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04/12/2018

Un scoop : nous mangeons halal sans le savoir !

 

 

 

 

 

 

Une fois de plus, la presse « mainstream », en l’occurrence L’Express, découvre l’eau tiède : nous mangeons halal et casher sans le savoir ! Récemment, les médias se sont alarmés, également, de la montée de revendications religieuses dans les écoles, y compris maternelles ; ils étaient pourtant largement documentés depuis des années… Le réel rattrape tout ce microcosme de la « classe parlante » sans que, pour autant, cela ne génère des actes appropriés de la part des pouvoirs publics ni de conclusions pertinentes de la part de nos commentateurs médiatiques. L’exemple caricatural en est un certain Clément Viktorovitch, habitué des plateaux médiatiques.

 

 

En l’occurrence, la demande d’étiquetage du mode d’abattage est ancienne, et légitime. Elle devrait être faite en clair et non par un code. Cela correspondrait à la législation qui accorde, à titre dérogatoire seulement, la possibilité d’abattre halal ou casher, uniquement sur commande, consignée dans un registre spécifique. Ce point a été utilisé par Vigilance halal pour attaquer, devant les tribunaux administratifs, les arrêtés préfectoraux pour certains abattoirs (dont celui de Meaux, affaire en appel, initiée en 2012 !). Mais il nous a systématiquement été répondu en Justice que ces registres étaient des documents commerciaux non communicables.

 

 

 

Nicolas Dhuicq, alors député de l’Aube, avait déposé en 2011 et 2014 des projets de loi dans ce sens, toujours rejetés car il ne faut pas… stigmatiser, et cela serait catastrophique sur le plan financier car le circuit traditionnel n’absorberait plus les excédents de halal et casher.

 

 

Il faut, d’ailleurs, relativiser le casher, qui représente maintenant moins de 1 % de la viande rituelle et est en baisse continue. Le problème est bien lié essentiellement au halal, marqueur essentiel de l’islamisation, car le halal, c’est la charia ! Mais le « système », en agglomérant les deux, noie la problématique de la submersion par le halal, qui représente maintenant plus de 60 % des abattages. En Provence, on appelle ça la recette du « pâté d’alouette » : une alouette de casher plus un cheval de halal…

 

 

Cette indication essentielle pour nombre de consommateurs (plus de 70 %) est demandée par notre association, à titre transitoire en attente de l’interdiction totale et définitive du halal en raison des problématiques cumulées de souffrance animale inutile, de scandale sanitaire car ces pratiques s’affranchissent de la législation en la matière, et de circuits financiers importants et opaques finançant l’islam. Sur ce point, on aimerait entendre les associations de consommateurs, et de protection animale. Mais, surtout, il faut le rappeler sans cesse, le halal est une notion globale liée à la charia, système juridique totalement incompatible avec le nôtre (voir, entre autres, l’arrêt de la Cour européenne des droits de l’homme du 31 juillet 2001).

 

 

 

Devant l’inertie des pouvoirs publics, nous avons créé « Suivez le coq », qui regroupe les bouchers attestant que la viande qu’ils vendent est abattue de façon traditionnelle. Nous engageons les lecteurs de Boulevard Voltaire à visiter le site suivezlecoq.fr avec son système de géolocalisation, à télécharger l’application smartphone et à inciter leur boucher à y adhérer. C’est une forme d’étiquetage citoyen.

 

 

 

Et puis se pose une question de fond : ces interdits alimentaires ne sont-ils pas largement obsolètes au XXIe siècle ? Le problème d’actualité ne serait-il pas, plutôt, la dégradation de la qualité de notre alimentation (parfaitement compatible avec le halal et le casher, d’ailleurs) plutôt que sa « pureté » rituelle ?

 

 

 

Et, pour conclure, en paraphrasant Ségolène Royal, " l’halalitude n’est-elle pas le prélude à la dhimmitude"?

 

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06/11/2018

Le « désir d’enfant », ce n’est pas écolo…

 

 

 

Sauf si l’on est célibataire ou homo !

 

 

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Joies et hasards de l’actualité… Gabrielle Cluzel nous a pris hier à témoin, avouant sur Boulevard Voltaire : « Je suis égoïste, irréfléchie et j’en suis fière. » En cause, sa nombreuse famille et sa vie de mère épanouie. Une honte, une faute grave à l’égard de nos frères et sœurs souffrants et, surtout, une menace pour la planète, si l’on en croit l’article du Point auquel elle fait allusion : « Faire moins d’enfants, le geste écolo ultime ! »

 

 

 

Le magazine y relaie ce nouveau fait de société : « Par convictions écologiques, des hommes et des femmes du monde entier ont choisi de renoncer à avoir des enfants pour sauver la planète ».Car les enfants sont comme les vaches : ils dégazent abondamment, font leur rototo sans retenue et salissent des couches en quantité. Et la tête pensante de ce mouvement radical (les GINK, pour Green Inclinations, No Kids) nous assène la leçon de cette nouvelle morale : « La maternité devrait être plus réfléchie. Il s’agit d’un choix qui va au-delà d’un besoin personnel égoïste, mais qui doit aussi prendre en compte l’intérêt de tous. »

 

 

Voilà qui est dit et bien dit… et contredit !

