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27/10/2020

Charité bien ordonnée devrait commencer par la France:

 

 

 

 

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Malgré la perte de ma foi, je ne crois pas qu’il me faille oublier les bonnes leçons que son enseignement m’a données. Je subodore que je ne dois pas être le seul à faire cette confession.

 


Bien que je me situe loin des choses de l’Église, je garde l’idée que la civilisation française est le produit de deux mille ans d’une histoire établie sur les valeurs dont la chrétienté l’a dotée.

 

Sans doute ne suis-je pas, non plus, solitaire dans cette proclamation.

 

 

Cela est aussi évident que chacun de nos villages est construit autour d’une église. Cette conviction conceptuelle me laisse croire que « charité bien ordonnée commence par soi-même ».

 

Cela est une idée chère aux chrétiens qui devrait l’être à tous.

 

Elle ne signifie pas que, si une douceur devait subsister, celle-ci devrait être accordée, par priorité, à la faveur de mon palais, mais, simple et pragmatique, que pour bien aimer (bien aider) les autres, il faut commencer par s’aimer soi-même. Il me paraît que cette vérité est, lentement, remplacée par l’amour de l’autre au détriment de soi. Il n’est que de considérer les excès qui touchent à l’accueil des immigrants et les conséquences néfastes de cet afflux massif.

 

 

Ce déterminisme souligne l’action irréfléchie des « politiques » répondant à l’inspiration confuse de certains, à moins qu’il ne s’agisse, plus pernicieusement, du contraire.

 

Cette méprise est à droite : Alain Juppé assure que l’immigration serait une chance pour notre pays (marquant un changement avec les idées qui furent les siennes). Elle est à gauche : François Hollande veut attribuer le droit de vote aux étrangers.

 

 

Chacun sait bien que « quand il y en a pour 2, il ne peut y en avoir pour 10 », donc, « quand il n’y en a pas assez pour 60 millions, il ne saurait y en avoir suffisamment pour 200.000 de plus chaque année ». Cela paraît juste évident, faut-il encore le dire et en tenir compte.

 

Il est insoutenable de s’obliger à des artifices grossiers pour faciliter ce changement. L’appel répété à la laïcité n’a pour but que de mettre sur un plan d’égalité les pratiques ici millénaires et celles d’une croyance venue d’ailleurs où la réciprocité est bannie. Notre comportement accort reçoit-il l’effet d’une reconnaissance ? La conduite des minorités visibles exogènes répond sans ambiguïté : Non.

 

La posture suicidaire de nos compatriotes, au regard de ce problème, provient d’une volonté de repentance, elle-même d’un sentiment de culpabilité, injuste. Que se reproche-t-on qui nous oblige à tant d’abnégation et d’oubli de soi ?

 

Il y a la colonisation, dont nulle démonstration n’a apporté la preuve de l’unicité supposée du préjudice comparé aux multiples apports.

 

Il y a la pratique esclavagiste qui n’est ni notre invention, ni notre apanage, tellement partagée.

 

Il y a l’Holocauste, le crime nazi dont il serait inique d’étendre l’opprobre sur tous.

 

Ainsi, devons-nous baisser la tête et renier ce que nous sommes ? Ce fatalisme prétendrait nous priver de notre identité et fouler nos valeurs ?

 

09:56 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

20/10/2020

De Gilles de Rais à Jeffrey Epstein : le pouvoir, cet aphrodisiaque suprême:

 

 

 

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Au Moyen Âge, les grands prédateurs sexuels parcouraient la campagne à cheval. Aujourd’hui, leurs descendants spirituels sillonnent le monde à bord de leur jet privé. Les modi operandichangent, l’idée générale reste.

 

 

 

Certes, Jeffrey Epstein ne tuait pas ses victimes après les avoir abusées sexuellement, comme le célèbre Gilles de Rais, cette figure inspiratrice, dit-on, de Barbe Bleue, et compagnon de Jeanne d’Arc. Ce grand seigneur, issu de la puissante et noble maison de Montmorency-Laval, termina pendu au bout d’une corde, le 26 octobre 1440, à Nantes, après avoir été jugé par les tribunaux canonique et séculier. Il avait été reconnu coupable de « crime et vice contre nature avec des enfants de l’un et de l’autre sexe selon la pratique sodomite ». La cour ecclésiastique lui imputa au moins 140 crimes, si l’on en croit le livre de Georges Bataille (1897-1962), Le Procès de Gilles de Rais (1959).

