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20/10/2020

De Gilles de Rais à Jeffrey Epstein : le pouvoir, cet aphrodisiaque suprême:

 

 

 

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Au Moyen Âge, les grands prédateurs sexuels parcouraient la campagne à cheval. Aujourd’hui, leurs descendants spirituels sillonnent le monde à bord de leur jet privé. Les modi operandichangent, l’idée générale reste.

 

 

 

Certes, Jeffrey Epstein ne tuait pas ses victimes après les avoir abusées sexuellement, comme le célèbre Gilles de Rais, cette figure inspiratrice, dit-on, de Barbe Bleue, et compagnon de Jeanne d’Arc. Ce grand seigneur, issu de la puissante et noble maison de Montmorency-Laval, termina pendu au bout d’une corde, le 26 octobre 1440, à Nantes, après avoir été jugé par les tribunaux canonique et séculier. Il avait été reconnu coupable de « crime et vice contre nature avec des enfants de l’un et de l’autre sexe selon la pratique sodomite ». La cour ecclésiastique lui imputa au moins 140 crimes, si l’on en croit le livre de Georges Bataille (1897-1962), Le Procès de Gilles de Rais (1959).

 

 

Le monde est un village et il y a longtemps que l’église n’y a plus sa place au milieu, mais il y a toujours quelque part, un peu à l’écart, un château. Les nouveaux seigneurs, qui n’empestent plus la sueur des longues chevauchées sur leur noble destrier, peuvent, à l’abri des vues indiscrètes et vulgaires, y faire leurs petites affaires. Les modi operandi changent, disions-nous. Voire, finalement. Gilles de Rais utilisaient les services de deux rabatteurs, Henriet et Poitou, qui finirent, comme leur maître, au bout d’une corde. Aujourd’hui, époque plus sophistiquée, on parle d’une société de mannequinat dans laquelle Epstein aurait investi jusqu’à deux millions de dollars, si l’on en croit Marie Claire. Société, toujours selon le magazine féminin, qui serait « accusée d’avoir utilisé sa position pour fournir des visas à des jeunes filles mineures et permettre leur exploitation à travers le globe pour satisfaire les “besoins particuliers” d’Epstein et alimenter son trafic sexuel ».

 

 

C’est bien ça : le monde est un village. Et un village où le confort moderne a été installé. Un village aussi grand que les idées sont larges dans ce beau petit monde. Plus d’Henriet et de Poitou, vils manants de basse extraction qu’on imagine l’œil torve et le front bas, allant patauger dans les cours de fermes boueuses. Mais de très chics sociétés de mannequinat où l’on y parle sans doute trois langues sur une moquette impeccable dans des costumes et des tailleurs des meilleures marques.

 

 

Gilles de Rais se pensait sans doute un haut et puissant seigneur, ayant pouvoir de vie et de mort sur tout ce qui bougeait sur ses terres. Le pouvoir ! Sur le cours du monde, sur les hommes, sur les femmes… Pouvoir de la terre et du nom, autrefois. Pouvoir de l’argent aujourd’hui. En 1976, Henry Kissinger, qui ne pensait qu’au cours du monde, déclarait au Guardian que le « pouvoir est l’aphrodisiaque suprême ». Rien ne change, sauf que le pouvoir n’est peut-être plus là où l’on pense qu’il est.

 

 

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10:41 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

16/10/2020

THÉORIE DU GENRE :

 

 

 

 

 

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 NOS ENFANTS PLUS MENACÉS QUE JAMAIS

 

 

 

Faire mine de reculer pour mieux sauter, telle est la tactique adoptée par Najat BelKacem  , ministre de l’éducation, pour généraliser, sous un autre nom, ces ABCD de l’égalité, expérimentés par son prédécesseur et visant à inculquer la théorie du genre aux enfants des écoles maternelles et primaires.

