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25/08/2020

À quand la légalisation de l’inceste:

 

 

 

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au nom du droit de chacun à vivre sa sexualité comme il l’entend ?

 

 

Notre gouvernement composé de tête creuses n’a décidément rien compris à la notion d’égalité, qu’il confond avec l’égalitarisme. La première considère que toute personne a des droits égaux à une autre, et qu’il n‘est pas possible de les lui refuser sur des motifs purement subjectifs. Par exemple, chaque personne doit être jugée selon la loi, et les exceptions à cette règle ne peuvent procéder que d’une raison objective.

 

 

 

L’égalitarisme, au contraire, refuse toute exception. Au nom d’une égalité des droits pervertie, il propose une égalisation ne tenant aucun compte de la réalité des choses. L’exemple le plus frappant est celui du mariage : le « mariage pour tous » est un slogan génial. Il ne tient pas compte du fait que le mariage était déjà ouvert à tous, sauf aux mineurs (raison objective), à condition de respecter le sens du mot mariage. Au nom de l’égalité des droits, il a fallu changer la définition du mot. À partir de là, on ne conçoit pas que cette institution devenue un simple contrat reconnaissant l’amour entre deux individus ne soit pas ouverte aux personnes de même sexe

 

 

 

 

Un autre exemple nous est rappelé par un bon billet de Sophie Coignard sur le site du Point, à propos des allocations familiales. Depuis le 1er juillet, celles-ci sont réduites de moitié pour un couple avec deux enfants qui gagne plus de 6.000 €/mois, et des trois-quarts au-delà de 8.000 €. La mesure est présentée comme procédant du principe d’égalité. Selon ses instigateurs, il apparaît injuste qu’un couple « riche » touche autant d’allocation qu’un couple « pauvre ».

 

 

La notion de justice (sociale) est ici dévoyée. La justice n’est pas l’égalitarisme, c’est l’art de rendre à chacun ce qui lui est dû. La justice considère donc la situation particulière de chacun pour accomplir son objet, quand l’égalitarisme se contente de dire qu’il ne veut pas de tête qui dépasse. En matière d’allocations familiales, le principe est simple : la collectivité compense la charge supplémentaire induite par l’éducation des enfants, en considérant que cette charge pèse sur les familles proportionnellement à leur nombre d’enfants, et que l’accroissement démographique qui en découle lui bénéficie. Cela n’a pas grand-chose à voir avec la redistribution sociale, vers laquelle le système des allocations familiales s’est orienté depuis des années.

 

 

 

Le principe est le même avec le quotient familial, qui permettait à une famille nombreuse avec 6 enfants de ne pas payer, à revenu égal, les impôts d’un célibataire dont le train de vie est, théoriquement, huit fois plus élevé ! Nos gouvernants successifs n’ont vu dans ce système qu’une manière pour les plus riches d’échapper à l’impôt, et ont tout fait pour y mettre fin. Soit ces gens ont peu d’enfants (il faut du temps pour les élever) soit leurs revenus sont de toutes façons tellement confortables que ces questions bassement matérielles leur échappent…

 

 

Notre gouvernement composé de tête creuses n’a décidément rien compris à la notion d’égalité, qu’il confond avec l’égalitarisme.

 

 

Avec ce genre de raisonnement, on peut envisager de moduler le tarif des péages, ou du stationnement, en fonction de la taille de la voiture. C’et d’ailleurs le cas pour la fameuse taxe CO² qui pénalise les familles nombreuses contraintes de rouler dans des monospaces plus gourmands qu’une Smart de bobo du Marais… Mais on se prive de tout moyen d’interdire des pratiques totalement contraires à la dignité humaine : la PMA et la GPA doivent être autorisées, au nom du droit de chacun à avoir un enfant. Peu importe que cela viole le droit d’un enfant à avoir un père et une mère, et la dignité de la mère porteuse considérée comme une couveuse. Demain, on autorisera l’inceste, au nom du droit de chacun à vivre sa sexualité comme il l’entend. Et pourquoi pas les relations sexuelles avec des mineurs, nubiles ou non.

