par Midi Libre, 18 décembre) [Merci M. K., A. V., F. P., C. D. et N. D. pour ce signalement]

 

09:30 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

28/11/2017

Questions sur ces embryons conçus in vitro spécialement pour la recherche:

 

 

 

 

 

 

 
 
 
 
 
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Les tentations scientifiques face aux embryons humains sont fortes, et les perspectives s’ouvrent à vive allure dans le domaine de la génétique. Récemment, une équipe de scientifiques chinois a procédé aux premières modifications génétiques sur des zygotes humains viables, embryons conçus in vitro spécialement à destination de la recherche. Ces modifications ouvrent de grandes perspectives, aussi bien thérapeutiques que transgéniques, et c’est bien toute la difficulté de ces avancées.

 

 

 

À juste titre, une journaliste américaine de Vice, Ankita Rao, publie dans la foulée un article dans lequel elle soulève l’enjeu fort de prendre part à ce débat d’experts. Les conséquences génétiques et éthiques sont indubitablement énormes. Suite à la publication, ce mois-ci, de l’étude chinoise, le fait de pouvoir procéder à la modification de l’ADN humain a tout d’un scénario de science-fiction. Pourtant, les perspectives sont désormais réelles de pouvoir, un jour, compter parmi nous des humains génétiquement modifiés. Si les perspectives thérapeutiques peuvent apparaître enthousiasmantes (mais sont-elles sans risques ?), on mesure mal aujourd’hui les conséquences irréversibles d’un tel bouleversement, conscients pour autant qu’il peut y en avoir, comme on le constate d’ores et déjà dans le domaine de la culture végétale.

 

 

La question, loin d’être anodine, pourrait venir percuter notre quotidien.

 

 

Pour éviter la gueule de bois, comment rechigner à s’intéresser à la question et à tenter de canaliser décemment cette évolution ? Si la manipulation de la génétique peut produire du mieux, c’est bien évidemment qu’elle peut produire du pire, ce champ d’expérimentation étant bien plus vaste. Alors qu’aujourd’hui, manipuler des embryons humains dédiés à la recherche puis s’en débarrasser ne choque plus personne, on voit mal comment le scientifique seul pourrait s’imposer des garde-fous aux dérives les plus élémentaires. Si le politique s’essaye à encadrer cela, il ne saurait être efficace que si chacun de nous mesure pleinement ce dont il s’agit, y met son grain de sel et exige la responsabilité énorme que cela implique. La modification génétique n’impactera non pas quelques êtres modifiés (et, de plein fouet, leur existence) mais potentiellement l’ADN de toute une descendance.

 

 

 

Pleinement envisagées, les perspectives donnent le tournis. Plus encore face à une technologie peu coûteuse et facilement réalisable, ce qui semble être le cas. La recherche scientifique endosse déjà sa part préoccupante, mais de telles manipulations pourraient aussi être utilisées pour nuire à des individus, voire à des catégories de populations. Notre nature humaine, perpétuellement en quête de « l’homme nouveau », hésiterait-elle un jour à purifier génétiquement celles et ceux qui ne correspondraient pas tout à fait à ses critères ? C’est, en tout cas, aujourd’hui envisageable très sérieusement, avec le poids de toute l’inquiétude qui peut en découler.

 

 

 

Sans surprise, certains accuseront de porter atteinte à la recherche scientifique. Mais puisqu’un homme, nouveau ou non, ça s’empêche, il serait bon d’orienter ce qui anime la science, comme le reste, au service du bien commun. Aujourd’hui, rien ne permet d’établir avec certitude que ce sera bel et bien le cas.

 

 

   

 
 

 

 

 

 

11:04 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

14/11/2017

LE PROGRÈS DE LA SOLITUDE JUSQUE DANS… LA MORT:

 

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

De nos jours, chez nous, on compte plusieurs millions de célibataires, plus encore de personnes communiquant via les réseaux sociaux mais qui en sont paradoxalement devenues incapables dans la vraie vie, comme si les Français avaient perdu ce fameux fil d’Ariane dont on nous rebat pourtant les oreilles : le lien social. Et, au passage, le communautarisme, qui clive à outrance, n’y a pas peu contribué.