 

 

Car, hasard de l’actualité comme dit plus haut, les radios et journaux, ce jeudi matin, nous passaient en boucle l’information du jour : tout comme le gouvernement, le ministre de la Santé Agnès Buzyn et les députés de LREM, l’ordre des médecins vient de se déclarer favorable à la PMA pour toutes. Citoyens, citoyennes, mettez la main à la poche : il va vous falloir rogner encore sur vos frais de santé pour offrir un bébé aux mères célibataires et aux couples d’homosexuelles qui en ont le désir.

 

 

 

Car loin de pointer là un égoïsme sans nul doute réservé aux épouses hétérosexuelles (cf.Gabrielle Cluzel qui devrait se couvrir la tête de cendres), le Dr Jean-Marie Faroudja, président de la section éthique et déontologie du Conseil national de l’Ordre, le confie au journal La Croix : « Le rôle des médecins est d’apaiser les souffrances, qu’elles soient physiques ou psychologiques. Or, le désir d’enfant est une souffrance et le médecin est là pour l’entendre. »

 

 

 

Selon une démarche où l’hypocrisie confine au grand art, le Dr Faroudja « réfute l’argument des opposants à l’extension de la PMA selon lequel cela équivaudrait à instaurer un droit à l’enfant », nous dit La Croix. Selon le médecin, « on devrait plutôt parler du droit d’accéder à une technique médicale spécialisée ». Subtil…

 

 

 

On voit donc bien ce qui se profile à l’horizon, celui de la révision de la loi de bioéthique, un projet qui sera débattu par le Parlement début 2019. La position du Conseil national de l’ordre des médecins arrive au terme de la consultation publique – les États généraux de la bioéthique – dont les résultats seront connus mardi prochain, 25 septembre. Nul doute qu’ils iront dans le sens de ce grand « progrès sociétal », à savoir la prise en charge, par la Sécurité sociale, de la PMA pour les couples de lesbiennes et les femmes seules.

 

 

 

Toutefois risque alors de se poser un problème pratique : la matière première !

 

 

 

Eh oui, car la méthode, aussi « techniciste » soit-elle, nécessite encore l’intervention d’un mâle via le don de sperme. Et figurez-vous que la denrée se fait rare. Mais pas question de privilégier les couples hétéros pour qui se pose le réel problème médical de l’infertilité : « Il nous semble inacceptable de hiérarchiser les demandeurs. Couples homosexuels, hétérosexuels et femmes seules doivent être traités sur un pied d’égalité. » Ce qui ouvre, ipso facto, la voie royale vers la GPA.

 

 

 

Enfin se pose l’ultime question de « la liberté des médecins ». Leur refus peut toujours être fondé sur « des raisons personnelles », dit le Dr Faroudja, « mais il ne doit jamais reposer sur la seule orientation sexuelle des patients, ce serait contraire aux règles de la déontologie ».

 

 

 

Un conseil, alors : invoquer « le geste écolo ultime » ?

 
 
 
 

 

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30/10/2018

Chassons les marchands du temple !

 

 

 

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Tout ce que notre pays compte d’« économistes » et de « journalistes spécialisés » dénonce la guerre économique lancée tous azimuts par Donald Trump. Pour le ministre de l’économie allemand : « Le passé nous a montré que ce sont les consommateurs qui souffrent le plus pendant les guerres commerciales, car les biens de consommation deviennent plus chers. » Ces déclarations laissent à penser que nous vivons en paix économique et que les consommateurs sont les bénéficiaires de l’ordre libéral qui règne sur la terre dont ils ont fait une maison de commerce.

 

Le citoyen consommateur que je suis fait un autre constat. La guerre économique lancée par les libéraux dans les années 80 a fait des ravages dans le tissu industriel. Cette guerre a été gagnée par les affairistes et les spéculateurs. Les consommateurs et les salariés en ont été les grandes victimes. Quelques exemples d’actualité de la « mondialisation heureuse »… pour certains :

 

– La capitalisation d’Apple atteint 1.000 milliards de dollars. Ses liquidités 250 milliards, en grande partie placées dans des paradis fiscaux. Sa marge brute de 40 % permet de mesurer que les consommateurs ne sont pas bénéficiaires de la mondialisation. Quant aux salariés, un étudiant a passé six semaines chez un sous-traitant d’Apple. Il raconte : des centaines de vis à tourner durant des nuits de travail de douze heures. Un sommier dans une chambre partagée avec sept autres ouvriers, un salaire de 450 euros !