 

 

Le monde est un village et il y a longtemps que l’église n’y a plus sa place au milieu, mais il y a toujours quelque part, un peu à l’écart, un château. Les nouveaux seigneurs, qui n’empestent plus la sueur des longues chevauchées sur leur noble destrier, peuvent, à l’abri des vues indiscrètes et vulgaires, y faire leurs petites affaires. Les modi operandi changent, disions-nous. Voire, finalement. Gilles de Rais utilisaient les services de deux rabatteurs, Henriet et Poitou, qui finirent, comme leur maître, au bout d’une corde. Aujourd’hui, époque plus sophistiquée, on parle d’une société de mannequinat dans laquelle Epstein aurait investi jusqu’à deux millions de dollars, si l’on en croit Marie Claire. Société, toujours selon le magazine féminin, qui serait « accusée d’avoir utilisé sa position pour fournir des visas à des jeunes filles mineures et permettre leur exploitation à travers le globe pour satisfaire les “besoins particuliers” d’Epstein et alimenter son trafic sexuel ».

 

 

C’est bien ça : le monde est un village. Et un village où le confort moderne a été installé. Un village aussi grand que les idées sont larges dans ce beau petit monde. Plus d’Henriet et de Poitou, vils manants de basse extraction qu’on imagine l’œil torve et le front bas, allant patauger dans les cours de fermes boueuses. Mais de très chics sociétés de mannequinat où l’on y parle sans doute trois langues sur une moquette impeccable dans des costumes et des tailleurs des meilleures marques.

 

 

Gilles de Rais se pensait sans doute un haut et puissant seigneur, ayant pouvoir de vie et de mort sur tout ce qui bougeait sur ses terres. Le pouvoir ! Sur le cours du monde, sur les hommes, sur les femmes… Pouvoir de la terre et du nom, autrefois. Pouvoir de l’argent aujourd’hui. En 1976, Henry Kissinger, qui ne pensait qu’au cours du monde, déclarait au Guardian que le « pouvoir est l’aphrodisiaque suprême ». Rien ne change, sauf que le pouvoir n’est peut-être plus là où l’on pense qu’il est.

 

 

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10:41 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

16/10/2020

THÉORIE DU GENRE :

 

 

 

 

 

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 NOS ENFANTS PLUS MENACÉS QUE JAMAIS

 

 

 

Faire mine de reculer pour mieux sauter, telle est la tactique adoptée par Najat BelKacem  , ministre de l’éducation, pour généraliser, sous un autre nom, ces ABCD de l’égalité, expérimentés par son prédécesseur et visant à inculquer la théorie du genre aux enfants des écoles maternelles et primaires.

 

 

 

En créant et en étendant du primaire au secondaire son « plan d’action pour l’égalité entre les filles et les garçons à l’école », le ministre répond donc aux injonctions des LGBT, qui, manifestement, co-gèrent désormais l’éducation nationale avec les syndicats d’enseignants et de parents, tous lobbies qui n’ont surjoué l’indignation devant la prétendue reculade sur les ABCD que pour mieux aider le ministre à endormir les opposants à ce funeste projet. Du reste, Najat BelKacem a vendu la mèche : ce plan sera encore plus « ambitieux » que les ABCD... Les parents sont prévenus !

 

 

Les professeurs des écoles seront formés à combattre les « préjugés » ou « stéréotypes » sexistes (et notés en conséquence ?) et une « mallette pédagogique [sic] » les aidera à convaincre leurs élèves, âgés de 2 à 11 ans !, que leur « genre » ne doit pas leur être dicté par des parents castrateurs — auxquels, du reste, il serait préférable de retirer la charge d’éduquer leurs enfants, comme le souhaitait Vincent Peillon... — ...mais par des intervenants LGBT ?

 

 

 

En effet, la Commission nationale consultative des droits de l’homme (émanation de Matignon), le 27 juin, comme par hasard la veille de la « marche des fiertés » et trois jours avant la décision publique du ministre, a invité celui-ci à intensifier la lutte contre les « LGBTphobies » en milieu scolaire, notamment en y renforçant les interventions des LGBT.

 

 

Nos enfants sont plus menacés que jamais !

 

 

François Marcilhac

 

 

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11:12 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

13/10/2020

LOBBY HOMOSEXUALISTE...

 

 

 

 

 

Quelle influence ? 