 
 

Cet isolement ne se contente pas des vivants, il s’attaque aussi aux morts. Des femmes et des hommes meurent ainsi seuls. Certains, par leur comportement sur Terre, l’ont sans doute mérité. Toutefois, ce n’est pas le cas de la grande majorité, qui paye le prix – fort ! – d’une société individualiste, idolâtrant la réussite et la consommation.

 

 

Dieu merci, il existe encore des âmes bien nées pour accompagner ces défunts dans leur dernière demeure, tel Claude, bénévole du collectif Les Morts de la rue, devant la tombe d’une anonyme sans importance car en dehors du jeu cynique et cruel de la mondialisation, dont notre Président est devenu le principal héraut : « “Nous sommes là afin qu’il soit clair, aux yeux de tous, que votre vie a eu un vrai sens et que vous êtes digne d’être saluée pour tout ce qu’elle a apporté aux autres”, dit Claude devant la tombe de Yolaine, 84 ans. Il lit avec une voix grave le texte qu’il a préparé et un poème. La cérémonie est brève mais solennelle. Une heure auparavant, il voyait la dépouille mortelle de Yolaine dans la chambre mortuaire où elle se trouvait avant sa mise en bière. Il ne l’a jamais connue, et pourtant, il a souhaité lui rendre hommage » (Le Figaro). Un geste de charité authentiquement chrétienne s’il en est.

 

 

 

Selon Nicolas Clément, président du collectif Les Morts de la rue, « on est autour de 500 décès par an ». Il ajoute : « Selon une étude de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (INSERM), il pourrait y avoir entre 2.700 et 2.800 décès de sans domicile fixe par an » (Le Figaro).

 

 

Combien sont-ils, ces exilés dans un monde qui ne les voit pas ? Un monde qui préfère investir dans une assurance-conscience multiculturelle et aller secourir des déshérités hors de nos frontières et nos us et coutumes, bien plus médiatiquement rentables que ces vieux et ces sans-abri qui dérangent parfois notre tranquillité lorsqu’ils meurent en trop grand nombre : voir la canicule de 2003 qui fit environ 20.000 morts rien qu’en France. Des morts dont beaucoup, j’en suis convaincu, auraient pu être évités si notre société de l’égoïsme et de l’égocentrisme avait pris le temps de les regarder quand ils étaient vivants.

 

 

 

Parmi ces fantômes du monde moderne, il y a les très vulnérables SDF, à l’espérance de vie réduite, qui meurent en nombre et auxquels on n’a pas été en mesure de trouver des logements, miraculeusement apparus pour les migrants. Charité désordonnée, en somme.

 

 

 

 

Selon Nicolas Clément, président du collectif Les Morts de la rue, « on est autour de 500 décès par an ». Il ajoute : « Selon une étude de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (INSERM), il pourrait y avoir entre 2.700 et 2.800 décès de sans domicile fixe par an » (Le Figaro).

 

 

 

Combien sont-ils, ces exilés dans un monde qui ne les voit pas ? Un monde qui préfère investir dans une assurance-conscience multiculturelle et aller secourir des déshérités hors de nos frontières et nos us et coutumes, bien plus médiatiquement rentables que ces vieux et ces sans-abri qui dérangent parfois notre tranquillité lorsqu’ils meurent en trop grand nombre : voir la canicule de 2003 qui fit environ 20.000 morts rien qu’en France. Des morts dont beaucoup, j’en suis convaincu, auraient pu être évités si notre société de l’égoïsme et de l’égocentrisme avait pris le temps de les regarder quand ils étaient vivants.

 

 

 

 

 De nos jours, chez nous, on compte plusieurs millions de célibataires, plus encore de personnes communiquant via les réseaux sociaux mais qui en sont paradoxalement devenues incapables dans la vraie vie, comme si les Français avaient perdu ce fameux fil d’Ariane dont on nous rebat pourtant les oreilles : le lien social. Et, au passage, le communautarisme, qui clive à outrance, n’y a pas peu contribué.