 

 

Il y a quelques jours, un professeur aveugle a été convoqué pour surveiller les épreuves du Brevet des Collèges. Elle explique « On m’a fait comprendre que c’était une question d’égalité. Que si je n’étais pas convoquée, je pouvais attaquer en justice pour discrimination. C’est tout simplement stupide ! Je ne vais pas attaquer pour quelque chose que je ne peux pas faire. »

On en est là.

 

 

 
 

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21/08/2020

LOBBY HOMOSEXUALISTE...

 

 

 

 

 

Quelle influence ? 

 

« Le rendez-vous, autour d’un verre, a été fixé dans un banal hôtel 4 étoiles du XIe arrondissement, près de la place de la République. Tous les deux mois s’y réunissent de 50 à 80 jeunes gens, pour la plupart des garçons, tous homosexuels et anciens élèves de grandes écoles. Ils travaillent à Thales, à L’Oréal, dans l’industrie ou dans la banque d’affaires, et viennent ici se détendre et parler « business ».

 

A l’initiative de ces rencontres, Vincent Viollain, 32 ans, cofondateur de Babel 31, agence de communication digitale spécialisée dans le marketing communautaire. A HEC, il a dirigé l’association LGBT (lesbiennes, gays, bisexuels et trans) de l’école, In and Outside, puis a fait partie de celle de Sciences-Po Paris, Plug n’Play. Il a contribué à relancer un réseau inter-grandes écoles avec ESCaPe (ESCP-EAP), Divercity (Essec), Binet XY (Ecole Polytechnique), Homônerie (ENS-Ulm)… Investi dans Le Refuge, association de soutien à de jeunes homosexuels rejetés par leur famille, il est également vice-président de GayLib, le principal mouvement homo de droite, affilié à l’UDI. [...]

 

Challenges n’accrédite pas l’existence d’un prétendu lobby tout-puissant. Nous constatons seulement qu’ils font partie des réseaux qui progressent le plus. [...]

La direction du Front national serait « infiltrée », les gays constitueraient un réseau occulte dans les cabinets ministériels et, au ministère de la Culture ou au Quai d’Orsay, ils s’échangeraient les postes et les faveurs.

 

[...] En privé, des « homos de pouvoir » avouent pratiquer la préférence communautaire. « Toutes choses égales par ailleurs, je donnerais plus volontiers un coup de pouce à un homo qu’à un hétéro« , dit l’un d’eux. [...] »

 

 

Selon Challenges, pas franchement classé à droite.

 

                                                        

 

 

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07/08/2020

Entretien avec Jacques Bompard:

 

 

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Les insultes et les anathèmes pleuvent lorsque l’on ne respecte pas le prêt-à-penser !

 

 

   

Jacques Bompard, lors de l’adoption, de la résolution réaffirmant le « droit fondamental à l’IVG en France et en Europe » par l’Assemblée nationale, vous avez fait un discours « discordant » très remarqué. Pourquoi avez-vous tenu à vous exprimer ?

 

 

J’ai tenu à m’exprimer avec modération contre ce que je jugeais être une nouvelle atteinte aux lois naturelles. Il est évident qu’il n’y a absolument plus besoin, en France, de faire le moindre effort pour banaliser l’avortement. En revanche, il faut prendre son souffle au moment d’aller batailler à la tribune : les insultes et les anathèmes pleuvent immédiatement lorsque l’on ne respecte pas le prêt-à-penser.

 

 

Et c’est pour cela que j’ai voulu tenir ma place dans la défense de la vie. Nos adversaires sont à ce point intolérants car ils savent pertinemment que l’IVG est la pierre d’angle de leur « loi du progrès ». Sans elle, plus de marchandisation du corps de la femme et plus de réduction de l’être humain à un matériau exploitable.

 

 

Il faut aussi dire que personne ne peut, en conscience, assumer cette défense de la vie et être absent le jour de ce vote. Ou alors ce n’est plus considérer la politique comme le service de la Cité mais comme du marchandage électoral. Or, la vie est notamment refusée à ces 225.000 fœtus avortés par an.