 

« Le rendez-vous, autour d’un verre, a été fixé dans un banal hôtel 4 étoiles du XIe arrondissement, près de la place de la République. Tous les deux mois s’y réunissent de 50 à 80 jeunes gens, pour la plupart des garçons, tous homosexuels et anciens élèves de grandes écoles. Ils travaillent à Thales, à L’Oréal, dans l’industrie ou dans la banque d’affaires, et viennent ici se détendre et parler « business ».

 

 

A l’initiative de ces rencontres, Vincent Viollain, 32 ans, cofondateur de Babel 31, agence de communication digitale spécialisée dans le marketing communautaire. A HEC, il a dirigé l’association LGBT (lesbiennes, gays, bisexuels et trans) de l’école, In and Outside, puis a fait partie de celle de Sciences-Po Paris, Plug n’Play. Il a contribué à relancer un réseau inter-grandes écoles avec ESCaPe (ESCP-EAP), Divercity (Essec), Binet XY (Ecole Polytechnique), Homônerie (ENS-Ulm)… Investi dans Le Refuge, association de soutien à de jeunes homosexuels rejetés par leur famille, il est également vice-président de GayLib, le principal mouvement homo de droite, affilié à l’UDI. [...]

 

 

Challenges n’accrédite pas l’existence d’un prétendu lobby tout-puissant. Nous constatons seulement qu’ils font partie des réseaux qui progressent le plus. [...]

 

 

La direction du Front national serait « infiltrée », les gays constitueraient un réseau occulte dans les cabinets ministériels et, au ministère de la Culture ou au Quai d’Orsay, ils s’échangeraient les postes et les faveurs.

 

 

 

[...] En privé, des « homos de pouvoir » avouent pratiquer la préférence communautaire. « Toutes choses égales par ailleurs, je donnerais plus volontiers un coup de pouce à un homo qu’à un hétéro« , dit l’un d’eux. [...] »

 

 

 

 

Selon Challenges, pas franchement classé à droite.

 

                                                        

 

 

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06/10/2020

Hauts-de-Seine : le pilleur d’églises était un anticlérical:

 

 

 

 

 


 

 

Ce n’est pas le goût du lucre qui motivait le voleur, mais le désir de nuire et la haine antichrétienne…

 

 

 

Un octogénaire aux convictions anticléricales affirmées et sa voisine, fraîchement baptisée, ont été interpellés dans la banlieue de Paris, soupçonnés de s’être unis pour piller plusieurs églises durant des mois, ont indiqué ce lundi des sources concordantes. Plus de 3 000 objets religieux en tout genre, croix, statues, icônes, chapelets ou cierges, ont été retrouvés à leurs domiciles de Bagneux, au sud de la capitale, lors d’une perquisition en fin de semaine dernière. « Chez l’octogénaire, les toilettes étaient entièrement recouvertes de crucifix, il n’y avait plus un seul centimètre carré de libre », a expliqué à l’AFP l’un des curés victime du couple de pilleurs, Ludovic Serre, qui officie à Chaville, et qui a depuis pu récupérer une partie du butin dérobé. Le prêtre avait remarqué la disparition régulière d’objets dans son église Notre-Dame-de-Lourdes à partir de novembre, « dès que je mettais une croix d’autel sur le confessionnal, ça disparaissait », avant le larcin de la crèche en décembre : « Là, c’était trop, je me suis dit, “ça suffit”, et j’ai déposé plainte ». Les policiers lui ont alors appris que d’autres édifices religieux des environs avaient été la cible de mêmes méfaits depuis plusieurs semaines, où de modestes bougies comme « des icônes russes anciennes ou de l’artisanat monastique de Bethléem à 3000 pièces » ont été dérobés, pour un préjudice global estimé à 10 000 euros. Le curé de Chaville, fort d’un système de vidéosurveillance de son église, avait par ailleurs constaté que les voleurs agissaient selon un rite précis, « toutes les 4-5 semaines, le dimanche, entre 16 heures et 16 h 30 […]. J’ai dit à la police que, selon mes calculs, ils devraient revenir le 21 novembre. Et ils sont revenus ! Avec une demi-heure d’avance ! », a relaté Ludovic Serre. Les enquêteurs ont alors suivi les deux suspects jusqu’à leurs domiciles, où ils ont été interpellés avant d’être placés en garde à vue.

 

Source : Le Figaro,

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