 

 

 

Il ne nous reste plus qu’à invoquer la deuxième vertu théologale – l’espérance – et croire que la vie de ces oubliés est à présent meilleure.

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

11:05 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

24/10/2017

Conseil d’Etat & crèches dans les mairies : la réponse délirante du Grand Orient de France:

 

 

 

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Le 9 novembre dernier, le Conseil d’Etat a autorisé sous strictes conditions, l’installation de crèches dans les mairies. Les pré-requis sont « le contexte de l’installation : celui-ci doit être dépourvu de tout élément de prosélytisme » ; « les conditions particulières de l’installation » ; « l’existence ou de l’absence d’usages locaux » ; enfin le « lieu de l’installation ».

 

 

 

Car, pour le Conseil d’Etat, si l’article 28 de la loi de 1905 pose l’interdiction « d’élever ou d’apposer des emblèmes ou signes religieux sur les emplacements publics », tout le problème de la crèche est qu’elle peut avoir « plusieurs significations. Elle présente un caractère religieux ; mais elle est aussi un élément des décorations et illustrations qui accompagnent traditionnellement les fêtes de fin d’année, sans signification religieuse particulière ».

 

 

 

 

En résumé, le Conseil d’Etat autorise les crèches en mairie car elles sont aussi des décorations profanes ou folkloriques pour la période de Noël. C’est incroyable d’en arriver à devoir faire un numéro d’équilibriste juridique pour autoriser une tradition religieuse multiséculaire, mais on attendait pas mieux de la République.

 

 

 

Il n’en fallait pas moins à une ramification de la secte maçonnique, la loge du Grand Orient de France, pour sortir un communiqué délirant. Selon ces bouffeurs de curés; la décision du Conseil d’Etat « fragiliserait même le principe de laïcité dans notre pays » (si seulement…).

Voici la totalité du communiqué :

 

 

 

 

Crèches de Noël : le principe de laïcité fragilisé

 

 

 

Pour le Grand Orient de France, la décision du Conseil d’Etat du 9 novembre dernier relative à l’installation des crèches de Noël dans les édifices publics fragilise le principe constitutionnel de laïcité dans tous ses éléments constitutifs : neutralité des personnes publiques à l’égard des cultes, liberté de conscience et égalité des droits des citoyens devant la loi.

 

 

 

Les contorsions du Conseil d’Etat visent à accorder aux crèches de Noël une pluralité de significations et singulièrement un caractère festif impossible à appréhender objectivement en droit pour autoriser, sous des conditions au périmètre incertain, ces crèches dans les bâtiments publics.

 

 

Elles le conduisent à écarter l’application de la loi de 1905, notamment dans ses articles 2 et 28.

 

 

 

La haute juridiction administrative s’interdit ainsi de garantir l’obligation de neutralité de la puissance publique. En permettant une plus grande immixtion du religieux dans la sphère publique, cette décision contribue à une confessionnalisation de la société que nous dénonçons comme contraire à la liberté de conscience.

 

 

 

En reconnaissant la primauté des prétendues traditions chrétiennes de la France sur la loi républicaine, elle affaiblit le principe d’égalité tel qu’il est défini par l’article 1er de la Constitution (« sans distinction d’origine, de race ou de religion ») et porte en elle le germe de revendications identitaires dangereuses pour la cohésion nationale.

 

 

Le Grand Orient de France condamne fermement le glissement sémantique encouragé par cette décision, c’est à dire la transformation d’une manifestation objectivement cultuelle en manifestation festive culturelle.

 

 

10:26 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

10/10/2017

LA PMA POUR TOUTES :

 

 JUSTICE SOCIALE OU CAUCHEMAR COLLECTIF ?

 

 
 
 
 
 

Marlène Schiappa a vraiment l’air d’y tenir, à cette légalisation de « la PMA pour toutes », Emmanuel Macron l’a promis, et c’est maintenant au tour d’Édouard Philippe de s’y déclarer plus ou moins favorable.