 

 

J’ajoute enfin que les mêmes qui érigent en droit fondamental la disparition de l’enfant à naître sont très souvent les mêmes qui nous expliquent que l’immigration est une chance pour la France et une occasion pour elle de la vivifier par un sang neuf. Pour mémoire, le nombre d’avortements pratiqués et le nombre d’immigrés légaux arrivant sur le sol français chaque année est sensiblement le même. Ce faisant, je m’interroge sur le législateur qui commet un double crime en faisant disparaître des enfants et dans le même temps pille les forces vives des pays du tiers monde.

 

 

Quelques jours auparavant, quand le projet de loi sur la modulation des allocations familiales en fonction du revenu est passé devant l’Assemblée en seconde lecture, vous avez tenté, avec d’autres députés, de réitérer le « coup du rideau », initié en leur temps par les socialistes. Est-il vrai qu’il s’en est fallu d’une voix pour que cela fonctionne ?

 

 

 

Oui, l’amendement a été voté par 64 députés contre 64 oppositions. Nous étions près du but, c’est-à-dire d’empêcher la représentation nationale de briser l’un des principes fondateurs de notre système de protection sociale. Les familles, comme vos lecteurs le savent, vont pâtir de cette destruction du modèle français qui a longtemps soutenu notre politique nataliste.

 

 

Le Parti socialiste ne fait que suivre là les conseils des mondialistes : briser les exceptions françaises et parier sur le Grand Remplacement pour donner du « dynamisme » à notre pays. Vous le savez, je préfère d’abord défendre les gens d’ici.

 


Le président de l’Assemblée Claude Bartolone envisage de limiter le nombre de questions écrites au gouvernement. Qu’en pensez-vous ?

 

 

Comme le relevait le président de la commission des lois, certains députés, afin de faire grossir leur activité parlementaire, posent la même question écrite pour chaque département. En une question, ils en font cent… Pour ma part, toutes mes questions écrites sont uniques, proposant tantôt une vision critique de l’action politique du gouvernement, tantôt l’éclairage d’un point de droit précis par les ministères. Toutes mes questions sont utiles.

 

 

Cependant, il faut affirmer très clairement que l’Assemblée nationale prouve par son règlement et son mode de fonctionnement que nous ne vivons pas en démocratie. Utilisation abusive du temps programmé, conférence dictatoriale des présidents qui arrangent les ordres du jour, non représentation des élus sans groupes politiques : rien n’est épargné aux électeurs pour brimer leurs choix et limiter l’action du non-inscrit.

 

 

Je suis un adepte des questions écrites ; elles sont l’une des rares niches qui demeuraient encore pour laisser les élus s’exprimer librement. Las, c’était trop de liberté accordée aux opposants au prêt-à-penser et le président de l’Assemblée nationale préfère très certainement les discours convenus qui s’égrènent à la tribune où mes collègues reprennent pour la plupart les fiches issues des partis politiques ou des officines. La fréquentation des bancs de l’Assemblée donne une certitude : jamais le pays réel n’a été moins représenté et servi par nos élites politiques.

 

 

Entretien réalisé par Gabrielle Cluzel

 

 

 

 

09:19 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

07/07/2020

Charité bien ordonnée devrait commencer par la France:

 
 
La civilisation française est le produit de deux mille ans d’une histoire établie sur les valeurs dont la chrétienté l’a dotée.
 
 
 

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Malgré la perte de ma foi, je ne crois pas qu’il me faille oublier les bonnes leçons que son enseignement m’a données. Je subodore que je ne dois pas être le seul à faire cette confession.
Bien que je me situe loin des choses de l’Église, je garde l’idée que la civilisation française est le produit de deux mille ans d’une histoire établie sur les valeurs dont la chrétienté l’a dotée.

 

Sans doute ne suis-je pas, non plus, solitaire dans cette proclamation.

 

Cela est aussi évident que chacun de nos villages est construit autour d’une église. Cette conviction conceptuelle me laisse croire que « charité bien ordonnée commence par soi-même ».

 

Cela est une idée chère aux chrétiens qui devrait l’être à tous.

 

Elle ne signifie pas que, si une douceur devait subsister, celle-ci devrait être accordée, par priorité, à la faveur de mon palais, mais, simple et pragmatique, que pour bien aimer (bien aider) les autres, il faut commencer par s’aimer soi-même. Il me paraît que cette vérité est, lentement, remplacée par l’amour de l’autre au détriment de soi. Il n’est que de considérer les excès qui touchent à l’accueil des immigrants et les conséquences néfastes de cet afflux massif.