 

– Nike vient de lancer la fabrication de centaines de milliers de maillots de l’équipe de France avec deux étoiles. Fabriqués en Asie pour 3 à 8 euros et ils seront vendus entre 85 et 140 aux supporters !

 

– Elon Musk, autre profiteur mondialiste, veut retirer Tesla de la Bourse. Ses déclarations ont fait bondir l’action Tesla et perdre des millions de dollars à des financiers qui spéculent sur sa chute boursière ; ils ont déposé plainte !

 

Dans l’ancien monde « paternaliste », dénoncé par la gauche en son temps, l’empire textile Boussac faisait travailler 25.000 ouvriers. Les familles étaient logées pour un loyer modique. Elles disposaient d’œuvres sociales très développées : crèches avec layette fournie, garderies, colonies de vacances, dispensaires, laveries…

 

Ces quelques exemples permettent de comprendre que la volonté de Donald Trump de recentrer l’économie américaine met en transe les mondialistes. Comme ils sont les patrons des médias, les journalistes défendent avec servilité les intérêts de leurs maîtres avec la complicité des « artistes » autoproclamés qui sont mondialistes sauf pour eux, qui exigent « l’exception culturelle ». Tout ce beau monde, gavé d’argent public, nous impose des élus complices, n’est-ce pas, Monsieur Macron !

 

Les vainqueurs des guerres ont toujours traité de terroristes ceux qui refusent de se soumettre. Les mondialistes n’ont ni patrie ni moralité, ils n’ont que des intérêts : il faut chasser les marchands du temple !

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28/08/2018

PÉLERINAGE DE CHARTRES:

 

 

 

 

 

 

CHARTRES : DANS LES PAS DE PÉGUY

 

 

 

 
 
 
 
 
 

Docteur d'Etat en droit public, avocat, maitre de conférences des Universités

 
 
 

 

 

 

Chartres attend. Chartres appelle. Dans la pénombre, les vitraux d’un bleu irréel répandent leur lumière sur les dalles brillantes, cabossées, usées de tant de milliards de pas de pèlerins depuis tant de siècles.

 

 

Il faudrait, comme les Grecs qui gravissent une à une les marches de l’église de Tinos, les parcourir à genoux. Car chacun a tant à expier. Mais en levant les yeux de temps à autre vers le bleu du vitrail. Car chacun a tant à espérer.

 

 

Apres la clarté éblouissante de la route ensoleillée, la cathédrale fut longtemps le refuge sombre et frais où se reposaient nos yeux. Aujourd’hui, elle est moitié blanche, de cette blancheur légendaire de la pierre de Chartres, moitié noire encore, avec la seule clarté de vitraux d’une si exceptionnelle densité de couleurs que les milliers d’années ne les ont pas affadis. Des pancartes appelant au mécénat au pied des piliers semblent dire : vous voyez, il en reste encore à blanchir, un effort s’il vous plaît…

 

 

Les terrasses des cafés se remplissent. La messe n’est qu’a 15 heures 30 et il n’est que midi, mais l’attente est forte. Pas aussi forte que pour le mariage du prince Harry deux jours avant, certes. Trois milliards d’êtres humains, soit presque la moitié de la planète, ne sont pas suspendus aux pas des 12.000 pèlerins.

 

 

Mais il y a un point commun entre ces événements. Dans les deux cas, on lève les yeux vers le ciel. Sur l’air d’un gospel à Westminster ; au son du « Christus vincit » à Chartres. Sous les paroles enflammées d’un pasteur américain noir la-bas, d’un cardinal guinéen, noir également ici. Notons, tout de même, que « tradis » français et conservateurs britanniques pratiquent mieux la « diversité » que d’autres qui leur font la leçon mais ne portent l’antiracisme qu’en bandoulière !

 

 

Notons aussi que, là-bas, le mariage ducal coûte des dizaines de millions d’euros, et qu’ici le pèlerinage ne coûte que de la sueur et des larmes. Celles des enveloppés, dont les cuisses ont dû frotter pendant trois jours jusqu’à être atrocement irritées, des fragiles au genou ou chevilles bandées, des ecclésiastiques à grosses chaussures de cuir qui ont la démarche caractéristique de ceux que leurs ampoules à vif font cruellement souffrir.

 

 

Ils sont venus, ils sont tous là. Solides gaillards barbus « façon Légion » ; dames d’œuvres au chignon irréprochable ; petites sœurs tout en blanc dont l’habit porte, au-dessus des chaussures de marche, un peu du vert des haltes dans les prairies ; moines noirs, gris ou blancs, émaciés ou rondouillards ; scouts en uniformes beiges ou bleus ; fraîches jeunes filles, enfants rieurs.