 

 

L’idée, c’est quoi ? Faire plaisir aux femmes en leur accordant plus de justice sociale ?

 

 

Ces femmes concernées, justement, ces célibataires et celles en couple homosexuel qui veulent tant un enfant sans père ont-elles vraiment réalisé ce qu’est une PMA ?

 

 

L’expérience de ces couples hétérosexuels infertiles qui, avant elles, ont eu recours à ce procédé n’est pourtant pas si rose… Car pour fabriquer un enfant via PMA, mieux vaut s’armer de patience ; l’accès à des dons de gamètes masculins nécessite de déposer un dossier auprès des fameux CECOS (banques de sperme agréées par l’Agence de la biomédecine). Les donneurs de sperme qui alimentent ces banques se font rares en France, au point que certains spécialistes comme le professeur Guérif tirent la sonnette d’alarme sur la pénurie de gamètes en France.

 

 

Les chiffres parlent d’eux-mêmes : actuellement, 3.000 couples hétérosexuels sont en attente de gamètes masculins (pour 1.500 couples ayant obtenu satisfaction en moyenne par an). Le délai moyen pour obtenir ces fameux gamètes varie entre 15 mois et 2 ans selon les centres. Imaginons une seconde ce qui se passera lorsque les femmes seules ou en couples viendront grossir les rangs des candidats au bonheur.

 

 

Reste alors, pour les femmes en mal d’enfant, « la débrouillardise » : départs à l’étranger pour celles qui peuvent débourser un minimum de 10.000 euros pour une PMA et recours au « marché noir des géniteurs du Net » pour les plus aventureuses et les moins fortunées.

 

 

L’ouvrage de Sarah Dumont (Super-géniteurs, enquête sur le don de sperme sauvage en France) mérite d’être connu car il dévoile bien la réalité sordide qui attend ces candidates à la parentalité.

 

 

Via Facebook ou sur des sites de rencontres ou de « coparentalité », de généreux donateurs postent en toute illégalité des annonces pour dépanner les femmes en mal d’enfant. Les profils sont variés : entre « Alexandre, le compulsif », « Francis, l’altruiste », « André, le père manqué » et « Justin, le repenti », pas de quoi se rassurer…

 

 

Prédateurs sexuels, parfaits humanistes, totalement désaxés, gentils futurs papas, certains arrondissent leurs fins de mois alors que d’autres « ne veulent rien d’autre qu’être papa, c’est tout ».

 

 

Ed, par exemple, a un grand cœur : à force de « rendre service », il est papa de 112 bambins répartis dans le monde. Prévoyant, il tient bien à jour son fichier Excel des naissances ; il pourra ainsi rassurer ses enfants quand ils auront grandi car « ceux qui veulent s’assurer qu’ils ne sont pas en train de tomber amoureux de leur demi-frère ou sœur n’auront qu’à lui passer un coup de fil »…

 

Et puis il y a aussi l’histoire de ces deux femmes qui ont fait appel à un donneur juste une fois ; elles pensaient qu’elles n’en entendraient plus jamais parler, mais ça ne s’est pas passé comme ça… Quelques mois après la naissance de l’enfant, le gentil géniteur a refait surface, taraudé par ses envies à lui aussi d’être père ; le début d’un long chantage et d’un cauchemar pour ces deux mamans qui ne pensaient qu’à elles…

 

 

De toutes ces situations scabreuses naît une grande inquiétude quant au sort des femmes et celui des enfants ainsi conçus. Souhaite-t-on tant que ça à amplifier ce sordide marché qui font les affaires de certains ?

 

 

La légalisation de la rémunération des donneurs ne règlera rien. Bien au contraire, elle amplifiera ce phénomène de précarisation des femmes. Car rémunérer un donneur, c’est accepter que le corps humain soit « marchandable ». On ne voit pas, alors, comment interdire la location de ventre, autrement dit la gestation pour autrui, ne serait-ce qu’au nom d’une certaine justice sociale…

 

 

À croire que le bonheur des femmes version Marlène Schiappa pourrait réellement virer au cauchemar des femmes.

 

 

 
 
 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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