 

Ce déterminisme souligne l’action irréfléchie des « politiques » répondant à l’inspiration confuse de certains, à moins qu’il ne s’agisse, plus pernicieusement, du contraire.

 

 

Cette méprise est à droite : Alain Juppé assure que l’immigration serait une chance pour notre pays (marquant un changement avec les idées qui furent les siennes). Elle est à gauche : François Hollande veut attribuer le droit de vote aux étrangers.

 

Chacun sait bien que « quand il y en a pour 2, il ne peut y en avoir pour 10 », donc, « quand il n’y en a pas assez pour 60 millions, il ne saurait y en avoir suffisamment pour 200.000 de plus chaque année ». Cela paraît juste évident, faut-il encore le dire et en tenir compte.

 

 

Il est insoutenable de s’obliger à des artifices grossiers pour faciliter ce changement. L’appel répété à la laïcité n’a pour but que de mettre sur un plan d’égalité les pratiques ici millénaires et celles d’une croyance venue d’ailleurs où la réciprocité est bannie. Notre comportement accort reçoit-il l’effet d’une reconnaissance ? La conduite des minorités visibles exogènes répond sans ambiguïté : Non.

 

 

La posture suicidaire de nos compatriotes, au regard de ce problème, provient d’une volonté de repentance, elle-même d’un sentiment de culpabilité, injuste. Que se reproche-t-on qui nous oblige à tant d’abnégation et d’oubli de soi ?

 

Il y a la colonisation, dont nulle démonstration n’a apporté la preuve de l’unicité supposée du préjudice comparé aux multiples apports.

 

Il y a la pratique esclavagiste qui n’est ni notre invention, ni notre apanage, tellement partagée.

 

Il y a l’Holocauste, le crime nazi dont il serait inique d’étendre l’opprobre sur tous.

 

Ainsi, devons-nous baisser la tête et renier ce que nous sommes ? Ce fatalisme prétendrait nous priver de notre identité et fouler nos valeurs ?

 

 

 

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08:45 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

26/06/2020

LOBBY HOMOSEXUALISTE...

 

 

 

Quelle influence ? 

 

« Le rendez-vous, autour d’un verre, a été fixé dans un banal hôtel 4 étoiles du XIe arrondissement, près de la place de la République. Tous les deux mois s’y réunissent de 50 à 80 jeunes gens, pour la plupart des garçons, tous homosexuels et anciens élèves de grandes écoles. Ils travaillent à Thales, à L’Oréal, dans l’industrie ou dans la banque d’affaires, et viennent ici se détendre et parler « business ».

 

 

A l’initiative de ces rencontres, Vincent Viollain, 32 ans, cofondateur de Babel 31, agence de communication digitale spécialisée dans le marketing communautaire. A HEC, il a dirigé l’association LGBT (lesbiennes, gays, bisexuels et trans) de l’école, In and Outside, puis a fait partie de celle de Sciences-Po Paris, Plug n’Play. Il a contribué à relancer un réseau inter-grandes écoles avec ESCaPe (ESCP-EAP), Divercity (Essec), Binet XY (Ecole Polytechnique), Homônerie (ENS-Ulm)… Investi dans Le Refuge, association de soutien à de jeunes homosexuels rejetés par leur famille, il est également vice-président de GayLib, le principal mouvement homo de droite, affilié à l’UDI. [...]

 

Challenges n’accrédite pas l’existence d’un prétendu lobby tout-puissant. Nous constatons seulement qu’ils font partie des réseaux qui progressent le plus. [...]

 

La direction du Front national serait « infiltrée », les gays constitueraient un réseau occulte dans les cabinets ministériels et, au ministère de la Culture ou au Quai d’Orsay, ils s’échangeraient les postes et les faveurs.

 

[...] En privé, des « homos de pouvoir » avouent pratiquer la préférence communautaire. « Toutes choses égales par ailleurs, je donnerais plus volontiers un coup de pouce à un homo qu’à un hétéro« , dit l’un d’eux. [...] »

 

 

Selon Challenges, pas franchement classé à droite.

 

09:31 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)