 

 

 

En créant et en étendant du primaire au secondaire son « plan d’action pour l’égalité entre les filles et les garçons à l’école », le ministre répond donc aux injonctions des LGBT, qui, manifestement, co-gèrent désormais l’éducation nationale avec les syndicats d’enseignants et de parents, tous lobbies qui n’ont surjoué l’indignation devant la prétendue reculade sur les ABCD que pour mieux aider le ministre à endormir les opposants à ce funeste projet. Du reste, Najat BelKacem a vendu la mèche : ce plan sera encore plus « ambitieux » que les ABCD... Les parents sont prévenus !

 

 

Les professeurs des écoles seront formés à combattre les « préjugés » ou « stéréotypes » sexistes (et notés en conséquence ?) et une « mallette pédagogique [sic] » les aidera à convaincre leurs élèves, âgés de 2 à 11 ans !, que leur « genre » ne doit pas leur être dicté par des parents castrateurs — auxquels, du reste, il serait préférable de retirer la charge d’éduquer leurs enfants, comme le souhaitait Vincent Peillon... — ...mais par des intervenants LGBT ?

 

 

 

En effet, la Commission nationale consultative des droits de l’homme (émanation de Matignon), le 27 juin, comme par hasard la veille de la « marche des fiertés » et trois jours avant la décision publique du ministre, a invité celui-ci à intensifier la lutte contre les « LGBTphobies » en milieu scolaire, notamment en y renforçant les interventions des LGBT.

 

 

Nos enfants sont plus menacés que jamais !

 

 

François Marcilhac

 

 

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11:12 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

13/10/2020

LOBBY HOMOSEXUALISTE...

 

 

 

 

 

Quelle influence ? 

 

« Le rendez-vous, autour d’un verre, a été fixé dans un banal hôtel 4 étoiles du XIe arrondissement, près de la place de la République. Tous les deux mois s’y réunissent de 50 à 80 jeunes gens, pour la plupart des garçons, tous homosexuels et anciens élèves de grandes écoles. Ils travaillent à Thales, à L’Oréal, dans l’industrie ou dans la banque d’affaires, et viennent ici se détendre et parler « business ».

 

 

A l’initiative de ces rencontres, Vincent Viollain, 32 ans, cofondateur de Babel 31, agence de communication digitale spécialisée dans le marketing communautaire. A HEC, il a dirigé l’association LGBT (lesbiennes, gays, bisexuels et trans) de l’école, In and Outside, puis a fait partie de celle de Sciences-Po Paris, Plug n’Play. Il a contribué à relancer un réseau inter-grandes écoles avec ESCaPe (ESCP-EAP), Divercity (Essec), Binet XY (Ecole Polytechnique), Homônerie (ENS-Ulm)… Investi dans Le Refuge, association de soutien à de jeunes homosexuels rejetés par leur famille, il est également vice-président de GayLib, le principal mouvement homo de droite, affilié à l’UDI. [...]

 

 

Challenges n’accrédite pas l’existence d’un prétendu lobby tout-puissant. Nous constatons seulement qu’ils font partie des réseaux qui progressent le plus. [...]

 

 

La direction du Front national serait « infiltrée », les gays constitueraient un réseau occulte dans les cabinets ministériels et, au ministère de la Culture ou au Quai d’Orsay, ils s’échangeraient les postes et les faveurs.

 

 

 

[...] En privé, des « homos de pouvoir » avouent pratiquer la préférence communautaire. « Toutes choses égales par ailleurs, je donnerais plus volontiers un coup de pouce à un homo qu’à un hétéro« , dit l’un d’eux. [...] »

 

 

 

 

Selon Challenges, pas franchement classé à droite.