 

 

Les mots de Péguy chantent dans les têtes quand, à nouveau, l’« étoile de la mer » qu’ils quittent à regret vogue « sur l’océan des blés ».

 

 

Récemment s’est tenu, à Normale sup et au Collège de France, un colloque en hommage à Léon Bloy, mort en 1917. Rien de tel pour Péguy, pourtant lui aussi normalien, en 2014, au centenaire de sa mort. Mais ce défaut de reconnaissance académique n’est il pas compensé par le long ruban de 12.000 pèlerins marchant vers Chartres chaque année ? Eux témoignent de sa fructueuse postérité.

 

 

 

 

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21/08/2018

ÉGLISES OUTRAGÉES, ÉGLISES BRISÉES, ÉGLISES MARTYRISÉES !

 

 

 

 

NOS ÉGLISES SOUS L’OCCUPATION PROGRESSISTE

 

 

 

 

 
 
 
 
 
 
 
 
Professeur de Lettres
 
 
 
 

Il est un fait que nos églises se vident. Dans bien des paroisses, au fil des ans, les têtes des fidèles deviennent plus chenues, les dos plus voûtés, les démarches moins assurées, les places vacantes plus nombreuses. Les prêtres eux aussi s’essoufflent, et les vocations. Alors, chaque année, des églises sont désacralisées, voire désaffectées, quand on ne les rase pas purement et simplement.

 

 

 

À voir la destinée de certains de ces anciens lieux de culte, on se prend à penser que, tout compte fait, leur destruction eût peut-être été préférable. Témoins, ces trois exemples tout récents :

 

 

 

À Agen, la chapelle du Martrou devrait abriter, à partir du 17 mai 2018, une exposition intitulée « La Transidentité », dans le cadre du « Festival des fiertés » organisé par l’association LGBT locale.

 

 

 

Il y a quelques jours, 20 Minutes admirait la transformation « insolite », par l’« artiste » new-yorkais Asad Raza, du sol de San Paolo Converso, à Milan, « en un court de tennis où tout le monde peut jouer ».

 

 

 

Enfin, Aleteia consacre un article à « une œuvre discutable dans une église qui doit prochainement être désacralisée », l’église de Kuttekoven, à Looz, en Belgique. Intitulée Holy Cow, cette sculpture grandeur nature, placée devant l’autel, représente une vache crucifiée. À ses pieds, un immense réservoir contenant 5.000 litres de lait.

 

 

 

L’église milanaise et la chapelle du Martrou ont été désacralisées, mais apparemment pas désaffectées : elles sont donc toujours sous la responsabilité d’une institution religieuse. C’est d’ailleurs à la paroisse Sainte-Foy, souligne Le Salon beige, qu’il faut s’adresser pour obtenir de plus amples renseignements sur l’événement. Quant à l’église belge, on n’a même pas attendu que le cadavre soit froid pour s’emparer de l’héritage et faire la nique au défunt, puisqu’elle n’est même pas encore désacralisée.

 

 

 


Comment l’Église peut-elle donc se compromettre à ce point ?

 

 

 

 

Le site Internet de la paroisse agenaise présente la chapelle du Martrou comme un « lieu culturel [qui] permet [de] contribuer à la vie culturelle locale en y apportant un caractère particulier dû à son histoire et sa sacralité ». Une sacralité exceptionnelle, en effet, la chapelle du Martrou devant son nom à sa crypte où, dès le Vesiècle, des chrétiens auraient enseveli les corps retrouvés de martyrs agenais du siècle précédent, notamment sainte Foy et saint Caprais. La paroisse devait-elle autoriser en un tel lieu cette exposition LGBT, organisée par une association dont le nom, Ecce Homo, n’est pas loin d’être blasphématoire ?

 

 

 

Que penser de la molle réaction du diocèse belge de Hasselt, qui se contente de se déclarer « surpris par l’exposition » de cette œuvre en expliquant : « Nous pouvons certainement apprécier l’humour. Mais une vache sur une croix cela va un peu trop loin » ? A-t-il cru à la justification inepte de l’« artiste » qui prétend dénoncer le « gaspillage dans notre société » en gâchant 5.000 litres de lait ?

 

 

 

Et, si 20 Minutes voit d’abord dans ce court improvisé une « œuvre d’art interactive […] qui encourage les visiteurs à jouer au tennis », il dévoile quand même « le but de Raza » : « remplir l’espace d’une nouvelle pratique sociale, non de recevoir des messages d’en haut, mais de s’engager dans un échange et un jeu d’égal à égal ». Autrement dit, évacuer de cette église toute transcendance.

 

 

 

L’Église, par ses renoncements, voire ses trahisons, continue, hélas, trop souvent à faire le jeu de ce Grand Remplacement multiforme qui nous tue.

 

 

 

 
 
 
 
 

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