 

                                                        

 

 

10:22 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

06/10/2020

Hauts-de-Seine : le pilleur d’églises était un anticlérical:

 

 

 

 

 


 

 

Ce n’est pas le goût du lucre qui motivait le voleur, mais le désir de nuire et la haine antichrétienne…

 

 

 

Un octogénaire aux convictions anticléricales affirmées et sa voisine, fraîchement baptisée, ont été interpellés dans la banlieue de Paris, soupçonnés de s’être unis pour piller plusieurs églises durant des mois, ont indiqué ce lundi des sources concordantes. Plus de 3 000 objets religieux en tout genre, croix, statues, icônes, chapelets ou cierges, ont été retrouvés à leurs domiciles de Bagneux, au sud de la capitale, lors d’une perquisition en fin de semaine dernière. « Chez l’octogénaire, les toilettes étaient entièrement recouvertes de crucifix, il n’y avait plus un seul centimètre carré de libre », a expliqué à l’AFP l’un des curés victime du couple de pilleurs, Ludovic Serre, qui officie à Chaville, et qui a depuis pu récupérer une partie du butin dérobé. Le prêtre avait remarqué la disparition régulière d’objets dans son église Notre-Dame-de-Lourdes à partir de novembre, « dès que je mettais une croix d’autel sur le confessionnal, ça disparaissait », avant le larcin de la crèche en décembre : « Là, c’était trop, je me suis dit, “ça suffit”, et j’ai déposé plainte ». Les policiers lui ont alors appris que d’autres édifices religieux des environs avaient été la cible de mêmes méfaits depuis plusieurs semaines, où de modestes bougies comme « des icônes russes anciennes ou de l’artisanat monastique de Bethléem à 3000 pièces » ont été dérobés, pour un préjudice global estimé à 10 000 euros. Le curé de Chaville, fort d’un système de vidéosurveillance de son église, avait par ailleurs constaté que les voleurs agissaient selon un rite précis, « toutes les 4-5 semaines, le dimanche, entre 16 heures et 16 h 30 […]. J’ai dit à la police que, selon mes calculs, ils devraient revenir le 21 novembre. Et ils sont revenus ! Avec une demi-heure d’avance ! », a relaté Ludovic Serre. Les enquêteurs ont alors suivi les deux suspects jusqu’à leurs domiciles, où ils ont été interpellés avant d’être placés en garde à vue.

 

Source : Le Figaro,

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22/09/2020

La Californie oblige les églises à rembourser l’avortement:

 

 

 

 

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Ces dernières années, l’administration Obama et ses soutiens de gauche faisaient attention à ne pas s’en prendre publiquement à la liberté religieuse, notamment en ce qui concernait les guerres contre le remboursement de l’avortement par l’« Obamacare », ce qui ne les a pas empêché de la piétiner en de multiples occasions. L’atteinte la plus spectaculaire vient de se produire en Californie où les églises ne seront pas exemptées de l’obligation d’inclure le remboursement de l’avortement dans les contrats d’assurance santé proposés à leurs employés.

 

 

Les églises contraintes à rembourser un« service de santé de base » l’avortement:

 

Le processus totalitaire montre enfin son vrai visage en Californie, dont le département de Santé vient d’ordonner que tous les plans d’assurance santé de l’Etat comportent d’emblée le remboursement de l’avortement, désormais classé parmi les « services de santé de base » obligatoirement remboursés depuis 40 ans par une loi de l’Etat.

 

 

Aucune église n’est protégée contre cette décision ; elles devront désormais toutes prendre pour leur personnel ou membres des assurances santé comprenant le remboursement de l’avortement.

 

 

Pas de liberté religieuse pour les églises:

 

 

La Californie se met ainsi en contradiction avec la récente jurisprudence de la Cour suprême, l’arrêt Hobby Lobby du 30 juin. Cette chaîne de magasins dont le PDG, David Green, est chrétien et finance des organismes à but non lucratif en lien avec la droite chrétienne, avait été parmi les premières à contester l’obligation de participer ainsi à la culture de mort.

 

 

L’administration s’était mobilisée pour priver cette entreprise des protections liées à la liberté religieuse qu’elle invoquait pour refuser de « couvrir » la contraception dans le nouveau système de sécurité sociale. On le lui avait refusé du fait qu’il s’agissait d’une société commerciale, qu’elle n’était pas une église et que ses déclarations n’étaient pas scientifiques…

 

 

La Cour suprême a estimé que Hobby Lobby était dans son droit en refusant de rembourser la contraception. Imposer le remboursement de l’« IVG » à des églises n’en apparaît que d’autant plus totalitaire.

 

 

 

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